VIDÉO – Manuel Valls ose une petite blague, Anne-Élisabeth Lemoine surprise

Invité de C à Vous ce lundi 29 mars, Manuel Valls a étonné Anne-Élisabeth Lemoine en dévoilant avec humour ses « talents » de chanteur. L’ancien Premier ministre est fan de Vianney.

Manuel Valls poursuit son marathon médiatique. Après avoir révélé qu’il avait été « agacé » par Emmanuel Macron à l’occasion de son passage à Matignon dans l’émission de Laurent Ruquier On est en direct sur France 2 ce samedi 27 mars, l’ancien Premier ministre de François Hollande a cette fois surpris Anne-Élisabeth Lemoine. On le connaissait homme politique, auteur puisqu’il est actuellement en peine promotion de son livre Pas une goutte de sang français publié aux éditions Grasset, mais ce sont ses talents de chanteur que l’ex-mari de la violoniste Anne Gravoin a dévoilés dans C à Vous sur France 5 ce lundi 29 mars. « Ce que je veux, très honnêtement, c’est qu’on me juge aussi (…) pour un homme qui chante… mal », a lancé Manuel Valls, provoquant le sourire communicatif d’Anne-Élisabeth Lemoine. Cela ne l’a pourtant pas empêché de finir la liste des aspects méconnus de lui.

Ayant souffert de l’image dure qu’il a parfois pu renvoyer, il souhaite désormais montrer un autre visage. « Un homme qui aime la vie », et qui connaît par cœur les répliques du film du Splendid Les Bronzés font du ski, a révélé l’animatrice. « Ne rentrons pas trop là-dedans », l’a coupée l’ancien Premier ministre. Un homme presque comme les autres aux goûts populaires : Blanche Gardin et Pierre Desproges en humour, Vianney, « un de ces jeunes chanteurs d’aujourd’hui » pour la chanson.

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Le fan du nouveau coach de The Voice n’est cependant pas allé jusqu’à chanter l’une de ses chansons sur le plateau de C à Vous. Tous ces plaisirs simples lui ont fait « un bien fou » après son échec à la primaire de la gauche en 2017. Manuel Valls avait alors décidé de « se réinventer ». « Ça a mis du temps de se réinventer, parce que je me suis senti mourir d’une certaine manière. J’étais cassé, j’étais brisé », a confié sur France 5 l’homme politique de 58 ans qui en a aussi profité pour révéler être fan de Gérard Depardieu.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Capture France 5

VIDEO – Nathalie Saint-Cricq s'en prend aux médecins « stars des plateaux »

Depuis le début de la crise sanitaire, les médecins sont omniprésents sur les plateaux de télévision. Une situation qui agace Nathalie Saint-Cricq qui, invitée de Jean-Marc Morandini sur CNEWS ce mercredi 31 mars, n’a pas épargné ces blouses blanches devenues en l’espace d’une année de véritables peoples.

Il faut les éviter“. Invitée de Jean-Marc Morandini sur CNEWS ce mercredi 31 mars, Nathalie Saint-Cricq n’a pas hésité à s’en prendre aux nombreux médecins présents quotidiennement sur les plateaux de télévision depuis le début de la crise sanitaire. Et de pointer le comportement de certains d’entre eux qui, selon elle, ne sont pas dignes de confiance.

Les gens qui ont toujours dit la même chose, ce sont des gens qu’on a tendance à croire un peu plus“, a ainsi expliqué l’éditorialiste politique, citant pour exemple le cas du professeur Flahaut, “qui n’a jamais changé son discours“. Et ce, contrairement aux “gens qui sont devenus des espèces de stars des plateaux“. Ils sont contents d’aller à la télé. Plus on dit des choses caricaturales, plus on est invité, déplore la journaliste qui estime qu'”ils ont tendance à en rajouter“. Des médecins qu’elle se refuse désormais à interviewer, tout comme ceux qui ont écrit des livres et qui sont devenus des peoples (…) ils sont grisés par les médias, ils ont envie d’en faire plein.

