Whoopi Goldberg face à la justice

A compter du 23 septembre prochain la chaîne NBC diffusera la 17e saison de la série New York Unité Spéciale au casting de laquelle figurera Whoopi Goldberg.

C’est la chaîne NBC elle-même qui a annoncé la bonne nouvelle pour les fans: Whoopi Goldberg sera de retour dans une fiction du petit écran dès cet automne. Aux Etats-Unis en tous cas, car de notre côté de l’Atlantique, il faudra attendre un peu plus longtemps pour la diffusion de l’épisode de New York Unité Spéciale dans laquelle la comédienne a été invitée.

Whoopi Goldberg incarnera Janette Grayson, une responsable de l’aide sociale à l’enfance qui fera l’objet d’une enquête judiciaire suite à de nombreux problèmes dans son service. Plus habituée aux rôles comiques, ce ne sera pourtant pas une première pour l’actrice de 59 ans, puisqu’en 2006 elle avait déjà fait une apparition en tant que guest dans une série de la franchise Law & Order dont fait partie New York Unité Spéciale.

L’actrice jadis abonnée aux films à succès tels que La Couleur Pourpre qui lui a valu plusieurs prix en 1985 ou Sister Act en 1992, continue sa carrière au cinéma avec des prestations plus discrètes, quoi qu’elle ait figuré au casting des Tortues Ninja l’an dernier. Côté télé, elle a joué dans de nombreuses fictions y compris dans des séries bien connues chez nous telles qu’Une nounou d’enfer ou plus récemment dans plusieurs épisodes deGlee. Mais depuis dix ans, c’est dans le talk show The View qu’on la voit régulièrement, elle y est chroniqueuse.

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Nadine Morano : « Je ne suis pas très diplomate avec Monsieur Bedos »

Invitée samedi soir de l’émission On n’est pas couché sur France 2, Nadine Morano a réagi à la bataille judiciaire qui l’oppose à Guy Bedos.

«Je n’ai jamais entendu une femme humoriste traiter un responsable politique de ‘salaud’ ou de ‘connard’». Les propos de Nadine Morano ont le mérite d’être clair. Invitée samedi soir sur le plateau de On n’est pas couché, la députée européenne est revenue sur son procès avec Guy Bedos. Loin de l’image nerveuse qu’elle peut parfois renvoyer, la candidate à la présidence des Républicains a simplement déclaré à son sujet : «Je ne suis pas très diplomate avec Monsieur Bedos».

Si Laurent Ruquier a tenté de minimiser la teneur du terme ‘connasse’ dans la bouche de l’acteur – connu pour son humour acerbe -, Nadine Morano a quant à elle dénoncé la valeur sentimentale de ce mot. «Vous savez, si on insulte votre mère de salope ou de connasse, je ne sais pas si ça vous fera plaisir, explique alors l’intéressée à l’animateur. Cela s’est passé dans ma ville et ça a suscité une violence intérieure profonde chez mes enfants. La presse était présente et, dès le lendemain, il y avait des articles et on me demandait ce que j’allais faire». Expliquant qu’elle ne faisait pas de la politique «pour être insultée», l’ancienne Secrétaire d’État chargée de la Famille a déclaré devoir «mériter le respect et la dignité». «Dans ce cas-là, il ne faut pas faire de politique» lui lance alors Léa Salamé, applaudie par le public. Avant d’ajouter : «Le monde politique est dégueulasse, violent. Les hommes politiques en prennent dans le visage toute la journée».

En revanche, Nadine Morano a semblé à court d’arguments au moment où Laurent Ruquier lui a rappelé l’exemple du «casse toi pauvre con» lancé par Nicolas Sarkozy il y a quelques années. Cette dernière a juste évoqué les «regrets» du mari de Carla Bruni sur ses propos dans cette affaire.

Nicolas Bedos poursuivi en justice pour injure raciale

Nicolas Bedos va une nouvelle fois être entendu par la justice. Lundi, l’acteur a été poursuivi devant le tribunal correctionnel de Paris par une association. Cette dernière accuse notamment l’humoriste d’avoir tenu des propos à caractère raciste.

