VIDÉO – « Olivier Véran n'a pas poussé franchement pour un reconfinement » : les coulisses de la décision d’Emmanuel Macron

Invité dans L’Info du vrai sur Canal + ce 1er février, David Revault d’Allonnes, rédacteur en chef du service politique du JDD, a tenté de décrypter la position d’Olivier Véran sur la dernière décision de l’exécutif, quant à la poursuite du couvre-feu.

Une surprise du chef qui a étonné tout le monde. Alors que de nombreux scientifiques et médecins recommandaient la mise en place d’un troisième confinement, Emmanuel Macron et son équipe en ont décidé autrement. Face à un ras-le-bol généralisé de la population, l’exécutif a préféré maintenir (du moins, provisoirement) un couvre-feu, assorti de nouvelles restrictions. D’abord alarmiste, le ministre de la Santé Olivier Véran – qui “encaisse le coup” de cette décision, selon RTL – s’est rangé du côté du chef de l’Etat. Dans les colonnes du Journal du Dimanche, il affirmait ce 30 janvier que l’on “pourra peut-être éviter la nouvelle vague”. Et d’ajouter : “Nous restons persuadés que les variants peuvent provoquer une vague majeure, mais leur circulation augmente moins vite qu’on le craignait”.

Invité dans L’Info du vrai sur Canal + ce 1er février, David Revault d’Allonnes, rédacteur en chef du service politique du JDD, a fait part de son analyse sur le ministre de la Santé, qu’il a pu interviewer. Je crois qu’Olivier Véran n’a pas poussé très franchement pour un reconfinement, estime-t-il. Selon le journaliste, c’est Jean Castex qui aurait voulu instaurer un isolement forcé face aux chiffres importants de contamination et à la présence menaçante des variants britanniques, sud-africains et brésiliens. Le pari est lancé, les ministres se sont mis derrière le président et sont un peu obligés de le suivre parce qu’ils sont, pour le coup, dans le même bateau”, poursuit David Revault d’Allonnes.

Ne pas reconfiner, un “gros risque” selon les médecins

“Le moindre jour de confinement qu’on peut éviter aux Français, il faut qu’on le prenne, c’est notre conviction”, avait ainsi fait savoir Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, sur BFM TV, deux jours après les annonces de Jean Castex. La décision de l’exécutif reste risquée, selon de nombreux spécialistes. Nous sommes tous d’accord pour dire qu’il a pris un risque. Un assez gros risque quand même”, alertait le Pr. Eric Caumes, chef du service de maladies infectieuses à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, face à Jean-Jacques Bourdin. Au niveau de Paris et de sa région, la situation demeure, par exemple, inquiétante. Nous sommes dans une phase ascendante de l’épidémie, a prévenu le spécialiste. Les prochaines semaines seront déterminante pour savoir si Emmanuel Macron et son équipe auront fait le bon choix.

Crédits photos : Capture d’écran – Canal +

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Procès en appel de Penelope et François Fillon : leur ligne de défense qui en fait trembler plus d’un

Le procès en appel de François Fillon, son épouse et son ancien suppléant à l’Assemblée Nationale dans l’affaire des soupçons d’emplois fictifs est fixé à novembre 2021. Dans l’ombre, l’ancien Premier ministre se prépare activement. Et sa ligne de défense pourrait bien hérisser les poils de certains…

Penelope et François Fillon seront bientôt de retour au tribunal. Leur procès en appel, ainsi que celui de son ancien suppléant à l’Assemblée Nationale, Marc Joulaud, dans l’affaire des soupçons d’emplois fictifs, doit se tenir du 15 au 30 novembre prochain, ont rapporté nos confrères de France Bleu ce mercredi 27 janvier. Comme lors de son procès en première instance, l’ancien Premier ministre va être jugé aux côtés de son épouse et de l’ancien maire de Sablé-sur-Sarthe, également mis en cause dans cette affaire. Si l’histoire se répète, le scénario ne devrait toutefois pas être le même. Depuis le confinement de novembre, qu’il a passé dans son manoir de Beaucé à Solesmes, François Fillon prépare activement son procès en appel. Début décembre, il confiait à nos confrères des Nouvelles de Sablé consacrer “beaucoup de temps” à sa défense. La ligne qu’il a prévu d’adopter devrait d’ailleurs en faire trembler plus d’un…

