L’Académie nationale de médecine se (ré)invite dans le débat concernant le temps scolaire des enfants et rappelle ses positions à cet égard:semaine de 4jours et demi, avec une préférence pour la ½journée le samedi matin, etvacances d’été raccourcies. Avec pour seul leitmotiv: la santé de l’enfant.

L'Académie de médecine favorable aux mesures de Peillon.

Réitérant l’avis qu’ils avaient donné en 2010 et, plus récemment,

en juillet 2012 alors que Vincent Peillon prônait la semaine de 5 jours de classe, Jean-Yves Touitou et Pierre Begué, soutenu par Bernard Salle, estiment que “la semaine de 4 jours est un contresens biologique qu’il faut abolir en aménageant impérativement le temps scolaire sur 4 jours et demi“. La demi-journée supplémentaire devrait idéalement être organisée le samedi matin, “pour éviter la désynchronisation inévitable de l’enfant en début de semaine“.Les Académiciens jugent actuellement que les journées d’école de nos bambins sont “trop longues et trop denses“, et préconisent de les limiter à 4h30-5h en fonction de l’âge de l’élève. À l’inverse, l’année scolaire leur paraît trop courte ; ils recommandent donc, à l’instar du ministre de l’Éducation, de raccourcir les vacances d’été afin de mieux réguler les journées et semaines de classe.L’Académie de médecine rappelle à tous ceux qui participent au débat (pouvoirs publics, parents, enseignants) “qu’il s’agit avant tout de respecter les rythmes biologiques de l’enfant et que toute réflexion sur l’aménagement du temps scolaire doit dépasser la polémique autour de la seule semaine de quatre jours“. De là à dire que les opposants aux réformes sur les rythmes scolaires placeraient les intérêts de l’adulte avant ceux de l’enfant, il n’y a qu’un pas que les académiciens franchissent allègrement ! Or, selon eux, seule une révision de l’organisation globale, prenant en compte  la journée, la semaine et l’année scolaire de l’enfant, pourra répondre à la question récurrente de l’inadaptation du système scolaire à la

santé de l’enfant.Quant à la fatigue des enfants, souvent imputée au rythme scolaire, Jean-Yves Touitou, Pierre Begué et Bernard Salle renvoient les parents à leurs responsabilités et leur recommandent d’être “plus attentifs à la durée et à la qualité du sommeil indispensables à la réussite de leurs enfants.“ Message reçu ?Amélie Pelletier
Source
“La santé de l’enfant face aux temps scolaires“, Yvan Touitou, Pierre Begué et Bernard Salle. Communiqué de presse de l’Académie de médecine, 5 mars 2013.

La Semaine Nationale de la Continence Urinaire organisée par l’Association Française d’Urologie se déroulera du 8 au 13 avril 2013 et sera dédiée à une entité anatomique méconnue : le périnée.

La Semaine de la Continence Urinaire de l’Association Française d’Urologie est consacrée, cette année, au périnée.

La Semaine de la Continence Urinaire de l’Association Française d’Urologie aura lieu du 8 au 13 avril 2013 ; elle est consacrée, cette année, au périnée.

• Qu’est-ce que le périnée ?
• Quelles sont ses fonctions ?
• Comment l’entretenir et le protéger, de l’enfance au grand âge, pour prévenir troubles de la continence, descentes d’organes et améliorer sa sexualité ?

Les urologues de l’AFU ont choisi d’explorer d’abord les représentations du périnée à travers un micro-trottoir pour inviter ensuite chacun à s’informer :

• Parce qu’avoir un bon périnée est un facteur de préservation de la continence, urinaire, anale, essentielle à l’autonomie, au bien vivre et au bien vieillir.

• Parce qu’avoir un bon périnée contribue aussi à avoir une sexualité épanouie chez la femme, comme chez l’homme,  les muscles du périnée jouent un rôle important dans la montée en puissance  du plaisir. Chez l’homme plus le périnée est tonique meilleur est le contrôle de l’éjaculation