Père et fils, même combat. Il y a deux semaines, Guy Bedos avait défrayé la chronique au moment de son procès avec Nadine Morano. L’humoriste était notamment poursuivi pour avoir traité la femme politique de «conne» durant un spectacle. Désormais, c’est au tour de Nicolas Bedos de répondre de ses propos devant la justice. Selon 20minutes, l’acteur a été attaqué ce lundi par l’association CollectifDom devant le tribunal correctionnel de Paris pour des chroniques publiées dans Marianne en décembre 2012.

Dans l’un de ses textes, l’écrivain de 35 ans était notamment revenu sur le récit de ses vacances aux Antilles. Le chroniqueur avait évoqué sa rencontre avec un chauffeur de taxi local prénommé Gilles. «Un génie, merveilleux produit de l’indolence insulaire, qui manie si bien la langue française qu’il fait frissonner mon clitoris lexical» reconnaissait d’ailleurs ce dernier, avant de conclure sa diatribe en remerciant cet «enculé de nègre». Une déclaration raciste pour l’association. «La notion d’indolence a chez nous une signification particulière. Elle renvoie à celui qui ne ressent pas la douleur des coups de fouet» a expliqué Daniel Dalin, président du collectif, selon des propos relatés par le Point. Un point de vue que réfute l’avocate du comédien. «Ce que Nicolas Bedos a voulu précisément faire, c’est combattre le racisme» a d’ailleurs déclaré Me Lauranne Favre, précisant au passage que le discours sur le chauffeur de taxi était un clin d’œil au Candide de Voltaire. A noter que Nicolas Bedos n’était pas présent à l’audience. En attendant le délibéré, prévu le 10 novembre prochain, le compagnon de Doria Tillier se retrouve interdit de séjour en Guadeloupe.

Crédits photos : STEPH / VISUAL Press Agency

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Andy Warhol et les femmes: cherchez la mère

C’est l’histoire d’un petit garçon fragile, choyé par une drôle de maman, qui rêvait d’être une icône. La proximité des femmes, toute sa vie, permit à Andy Warhol de suspendre ses propres désirs, de les sublimer dans la peinture ou le cinéma, et finalement de réaliser son grand projet: devenir lui-même une oeuvre d’art.

Sur les photos, la ressemblance est saisissante. Il porte le nom et le prénom de son père, pourtant Andy Warhol, né Andrew Warhola, est bien davantage le fils de sa mère Julia, descendante de paysans ruthènes, immigrée à Pittsburgh, Pennsylvanie, au début des années 1920. Le benjamin de trois garçons est un gosse fragile et complexé, accroché aux jupes de sa mère. Une maladie nerveuse – la danse de Saint Guy – le contraint, à partir de 9 ans, à passer le plus clair de son temps alité, aux bons soins de sa maman. Julia est une femme drôle, superstitieuse et excentrique, vivante et bavarde. Dans l’intimité de cette chambre de la maison familiale, elle devient la première assistante de son “Andek”, et lui un véritable enfant-roi. Depuis toujours, elle fabrique toutes sortes de petites sculptures, dessine, chante: Andy s’inspirera de ce savoir-faire maternel lorsqu’il choisira de peindre des objets du quotidien, en premier lieu les boîtes de soupe Campbell de son enfance. Leurs rapports, nourris d’admiration mutuelle, sont si fusionnels qu’elle lui lancera même un jour: “Je suis Andy Warhol!”

“S’il ne fait aucun doute qu’elle était à la colonne vertébrale d’Andy, sa plus grande fan et sa force, écrit Victor Bockris dans sa biographie parue en septembre aux éditions Globe, la façon dont elle s’introduisit dans son oeuvre – c’est elle qui calligraphiait ses illustrations – allant même jusqu’à signer à sa place, semble avoir créé beaucoup de confusion”. Confusion, le mot est faible: “Toute sa vie, il a porté des médailles religieuses qu’elle cousait dans ses sous-vêtements” souligne la journaliste et auteure Brigitte Kernel, qui a psychanalysé Warhol dans Andy (Plon). L’écrivain Robert Heide, qui collabora avec lui, décrit une “présence étrange et envahissante”: elle vivra plus de 20 ans à ses côtés.

