Alabama Fan Charged With Murdering LSU Fan During Game

COLBERT COUNTY, AL — Football fans in the Southeastern Conference are some of the most intense and outspoken fans in the country, but in the case of a Colbert County man, authorities say fandom led to murder.

Reports from media outlets in Colbert County say Littleville, Alabama, resident David Allen Fulkerson — reportedly a University of Alabama football fan — has been charged with murdering his friend James Michael Roland Merritt — an LSU football fan — when the two were watching the game between the two teams Nov. 9. A WBRC report said the fight became heated when Fulkerson thought Merritt called him an expletive.

The fight and subsequent shooting occurred at Fulkerson’s residence at 2172 Ligon Springs Road, where multiple people were gathered to watch the game.

According to the Florence Times Daily, Colbert County Sheriff Frank Williamson said the Crimson Tide’s 46-41 loss to LSU “provided the catalyst for the shooting.”

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Merritt was taken to Hunstville Hospital where he died Friday.

This is not the first time violence has surrounded this particular match-up. Last year’s game in Baton Rouge — a 29-0 Alabama victory — resulted in an Alabama fan being beaten to death in a Louisiana bar. Although authorities could not determine whether or not the outcome of the game caused the fight, alcohol consumption during the game likely did.

L’OMS dénonce les dix plus grands tueurs en série

Selon l’Organisation Mondiale de la santé,l’espérance de vie en bonne santé pourraitaugmenter de 5 à 10 ans, si gouvernements et individusassociaient leurs efforts pour lutter contre les principauxfacteurs de risque. Au nombre de dix, ils seraient àl’origine de 40 % de la mortalité mondiale… soit22,4 millions de morts.
Ces terribles serial-killers sont par ordre décroissant : lasous-alimentation, les pratiques sexuelles dangereuses,l’hypertension, le tabagisme, l’alcool, la mauvaisequalité de l’eau, le cholestérol, lesfumées des combustibles solides àl’intérieur des locaux, les carences en fer etl’obésité. “Les 10 suivants ne comptant quepour moins de 10 %“ déclare Alan Lopez, conseillerscientifique principal à l’OMS et co-directeur durapport.
Si l’on pouvait s’attaquer à tous ces risquesévitables de la manière recommandée parl’OMS, l’espérance de vie en bonne santépourrait s’accroître de 16 ans dans certainesrégions d’Afrique, alors qu’elle n’est quede 37 ans dans certains pays comme le Malawi. Parmi lesinterventions préconisées par l’institutmondial, on peut lire dans son communiqué :
Principaux facteurs de risque : Insuffisancepondérale/sous-alimentation
Intervention recommandée par l’OMS :Supplémentation en micronutriments ou l’enrichissementdes aliments en vitamine A, zinc et fer, conseils prodiguésaux mères (allaitement), traitement systématique desdiarrhées et des pneumopathies liées à lasous-alimentation.
Principaux facteurs de risque : Pratiquessexuelles dangereuses
Intervention recommandée par l’OMS :Campagnes de promotion de la santé dans les médias,dépistage volontaires et conseils, éducation scolairesur le sida, actions ciblées dans les milieux desprostituées et des homosexuels, traitement des MST pourréduire la transmission.
Principaux facteurs de risque : Hypertension ethypercholestérolémie et obésité
Intervention recommandée par l’OMS : Diminution du seldans les aliments transformés, réduction de laquantité de matières grasses dansl’alimentation, promotion de l’exercice physique et dela consommation de fruits et légumes, lutte contre letabagisme et traitement médicamenteux pour les sujetsà risque.
Principaux facteurs de risque : Tabagisme
Intervention recommandée par l’OMS :Interdiction de la publicité, mise en garde sur lesconditionnements, lois contre le tabagisme dans les locaux,augmentation des taxes, éducation sanitaire et traitementsubstitutif pour les pays développés.
Principaux facteurs de risque : Mauvaisequalité de l’eau
Intervention recommandée par l’OMS :Désinfection de l’eau avant utilisation àdéfaut d’un approvisionnement idéal.
Principaux facteurs de risque : Carences enfer
Intervention recommandée par l’OMS :Enrichissement en fer des aliments (farine, nouilles,riz…).
Par ailleurs, l’OMS trouve “choquantes“ lesdifférences entre les populations riches et pauvres : 170millions d’enfants sous-alimentés dans les pays envoie de développement et un milliard d’obèsesdans les pays riches.
Source : Rapport 2002 de l’OMSClick Here: New Zealand rugby store