“Il y a des gens qui ont pris plaisir à la lumière”

Un avis tranché que partagent nombre de ses confrères, parmi lesquels Pascal Praud, exaspéré par l’omniprésence des épidémiologistes sur les plateaux télé. “Je m’interroge sur leur psychologie !”, lançait-il sur le plateau de L’heure des pros au début du mois de mars. Et d’ajouter, piquant : “Je vais vous dire, c’est une bataille de pouvoir ou d’influence, car il y a des gens qui ont pris plaisir à la lumière, ils sont très contents d’être là, et ils n’ont pas envie de rentrer dans leurs hôpitaux“. Des critiques dont ne font que peu de cas les principaux interessés qui, à l’image du Pr. Gilles Pialoux, estiment qu’il est de leur devoir de continuer de témoigner de la réalité du terrain.

Crédits photos : CNEWS

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Ça chauffe entre Rachida Dati et Anne Hidalgo : le maire de Paris se serait « mal comporté »

D’après Le Parisien, Anne Hidalgo et Rachida Dati se sont échangées plusieurs courriers cinglants. Il paraît bien loin le temps de la bonne entente entre les deux femmes.

Le torchon brûle entre Anne Hidalgo et Rachida Dati, comme le rapporte Le Parisien, ce vendredi 2 avril. Les deux femmes, qui étaient rivales lors des municipales de 2020, “se respectaient” rappelle une proche de la mère de Zohra à nos confrères, mais cette époque est révolue. “Hidalgo ne s’est pas bien comportée à certains moments pendant la campagne,” assure cette même source. Et cette animosité entre la maire de Paris et l’ex-Garde des Sceaux se traduit par des échanges très animés.

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Le journal a pu consulter des échanges par courriers entre Anne Hidalgo et Rachida Dati, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça balance. La première à attaquer est la femme de Jean-Marc Germain. Celle-ci a regretté, le 19 mars dernier, des incidents qui se sont déroulés quelques jours auparavant lors d’un vote sur la création d’une place en hommage à Claude Goasguen, ancien maire du 16e arrondissement. Anne Hidalgo a exprimé son ras-le-bol des interventions bruyantes et souvent “hors micro lors des réunions, surtout que c’était les femmes qui prenaient la parole. Il faut que l’égalité homme-femme soit respectée !

© Stephane Lemouton / BestimageLa maire de Paris, Anne Hidalgo accompagné de Emmanuel Grégoire est accueillie par Rachida Dati membre du parti Les Republicains (LR) et ancienne candidate aux élections municipales de Paris 2020, à son arrivée à la mairie de Paris pour la réunion du conseil de Paris qui l’élira officiellement après sa victoire aux élections municipales de Paris 2020. Le 3 juillet 2020

La réponse cinglante de Rachida Dati

Rachida Dati, qui à l’instar d’Anne Hidalgo ne veut pas dire si elle sera candidate à la présidentielle de 2022, a répondu à travers un courrier cinglant : “Dois-je vous rappeler que depuis des mois, votre majorité donne le spectacle de divisions profondes, avec cris et vociférations“. Bien décidée à exprimer son mécontentement, Rachida Dati va jusqu’à faire référence aux élus de la majorité, Christophe Girard et Pierre Aidenbaum, cités dans des affaires de violences sexuelles. “Ce climat nous amène à penser que les proclamations sur l’égalité femme-homme qui semblent vous tenir de credo ne servent qu’à faire oublier des atteintes graves à la dignités des femmes de la part d’élus qui font partie des piliers de votre majorité”, note celle qui refuse de prendre les ministres d’Emmanuel Macron au téléphone. Tranchant.

Crédits photos : Bestimage

Rania et Abdallah de Jordanie en danger ? L'ancien prince héritier accusé de complot et arrêté

Dans une vidéo, l’ancien prince héritier et demi-frère du roi Abdallah II a affirmé qu’il a été “assigné à résidence”. L’armée l’accuse de vouloir renverser le roi et son épouse, Rania.

Après la princesse Latifa, fille de l’émir de Dubaï Mohammed ben Rached al-Maktoum, c’est au tour de l’ancien prince héritier de Jordanie, Hamza Ben Hussein, d’embarasser la couronne. Dans une vidéo transmise à la BBC par son avocat, comme le rapporte Le Monde ce dimanche 4 avril, le demi-frère du roi Abdallah II a annoncé avoir été “assigné à résidencedans son palais d’Amman. Et pour cause, le fils du défunt roi Hussein et de la reine Noor de Jordanie aurait tenté un coup d’État à l’encontre de l’époux de Rania de Jordanie, sur le trône depuis 1999. Le général Youssef Huneiti, chef d’état-major jordanien, a démenti son arrestation dans un communiqué, relayé par Le Figaro. En revanche, il lui a été demandé “d’arrêter les activités qui sont exploitées pour cibler la sécurité et la stabilité de la Jordanie”.