Quand il finit par retourner à l’école, le petit garçon sage et précoce ne sympathise qu’avec des filles. Avec sa première camarade de classe, Margie Girman, il se réfugie dans les salles de cinéma, “point de contact, explique la philosophe Mériam Korichi dans une biographie rééditée cet automne, “avec le rêve, le mythe, l’Olympe et les dieux modernes: les grands studios d’Hollywood et les stars (… et avec) un nouveau support artistique: l’écran.” Son premier coup de coeur? Shirley Temple, découverte dans Pauvre petite fille riche, en 1936, première d’une pléiade d’idoles, qui compte Judy Garland, Marlene Dietrich, Jackie Kennedy ou Liz Taylor. Il lui écrivit la première d’une longue série de lettres de fan enamouré. Très tôt, Warhol vit dans le cinéma un échappatoire et tomba amoureux d’images de femmes, peut-être car elles accrochent bien la lumière et incarnent la célébrité dans ce qu’elle a de plus glamour. A Carnegie Tech, à Pittsburgh, où il décroche son diplôme des Beaux-Arts, il est la coqueluche d’une bande de filles dont une partie s’installe avec lui à New York dès 1949. Un cliché pris par l’une d’entre elles, Leila Davies – qu’il appelle “maman” – les montre mangeant des glaces devant leur immeuble sous une bannière: “NOUS AIMONS NOTRE MAMAN.”

Jeune illustrateur talentueux, il séduit les rédactrices en chef des magazines de mode, comme Glamour, qui publiera son premier dessin. Sa directrice artistique, Tina S. Fredericks, dont Mériam Korichi rapporte les propos, raconte que “la première fois qu’elle le vit, elle le trouva pâle et boutonneux: ‘il semblait d’une seule couleur: blouson pâle, fins cheveux pâles, yeux pâles’”. Warhol, qui acheta sa première perruque à 25 ans, fut toute sa vie complexé par son apparence physique. Il faut sans doute y voir la source de sa fascination pour la beauté plastique, et pour la capacité du cinéma et de la culture populaire, dans l’Amérique des années 50 et 60, à la célébrer à travers une puissante iconographie: “Ce qu’analyse le pop art, décrypte Hervé Vanel, commissaire de l’exposition Warhol unlimited, c’est le pouvoir des médias de masse à créer des existences à travers des images, des existences sans coeur et sans essence.” Et tel fut son projet, tout entier contenu dans cette phrase de l’artiste: « Si vous voulez tout savoir sur Andy Warhol, regardez simplement la surface de mes peintures, de mes films et de moi-même. Je suis là. Il n’y a rien derrière. » Rien, et donc sûrement pas un individu pensant, jugeant, ressentant – il affirme dans une interview qu’il préférerait vivre sans émotion et sans sensation. Que cette déclaration relève de l’angoisse ou de la posture, Warhol battait en brèche “une représentation traditionnelle de l’artiste exprimant une part souffrante de lui-même”, souligne Hervé Vanel. Il chercha à disparaître derrière son oeuvre, à gommer son individualité et ses désirs. Un subterfuge pour ce garçon efféminé qui répugnait au contact physique? On le croit volontiers à la lecture de cet extrait de sa Philosophie de A à B: “Le travail le plus difficile, après le fait d’être vivant, c’est d’avoir des rapports sexuels. Etre sexué est un dur labeur.” Alors ses pulsions, Andy les a sublimées tout au long de son parcours artistique: « L’amour fantasmé vaut bien mieux que l’amour vécu, a-t-il encore écrit. Ne pas passer à l’acte, c’est très excitant. »