Une grande loi de santé publique en préparation

Le 12 mars, le rapport du Groupe technique national analysait lesconnaissances disponibles sur plus de 70 problèmes desanté, leurs déterminants et les stratégies desanté publique. Pour chacun, des objectifs quantifiablessusceptibles d’être atteints dans les 5 prochainesannées ont été identifiés par desexperts nationaux. Elaboré à partir des analyses duHaut Comité de Santé Publique (HCSP) et les travauxde l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), ce textedevrait servir de référence àl’élaboration d’un projet de loi quinquennalprésenté en mai par le Ministre de la Santé,Jean-François Mattei.
Par ailleurs, le Ministère de la santé apublié les résultats de son enquêtebarométrique sur les attitudes et opinions desFrançais à l’égard de la santé,de la famille et de la protection sociale. Menéeauprès de 4 000 personnes sur la période 2000-2002,cette étude a permis de souligner quelques tendances :
– Neuf Français sur dix s’estiment en bonnesanté ;
– Pour six personnes sur dix, l’état de santédes Français s’est amélioré depuis deuxans et va continuer à s’améliorer dansl’avenir grâce aux progrès thérapeutiqueset aux nouveaux médicaments notamment ;
– Sept Français sur dix déclarent que “tout le mondepeut être soigné quel que soit son revenu“, mêmesi la moitié perçoit des discriminations dansl’accès aux soins ;
– -Sept Français sur dix considèrent qu’unepolitique de limitation des dépenses de santé ne peutavoir de fondements seulement budgétaires parce que “dans unpays développé, il est normal que l’ondépense de plus en plus pour la santé“ et“qu’il n’y a pas de raison de limiter lesdépenses car la santé n’a pas de prix“ ;
– Huit individus sur dix pensent que les systèmesd’assurance maladie ou de retraite doivent resteressentiellement publics.
Source : Rapport du groupe technique national dedéfinition des objectifs – Elaboration de la loid’orientation de santé publique Etudes etRésultats DRESS n°223-Mars 2003Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

En été, les tiques attaquent !

A l’heure des promenades dans les forêts, la maladie deLyme (ou borréliose) transmise par les tiques resurgit.Suite à la survenue de plusieurs cas, la Directiongénérale de la santé attire l’attention surles risques et les moyens de prévention de cette pathologie.Due à une bactérie du genre des Borrelia, cettezoonose touche indifféremment les adultes et les enfants,particulièrement du début du printemps à lafin de l’automne. La majorité des cas surviennent dans leNord-Est de la France mais le risque d’être infectépar ce germe existe sur l’ensemble du territoire national et,chaque année, plusieurs centaines de cas de maladie de Lymesont identifiés en France.
Le diagnostic repose sur une lésion caractéristique,appelée “érythème chronique migrant“, uneéruption rouge, inflammatoire, centrée au point decontact et débutant trois à trente jours aprèsla piqûre. Elle s’étend ensuite et peut s’associerà de la fièvre, pour disparaîtrespontanément en quelques semaines. La survenue de cettelésion doit conduire à consulter rapidement sonmédecin. La prescription d’antibiotiques sera alorssystématique. Dans le cas inverse, une phase secondaire dela maladie peut apparaître avec des atteintes articulaires,cutanées, cardiaques, neurologiques et une fatiguechronique.
En cas de piqûre de tique, il faut la retirer le plusrapidement possible, en prenant garde à enlever latête en même temps que le corps. En revanche, il n’estpas justifié de traiter systématiquement parantibiotique tout sujet qui vient d’être piqué par unetique. Par ailleurs, un moyen simple permettant de limiter lerisque de piqûre de tique et donc celui de contracter lamaladie de Lyme consiste à porter des vêtementscouvrants lors des promenades en forêt. Enfin, il fautrappeler que l’évolution de la maladie de Lyme esttrès favorable lorsque celle-ci est diagnostiquée ettraitée précocement.
Source : Communiqué de la DirectionGénérale de la santé du 24 juillet 2003Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