Dans cette même déclaration, le commandant de l’armée a affirmé que “personne n’est au-dessus de la loi”. “La sécurité et la stabilité de la Jordanie passent avant tout. Toutes les mesures qui ont été prises l’ont été dans le cadre de la loi et après une enquête approfondie”, a-t-il ajouté. De son côté, Hamza Ben Hussein a nié les faits qui lui sont reprochés. Celui qui a été démis en 2004 de son titre d’héritier du trône par Abdallah, a affirmé ne faire “partie d’aucune organisation malfaisante” menée contre son pays. Néanmoins, il a tout de même exprimé ses regrets, relatés par Le Monde. Selon lui, il n’est plus possible d’exprimer son opinion ou de critiquer les autorités jordaniennes “sans être intimidé, harcelé ou menacé”. “Malheureusement, ce pays s’est enfoncé dans la corruption, dans le népotisme et dans la mauvaise administration, avec pour résultat l’anéantissement ou la perte de l’espoir”, s’est-il désolé, toujours dans cette même vidéo.

Une vingtaine de personnes arrêtées

Hamza Ben Hussein est, en tout cas, visé par une enquête après “la découverte de ce que des responsables du palais ont décrit comme un complot complexe et de grande envergure”, visant à renverser le roi Abdallah II, a-t-on appris par le Washington Post, ce dimanche 4 avril. Ces déclarations interviennent après l‘arrestation d’une vingtaine de personnes, parmi lesquelles un membre de la famille royale et un ex-conseiller de Abdallah II, Bassem Awadallah. Cette information, rapportée par l’agence de presse officielle Petra puis relayée par nos confrères américains, n’a pas été commentée par le palais royal jordanien.

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Article écrit avec la collaboration de l’agence 6Medias

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

VIDÉO – « J'ai aimé tous les jours » : Édouard Philippe concède qu'il aurait aimé rester à Matignon

Dans un entretien sur le plateau de 20h30 Dimanche, Édouard Philippe est revenu sur son départ de Matignon suppression. Qu’il gagne ou qu’il perde, l’ancien Premier ministre redevenu maire du Havre en juillet dernier, était sûr de partir.

Pas tout à fait un an après avoir reposé ses valises au Havre, Édouard Philippe est de retour sur le devant de la scène nationale, à la faveur d’un nouveau livre, Impressions et lignes claires (JC Lattès). À l’occasion de cette sortie en librairie, l’ancien Premier ministre a démarré un marathon médiatique, marqué par une étape au 20h30 Dimanche de France 2. Ce dimanche 4 avril, l’ex-chef du gouvernement s’est longuement exprimé sur le plateau de Laurent Delahousse, aux côtés de son coauteur Gilles Boyer. Une manière pour le prédécesseur de Jean Castex d’exprimer sa vérité sur ses trois ans passés à la tête de Matignon.

Dans cet entretien, Édouard Philippe est revenu sur les circonstances de son départ du gouvernement, dans un contexte où l’ancien édile du Havre briguait à nouveau son poste à la tête de la mairie, en juin 2020. “J’ai fait, début juillet, ce que j’avais indiqué très tôt au président de la République : dès lors que je remettais mon avenir politique en jeu, en me présentant aux élections municipales au Havre, il me paraissait logique de prévenir que quoi qu’il arrive – que je gagne ou que je perde – je lui remettrai ma démission immédiatement après le scrutin”, s’est-il souvenu.

Édouard Philippe serait bien resté à Matignon

Après trois années au cœur du réacteur, il était temps pour le couple exécutif de se séparer, une décision à l’origine d’Emmanuel Macron et non d’Édouard Philippe. “J’ai aimé tous les jours que j’ai passés à Matignon, avec le président de la République”, a-t-il poursuivi. Serait-il resté à la tête du gouvernement si le chef de l’État lui avait demandé de rester ? “Si le président de la République m’avait dit qu’on continuait avec cet esprit de 2017 […] je l’aurai fait, parce que je n’aurai pas dit au président de la République à ce moment-là… Mais j’ai voulu le mettre à l’aise, car il avait fait un autre choix.” Et d’ajouter : “Probablement le bon choix.”