Aspirait-il à une forme de neutralité dans une société idéale où les frontières entre les genres auraient disparu, et d’où la norme serait absente? Il n’est pas absurde d’éclairer de cette manière le goût de Warhol – symptomatique d’une époque, s’il l’on pense à Bowie par exemple – pour le travestissement. Lui-même s’est souvent photographié en drag queen avec maquillage, perruque et pose artificielle, et a porté aux nues – et au nu – ses travestis préférés, Candy Darling ou Jackie Curtis, dans lesquels il voyait les “archives ambulantes de la féminité idéale de star de cinéma.” Homosexuel assumé ou pas, “il y avait dans l’attitude de Warhol, analyse Mériam Korichi, une rupture radicale avec les valeurs viriles de l’abstraction lyrique représentée à l’époque par Pollock.” Son ambitieuse Factory constitua le lieu expérimental et éphémère où furent finalement abolies les frontières entre l’art et la vie. Un espace recouvert de papier alu et de peinture argentée – comme “dématérialisé” – où le petit garçon fantaisiste se fait magicien. Il y met en scène dans des films expérimentaux et féroces, souvent pornographiques, qui traitent de déception sexuelle et de frustration, ses très nombreuses “superstars”, Edie Sedgwick, Nico, Ultra Violet, Viva, autant de muses qu’il exhibe également dans les soirées mondaines. Jamais à une excentricité près, il choisit, en 1966, Julia comme “superstar” d’une bobine la filmant dans son quotidien domestique en star vieillissante supposée avoir eu pléthore d’anciens maris.

Il s’est toujours entouré de figures maternelles à admirer, auxquelles s’identifier

Car l’ambiguïté – la complexité, plutôt – de Warhol, c’est qu’il était, dans la vie, entouré de femmes fortes et indépendantes: sa mère, évidemment – on ne pouvait pas faire moins glamour – sa copine Brigid Berlin (dite Polk), avec qui il passait des heures à bavarder, ou son assistante Pat Hackett. Elle raconte lui avoir un jour demandé s’il envisageait de voir un psy, à quoi il aurait répondu: “Je n’en ai pas besoin, je t’ai, toi.” ”Warhol a peut-être inventé le mythe de l’homosexuel avec sa cour féminine” avance le psychanalyste Jaïs Azoulay. En tout état de cause, l’éternel petit garçon, qui se décrivait lui-même comme “une poule mouillée. Non, un fils à maman” s’est toujours entouré de figures maternelles à admirer, auxquelles s’identifier, avec lesquelles tisser des liens aussi étroits et bizarres que ceux l’attachant à Julia. Dans les années 60, au sommet de la gloire, il se pavane avec ses copines célèbres, Liza Minelli, Bianca Jagger, Grace Jones, traîne dans son sillage des filles superbes sur lesquelles il exerce un indéniable pouvoir d’attraction. Mais un jour de mai 1968, Valerie Solanas vint amocher ce fantasme: elle entra à la Factory et tira sur son démiurge, hurlant qu’il “contrôlait sa vie”. Cette fille, qu’il avait fait tourner dans l’un de ses films, prétendait ne pas parvenir à récupérer un manuscrit envoyé à Warhol. Cette tentative de meurtre le traumatisa longtemps. L’éditeur de Solanas, Maurice Girordias, aurait eu ce mot incroyable: “Elle aurait pu choisir un oppresseur mâle plus représentatif qu’Andy Warhol”.

Car dans le fond, il manipulait moins les femmes qu’il ne leur proposait de participer à son ambitieuse entreprise artistique. Warhol, ou une vie entière à sublimer ses pulsions dans son oeuvre, à jeter sa libido entière dans son travail: “C’est sans doute ce qui fait de lui un immense artiste” estiment en coeur Mériam Kerichi et Jaïs Azoulay. “J’ai toujours voulu, prétendit Warhol, modeler ma vie à l’image de l’Hollywood vide et vacant. (…) Je trouve que moins on cherche à dire, plus on s’approche de la perfection..” Andy, gosse mégalo choyé par sa mère, se prenait pour un demi-Dieu. En l’entourant de leur attention, les femmes de sa vie lui ont permis de vivre à plein cette fable jouissive et subversive. “Tout le monde y a cru”, s’amuse le psychanalyste. Presque une religion, en somme, que cet Andy Warhol. N’avait-il pas formulé le voeu d’une tombe sans épitaphe, sur laquelle serait seulement inscrit: “fiction”?