Le site Internet de l’AFU,

www.urofrance.org, fédérera ainsi, à l’occasion de la Semaine Nationale de la Continence toutes les informations sur le périnée, mais aussi les outils d’éducation à la miction développés précédemment par la société savante.Cette nouvelle campagne est donc une invitation à comprendre, apprendre, et faire passer lemessage essentiel à la qualité de vie et à la prévention des troubles urinaires : les muscles du périnée s’entretiennent comme tous les autres muscles !L’objectif poursuivi par l’Association Française d’Urologie à travers la Semaine Nationale de la Continence est de faire des  patients des acteurs de leur santé, de promouvoir la prévention des pathologies ou des handicaps.L’incontinence urinaire touche plus de 2,6 millions de personnes âgées de plus de 65 ans en France, parmi lesquels les plus fragiles (60 % des personnes en institution et 90 % de celles souffrant de démence sénile).Source : Communiqué de l’AFU – avril 2013

Les stars se mettent à nu pour lutter contre la surpêche en Europe ! Pour découvrir le projet photographique “FISHLOVE“, rendez-vous à la galerie Baudoin Lebon à Paris, jusqu’au samedi 1^er juin.

Fishlove : les stars nues pour sauver les poissons © Rankin

Lors de cette exposition, vous pourrez découvrir les portraits de Mélanie Laurent, Lizzy Jagger ou encore Lily Loveless (qui joue Naomi Cambell dans la série “Skins“) dans le plus simple appareil avec pour seul accessoire un poisson !

Lizzy Jagger nue pour FISHLOVE. © RankinCes séries de photographies signées Alan Gelati et Rankin (un célèbre photographe de mode) seront pour l’occasion complétées par 30 nouveaux clichés de célébrités françaises signés du portraitiste de renom Denis Rouvre.

Mélanie Laurent nue pour FISHLOVE.© Alan Gelati.Cette exposition, aussi décalée soit-elle, a pour objectif de sensibiliser le grand public à la surpêche dont sont victimes les poissons en Europe. Selon Nicholas Röhl, qui a fondé le projet FISHLOVE en 2009 avec l’actrice Greta Scachi, “Ces photographies saisissantes agissent comme un signal d’alarme : mettez fin à la surpêche, ou nos mers seront sans poissons d’ici une génération“.Pour découvrir plus de stars nues, rendez-vous sur le site de

FISHLOVE.Anne-Sophie SavenierSource : Communiqué de presse – Mai 2013Click Here: Golf special

Près de 83 millions de dons de sang ont été collectés dans le monde auprès de donneurs volontaires non rémunérés, soit une hausse de 8 millions de dons par rapport à 2004, indique l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Un chiffre qui reste pourtant en deçà des besoins en sang et en produits sanguins.

Pays hôte de la Journée mondiale du donneur de sang, la France se mobilise pour promouvoir le don de sang bénévole.

Chaque année, la Journée mondiale du donneur de sang (14 juin) vise à sensibiliser le public à l’importance du don de sang dans plus de 190 pays à travers le monde. Elle permet également de rendre hommage aux donneurs volontaires réguliers.Pour cette

10e édition, l’OMS appelle ses pays membres à mettre en oeuvre des actions qui leur permettront de “s’approvisionner intégralement en sang et en produits sanguins auprès de donneurs de sang volontaires non rémunérés d’ici 2020“.L’autorité mondiale rappelle qu’il est plus sûr de s’approvisionner auprès de donneurs volontaires réguliers “car ils sont plus rarement porteurs d’infections transmises par le sang que les personnes qui donnent leur sang à des membres de leur famille en cas d’urgence ou que les donneurs rémunérés“.

Les dons du sang collectés tout au long de l’année permettent de traiter les complications liées à la grossesse et les anémies graves de l’enfant dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Ils sont généralement utilisés dans le cadre d’opérations de chirurgie cardiaque, de transplantations d’organes, de thérapies anticancéreuses et de traumatismes graves dans les pays à revenu élevé.Pays hôte de la Journée mondiale, la France se mobilise plus que jamais pour promouvoir le don de sang bénévole, à travers des animations et des campagnes de sensibilisation. A Paris, une grande collecte de sang est organisée, les 13, 14 et 15 juin, sur le parvis de la Gare Montparnasse (Paris 14e).RelaxnewsSource : Communiqué de l’OMS – juin 2013

Lors du congrès européen de l’EAS (European Atherosclerosis Society), qui vient de se dérouler à Lyon, des experts mondiaux ont fait le point sur nos modes de vie et le risque de maladies cardiovasculaires associé. Associée à une activité physique insuffisante, une trop grande consommation de boissons sucrées contribuent à l’obésité.

Les boissons sucrées sont à l'origine d'un apport calorique important.

