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Bande-annonce Amanda : Vincent Lacoste désemparé face à la garde de sa nièce

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Après Plaire, aimer et courir vite et Première année, on retrouve Vincent Lacoste pour la 3ème fois cette année dans Amanda. Découvrez les premières images de ce drame qui s’annonce tendre et délicat. Sortie en salles le 21 novembre.

En 2018, difficile de passer à côté du phénomène Vincent Lacoste. L’acteur a brillé cette année en incarnant deux fois de suite un étudiant ; chez Christophe Honoré d’abord dans Plaire, aimer et courir vite puis chez Thomas Lilti dans Première année.

Dans Amanda, le comédien, habitué des comédies, opère un virage à 180 dégrés avec un drame pur et dur. Il se glisse cette fois dans la peau de David, 24 ans. Ce dernier vit au jour le jour, avec insouciance, en compagnie de sa petite amie, Léna. Cette dernière est campée par la sublime Stacy Martin, révélation de Nymphomaniac et vue récemment dans Le Redoutable de Michel Hazanavicius. Elle a aussi fait tourner la tête de Tahar Rahim dans Joueurs, sorti en juillet dernier.

David vit de petits boulots et recule, pour un temps encore, l’heure des choix plus engageants. Le cours tranquille des choses vole en éclats quand sa sœur aînée meurt brutalement dans un attentat (Le réalisateur s’est inspiré du traumatisme lié aux attaques du 13 novembre 2015). David se retrouve alors en charge de sa nièce de 7 ans, Amanda. Pour le jeune homme, c’est un bouleversement total. Ne s’étant jamais imaginé avec un enfant sur les bras, il va devoir faire face à cette situation, gérer son deuil et celui de sa nièce tout en s’occupant de son bien-être.

Amanda est mis en scène par Mikhaël Hers. Il s’agit de son 3ème long-métrage après Memory Lane et Ce sentiment de l’été. Ce dernier traitait déjà de personnages en deuil après le décès brutal d’un proche. Le cinéaste revient vers ce thème en y incluant une dimension supplémentaire, celle d’un homme insouciant totalement désemparé face à son deuil et ses responsabilités nouvelles. L’héroïne dont le film tire son nom, Amanda, est jouée par la petite Isaure Multrier, qui fait ses débuts devant la caméra. Greta Scacchi, Ophelia Kolb et Jonathan Cohen complètent le casting de ce drame qui débarquera au cinéma le 21 novembre.

L’INTERVIEW VRAI/FAUX DE VINCENT LACOSTE

Première année : l'interview Vrai/Faux de Vincent Lacoste, William Lebghil et Thomas Lilti

 

Douleur et gloire : le nouveau Pedro Almodovar dévoile sa bande-annonce

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Trois ans après “Julieta”, Pedro Almodovar est de retour avec “Douleur et gloire”. Découvrez la bande-annonce émouvante et musicale du nouveau long métrage très attendu du cinéaste espagnol.

Sur un air de Come Sinfonia, de Mina, se dévoile le tout nouveau film de Pedro Almodovar, Douleur et gloire. Le film suit un réalisateur en souffrance, incarné par Antonio Banderas, et raconte une série de retrouvailles après plusieurs décennies, certaines en chair et en os, d’autres par le souvenir… Ce drame, qui traversera les années 60, les années 80 et le présent, se penche sur le thème de la création qu’elle soit cinématographique et théâtrale, ainsi que sur la difficulté de séparer vie artistique et vie privé…

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Le film marquera la huitième collaboration d’Antonio Banderas et la sixième collaboration de Penélope Cruz avec le cinéaste espagnol. La date de sortie française n’est pas encore connue.

Douleur et gloire : premières photos du nouveau Pedro Almodóvar avec Antonio Banderas et Penélope Cruz 

La Femme de mon frère : rencontre avec Monia Chokri pour ce film “coup de cœur” de Cannes

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Coup de cœur du Jury Un Certain Regard lors du dernier Festival de Cannes, La Femme de mon frère, la première réalisation de la comédienne québécoise Monia Chokri, sort aujourd’hui dans nos salles. Rencontre avec une jeune réalisatrice passionnée.