Pratique: Warhol dans tous ses états

Deux expositions, une biographie et des rééditions en pagaille: c’est une rentrée en grande pompe pour Andy Warhol, disparu en 1987 à l’âge de 58 ans. Le Centre Pompidou-Metz relit son oeuvre à travers ses liens avec la scène underground new-yorkaise, en particulier le célèbre Velvet Undergound, tandis qu’avec “Warhol unlimited”, le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris expose notamment, pour la première fois en Europe, la série “Shadows”, 102 peintures composant une installation monumentale de 130 mètres de long. Les éditions Globe publient la traduction de la biographie très documentée de Victor Bockris – ex-directeur du magazine Interview, créé par Andy Warhol – et Gallimard réédite le passionnant ”Andy Warhol” de la philosophe et metteure en scène Mériam Korichi.

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Vidéo – Victoria et David Beckham, la main sur la sueur

Chez les Beckham, la valeur de l’effort sportif est primordiale. Quand l’ancien footballeur n’entraîne pas ses enfants, c’est sa femme qu’il accompagne au sport.

Suer ensemble est l’un des ingrédients secrets qui soude le couple que forment David et Victoria Beckham. À Los Angeles, où le duo réside de temps à autre, l’ancien footballeur et son épouse styliste ont été aperçus sortant de la salle de sport SoulCycle. Située en plein coeur de Beverly hills, cette salle est le lieu incontournable des stars sportives. David et Victoria Beckham sont toujours aussi inséparables, et même dans l’exercice physique!

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Vidéo – Patrick Bruel et Laurent Voulzy heureux chez Michel Drucker

A l’occasion du tournage de l’émission Vivement Dimanche, présentée par Michel Durcker, Patrick Bruel et Laurent Voulzy étaient de passage ce mercredi au Studio Gabriel, à Paris.

Le plateau de Vivement Dimanche n’aura bientôt plus de secret pour Patrick Bruel. Régulièrement invité du programme de Michel Drucker, le chanteur s’est rendu au Studio Gabriel, ce mercredi, pour le tournage d’une émission future. En pleine promo pour le film d’Anne Giafferi, Ange ou Gabrielle, le chanteur acteur a pris le temps de faire quelques selfies avec des fans présents sur place. Pour l’accompagner sur le célèbre canapé rouge, le grand fan du PSG a pu compter sur ses collègues Laurent Voulzy et Grand Corps Malade. Tahar Rahim était lui aussi de la partie dans une ambiance plus calme que celle des Panthers. Enfin, Bernadette Chirac était également de passage pour l’occasion. Fidèle à sa réputation, l’épouse de Jacques Chirac est apparue visage fermé, lunettes de soleil vissées sur la tête. Un gage de bonne ambiance sur le plateau.

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#LeDefiDeSophie: épisode 1

A partir de ce 4 novembre, à raison d’un épisode d’environ 4 minutes par semaine chaque mercredi, deux caméras suivent le quotidien de Sophie Favier, 52 ans. L’animatrice, qui débute le challenge à 79 kilos pour 1,68m, s’est fixé un objectif : perdre 15 kilos en trois mois avec l’aide de la nutritionniste Laurence Plumey et du coach des stars Jean-Pierre Clémenceau.

Comment attaquer la cinquantaine en restant belle et élégante et en gardant le moral tout en se délestant en douceur des kilos accumulés ? En renouant avec sa féminité, en respectant des règles alimentaires simples tout en conservant sa masse musculaire à coup d’entraînements réguliers. Mais aussi en s’amusant, en apprenant des recettes auprès d’un chef ou en se motivant avec des séances shopping. Le rêve de Sophie ? Se lancer dans une chorégraphie sensuelle au Crazy Horse pour les fêtes de fin d’année et achever sa transformation en janvier 2016.