Le 81^ème congrès de l’European Atherosclerosis Society (EAS) qui vient de se terminer à Lyon a permis aux experts de faire le point sur les récentes avancées en terme d’

alimentation et de risques de

maladies cardiovasculaires.Les boissons sucrées constituent un apport calorique importantConcernant l’

obésité, une étude menée sur 100 000 personnes a confirmé que “la consommation régulière de soda est un facteur de risque, particulièrement pour l’obésité abdominale“. Mais les sodas ne sont pas les seuls en cause. “En Europe, une grande part des calories consommées provient des boissons sucrées, telles que le lait sucré, le thé sucré, les jus de fruits“, déplore le Pr Frank Hu, professeur de nutrition et d’épidémiologie à l’Université de Harvard. “Dans une récente étude, on apprend même que les adolescents européens ingèrent en moyenne 400 calories par jour avec ces boissons sucrées“, poursuit-il.Le tour de taille, un indicateur du risque de diabèteLe congrès de l’EAS a aussi été l’occasion de souligner l’importance de la mesure du tour de taille, lors de l’évaluation des facteurs de risques cardiovasculaires. “Tenir compte à la fois de l’indice de masse de corporelle et du tour de taille nous en dit plus sur les facteurs de risques de nos patients que l’analyse individuelle de ces variables“, affirme Pr Robert Ross, professeur en physiologie à la faculté de médecine de l’université Queen’s (Canada). Selon lui, “l’inactivité physique et une mauvaise alimentation, incluant une surconsommation de boissons sucrées (…), conduisent rapidement à une augmentation du tour de taille“.

Les experts s’accordent aussi pour dire que ce fameux tour de taille est un facteur de risque en soi pour le diabète de type 2.Des entreprises plus responsables ?Les entreprises agroalimentaires semblent de plus en plus conscientes de ce risque. Certaines ont ainsi décidé de ne plus diffuser des publicités pour des produits trop sucrés dans des émissions destinées aux enfants. La

communication de géant comme Coca s’articule autour de la teneur en calories de ses produits, la fabrication de canettes et bouteilles plus petites, la sensibilisation de la population au risque de surpoids… Plusieurs dizaines d’entreprises se sont engagées à améliorer la qualité nutritionnelle de leurs produits via des chartes d’engagements volontaires, signées dans le cadre du Programme National Nutrition Santé (PNNS).Réelle effort ou concession marketing, cette nouvelle orientation va dans le bon sens pour la santé.Violaine BadieSource : Communiqué de l’ICCR, 3 juillet 2013Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Fin septembre, le comité des médicaments à usage humain(CHMP) de l’Union européenne a recommandé l’homologation de Kadcyla© pour certains cancers du sein avancés particulièrement agressifs. Déjà approuvé aux Etats-Unis, ce médicament pourrait l’être dès cette année en Europe. Parallèlement, de nouveaux résultats présentés lors du congrès européen sur le cancer confirment son efficacité.

Un nouveau médicament pourrait aider les femmes atteintes de certains cancers du sein avancés.

Fin septembre, le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Union européenne a recommandé l’homologation de Kadcyla © (trastuzumab emtansine ou T-DM1) pour une utilisation en monothérapie face au cancer du sein HER-2+ non opérable localement avancé ou métastatique chez des femmes ayant précédemment reçu du de l’Herceptin© (trastuzumab) et une chimiothérapie par taxane, séparément ou en association. Déjà homologué par la Food and Drug Adminstration (agence du médicament américaine) depuis février 2013, ce médicament pourrait donc l’être prochainement par l’Union européenne.Nouveau médicament pour les femmes atteintes de cancer HER2+ avancéVingt à 25 % des cancers du sein présentent à leur surface des récepteurs, HER2, qui, lorsqu’ils sont stimulés, vont stimuler la croissance de la cellule cancéreuse et sa possibilité d’essaimer ailleurs dans l’organisme. Plus agressifs et plus à risque de se disséminer dans l’organisme, ces cancers HER2+ ont longtemps été de mauvais pronostic, jusqu’à l’arrivée du trastuzumab (commercialisée sous le nom d’

Herceptin ® par le laboratoire Roche). Indiqué face aux cancers très avancés (sa première indication), il a permis de

gagner plusieurs mois de vie. Et lorsqu’il est administré à des stades précoces après une chimiothérapie, il réduit les risques de récidives et permet donc de guérir plus de patientes.