S’il ne tient pas à évoquer la peine qui a été requise contre lui, soit cinq ans de prison, François Fillon “regarde comment remettre les choses dans leur contexte.” Par cette phrase, il entend prouver qu’il n’était pas le seul à agir de la sorte. “En 1981, 80 % des élus travaillaient avec leur conjoint et avant que ce ne soit interdit, ils étaient encore 30 %. Une loi y a mis fin en 2017 et nous l’avons respectée, le contrat de collaboratrice de mon épouse s’est achevé en 2013″, martelait-il, auprès de nos confrères, en décembre dernier. À ses yeux, l’époux de Penelope Fillon ne doit pas être le seul à payer : “C’est un peu dur à avaler d’être le seul à affronter ce jugement”, estime-t-il, avant de souligner que les faits qui lui sont reprochés remontent à une autre époque. Il demande d’ailleurs à ne pas être jugé “avec le regard de 2020” : C’est une situation qui n’a rien à voir”, se défend-il.

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© Christophe Clovis / BestimageFrançois Fillon estime que son épouse Penelope et lui n’ont pas été “suffisamment puissants lors de la préparation de la première instance.”

François Fillon veut faire mieux

Si François Fillon se prépare en coulisses et fourbit ses armes en vue de son procès en appel, c’est parce qu’il sait qu’il va devoir convaincre le tribunal. “Nous n’avons pas été suffisamment puissants lors de la préparation de la première instance”, observe-t-il, avec le recul, auprès de nos confrères des Nouvelles de Sablé. Pour rappel, en première instance, François Fillon a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ferme, dans l’affaire des soupçons d’emplois fictifs. Son épouse Penelope a quant à elle écopé de trois ans avec sursis. Le couple, profondément marqué par le Penelope Gate, avait décidé de ne pas en rester là en faisant appel de leurs condamnations. La justice se montrera-t-elle plus clémente lors de leur procès en appel ? Verdict à la fin de l’année 2021.

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

Covid-19 : Laura Smet ironise sur… le nouveau test anal

Laura Smet, qui se tient loin des polémiques autour du coronavirus, a partagé un montage sur le nouveau test anal pour détecter la maladie. Sa façon à elle de souhaiter un bon week-end à ses abonnés.

Laura Smet, qui reste discrète sur les réseaux sociaux, aime bien de temps en temps partager un peu de son quotidien, de ses coups de gueule et de ses éclats de rire avec ses abonnés sur Instagram. Ce samedi 30 janvier, alors qu’elle est de retour sur Paris après quelques jours de repos, la fille aînée de Johnny Hallyday a partagé un drôle de montage sur un tout nouveau genre de test de dépistage du coronavirus. Un test anal, préféré en Chine au test nasal car jugé plus efficace.

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À cause de l’épidémie, l’année 2020 n’a été simple pour personne et l’arrivée de 2021, avec l’espoir redonné par le vaccin, promettait d’être moins désagréable… Force est de constater, avec ce test rectal, que tout ne se passe pas comme prévu. Laura Smet a ironisé sur la situation en partageant un montage où l’on voit un personnage se soumettre à un test PCR nasal sous une bannière “2020” et un autre, dans la case “2021”, faire le test anal. L’actrice de 37 ans s’est fendue d’un “Bonjour.” Et le point en dit long sur ce qu’elle en pense.

Capture d’écran – Instagram

2020, une belle année pour Laura Smet

Jusque-là, Laura Smet n’a pas été affectée par l’épidémie de coronavirus. Professionnellement, tout du moins, cela n’a pas mis un coup d’arrêt à ses projets. Elle a pu assurer la promotion de sa série La Garçonne, dont le tournage a eu lieu fin 2019, et la diffusion à la fin de l’été 2020. Mais surtout, l’an dernier, la sœur de David Hallyday avait d’autres préoccupations : mettre au monde son premier enfant. Son petit Léo est né en octobre. Elle a pu profiter de son deuxième confinement en pouponnant. Sur son petit nuage.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Veeren Ramsamy-Christophe Clovis / Bestimage

Meghan Markle menteuse ? Buckingham intervient sur le certificat de naissance d'Archie

Le 30 janvier dernier, les journaux britanniques révélaient que Meghan Markle avait effacé son prénom sur le certificat de naissance de son fils Archie. La duchesse était alors montée au créneau, soulignant qu’il s’agissait d’une demande “dictée” par le Palais. Buckingham Palace a tenu à réagir.