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

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Crédits photos : Capture d’écran France 2

VIDÉO – La chanteuse Rose accro aux drogues dures raconte sa descente aux enfers

La chanteuse Rose s’est longtemps battue contre ses anciennes addictions, entre drogue et alcool. Sur le plateau de Ça commence aujourd’hui, elle a accepté de se confier sur ses années noires.

La musique ne soulageait pas ses maux. Et sous le feu des projecteurs, son sourire ne s’illuminait plus. Pour soigner son mal-être, Rose s’est d’abord noyée dans l’alcool, avant de sombrer dans la cocaïne. Mais ce qu’elle croyait être son “remède miraclel’a plongée dans une descente aux enfers. Une douloureuse période sur laquelle l’interprète de La Liste a accepté de revenir sur le plateau de Ça commence aujourd’hui, ce mardi 6 avril. Ses addictions l’ont empêchée de mener sa carrière comme elle l’aurait souhaité. “Honnêtement, je pense qu’il y a eu des gros ratés, a-t-elle raconté. J’ai des souvenirs d’émissions ratées, de moments où j’arrivais alors que je n’avais pas dormi de la nuit. Les maquilleuses n’arrivaient pas du tout à faire quoi que ce soit.”

Si les drogues dures ont un temps donné l’impression à Rose d’être “surpuissante”, la réalité l’a finalement rattrapée. “Quand on est dans cet état-là, on ne comprend pas trop. On est sur scène, on est aphone, s’est remémorée l’artiste qui avait fait le buzz en embrassant Maurane, en 2015. Avant d’admettre avoir “saboté pas mal de choses”. “J’étais dans la destruction de tout, des relations avec les gens… La destruction de tout ce qui était beau, tout ce qui aurait pu être beau”, a-t-elle ajouté. Depuis, Rose se bat pour ne pas être rattrapée par ses vieux démons. Un sevrage qui demande “un activisme de toi-même”, comme elle l’expliquait à Purecharts, en novembre 2019. “Facilement, tu peux te retrouver au bout du cinquième jour à regarder la pire série sur Netflix, et le sixième jour à te dire : ‘Bon, je vais me défoncer la gueule.’ C’est bien de s’en rendre compte et de revenir. Je sais ce qui fait que tu tiens ou pas”, a conclu la maman du petit Solal, à qui elle n’a jamais rien caché de son passé.

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Son fils l’a sauvée

Rose n’a jamais voulu enterrer ses errances passées et ses addictions destructrices. La chanteuse, enseignante de profession, les a toujours assumées. Ce, même devant son fils, âgé de 10 ans. D’ailleurs, c’est pour lui que la jeune femme a renoncé à cette terrible habitude. L’imaginer vivre sans sa mère, si la mort venait à la foudroyer, l’a particulièrement terrifiée, comme elle l’a racontée à Faustine Bollaert, devant les caméras de France 2. “Franchement, il y eu plusieurs épisodes d’hospitalisation, mais le déclic ça a été la vision de mon fils orphelin de maman quoi” a confié celle qui ne voulait pas paraître pour “la pire mère qui soit”.

Article écrit avec la collaboration de l’agence 6Medias

Crédits photos : Capture d’écran France 2

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William assomme son frère Harry de reproches : pas touche à la famille !

L’interview donnée par le prince Harry à Oprah Winfrey ne passe pas. Le prince William, en colère contre son cadet, l’accuse de faire passer sa notoriété avant la famille royale.

Le torchon brûle entre les princes William et Harry. Les deux frères, brouillés depuis des mois, n’en finissent plus de s’éloigner. L’interview explosive donnée par le prince Harry et Meghan Markle à Oprah Winfrey diffusée sur CBS reste encore en travers de la gorge du futur héritier du trône. Un déballage médiatique où le couple de Sussex n’a pas mâché ses mots contre la Firme. Inacceptable pour le fils aîné du prince Charles, qui a déjà commencé à faire du tri dans son entourage, et banni ceux qui se montreraient trop ouvertement enclins à soutenir le couple exilé aux Etats-Unis.

“William pense que Harry est devenu trop arrogant depuis qu’il a déménagé en Californie, que le succès et Hollywood lui sont montés à la tête” rapporte une source dans US Weekly, “Il l’a déjà accusé de faire passer la célébrité avant la famille après la grande interview”. Après cet entretien diffusé aux Etats-Unis, les deux frères auraient été en contact comme l’avait souligné la journaliste américaine Gayle King. Mais leurs discussions n’auraient abouti à rien.