En cas de récidives ou d’absence de réponse au traitement par Herceptin et chimiothérapie, une nouvelle forme de ce médicament propose d’associer l’efficacité et le ciblage de l’Herceptin avec le pouvoir toxique d’une chimiothérapie délivrée au niveau de la cellule cancéreuse. Le trastuzumab emtansine (ou TDM-1, commercialisé sous le nom de Kadcyla ®) est un conjugué anticorps-médicament (antibody-drug conjugate = ADC). Tout comme l’Herceptin ®, il va bloquer le récepteur HER2 (et donc réduire la croissance de la tumeur et mobiliser le système immunitaire contre ces cellules cancéreuses), mais il va aussi délivrer une chimiothérapie directement à l’intérieur ces cellules cancéreuses. La chimiothérapie utilisée est l’emtansine, un composé si toxique qu’on a renoncé à l’utiliser en perfusion. Mais avec ce mode de délivrance très ciblé (au niveau de la cellule), le médicament bénéficie de son efficacité sans souffrir de sa toxicité (cf.vidéo ci-dessus).Approuvé aux Etats-Unis, Kadcyla en passe de l’être au niveau européenL’efficacité de ce médicament a été démontré dans le cadre de l’étude EMILIA, dont les résultats préliminaires avaient été

présentés lors du congrès américain sur le cancer 2012. Cette étude internationale comparait Kadcyla à un traitement associant lapatinib (Tyverb ®) et capécitabine (Xeloda ®) chez 991 patientes souffrant de cancer du sein HER2+ localement avancé ou métastatique, déjà traitées par trastuzumab et une chimiothérapie à base de taxane.Comparativement, chez les femmes ayant reçu Kadcyla ®, la survie globale médiane a été plus longue de 5,8 mois que chez celles traitées par l’association lapatinib plus capecitabine, traitement standard dans cette indication (30,9 mois versus 25,1 mois) ; les personnes ayant reçu Kadcyla ® ont vécu significativement plus longtemps sans progression de leur maladie (PFS) que celles ayant reçu l’association lapatinib plus Xeloda (9,6 mois versus 6,4 mois) ; les personnes ayant reçu Kadcyla ayant été moins nombreuses à présenter des effets indésirables sévères (EI de grade 3 ou plus) que celles ayant reçu l’association lapatinib plus Xeloda (43,1 % versus 59,2 %).Une efficacité supérieure même après deux lignes de traitementDans le cadre du congrès européen sur le cancer (Congrès ECCO-ESMO-ESTRO), les premiers résultats d’une autre étude sur ce médicament baptisée TH3RESA ont été présentés. TH3RESA est une étude de phase III comparant Kadcyla ® à un traitement laissé à l’appréciation du médecin chez des femmes avec cancer du sein HER2-positif métastatique ayant précédemment reçu au moins deux lignes de traitements incluant du trastuzumab (Herceptin ®), du lapatinib (Tyverb ®) et une chimiothérapie par taxane. Au total, 602 femmes (404 sous Kadcyla ® et 198 sous un autre traitement au choix du praticien) ont été suivies. Résultats : les personnes ayant reçu Kadcyla ont vécu significativement plus longtemps sans progression de leur maladie (PFS) que celles ayant reçu un autre traitement (6,2 mois contre 3,3 mois) ; les effets secondaires sévères étaient là-encore moins important dans le groupe bénéficiant du dernier traitement. Les données de survie globale ne sont pas encore disponibles.Pour le Professeur Cornelis van de Velde, président de l’ECCO (organisation européenne du cancer), “Ces résultats de l’essai TH3RESA sont importants parce qu’ils confirment et élargissent l’utilité du T-DM1 pour le traitement des femmes atteintes de cancer du sein HER2+ avancé. Une fois que le cancer du sein HER2+ a récidivé et métastasé, il existe peu d’options de traitement disponibles qui démontrent un avantage clair pour les femmes qui ont probablement subi plusieurs traitements antérieurs de la maladie. Le fait que T-DM1 prolonge la survie sans progression est une bonne nouvelle pour ces femmes“.La moindre toxicité et l’efficacité du Kadcyla sont telles que ce médicament fait également l’objet de tests sur des formes moins avancés de cancer du sein, en remplacement de l’Herceptin ®. Ces études permettront de savoir s’ils peut voir ses indications élargies, tout comme elles devront permettre de savoir s’il est possible de l’associer au 