Nouveau rebondissement dans l’affaire du certificat de naissance du petit Archie. Le 30 janvier dernier, les journaux britanniques, et notamment le Daily Mail, révélaient que Meghan Markle avait modifié le certificat de naissance de son fils Archie un mois après sa venue au monde en mai 2019. Une information rapidement démentie par la duchesse de Sussex qui avait expliqué, par l’intermédiaire de son porte-parole, qu’il s’agissait d’une demande du Palais. Sauf que de son côté, Buckingham Palace nie catégoriquement avoir demandé à Meghan Markle de retirer ses prénoms rapporte le Daily Mail.

“C’était les propres aides du prince Harry et de Meghan au palais de Kensington qui avaient apporté les changements – et que cela n’avait rien à voir avec la reine ou son personnel,” a fait savoir une source royale à nos confrères. Et une autre de préciser au Mail Online : “Le certificat a été modifié par l’ancien bureau du Duc et de la Duchesse du Sussex. Il a été modifié pour assurer la cohérence du nom et du titre de la duchesse avec d’autres documents privés“.

© BestimageLe certificat de naissance d’Archie a été modifié en juin 2019.

Une modification qui laisse perplexe

Le 30 janvier dernier, les britanniques découvraient que Meghan Markle avait effacé son prénom ‘Rachel Meghan’ de l’acte de naissance de son fils Archie au profit de ‘Son Altesse Royale la Duchesse du Sussex’. Une modification qui avait fait jaser outre-Manche. Alors que certains y voyaient un clin d’oeil à la princesse Lady Diana, qui avait pour seule signature, ‘Son Altesse Royale la princesse de Galles’, d’autres y ont vu les prémices de leur départ tonitruant de la Firme quelques mois plus tard.

Ne supportant plus les attaques à son égard, Meghan Markle avait souhaité clarifier la situation. “Le changement de nom sur les documents publics en 2019 a été dicté par le Palais, comme le confirment les documents des hauts fonctionnaires du Palais” avait fait savoir la duchesse de Sussex par l’intermédiaire de son porte-parole, sans préciser toutefois de quel Palais il s’agissait. Reste que la mise au point cinglante de la duchesse de Sussex et le choix du verbe “dicter” par l’équipe de relations publiques américaine n’auraient pas franchement été appréciés par Buckingham Palace.

Crédits photos : Backgrid UK/ Bestimage

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Audrey Pulvar : qui est son père Marc Pulvar, accusé de pédophilie ?

Accusé de pédocriminalité par trois membres de sa famille, Marc Pulvar, mort en 2008 à 71 ans, était jusqu’alors encensé en Martinique. Le père d’Audrey Pulvar a marqué la vie politique locale pour son combat syndical.

Voilà encore la preuve que la parole se libère. Dans la foulée de l’affaire Duhamel ou encore Berry, de nouvelles accusations viennent relancer les débats sur les agressions sexuelles. Cette fois, c’est une personnalité un peu moins connue du grand public : Marc Pulvar, père d’Audrey, est accusé par trois membres de sa famille d’avoir été un “prédateur sexuel”. “A l’âge de 7 et 10 ans, nos routes ont croisé celle d’un homme, raconte la conseillère territoriale Karine Mousseau et ses cousines Barbara Glissant et Valérie Fallourd. C’était l’oncle de la famille, le favori, adulé déjà, par tous. Une confiance totale, qui dure encore aujourd’hui de manière posthume, et que nous avons décidé de briser, une fois pour toutes.