SRAS : sale saison pour les civettes

Depuis la confirmation de l’existence d’un cas de SRASà Canton (Chine), la surveillance du personnelmédical en charge de ce patient se poursuit. Le 5 janvier,l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) indiquaitque ce malade ne constitue pas une menace pour la santépublique. En France, la Direction générale de laSanté a réactivé la cellule de gestioninterministérielle afin de mettre en œuvre sur leterritoire national toutes les mesures nécessairesd’information, de vigilance et de veille sanitaire.Conformément à l’avis de l’OMS, iln’y a pas de risque sanitaire à se rendre dans laprovince du Guangdong comme dans le reste de la Chine. Aucunerecommandation de limitation des déplacements n’aété diffusée.
Alors que la Direction générale de la santé etl’Institut de veille sanitaire suivent de façonquotidienne l’évolution de la situation, la Chine adécidé l’abattage de 10 000 civettessoupçonnées de constituer un réservoir duvirus de la pneumopathie atypique ou SRAS. Noyade,électrocution ou incinération devront êtreemployées pour exterminer tous ces animaux de la province deCanton. Cet abattage massif intervient malgré lesréticences de l’OMS, qui craint que ce projet nedétruise des indices sur l’origine du SRAS ou favorise lapropagation de la maladie. D’autres experts craignent enfinque cette réapparition du SRAS confirme unerésurgence saisonnière de cette terribleépidémie sur le modèle de la grippe. Maisl’hypothèse reste très controversée.Toujours est-il que le virus réapparaît à unbien mauvais moment, alors que les Chinois s’apprêtentà voyager dans tout le pays pour fêter en famille lenouvel an chinois. Autant de déplacements qui pourraientfavoriser la propagation du virus…
Source : Communiqués de la DGS et del’OMSClick Here: Cheap Golf Golf Clubs

Une pilule contre le tabagisme et l'obésité

Une seule pilule pourrait lutter contre le tabagisme et l’obésité. Face à ces fléaux des temps modernes, les résultats du rimonabant sont pour le moins prometteurs. Mais les espoirs suscités par ce nouveau médicament miracle sont-ils justifiés ?