pertuzumab, qui a démontré son intérêt pour les femmes dont le cancer métastatique échappait au traitement par Herceptin.David BêmeSources : Kadcyla – Summary of opinion1 (initial authorisation) EMA/CHMP/572965/2013 – Committee for Medicinal Products for Human Use (CHMP) – 19 septembre 2013 (

accessible en ligne)Abstract no: LBA15, “T-DM1 for HER2-positive metastatic breast cancer (MBC): Primary results from TH3RESA, a phase 3 study of T-DM1 vs treatment of physician’s choice”.Breast cancer –advanced disease proffered papers session, 11.15 hrs CEST, Saturday 28 September, Hall 7.1.First results from a phase III clinical trial of the combination drug, T-DM1, show that it significantly improves the length of time before the disease worsens in women with advanced HER2 positive breast cancer whose cancer has recurred or progressed despite previous treatments, including trastuzumab and lapatinib. – Communiqué du Congrès ECCO-ESMO-ESTRO – 28 septembre 2013Click Here: cheap all stars rugby jersey

Les rêves ont toujours fasciné les poètes et les scientifiques. Comment naissent-ils? Peut-on faire en sorte de s’en souvenir? Comment les expliquer ? Pourquoi certains rêvent beaucoup alors que d’autres très peu ? Une équipe de chercheurs français répond en partie à cette dernière question. Selon leurs travaux, une région du cerveau impliquée dans la sensibilité à l’environnement, la jonction temporo-pariétale, serait plus active chez les gros rêveurs.

Des chercheurs français ont mis en évidence l'implication de la jonction temporo-pariétale, région du cerveau impliquée dans la sensibilité à l'environnement, dans le processus des rêves.

Petits et grands rêveurs
La découverte de l’équipe de Perrine Ruby, du centre de recherche de neurosciences à Lyon, permet d’en savoir un peu plus sur l’origine des rêves. Partant du principe qu’il existe deux grands types de

rêveurs, les petits et les grands, les chercheurs ont tout d’abord étudié leur comportement nocturne. En fait, les  “grands rêveurs“ comptabilisent deux fois plus de phases de réveil que les “petits“ et leur cerveau est plus réactif aux stimuli de l’environnement.
Mais quelle est la région du cerveau impliquée dans ce processus ? Pour le savoir, Perrine Ruby et ses collègues ont mesuré l’activité cérébrale de 20 petits rêveurs et 21 grands rêveurs pendant l’éveil et le sommeil. Pour ce faire, ils ont utilisé un scanner TEP (Tomographie par émission de positons). Les participants devaient donc arriver à trouver le sommeil “dans une machine qui n’est pas du tout faite pour dormir, confesse la chercheuse. Ils devaient rester immobiles avec la tête immobilisée, un cathéter dans le bras et là, on leur demandait de dormir ! Donc c’est vraiment très compliqué pour les sujets qui participent, si bien que l’on a mis 1 an et demi pour enregistrer toutes les données“.

Le réveil, indispensable pour mémoriser les rêves
Résultat : durant leur sommeil, les grands rêveurs présentent une activité cérébrale spontanée plus forte au niveau  du cortex préfrontal médian (MPFC) et de la jonction temporo-pariétale (JTP), zone cérébrale impliquée dans l’orientation de l’attention vers des stimuli extérieurs.  
Ainsi, de par leur activité cérébrale plus importante, les grands rêveurs réagissent plus aux stimuli de l’environnement et se réveillent donc plus que les petits rêveurs. Et c’est justement grâce à ces phases d’éveil qu’ils se souviennent plus facilement de leurs rêves ! En effet “le cerveau endormi n’est pas capable de mémoriser une nouvelle information en mémoire, il a besoin de se  réveiller pour pouvoir le faire“ explique Perrine Ruby, chargée de recherche à l’Inserm.“Ces résultats montrent que les grands et petits rêveurs se différencient en terme de mémorisation du rêve mais n’exclut pas qu’ils se différencient également en  terme de production de rêve. En effet, il est possible que les grands rêveurs produisent une plus grande quantité de rêve“ conclut l’équipe de recherche.Yamina SaïdjSource : Pourquoi le cerveau se souvient-il des rêves ? Communiqué de presse Inserm, 11 février 2014Etude :

Resting brain activity varies with dream recall frequency between subjects, P. Ruby and al,  Neuropsychopharmacology, 19 février 2014Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Senate Minority Leader Charles SchumerCharles (Chuck) Ellis SchumerSchumer to introduce ‘No PR Act’ to stop Trump from placing name on stimulus checks Schumer calls for ramped-up policing of coronavirus and antibody testing kits sold online Biden rips stimulus packages, labels big companies ‘greedy’ MORE (D-N.Y.) said on Monday that Republicans should “immediately” start oversight of the government’s coronavirus response and related legislation, including holding public hearings. 