Voici les recommandations pour la semaine 1 de cette aventure beauté-santé-forme #LeDéfiDeSophie

Côté alimentation:

Le Dr Laurence Plumey, auteur du Grand livre de l’alimentation aux éditions Eyrolles donne ses recommandations:

“C’est un suivi personnalisé par un nutritionniste qui permet de comprendre les mécanismes de l’alimentation. Les bonnes et les mauvaise habitudes, sont souvent liées à l’intime. Un entretien personnalisé permet de cerner les enjeus et les écueils. Il faut avoir plaisir à suivre un régime, c’est fondamental. Et être sure d’avoir une puissante motivation. Face aux tentations, c’est le seul rempart efficace.

Sophie est une grand gourmande à tendance grignotage, j’ai recommandé, pour elle, trois repas complets afin de limiter sa sensation de faim. Elle doit faire un bon petit déjeuner, un déjeuner équilibré, une petite collation l’après midi et un dîner léger.

Voici l’exemple d’une journée à 1200 Kcal pour débuter ce régime:

Au petit déjeuner : un yaourt aux fruits (édulcoré), un fruit, 2 krisprolls légèrement beurrés ou avec un peu de fromage, un thé (sans sucre).

Au déjeuner : une belle part de viande ( souvent du poulet) ou de poisson ou deux œufs, avec des légumes (cuits ou en crudités), une pomme et un yaourt aux fruits (édulcoré)

Dans l’après-midi : un ou deux fruits, en cas de faim

Au dîner : un bon bol de soupe (potage de légumes, bien épais et savoureux) ou un plat riche en légumes, un yaourt et un fruit.

Je lui ai demandé de boire environ 1,5 litre d’eau par jour, entre et pendant les repas – pour lui assurer un bon niveau d’hydratation.
Sophie est ravie, bien déterminée à continuer ! Ses séances de gym avec Jean Pierre Clémenceau complètent l’efficacité du régime. Elle se sent tonique car elle n’a pas de carences et préserve bien ses muscles en mangeant suffisamment par rapport à ses besoins.
Le début est donc très encourageant ; je ferais ensuite évoluer son alimentation en fonction de sa perte de poids. A suivre …”

Côté sport :

Jean-Pierre Clémenceau, préparateur physique diplomé d’état, coach sportif des stars, nous explique l’exercice réalisé en Semaine 1 avec Sophie dans la web série.

« Le travail sur le psoas permet de gagner en aisance et mobilité. Cette partie du corps est reponsable de 30% des problèmes de dos. Il s’agit de le soulager et de travailler la motricité du bassin et sa souplessse, pour enlever les tensions dans l’abdomen.

On pose une jambe sur quelque chose de surélevé, un tabouret ou un lit. On fléchit le genou au maximum et on passe le bassin en avant au maximum sans jamais que le genou dépasse la cheville. La jambe placée derrière doit être tendue au maximum et reposer sur la pointe des pieds.

Je recommande de faire ce mouvement 30 à 40 fois trois fois par semaine. Et de s’arrêter en statique sur ce mouvement pour s’étirer environ 30 secondes trois fois de chaque côté. »

L’Europe pleure Helmut Schmidt

L’AFP nous a appris le décès d’Helmut Schmidt ce mardi 10 novembre en début d’après-midi. Une grande figure de la politique allemande que contemporains et successeurs saluent avec émotion.

Né à la fin de la première guerre mondiale, Helmut Schmidt a grandi dans cette Allemagne d’après-guerre, démunie face à la montée de la dictature. Appelé au front pendant la seconde guerre mondiale et fait prisonnier quelques jours avant la fin du conflit, il renonce à reprendre ses études d’architecture et préfère poursuivre en économie puis en sciences politiques. Le nazisme a laissé des traces indélébiles dans son histoire: il restera toujours très attaché à ses valeurs de gauche, en intégrant dès 1946 le parti social démocrate.