Face à l’obésité et au tabagisme, lesrésultats du rimonabant présentés lors ducongrès mondial de l’Association américaine decardiologie ont fait l’effet d’une bombe.Ils vous brisent le cœur !En 2002, l’Organisation mondiale de la santé1 identifiaitles principaux fléaux sanitaires à l’origine de 40 %de la mortalité mondiale. Parmi ces dix serial-killers, oncomptait bien évidemment les pratiques sexuelles dangereusesou la sous-alimentation mais aussi le tabagisme, les troubleslipidiques et l’obésité. Bien que les médecinsdisposent de différentes armes thérapeutiques,l’influence de ces trois derniers facteurs de risques continuent demalmener notre santé cardiovasculaire.Outre son influence sur la survenue de différents cancers,le tabac est en effet responsable d’une augmentation de la pressionartérielle, d’une détérioration des vaisseauxet d’une accélération du rythme cardiaque. Autantd’éléments qui doublent le risque de mortalitépar maladies cardiovasculaires chez les fumeurs2.De son côté, l’obésité entraîneune production par le foie de lipoprotéinesparticulières, les VLDL, à l’origine d’uneaugmentation du mauvais cholestérol (LDL)3. Ce dernierfavorise la formation de dépôts de graisse dans lesvaisseaux sanguins (plaques d’athérome) qui augmentent lesrisques cardiovasculaires.Indirectement, le tabagisme, les troubles lipidiques etl’obésité collaborent ainsi au terrible bilan desmaladies cardiovasculaires, première cause demortalité en France avec 180 000 décès par an.Mais une nouvelle annonce pourrait redonner le sourire auxmédecins.Un mécanisme originalUn seul médicament capable de combattre le tabagisme, lestroubles lipidiques et l’obésité ? C’est l’annoncefaite lors du congrès 2004 de l’Associationaméricaine de cardiologie par les laboratoiresSanofi-Synthelabo. Selon le communiqué du groupe4, “le pointcommun entre ces facteurs de risque est qu’ils paraissentliés à une hyperstimulation du systèmeendocannabinoïde (système EC), systèmephysiologique naturel jouant un rôle dans le maintien del’équilibre entre la prise alimentaire et la dépenseénergétique, et qui joue également unrôle dans la régulation de la dépendance autabac“.Ainsi, pour contrecarrer ce dysfonctionnement, les chercheurs ontmis au point la première molécule d’une nouvelleclasse thérapeutique capable de bloquer cettehyperstimulation du système EC : les bloqueurssélectifs des récepteurs CB1. Ce récepteur ala particularité d’être présent à lafois dans le cerveau et dans les tissus périphériques(tissu adipeux ou adipocytes, impliqués dans lesmétabolismes lipidique et glucidique).Ainsi, le même mécanisme permet derééquilibrer l’activité du système EC,entraînant une perte de poids chez les personnesobèses et augmentant les réussites de sevragetabagique. Pour en savoir plus sur le mécanisme,(re)découvrez notre article “De l’anti-cannabis pourarrêter de fumer sans grossir“ dans lequel nous vousinformions des espoirs liés à ce composédès septembre 2002. Mais depuis de nouvelles étudessemblent confirmer la théorie.Des résultats prometteursDeux études ont été présentéeslors du congrès 2004 de l’Association américaine decardiologie5. La première baptisée RIO-Lipidsincluait 1036 patients en surpoids ou obèses atteints d’unedyslipidémie non traitée (triglycéridesélevés ou rapport cholestérol total/boncholestérol élevé). Faisant toutes l’objetd’un régime hypocalorique identique, ces personnes ontensuite été réparties dans trois groupes : 5mgde rimonobant, 20 mg de rimonobant ou un placebo (substanceinactive). Après un an de traitement à 20 mg derimonabant, les patients ont perdu en moyenne 8,6 kg (contre 2,3 kgpour ceux sous placebo) et 9,1 cm de tour de taille,augmenté leur taux de bon cholestérol de 23 %,réduit celui de triglycérides de 15 %… En plus dela réduction de poids notable, le Pr. Jean PierreDesprés, investigateur principal de l’étude attirel’attention sur l’amélioration des facteurs de risquescardiovasculaires (périmètre abdominal et profillipidique et glucidique).La seconde étude appelée STRATUS-USs’intéressait à 787 patients fumant en moyenne 23cigarettes par jour et ayant essuyé quatre échecs desevrage. Désireux de s’arrêter, ils ontété répartis en trois groupes selon lemême schéma que l’étudeprécédente. Tous bénéficiaient d’unsoutien hebdomadaire. Après 10 semaines de traitement, lerimonabant à 20 mg permettait d’augmenter les chancesd’arrêter de fumer comparativement au placebo (36,2 % contre20,6 %). Les premiers ont perdu en moyenne 300 grammes alors queles seconds ont pris 1,1 kg.Dans les deux essais, les effets secondaires principaux de ceproduit ont été principalement modéréset transitoires : nausées (12 à 15 % contre 3à 9 % pour le placebo), vertiges (10 % contre 6 % pour leplacebo), infections respiratoires (11 %contre 5 % pour leplacebo). Mais aucune intolérance cardiovasculaire n’aété notée. D’autres études sur l’effetdu rimonabant sur l’obésité et le sevrage tabagiqueincluant au total plus de 13 000 personnes devraient se terminerfin 2004.N’attendez pas tout d’une nouvelle pilule miracle !Disposer d’un seul médicament pour lutter contre plusieursfacteurs majeurs du risque cardiovasculaire est trèsintéressant. Malgré tout, les médecins ontdéjà à leur disposition différentesarmes face à l’obésité, au cholestérolou au tabagisme. Même si la qualité des étudesne semble pas à priori pouvoir être mise en cause, laperspective d’une commercialisation dans les deux ans paraîtpour le moins optimiste…Par ailleurs, rappelons que la prise en charge des maladiescardiovasculaires passe par une meilleure hygiène de vie.Privilégiez dès aujourd’hui des menuséquilibrés, abandonnez la cigarette et en pratiquezun minimum d’activité physique pour conserver un cœuren pleine forme !David Bême
1 – Organisation mondiale de la santé Rapport 2002
2 – BMJ 1994 ;309 :901-911
3 – Nutr Metab Cardiovasc Dis. Avril 2001 ; vol. 11 : p.134-42.
4 – Communiqué de Sanofi-Synthelabo du 9 mars 2004
5 – Effects of Rimonabant in the Reduction of Major CardiovascularRisk Factors. Results from the STRATUS-US Trial (Smoking Cessationin Smokers Motivated to Quit) and the RIO-LIPIDS Trial (WeightReducing and Metabolic Effects in Overweight / Obese Patients withDyslipidemia) – Communication lors du congrès 2004 del’American College of Cardiology le 9 mars 2004.