“Now that Leader McConnell has decided the Senate will reconvene next week, he should instruct his Committee Chairs to immediately begin vigorous and desperately needed oversight of the Trump administration’s response to the COVID-19 pandemic and its implementation of the CARES Act,” Schumer said in a statement. 

The Senate’s oversight, according to Schumer, should include hearings on the lag in widespread coronavirus testing and the Paycheck Protection Program, which was meant to provide loans to businesses with fewer than 500 employees. 

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“There must be public Senate hearings, at a minimum, to examine why the United States still does not have adequate testing and why some lenders in the SBA’s Paycheck Protection Program have prioritized the applications of their larger and wealthier clients to the detriment of smaller businesses that have oftentimes suffered greater hardship,” Schumer added. 

Schumer’s comments come after McConnell announced that the Senate will return to Washington next Monday, on May 4. House Democrats also announced on Monday that they will return to Washington next week as well.  

Schumer’s call for public hearings comes as GOP chairmen have indicated that they will conduct oversight of the response to the coronavirus. 

Sen. Ron JohnsonRonald (Ron) Harold JohnsonSchumer demands GOP convene hearings on coronavirus testing, small business program Five fights for Congress’s fifth coronavirus bill GOP senators: Tie WHO funding to cooperation with congressional probe MORE (R-Wis.), who chairs the Homeland Security and Governmental Affairs Committee, is expected to probe the U.S. and international response, with GOP senators on the panel saying they will hold a committee hearing on China’s handling of the virus. 

Democrats have raised concerns that Republicans are trying to shift blame to China and the World Health Organization as the administration’s own response to the virus is coming under criticism. 

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But GOP senators have also warned recently that the United States is still trailing behind where it needs to be on coronavirus testing. Public health experts say widespread testing is crucial before states start lifting social distancing restrictions aimed at curbing the spread of the coronavirus. 

“We’re way behind still where we should be on testing,” Sen. Rick Scott (R-Fla.), who has also been critical of China and the WHO, told reporters last week. 

Sen. Marco RubioMarco Antonio RubioSchumer demands GOP convene hearings on coronavirus testing, small business program America’s big banks should be ashamed of themselves White House shifts messaging strategy on coronavirus MORE (R-Fla.), who heads the Senate’s small business committee, has also said he will conduct oversight of the Paycheck Protection Program, including threatening to subpoena companies who do not comply. 

“More than one million small businesses have used the program exactly as intended, and by some estimates it has saved 30 million jobs. However, we also have multiple reports of companies abusing the program,” Rubio said earlier this month. 

Several large restaurant chains have disclosed that they received funding under the program. The Los Angeles Lakers disclosed on Monday that they returned a $4.6 million loan received under the program. 

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A group of Democratic lawmakers and advocacy groups are teaming up to push for federal funding to ensure affordable internet access nationwide in the next coronavirus stimulus package.

Sens. Richard Blumenthal (D-Conn.) and Ed MarkeyEdward (Ed) John MarkeyHillicon Valley: Privacy hawks monitor contact tracing projects | Strike planned at Amazon, grocery delivery companies | Lyft cutting nearly 1K workers Pompeo renews calls for China to provide US access to Wuhan labs Democratic lawmakers, advocacy groups push for affordable internet access in next stimulus package MORE (D-Mass.) and Rep. Nydia Velázquez (D-N.Y.) joined a dozen of the groups, including Common Sense Media and Demand Progress, in a livestream Wednesday to make the case for new funding.

“We have a digital divide in this country, there’s no question about it,” Blumenthal said.

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“In Connecticut, I hear about it literally every day because of this pandemic. The need for online learning at home has heightened and highlighted that digital divide — it is a disparity that is unjust and deeply unwise for America because we are depriving ourselves of significant talent that is very simply shut out of our economy and our society.”