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Une volonté d’autant plus forte que Marc Pulvar est une personnalité encensée en Martinique. Professeur de mathématiques, le père d’Audrey a marqué le syndicalisme et la vie politique locale en créant la Centrale syndicale des travailleurs martiniquais. Tout en cofondant le mouvement La Parole au peuple, qui deviendra par la suite le Mouvement indépendantiste martiniquais. “En finir avec cette héroïsation du personnage, ne plus jamais lui rendre un quelconque hommage à l’avenir et, désormais, penser à lui comme il le mérite : Marc Pulvar, alias Loulou pour les intimes, était un prédateur sexuel”, dénoncent les trois femmes.

Un “leader charismatique”

Son décès, à la suite d’un cancer en 2008, avait ému la Martinique. Chaque peuple a ce que l’on appelle “des leaders charismatiques“, rappelait le militant Léon Sainte-Rose, lors d’une cérémonie hommage où anonymes et proches de l’activiste s’étaient retrouvés. Donc il faut qu’il y ait des personnes comme Loulou qui dessine la voie pour ceux qui viennent après, pour faire progresser le pays”. Durant l’hommage, Audrey Pulvar avait aussi salué le combat de son père, qui a lui a transmis le goût de la politique. Il vous a fait don de sa vie, a-t-elle dit sans pouvoir contenir ses larmes.

Egalement connu pour son engagement en faveur de l’écologie, la père de l’ex-journaliste avait été victime d’une tentative d’assassinat dans les années 70. Sur fond de combat syndical. “Il était tout le temps sur le terrain, au premier rang dans les grèves lorsqu’il fallait parfois affronter les policiers, avait raconté l’écrivain Raphaël Confiant. Si bien qu’un beau jour, il finit par se retrouver coincé entre quatre conteneurs sur le port de Fort-de-France où une bande de “dogs”, payés par les Békés, tentèrent de le tuer”. Marc Pulvar aurait alors riposté avec une arme à feu, avant d’être emprisonné pendant quatre mois.

Le soutien d’Audrey Pulvar

Tout ça n’a pas empêché Audrey Pulvar de réagir immédiatement aux accusations.J’ai été mise au courant des crimes commis par mon père, il y a une vingtaine d’années quand mes cousines nous en ont parlé”, a reconnu l’adjointe à la mairie de Paris. Cela a été un choc très profond pour mes proches et moi. Tant qu’elles ne souhaitaient pas s’exprimer publiquement, ce n’était pas à nous, à moi, de nous substituer à leur parole de victimes.” L’amie d’Anne Hidalgo a ensuite exprimé tout son soutien aux membres de sa famille. “Elles sont en mesure et ont décidé de le faire aujourd’hui : je les soutiens pleinement et admire leur courage. Je souhaite qu’elles soient entendues et que leur parole soit respectée”, a-t-elle conclu.

Crédits photos : Capture TCI

« Une blague ! » : l'interview surprise d'Emmanuel Macron moquée au sein du gouvernement

Ce mardi 2 février, Emmanuel Macron a pris la parole, de manière inopinée, pour défendre la stratégie vaccinale de l’exécutif. Même les membres du gouvernement n’avaient pas été informés. L’un d’eux s’en amuse.

Personne n’attendait une prise de parole d’Emmanuel Macron. À la surprise générale, le président de la République s’est exprimé sur la campagne de vaccination au journal de 20h de TF1, ce mardi 2 février. “D’ici à la fin de l’été, nous aurons proposé à tous les Français adultes qui le souhaitent un vaccin”, a-t-il annoncé. Depuis le début de la crise sanitaire, le chef de l’État a multiplié les interventions, quitte à sortir des sentiers battus. Mais pas de grande prise de parole annoncée cette fois-ci. Emmanuel Macron a préféré jouer la surprise. Une intervention inattendue, au point que les membres du gouvernement eux-mêmes n’étaient pas au courant.