AlloCiné : Vous avez fait vos débuts en tant qu’actrice dans le film de Xavier Dolan Les Amours Imaginaires, présenté à Cannes. Vous faites aujourd’hui  vos débuts en tant que réalisatrice et votre film est présenté à Cannes dans la catégorie Un Certain Regard. C’est un peu comme un nouvelle naissance non ?

Monia Chokri : C’est très émouvant en effet de naître en tant que réalisatrice dans la salle où je suis née en tant qu’actrice. Il y a quelque chose d’assez troublant, d’autant plus que je ne l’aurais jamais imaginé il y a 9 ans quand j’ai débuté. Je suis très heureuse. Et je suis ravie d’être présente ici en tant que cinéaste. Ça change tout.

Pourquoi est-ce que ça change tout ?

Il y a quelque chose qui m’angoisse d’être à Cannes en tant qu’actrice, parce qu’on est beaucoup plus sur l’image et beaucoup moins sur le propos. Arriver en tant que réalisatrice et être présentée en tant que telle change énormément la donne. Par exemple Thierry Frémaux m’a introduite à Jim Jarmusch en tant que jeune cinéaste, et soudainement il y a un vrai échange, un vrai dialogue qui se créé. Je suis là pour mes idées et ça change tout. J’ai un vrai pouvoir grâce à ma parole.

Les actrices ont beaucoup de choses à dire mais on ne leur demande pas forcément de parler. Après c’est normal que les comédiennes ne soient pas sollicitées de la même manière que les réalisateurs étant donné qu’elles sont les artisans d’un artiste, mais je suis beaucoup plus à l’aise en tant que réalisatrice. Je préfère maîtriser mes idées que mon image.

Est-ce cette envie de maîtriser les choses qui vous a donné envie de passer de l’autre côté de la caméra ?

Il y a une partie de ça oui. C’est venu de l’envie de raconter des choses qui m’intéressent. Mon problème aussi c’est que je ne suis pas une actrice docile, je suis quelqu’un qui a une opinion sur les scénarios, sur le travail du réalisateur… Donc au lieu d’être insatisfaite je me suis dit qu’il fallait que je me lance pour voir si j’arrivais à faire mieux.

La Femme de mon frère est très drôle, l’héroïne est une sorte de Bridget Jones des temps modernes, et en même temps le film aborde des sujets forts comme l’avortement, le droit des femmes à disposer de leur corps, l’immigration… 

Elle est plus intello que Bridget Jones (rires). Mais ça me touche beaucoup parce que c’était mon pari de raconter, par l’humour, toutes les obsessions et les anxiétés – pas de ma génération – plutôt les miennes, mais en espérant que ça résonne auprès d’autres personnes.

Je pense que ce film touchera plus les femmes qui ont une sensibilité particulière. Cela dit j’espère qu’il plaira aussi aux hommes… Si le personnage central avait été un homme on aurait dit que le message du film est universel, mais étant donné que c’est une femme on pense que ça plaira plus à cette part de la population. On a encore beaucoup d’efforts à faire de ce côté, pour que le personnage neutre ne soit plus un homme blanc hétérosexuel de 30 ans. C’est ce qu’on appelle le personnage universel, quelqu’un auquel tout le monde pourrait s’identifier. Hors ce n’est pas le cas. On a l’impression que quand le personnage principal est un femme, les hommes se retirent de la course à l’identification alors qu’à l’inverse les femmes doivent s’identifier aux hommes. Idem pour un homme noir ou gay, les autres ne pourraient soit disant pas s’y identifier.

L’intelligence du film c’est que vous abordez les sujets sans jamais tomber dans le pathos. Sophia traverse les épreuves de la vie mais poursuit sa route sans s’apitoyer.