“The coronavirus pandemic has shone a bright light on the homework gap experienced by the 12 million students in this country who do not have internet access at home, and are unable to complete their homework,” Markey added.

The dozen groups jointly delivered more than 110,000 petition signatures to Congress Wednesday urging for access to the internet to be guaranteed in the upcoming funding package.

“The cost of broadband is so high and the broadband-providers’ policies are so discriminatory that even before the crisis began and millions lost their sources of income, more than one-fifth of households nationwide didn’t have home internet,” reads one of the group’s petitions.

In a separate effort Wednesday, 218 advocacy and industry groups sent a letter to congressional leadership making a similar ask.

“Like food, water, and electricity, everyone needs broadband internet service during this unprecedented crisis,” the groups wrote. “That is why Congress must include policies that support broadband availability, including increased funding for adoption, network sustainability, and deployment for areas still lacking access, in upcoming stimulus packages.”

Wednesday’s letter, petitions and livestream come amid rising pressure from Democrats to include broadband funding in the next coronavirus package.

The first package passed by Congress last month included $125 million for the Rural Utilities Service, but advocates say much more support is needed to close large gaps in connectivity.

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Happy Wednesday and welcome back to On The Money. I’m Sylvan Lane, and here’s your nightly guide to everything affecting your bills, bank account and bottom line.

See something I missed? Let me know at slane@thehill.com or tweet me @SylvanLane. And if you like your newsletter, you can subscribe to it here: http://bit.ly/1NxxW2N.

Write us with tips, suggestions and news: slane@thehill.com, njagoda@thehill.com and nelis@thehill.com. Follow us on Twitter: @SylvanLane, @NJagoda and @NivElis.

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THE BIG DEAL— US economy contracts at 4.8 percent rate, most since Great Recession:

The U.S. economy shrank by an annualized rate of 4.8 percent in the first quarter of 2020 as the coronavirus pandemic forced millions of Americans out of work and thousands of businesses across the country to shutter, according to data released Wednesday by the Commerce Department.

U.S. gross domestic product (GDP) fell at a yearly rate of nearly 5 percent since the first quarter of 2019, according to the advance estimate from the Bureau of Economic Analysis (BEA) amid the economic devastation caused by the pandemic and the desperate measures to contain it.

• The first quarter of 2020 is the first quarter of negative GDP growth for the U.S. since the same period in 2014, and the worst quarter of GDP growth for the U.S. since 2009.
• The first-quarter drop in GDP was driven by the millions of layoffs and business closures that occurred under social distancing orders from local governments and guidelines suggested by President TrumpDonald John TrumpTrump says China ‘will do anything they can’ to keep him from being reelected Teachers union blasts Trump administration for ‘bluster and lies,’ and for suggesting schools should ‘open soon’ Top Trump policy adviser Joe Grogan to leave post MORE.

“This led to rapid changes in demand, as businesses and schools switched to remote work or canceled operations, and consumers canceled, restricted, or redirected their spending,” wrote the BEA, warning that “the full economic effects of the COVID-19 pandemic cannot be quantified in the GDP estimate for the first quarter of 2020.”

I break down the data here.

Strong economy falls apart: More than 26 million Americans have filed new applications for unemployment benefits since mid-March, according to the Labor Department, likely pushing the jobless rate from 3.5 percent in February to above 20 percent in April. Thousands of businesses across the country are facing financial peril or bankruptcy after being forced to close or limit operations for months.

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• Consumer spending, which powers roughly two-thirds of GDP, sunk at an annualized rate of 7.6 percent in the first quarter. 
• Spending on durable goods such as appliances, electronics and furniture sunk 16.1 percent, while spending on food, cleaning products and other short-use purchases rose 6.9 percent as Americans stocked up.

Economists are bracing for a plunge in GDP growth of roughly 30 percent annualized in the second quarter, which spans April to June and covers the likely peak of COVID-19 cases. 

“Today’s first quarter numbers are just the deeply unappetizing appetizer,” wrote Ian Shepherdson, chief economist at Pantheon Macroeconomics, in a Wednesday research note.

LEADING THE DAY

Powell urges Congress to unleash ‘great fiscal power’ to defeat coronavirus, repair economy: Federal Reserve Chairman Jerome Powell said Wednesday that now is “not the time” to let otherwise “serious concerns” about the rising national debt limit the federal government’s efforts to cushion the economic blow of the coronavirus pandemic.