Une route plus sûre avec le sourire

A l’occasion du Mondial de l’Automobile à Paris, laSécurité routière publie un livretillustré « Une route plus sûre avec le sourire» qui compile bandes dessinées, conseils de vedetteset jeux pour rappeler les règles élémentairesdu code de la route. Convivial, ce livret permet de dialoguer enfamille sur tout ce qu’il faut savoir sur la sécuritéroutière. Il aborde les principaux facteurs de risquesroutiers : la vitesse, l’alcool, la ceinture, de même que lesdifférents modes de déplacement comme le vélo,la moto, le scooter…. Pour chaque thème, les risquesencourus sont rappelés et des solutions simples sontproposées.En fil rouge, un récit interactif parcourt l’ensemble dulivret et permet à chacun de construire lui-même sonaventure. Ce parcours-jeu propose au lecteur de faire un grandvoyage dont il est le héros : c’est lui qui est au volant etqui choisit les différentes suites possibles selon lasituation décrite.Grâce au réseau de partenaires de laSécurité routière, ce livret estdistribué à 3 millions d’exemplaires : dans plus de300 grandes gares de la SNCF (remis avec le billet de train), dansles restaurants Elior (avec le menu enfant), aux péages desautoroutes Cofiroute et SAPRR (Société d’autoroutesParis Rhin Rhône), dans toutes les stations services BP etsur tous les points d’accueil du Mondial de l’Automobile 2004 avecle CCFA (Comité des Constructeurs Françaisd’Automobiles). Ce livret sera également distribuélors de la Semaine de la sécurité routière quise déroulera du 13 au 20 octobre 2004. A lire en famillelors de départs en week-end ou pour de simples trajetsquotidiens.Source : Communiqué de la préventionroutière du 23 septembre 2004Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Le cartable a bon dos…

Chaque année à l’approche de la rentrée des classes, les médias et les parents d’élèves semblent redécouvrir les méfaits des sacs trop lourds sur la colonne vertébrale des enfants. Mais aujourd’hui, certains scientifiques pensent que le cartable a bon dos et que le vrai coupable est ailleurs… Le point avec le Dr Frédéric Brun, rhumatologue.