C’était très important pour moi et particulièrement pour la scène de l’avortement. Je voulais la raconter d’une manière qui ne soit pas lourde. Ce n’est bien entendu pas anodin pour une femme, mais c’est le quotidien. Je n’avais pas envie que ce soit pesant, qu’elle se remette en question… C’est quelque chose de concret, il faut le faire et voilà.

C’est un film féministe, il y a un vrai enjeu, cela dit je ne fait pas du cinéma pamphlétaire, j’essaie de rester en filigrane dans mes sujets. Je ne veux pas être moralisatrice, ni répondre à des questions, je veux questionner. Je m’interroge sur le monde dans lequel nous vivons, ce n’est pas noir ni blanc, c’est tout gris. Parfois les gens bons sont aussi mauvais et inversement, la vie est comme ça, elle est poreuse, elle est parfois dramatique et parfois comique. Il n’y a pas de bonnes réponses sur la migration, sur l’amour… Parce que j’ai des obsessions et des angoisses je pense qu’elles émanent dans le film. Je suis féministe, je questionne les rapports d’identité aujourd’hui… Donc tout ça ressort dans mon film.

Quelles ont été vos influences ?

Ma plus grande influence est le cinéma direct québécois des années 60. Les réalisateurs Pierre Perrault, Michel Brault, Claude Jutra sont des cinéastes qui étaient en dialogue avec La Nouvelle Vague, ils se connaissaient. Des amis de Truffaut se retrouvent d’ailleurs dans un des films de Claude Jutra.

C’est très particulier car ils étaient à la fois documentaristes, et ce qui était intéressant dans leurs fictions c’est qu’ils y intégraient toujours des parts de documentaires. Il y avait quelque chose de très Nouvelle-Vaguienne dans leur manière de faire, les personnages de fiction allaient parfois à la rencontre de véritables gens. Donc on avait cette espèce de part de fiction qui était en relation directe avec le monde dans lequel ils vivaient. 

C’est une des raisons pour laquelle j’ai mis des immigrants dans le film. Ce sont de vrais élèves d’une classe de francisation. On sort de la fiction et on entre à pieds joints dans la réalité. C’est la même chose à la fin du film  où on me voit avec mon frère. C’est une manière d’être libre dans la création.  

La bande-annonce

La Femme De Mon Frère Bande-annonce VF

 

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Button receives honorary degree from University of Bath

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The University of Bath has awarded 2009 Formula One world champion Jenson Button an honorary degree of Doctor of Engineering.

The Briton attended the university’s Winter Award Ceremonies on Tuesday and was presented by Dr Geraint Owen who hailed Button as “a perfect role model for any up and coming sportsman”.

The 36-year stepped down from his race seat following a 17-year F1 career that saw him make 305 grand prix start, win 15 races, secure 50 podium and claim eight pole positions and fastest laps.

Although he remains under contract with McLaren-Honda through 2018, Button admitted in Abu Dhabi that the 2016 season finale was probably his final race.

Below is a video of the F1 star receiving his honorary degree.

And here is the oration from Dr Geraint Owen on Button.

Jenson Button is one of Britain’s top Formula One drivers. Formula One World Champion in 2009, he is third on the list of all time F1 starts, having competed in three hundred and five Grands Prix.

From its very earliest days, motor racing has always held a strange fascination with the spectating public. Purdy wrote in 1957, “Auto racing, bullfighting, and mountain climbing are the only real sports—all others are merely games” (often misquoted as Hemingway). The combination of real danger with the speed and sound has led to a perception of superiority above other sports and a glamorous tinge. Today, the sport of Formula One may be safer than it was when Purdy wrote that but it remains dangerous. Whilst it retains its glamour, the real changes are the sophistication of the engineering of the car and the athleticism of the drivers.

Formula One drivers are some of the most highly conditioned athletes on earth, their bodies specifically adapted to the very exacting requirements of top-flight single-seater motor racing. In a hot, cramped cockpit, loads on the body regularly exceed a sustained 4.5 G. While subjected to this loading, the driver is required to retain total concentration and lightning-fast reactions throughout the two-hour race.