Dans les colonnes du Figaro, ce mercredi 3 février, un membre de l’exécutif s’est en effet amusé de cette prise de parole pour le moins inopinée. “J’ai découvert cette déclaration sur mon téléphone sur les coups de 21 heures, en allant dîner avec mon collaborateur après la réunion avec le Premier ministre”, a-t-il admis. Avant d’ajouter : “La blague ! Même si, après tout, le président parle quand il veut.” Pendant la prise de parole d’Emmanuel Macron, Jean Castex animait en effet sa traditionnelle réunion par visioconférence sur la gestion de crise sanitaire, à laquelle participaient les ministres, pris au dépourvus. L’une d’eux – qui a raconté à nos confrères avoir enfilé ses écouteurs pendant la réunion pour écouter Emmanuel Macron – ne s’est guère étonnée de son intervention. “C’est son ADN, on ne le changera pas. Il fait ce qu’il veut quand il veut”, a-t-elle remarqué.

Une seule personne dans la confidence

Gaspard Gantzer, ancien communicant de François Hollande à l’Élysée, a alors analysé cette prise de parole auprès du Figaro : “On retrouve le Macron de la campagne, agile, sur le ballon, cassant les codes.” Selon lui, “il ne s’embarrasse pas des convenances, au risque de bousculer les entourages politiques et les habitudes médiatiques”. En témoignent alors la seule caméra présente, la lumière aveuglante et le décor pour le moins minimaliste de l’entretien. Comme l’a relaté Le Parisien, Gilles Bouleau, présentateur de TF1, n’avait pas non plus envisagé cette intervention, non annoncée dans les titres. Seul Jean Castex aurait été dans la confidence, bien que tardivement.

Article écrit avec la collaboration de l’agence 6Medias

Crédits photos : Eliot Blondet / Pool / Bestimage

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« Je ne le supportais pas ! » : Hélène Rollès cash sur son acolyte Patrick Puydebat

Trente ans après le succès d’Hélène et les garçons, le couple formé par Hélène Rollès et Patrick Puydebat (Nicolas), cartonne toujours sur TMC dans Les Mystères de l’amour. Pourtant, entre eux, tout n’a pas toujours été rose.

Elle a connu des hauts et des bas, mais cela reste l’une des histoires d’amour les plus longues de la télévision française : celle d’Hélène et Nicolas, qui a fait rêver la génération Hélène et les garçons. Ce n’est pas sur leurs « mystères de l’amour », titre de la série de TMC où ils continuent à s’aimer, qu’Hélène Rollès et Patrick Puydebat se sont confiés, mais sur leur rencontre qui a bien failli mal tourner. Sur les plateaux de tournages de la sitcom à succès de TF1, les deux jeunes acteurs, qui étaient dans leur vingtaine, ont eu au départ bien du mal à s’apprivoiser. Leurs tempéraments très différents ont mis du temps à s’acclimater. « Je ne le supportais pas ! Je ne comprenais pas qu’il débarque sans apprendre son texte ou qu’il s’endorme pendant les prises. Il faisait perdre son temps à toute l’équipe », se souvient Hélène Rollès dans une interview croisée avec son acolyte à retrouver dans les colonnes de Télé Star, à retrouver en kiosque ce lundi 8 février.

« Je l’agaçais profondément. Hélène a toujours été très pro alors que j’étais une sorte de Zébulon », confirme dans le comédien qui incarnait Nicolas, Patrick Puydebat. Le récit d’un conflit de courte durée, car la série a pris les choses en main. « Comme c’est un vrai gentil, on a réussi à s’entendre. Je l’ai recadré et ça s’est arrangé », explique la comédienne et chanteuse de 54 ans. Ils se sont tellement bien entendus que la réalité a fini par rejoindre la fiction. À une époque, le couple de la télé l’a aussi été dans la réalité.

© Giancarlo Gorassini/BestimagePatrick Puydebat et Hélène Rollès au Divan du monde le 4 novembre 2014

D’amour ou d’amitié

« On a partagé quelques années de romance. Et c’était super », avait révélé l’interprète de Nicolas dans le documentaire Dorothée, Hélène et les garçons : Génération AB Productions diffusé sur TMC, mettant fin à près de 30 ans de suspense. « Nous étions des jeunes gens dans la fleur de l’âge, ensemble H24 alors forcément, il se passait des trucs », ajoute désormais dans les colonnes de Télé Star le comédien qui fêtera ses 50 ans le 12 juillet prochain.