© Lock Stephen/I-Images/ABACALes princes William et Harry, jadis si complices, semblent avoir coupé les ponts

Le prince Harry refuse de “se laisser commander” par son frère

Les deux frères, dont la relation déjà tendue s’envenime chaque jour un peu plus, devraient se retrouver cet été pour l’inauguration d’une statue dédiée à leur défunte mère, la princesse Diana. Si William “insiste” pour voir son frère avant l’évènement, Harry “refuse de le rencontrer” et “ne se laisse pas commander” affirme une source. Si le cadet refuse un tête à tête avec son frère, son aîné pourrait ne jamais lui pardonner un énième affront. “Si Harry se comporte mal le jour J ou, pire encore, ne se montre pas, William ne lui pardonnera jamais, jamais” souligne cette même source. Un terrain d’entente semble difficile à trouver.

Crédits photos : Jones Victoria/PA Photos/ABACA

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Mort du prince Philip : pourquoi a-t-il abandonné le nom Mountbatten ?

Le prince Philip est mort ce vendredi 9 avril. Suite à cette triste nouvelle, BFMTV a consacré une édition spéciale au duc d’Édimbourg. Présent à l’antenne, l’historien Jean Des Cars a expliqué pourquoi l’époux de la reine Elizabeth II avait abandonné son nom de famille.

Tout au long de sa vie, le prince Philip a fait de nombreux sacrifices. En devenant duc d’Édimbourg, celui qui est décédé ce vendredi 9 avril a renoncé à sa carrière, sa religion mais également à son nom de famille. “Le changement d’identité, c’est pour faire plus court et plus simple ?“, s’est interrogé un journaliste de BFMTV, alors que la chaîne a consacré une édition spéciale à l’époux de la reine Elizabeth II suite à sa disparition à l’âge de 99 ans. Présent en plateau, l’historien et spécialiste de la monarchie, Jean Des Cars, a expliqué pourquoi le prince Philip avait dû abandonner son nom de famille : “Si on prenait le nom de la dynastie avec du danois et de l’allemand dedans, c’était impraticable pour les Britanniques, a-t-il expliqué en préambule.

Comme l’a précisé Jean Des Cars à l’antenne de BFMTV, la monarchie britannique avait déjà du sang allemand dans les veines. En 1917, le roi George V a en effet pris la décision de renoncer au nom germanique de sa famille et de le remplacer par celui de Windsor : “On a donné Mountbatten, ce qui était un coup dur pour Lord Mountbatten qui a eu cette phrase qui a fait beaucoup de bruit : ‘Maintenant, la maison Mountbatten règne sur l’Angleterre.’ Il a fallu corriger un petit peu cela parce que ça a fait beaucoup de dégâts, étant donné qu’en 1917, le roi George V avait changé le nom germanique en Windsor parce que ça faisait un petit peu désordre de se battre contre l’Allemagne avec un patronyme allemand.

“Mountbatten-Windsor, c’était une solution juste”

À l’image du roi George V, l’époux de la reine Elizabeth II a lui aussi renoncé à son nom et celui de ses descendants. “Après avoir cherché tous les noms possibles, on s’est aperçus qu’il avait la nationalité britannique tout à fait naturellement”, a expliqué Jean Des Cars. Et de conclure : “Si vous voulez, Mountbatten-Windsor, c’était une solution juste.”

Comme l’a justement rappelé Ulysse Gosset, éditorialiste politique étrangère sur BFMTV, le duc d’Édimbourg a été “obligé de tout sacrifier” en épousant la reine. Et de souligner : “Avec le passé de certains membres de sa famille, beaucoup n’ont pas été invités au mariage en 1947, notamment les soeurs de Philip qui avaient épousé des Allemands devenus trop proches du nazisme.” Mais par amour, le prince Philip était visiblement prêt à accepter beaucoup.

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

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Mort du prince Philip : son conseil à William avant d'épouser Kate

Pilier de la monarchie britannique, le prince Philip a prodigué un conseil au prince William, dans le but de peaufiner son image de futur roi, avant qu’il n’épouse Kate Middleton. Une recommendation non suivie.