Jenson Alexander Lyons Button MBE was born on 19 January 1980 in the nearby market town of Frome. His father was in the motor trade and was himself an accomplished rallycross driver. Jenson’s career began after his father bought him his first kart; he went onto win the Cadets British Karting Championship in 1991 and then the Junior TKM in 1992, winning all thirty four races. Further karting successes followed; he was British Open Karting Champion on three occasions.

His winning streak continued when he entered single-seater racing aged eighteen, winning the British Formula Ford championship. Jenson entered the world of Formula 3 and, in his debut season, finished third and was named ‘Rookie of the Year’; it was not surprising that he was offered a test drive in Formula One.

He first drove in Formula One with Williams F1 in 2000. This was followed by stints at Benetton and Renault before moving to BAR in 2003. In 2004, he finished third in the World Drivers’ Championship, with only the two Ferraris ahead of him. BAR was subsequently renamed Honda in 2006 and, during this season, after one hundred and thirteen races, Jenson won his first Grand Prix.

Following the withdrawal of Honda from the sport in December 2008, Jenson was left without a drive for the 2009 Season. Ross Brawn led a management buyout in February 2009 and Jenson suddenly found himself in a highly competitive Mercedes-engined car. He went on to win a record-equalling six of the first seven races of the 2009 season and, having led on points all season, he secured the World Drivers’ Championship; his success also helped BrawnGP to secure the World Constructors’ Championship.

For 2010, he moved to McLaren, partnering fellow British racer Lewis Hamilton. After finishing fifth for the team in 2010, Button finished the 2011 season as runner-up. He spent a seventh season with the McLaren team in 2016, his seventeenth in Formula One. From the three hundred and five races that Button has started, he has won fifteen, with a total of fifty podium finishes.

Away from the paddock, Jenson is a keen triathlete and is also involved in charitable work through the creation of The Jenson Button Trust. A gentleman on and off the track, he is liked and admired through the motor racing world; Jenson is a perfect role model for any up and coming sportsman.

Chancellor, I present to you Jenson Button, who is eminently worth to receive the Degree of Doctor of Engineering, honoris causa.

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F1 calendar expansion in the works

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Formula 1 commercial director Sean Bratches says the sport is targeting an expansion of its race calendar beyond 21 races from 2019.

Present at Silverstone yesterday for Williams 40 years in F1 celebrations, Bratches revealed that next year’s calendar would include 21 races, with Germany and France joining a schedule from which Malaysia has now been dropped.

“We want to work in partnership with our teams in terms of determining where we go,” Bratches told Reuters.

“But our view is that we’d like to go above 21 and we want to be a little bit more proactive and go on the offensive in terms of the markets where we go.

“I’ve got an economic impact study in the marketplace right now to really understand the benefits of bringing the Formula 1 circus to a city, a country, a municipality, a principality.

“So as we start identifying an optimal calendar in optimal regions, we can go down and sit with cities and make our case as opposed to what has been a little bit more reactive to bids coming in.”

“[Going beyond 21 races] takes a toll, both physically, emotionally and economically.

“We have to work closely with our partners on the team front to find out what the high water mark is and what makes sense for everyone.”

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Bratches sees a reduction in back-to-back races and a more territorial approach as potential means of alleviating the work-load and strain put on teams.

“We’re trying to be respectful to everyone in F1, including journalists, to ensure everyone has an appropriate break with their families and some downtime,” he said.

“We don’t want to have too many back-to-backs.

“We’re trying to align these things better by territory – the European races, the American races, the Asian races, but it gets difficult in terms of the weather and managing contractual guard rails.”

©WRI2

Bratches also underlined the difficulty of manufacturing a calendar which avoids potential clashes with other high-profile sporting events.

“We are very interested in doing what’s best for fans,” he added.

“Next year there is a weekend where the Wimbledon final and World Cup final take place on the same day.

“It would be sub-optimal to have the British Grand Prix on that day. It’s a tight schedule.”

 

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