Si leur histoire d’amour semble bien appartenir au passé, il réside entre eux une immense complicité. « Hélène fait partie de cette micro-poignée de gens en qui j’ai une totale confiance et que je peux réveiller au milieu de la nuit. Et c’est réciproque », confie Patrick Puydebat. Un sentiment de profonde amitié partagé par la principale intéressée. Tout est bien qui finit bien comme dans un épisode d’une série AB.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

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Crédits photos : Denis Guignebourg / Bestimage

Ivanka Trump : sa dernière soirée à la Maison-Blanche fait jaser

Selon de récentes informations de Vanity Fair, Ivanka Trump a passé une dernière soirée mouvementée à la Maison-Blanche. L’ex-première fille aurait tout fait pour sécuriser son avenir politique.

Tandis que Melania Trump fermait ses cartons, Ivanka Trump a profité de ses dernières heures en tant que première fille des États-Unis pour amorcer sa “résurgence politique” comme l’a récemment révélé Vanity Fair. D’après le magazine américain, la fille de Donald Trump a sécurisé tous les pardons, tout comme son père, dont elle estime avoir besoin pour son avenir depuis la Maison-Blanche. Et ce, la veille de l’investiture de Joe Biden. Parmi les plus chanceux ayant obtenu justice grâce à ses efforts, “quelques personnes emprisonnées pour des infractions non violentes relatives aux drogues, une femme reconnue coupable de blanchiment d’argent, fraude bancaire et électronique et autres délits financiers”, ainsi qu’un homme condamné pour avoir dérobé 43 millions de dollars dans le cadre d’une escroquerie par télémarketing.

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Et ce n’est pas tout. Un agent républicain du nom de Paul Erickson, jugé coupable de fraude électronique et de blanchiment d’argent après avoir escroqué des dizaines de personnes sur 5,3 millions de dollars, a également pu obtenir la clémence de la justice grâce à Ivanka Trump. Une longue dernière soirée (suivie d’un trajet en voiture jusqu’à la base aérienne Andrews Air Force pour le dernier vol présidentiel de son père), que l’épouse de Jared Kushner a préparé en amont lors de ses ultimes jours au 1600 Pennsylvania Avenue. L’ex-Haute conseillère a alors multiplié les réunions et les appels téléphoniques depuis “des bureaux vides de l’aile ouest” de la Maison-Blanche.”

© ITAR TASS / BESTIMAGEIvanka Trump et son père, Donald Trump, au sommet du G20 à Hambourg, le 8 juillet 2017

La désillusion reste possible

Person non-grata dans certains cercles new-yorkais et parias de Washington, Ivanka Trump a certainement conscience que ses rêves politiques seront difficiles à concrétiser. Car si les anonymes ne peuvent oublier ses quatre années au sein de l’administration de Donald Trump, les acteurs politiques américaines ne semblent pas impressionnés par ses projets. “Avant d’être élue sénateur, il y a les primaires républicaines”, lui a récemment rappelé Marco Rubio. La désillusion reste donc une menace pour celle qui a trouvé refuge dans l’îlot huppé d’Indian Creek, en Floride.

De son côté, et malgré la controverse, Donald Trump a discuté avec une poignée de conseillers d’une grâce préventive pour ses trois enfants aînés, dont Ivanka Trump fait partie, avant de claquer la porte de la Maison-Blanche. Si la nature de cette inquiétude reste floue, comme l’a rapporté le journal The New York Times, elle pourrait avoir un lien avec une enquête du procureur de Manhattan sur l’organisation Trump.

Crédits photos : Backgrid USA / Bestimage

VIDEO – Nagui : son clin d'oeil à sa belle-mère, la mère de Mélanie Page

Sur le plateau de l’émission Tout le monde veut prendre sa place sur France 2 ce mardi 16 février, Nagui a fait une petite confidence. A un candidat qui évoquait sa belle-mère, il s’est exprimé sur les liens qu’il entretenait avec la mère de sa femme, Mélanie Page.