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En 1974, il devient chancelier allemand et reste aux commandes du pays jusqu’en 1982, faisant figure de père politique, fiable, solide et intelligemment inflexible. Véritable ouvrier de l’Europe moderne, son travail a été aussi reconnu qu’apprécié. Trente ans après la fin de sa carrière politique, roi de la punchline, Helmut Schmidt est resté une référence pour ses contemporains et pour ses successeurs, auprès de qui il a gardé un rôle officieusement consultatif.

A quelques heures de sa disparition, à Hamburg, près des siens comme il le souhaitait, les réactions sont déjà nombreuses. Angela Merkel a notamment évoqué une relation au-delà du travail, sans oublier toutefois de souligner l’importance de la place politique qu’il occupait: « Le respect s’est transformé avec les années en une affection de plus en plus profonde. Sa modestie impressionnait comme son sens du devoir. Helmut Schmidt était une institution politique de notre pays. Il était pour moi également une instance dont les conseils et les avis comptaient. »

François Hollande a quant à lui remercié l’ancien chancelier pour ses idées et ses actions fondatrices pour l’Europe que l’on connaît aujourd’hui. “Si l’Euro existe, nous le devons aussi à Helmut Schmidt qui avait préparé les choix qui ont été faits ensuite par François Mitterrand et Helmut Kohl. Un homme qui jusqu’à son dernier souffle a su prendre la parole, et notamment pour dire aux Allemands qu’ils avaient un rôle à jouer, qui était toujours de comprendre que c’était dans l’Europe et jamais au-delà et dans le sens où ils ne devaient jamais vouloir avec la France prendre une autre solution que l’amitié entre nos deux pays.” Valérie Giscard d’Estaing lui, n’a pas hésité à parler de “deuil personnel” en qualifiant Helmut Schmidt de “meilleur chancelier allemand”.

“Le Hobbit : la Désolation de Smaug” : un nouveau blog vidéo

Avec une régularité de métronome suisse, la production du second volet de “The Hobbit”, en salle en décembre prochain, vient dévoiler sur la toile un nouveau blog vidéo. Enjoy !

Avec une régularité de métronome suisse, la production du second volet de Le Hobbit : la Désolation de Smaug, en salle le 11 décembre prochain, vient de dévoiler sur la toile un nouveau blog vidéo. A réserver quand même aux plus anglophones d’entre vous. Enjoy !

Danse avec les stars, la finale repoussée

Mauvaise nouvelle pour les fans de Danse avec les stars: la finale du concours de danse a été reportée. Un numéro a été déprogrammé suite aux attentats du 13 novembre et le retard ne sera pas rattrapé ce qui conduit à un décalage de l’ultime émission prévue à l’origine le 18 décembre.

Le calendrier était parfait avec une finale de Danse avec les stars prévue le 18 décembre, permettant ensuite de passer aux programmes de fin d’année. Les attentats du 13 novembre ont eu pour conséquence la déprogrammation de l’émission prévue pendant le week-end, le samedi 14. Contrairement à ce qui se fait parfois lorsqu’un numéro saute, le retard est rattrapé par la suite ou bien la compétition saute une étape.

Pas cette fois. La saison 6 de Danse avec les stars comptera bien le nombre d’émissions prévus au départ ce qui oblige à repousser la grande finale qui devait se dérouler le 18 décembre. Ce soir-là, les candidats encore en lice s’affronteront en demi-finales. En revanche aucune date n’a été communiquée pour la finale étant donné que le week-end qui suit est celui de Noël traditionnellement réservé à d’autres programmes. Un choix devrait probablement être fait entre le vendredi 25 décembre et le samedi 26 décembre, tant pis pour les participants qui avaient prévu de partir à ce moment-là.

Ils sont encore sept candidats toujours en lice pour remporter cette sixième édition de Danse avec les stars: Veronic Dicaire, Fabienne Carat, EnjoyPhoenix, Priscilla Betti, Olivier Dion, Loïc Nottet et Vincent Niclo. L’un d’entre eux inscrira son nom au palmarès et succèdera à M.Pokora, Shy’m, Emmanuel Moire, Alizée et Rayane Benseti. Un bien joli cadeau de Noël en somme.