During a Wednesday press conference, Powell urged lawmakers to unleash the “great fiscal power” of the U.S. to defeat COVID-19 and repair the economic devastation it has caused across the country.

“The time will come again, and reasonably soon, where we can think about a long-term way to get our fiscal house in order, and we absolutely need to do that,” said Powell, a Republican seen as moderate who urged Congress to cut spending before the pandemic decimated a record stretch of economic growth.

“This is not the time to let that concern — which is a very serious concern — but to let that get in the way of us winning this battle,” he added. I have more on his call for fiscal stimulus here.

• Powell’s call to action comes as some Republican lawmakers grow increasingly weary of further spending and worry about the trillions of dollars added to national debt by the federal government’s fight against the pandemic.
• Congress is expected to approve a fifth coronavirus relief bill sometime before Memorial Day, but some GOP lawmakers, including Senate Majority Leader Mitch McConnellAddison (Mitch) Mitchell McConnellOn The Money: US economy contracts at 4.8 percent rate, most since Great Recession | Powell urges Congress to unleash ‘great fiscal power’ to defeat coronavirus, repair economy | IRS gets coronavirus payments out quickly but imperfectly Feinstein to McConnell: Cancel plan to bring Senate back amid coronavirus pandemic 10 things to know about coronavirus for today MORE (R-Ky.), have warned about the fiscal implications of increasing the $24 trillion national debt.

Even so, Powell said that further fiscal aid could be essential to a successful rebound from the economic downturn caused by the pandemic, warning against the consequences of doing too little, too late.

“This is the time to use the great fiscal power of the United States to do what we can to support the economy and try to get through this with as little damage to the longer-run productive capacity of the economy as possible,” Powell said.

In a nutshell: This is about as directly as Powell can ask Congress to pass another fiscal stimulus bill and urge congressional Republicans, who generally regard him well, to put aside their mutual concerns about the national debt. The Fed says it’s doing all it can and is asking Congress to do the same.

Read more: Fed holds rates near zero as economy reels from coronavirus

IRS gets coronavirus payments out quickly but imperfectly: In the month since President Trump signed a record $2.2 trillion coronavirus relief package, the IRS has been scrambling to implement key aspects of the measure at a time when most Americans are desperate for government aid.

• The IRS has won praise from experts for its ability to start implementing the law quickly, but its work hasn’t been perfect. 
• The agency has been a source of frustration for tens of millions of Americans who are still awaiting their direct payments from the CARES Act that was signed into law on March 27.

Those familiar with the inner workings of the IRS say the agency deserves some credit, especially since it has had to carry out the law’s provisions during tax-filing season and while most of its employees have been directed to work remotely due to the pandemic.

“I think it’s a minor miracle that the IRS has been able to pull off any payments that have gone out,” said Nina Olson, the former national taxpayer advocate who now is executive director of the Center for Taxpayer Rights. The Hill’s Naomi Jagoda explains why.

Beleaguered agency faces monumental task: The IRS has long faced challenges, namely old technology systems and a budget and workforce that is much smaller than it was a decade ago. But in just the past six weeks, the pandemic has prompted changes to the agency’s normal operations and practices, from extending the tax-filing season to closing its offices.

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GOOD TO KNOW

• The Dow Jones Industrial Average closed up 532 points, or 2.2 percent, on Wednesday, as studies showed promise for a coronavirus treatment and the Federal Reserve vowed to keep interest rates near zero through the crisis.
• The Small Business Administration (SBA) on Wednesday briefly closed applications for its popular emergency coronavirus loan program to all but some of the smallest U.S. lenders, infuriating a number of bank industry advocates.
• With most rent and mortgage checks due Friday, progressives are pushing for an immediate moratorium on housing payments to ease the economic burden of the coronavirus pandemic.
• Half of Americans in a new poll say they or someone in their household has been financially impacted by the coronavirus pandemic, which has shuttered thousands of businesses across the country and forced millions into unemployment.
• Workers at Amazon, Whole Foods, Instacart and Shipt say they will walk off the job Friday in protest of their employers’ failures to protect them during the coronavirus pandemic.
• Democrats are seizing on Senate Majority Leader Mitch McConnell’s (R-Ky.) suggestion that states should be able to declare bankruptcy as the party looks to bring his Kentucky seat into play.

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