Tendre confidence. Ce mardi 16 février, Nagui s’est laissé aller à quelques révélations sur sa vie privée. Les inconditionnels de l’émission Tout le monde veut prendre sa place diffusée sur France 2 le savent, le présentateur évoque parfois, au détour d’une conversation, sa vie de famille. Kévin, un candidat venu participer au jeu télé, a évoqué sa belle-mère. Travaillant dans l’évènementiel, il lui avait préparé une surprise sur le thème des Harley Davidson.

C’est bien de voir un gendre qui aime sa belle-mère, parce qu’il y a souvent le cliché du conflit entre la belle-mère et le gendre, et vous nous prouvez le contraire” a confié un Nagui très admiratif à son candidat. Et tous les téléspectateurs de se demander alors, quelles relations entretenaient le présentateur avec sa propre belle-mère. Ce dernier leur a alors livré un petit secret. “Je vous rejoins parmi ces gendres qui aiment leur belle-mère !” a-t-il déclaré. Une jolie attention qui devrait toucher en plein coeur la mère de Mélanie Page, son épouse.

© BALDINI / BESTIMAGENagui et Mélanie Page s’affichent régulièrement ensemble

Nagui et Mélanie Page : un couple très uni

Nagui et Mélanie Page se sont rencontrés en 2000. Après dix ans d’amour, le couple a décidé de se marier en 2010. Ensemble, ils ont eu trois enfants : Roxane, née en 2004, Annabel, née quatre ans plus tard puis Adrien, né en 2012. Le présentateur était déjà le père d’une petite Nina, née en 1997 de ses amours passées avec Marine Vignes. Discret dans un premier temps, le couple multiplie désormais les apparitions ensemble et n’hésite plus à clamer leur amour au grand jour. Mélanie Page est une épouse et une mère comblée, de quoi ravir la belle-mère de Nagui !

Crédits photos : Capture France 2

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Emmanuel Macron « va finir épidémiologiste », il épate au gouvernement

Emmanuel Macron a pris la décision de ne pas reconfiner. Si certains, à l’image d’un grand nombre de scientifiques, s’en désolent, au sein du gouvernement, on salue “le pari réussi” du président.

Ce mercredi 10 février, Emmanuel Macron donne un nouveau conseil de défense sanitaire, nous apprend France Inter. Et l’on y fait les éloges de sa décision de ne pas avoir confiné pour une troisième fois. “Il va finir épidémiologiste, plaisante un ministre. Les chiffres lui donnent raison. Le confinement, ç’eut été la solution de facilité, la mesure de confort.“Si on avait écouté tous les ‘Cassandre’, on serait en train de travailler avec nos enfants sur les genoux depuis trois semaines”, ajoute un autre participant. Visant ici la quasi-totalité des professionnels de santé, qui n’ont de cesse de rappeler que la situation demeure préoccupante.

Ce mercredi matin pourtant à l’ordre du jour de ce nouveau conseil, pas de reconfinement puisque les chiffres ne s’emballent pas. Le chef d’État, très agacé par les scientifiques, peut compter sur le soutien de son exécutif quant à sa gestion de la crise sanitaire. “Maintenant, nous sommes sortis de la zone de danger. Il nous a fait gagner au moins deux semaines, et s’il fallait reconfiner à cause des variants, les Français ne lui en feraient pas le reproche”, confie l’un des conseillers du pouvoir.

“Il est évidemment possible qu’on ne soit jamais reconfiné”

L’heure n’est donc pas au reconfinement et un sondage circule dans lequel deux tiers des Français (67%) saluent le pari du Président. “Il est évidemment possible qu’on ne soit jamais reconfiné”, a déclaré mardi matin le ministre de la Santé, Olivier Véran. “Tout est à peu près stable, certaines courbes repartent même à la baisse, explique un ministre. L’exécutif aurait donc trouvé “le bon dosage” ? À la communication, on préfère quand même rester sur ses gardes et ne pas s’emballer. Rappelons que le moral du pays n’est pas au beau fixe et que la situation actuelle – le couvre-feu de 18h – ne pourra pas durer éternellement.

Crédits photos : Romain Gaillard/Pool/Bestimage

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