Dans l’ombre de Sa Majesté Elizabeth II, le prince Philip savait bien remettre la monarchie au pas. Et lorsque le prince William fréquentait Kate Middleton, qu’il a rencontrée dans les couloirs de l’université St. Andrews, le duc d’Édimbourg n’a pas dérogé à cette philosophie. Selon l’expert royal Robert Jobson, auteur du livre William’s Princess, le défunt époux de Sa Majesté Elizabeth II, éternellement pragmatique, souhaitait voir son petit-fils dans les rangs de la marine royale. Baptême du feu idéal pour un futur roi. Un conseil qu’il a également donné au prince Charles quelques années auparavant, dans le but de l’éloigner de Camilla Parker Bowles. Mais contrairement à son père, qui a été soldat de la Royal Navy de 1971 à 1976, le duc de Cambridge a refusé de se plier à la suggestion de son grand-père.

Résultat, le prince William a rejoint The Royal Military Academy de Sandhurst, tout comme son frère cadet a pu le faire en mai 2005. Un affront à l’autorité pour la bonne cause : par sa force de caractère, le fils de Lady Diana a fait primer son cœur sur le devoir. “C’était un prix minime pour William, et un prix qui valait la peine d’être payé si cela signifiait rester sur le même sol que Kate”, raconte Robert Jobson dans son ouvrage. En tant que membre de la marine royale, il aurait été privé de tout contact avec celle qui est finalement devenue son épouse (et avec qui il fêtera dix ans de mariage le 29 avril 2021). Et ce, “pendant des mois.”

EXPRESS SYNDICATION / BESTIMAGE

Un modèle

S’il a pu remettre son savoir en cause, le prince William n’a jamais oublié que le prince Philip, cet homme qui l’a pris sous son aile d’une tendresse bourrue à la mort de sa mère, a été un exemple à suivre au sein de la Firme. Sa femme, Kate Middleton, s’est fiée à cette même leçon. D’origine roturière, celle-ci a su tirer son épingle du jeu en s’appuyant sur les conseils du duc et de Sa Majesté Elizabeth II. Tout comme le prince Philip a pu le faire pour la reine, Kate Middleton occupe un rôle d’épouse et alliée indéfectible pour le deuxième en ligne dans l’ordre de succession au trône d’Angleterre. Rôle qu’elle endosse certainement plus que jamais en cette période de deuil.

Crédits photos : PA Photos/ABACA

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VIDEO – Valérie Trierweiler comparée au prince Philip : grosse pique sur CNews

Pendant l’émission L’heure des Pros, ce lundi 12 avril, l’invité du jour Jean Des Cars revient sur l’histoire d’amour entre le prince Philip et la reine Elizabeth II. Quand celui-ci évoque une anecdote, Valérie Trierweiler se voit comparer au duc d’Édimbourg.

Valérie Trierweiler en prend pour son grade. Ce lundi 12 avril l’émission L’heure des Pros de Pascal Praud sur CNews est dédiée aux hommages du prince Philip. Jean Des Cars, l’auteur d’une biographie sur Elizabeth II, est présent sur le plateau pour revenir sur la vie du couple royal. L’auteur évoque le début de cette histoire d’amour partagé pendant 73 ans entre le prince Philip et son Altesse royale. Après plusieurs anecdotes à propos de leur idylle, il décide de conclure ses propos en rappelant l’histoire des “trois pas derrière toute sa vie.”

Le présentateur reprend les termes en soulignant son accord avec le principe de marcher derrière sa femme, et non à ses côtés. Élisabeth Lévy décide alors d’intervenir dans le débat. “Ça me rappelle la scène inverse où on voyait Valérie Trierweiler essayer de passer devant François Hollande”, ironise-t-elle. Un gros pique qui est passé inaperçu sur le plateau, malgré sa deuxième tentative : “vous vous rappelez ?” Sans doute une réflexion inintéressante pour Pascal Praud.

Des débats sous tensions

“Ce n’est pas très intéressant ce que vous nous dites” lui avait déjà balancé le présentateur en plein débat sur l’interview de Meghan Markle et le prince Harry. Une réflexion qui n’a pas plu à Élisabeth Lévy qui a menacé de quitter le plateau de L’Heure des pros. “Si vous ne voulez pas m’entendre, je me barre” a-t-elle ajouté, dénonçant un manque de respect. L’animateur avait tenté d’apaiser les tensions en lui disant “c’est pour rire écoutez.” Heureusement, l’habituée de l’émission de débat n’est plus à une querelle près.

Crédits photos : SCREENSHOTS

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