L’âge scolaire est celui de la croissance, de la formation du corps et de l’apprentissage de certaines attitudes. Ainsi, il apparaît crucial de prévenir au plus tôt les mauvaises habitudes et ne pas entraver le bon développement du dos.
Une question de poids
Les associations de parents d’élèves, de consommateurs et de médecins scolaires s’accordent sur les dangers pour les enfants de porter une charge trop lourde. Depuis quelques années, l’augmentation du poids du cartable accentuerait cette action délétère. L’intensité de la douleur serait même proportionnelle à la charge portée (1). Pour les scientifiques, les sacs d’école ne devraient pas dépasser 10 % du poids des écoliers (2). Cette limite a été reprise dans une circulaire datant de 1995 de Ségolène Royal, à l’époque Ministre déléguée à l’enseignement scolaire.
“Mais dans les faits, ce poids est bien souvent dépassé“ nous précise le Dr Frédéric Brun, rhumatologue spécialiste des lombalgies infantiles. Une étude américaine (3) a relevé que le cartable pesait en moyenne 8,2 % du poids de l’enfant, avec cependant de grande disparité et une augmentation avec l’âge. De 6,2 % à la maternelle, ce rapport passait à 12 % en sixième. Au total, plus d’un quart des élèves portait un poids supérieur à 10 % de leur poids… En France, le Dr Vaillant présentait en 1997 (4) deux études peu encourageantes. Sur une centaine d’élèves de sixième de la région grenobloise, le poids du cartable pouvait atteindre près d’un tiers du poids de l’enfant !
Entre la sixième et la troisième, la situation s’améliorerait, le rapport passant à 10-12 %. Selon le Dr Vaillant, l’augmentation de poids des élèves et le poids stable du cartable expliquerait cette amélioration. “Mais le poids n’est pas seul coupable, d’autres facteurs ont été identifiés : une mauvaise utilisation (sur une seule épaule et non les deux), le temps de port du cartable, le surpoids, la survenue de traumatismes, les antécédents familiaux, la sédentarité ou à l’inverse la pratique intensive de certains sports comme la gymnastique ou le volley-ball… Les filles sont également plus touchées que les garçons sans qu’on puisse réellement expliquer cette différence“ commente le Dr Brun.
Le cartable innocenté ?
Mais une étude norvégienne (5) relance aujourd’hui le débat. Parmi 745 collégiens suivis par le Dr Charlotte van Gent, 45 % ont rapporté des douleurs au niveau du dos, de la nuque ou des épaules. 6 % d’entre eux évoquent de fortes douleurs au niveau du cou et des épaules et 7 % des lombalgies sévères. Mais les plaintes les plus importantes n’étaient pas liées aux plus fortes charges, aucune association entre la douleur et la masse n’a été mise en lumière. Selon les résultats, les souffrances étaient plus fortement associées à des facteurs psychosomatiques : symptômes généraux de fatigue, d’indifférence, de migraines associées au stress, ou d’insatisfaction scolaire… La perception du poids du cartable plus que sa masse réelle serait en cause.
En mai 2003, des études menées dans 184 écoles par des chercheurs de l’Université du Michigan enfoncent le clou (6). Alors que les cartables représentaient entre 5,7 et 11,4 % du poids des élèves (qui préféraient le porter sur une seule épaule, plutôt que les deux), les auteurs ne notent aucune influence du poids du cartable et de la manière de le porter sur les douleurs. Selon eux, la colonne vertébrale peut supporter sans dommage une charge sur un temps court. A la lumière de leur enquête, « l’augmentation de la douleur semble plus être liée à l’âge, au poids et à l’inactivité (…) mais il n’existe aucune preuve que les cartables puissent causer plus qu’une simple gêne temporaire » déclare le Dr Andrew Haig. Selon le Dr Brun, le port du cartable agit plus comme un facteur aggravant que comme un déclencheur du mal de dos.
Prévenir dès le plus jeune âge
Faut-il pour autant oublier des années de prévention ? « Non, bien entendu mais ces études permettront de ne plus occulter les autres ennemis du dos. Les lombalgies ont des origines multifactorielles. Les traumatismes, le manque d’activité physique ou d’hygiène posturale, comme le temps passé assis sur des mobiliers inadaptés sont ainsi à prendre en compte » répond le Dr Brun. Et comme les bonnes habitudes se prennent dès l’enfance… Pour cela, le rôle des parents, des instituteurs et des professeurs d’éducation physique est primordial. Le but reste toujours de minimiser les situations néfastes pour la colonne du jeune enfant :
– Le cartable à roulettes peut paraître séduisant, mais attention il est plus lourd et les enfants sont contraints de le porter dans les escaliers ;
– Un cartable solide et léger permet une répartition de la charge sur les deux épaules ;
– Durant l’année scolaire, veillez à ce que votre enfant n’emporte pas plus que nécessaire ;
– Alertez le directeur si le poids des fournitures vous paraît excessif ;
– Limitez le temps durant lequel l’enfant porte le cartable, demandez-lui de l’ôter en attendant le début des cours ou dans le bus, etc.
Mais selon le Dr Brun, d’autres paramètres pourraient jouer sur la survenue de maux de dos chez l’enfant. Ainsi, il souligne l’exemple de certains établissements américains qui privilégient les casiers nominatifs, la nécessité de transports bien développés permettant d’éviter à l’enfant de porter son sac sur de longues distances, la généralisation de mobilier scolaire ergonomique ou une réflexion sur le poids des livres scolaires parfois excessifs… N’oublions pas que d’autres facteurs sont également à prendre en compte :
– Eviter le surpoids des enfants grâce à une alimentation équilibrée ;
– Lutter contre l’inactivité en privilégiant des activités de plein air plutôt que des heures passées devant la télévision ou une console de jeux ;
– Veiller à ce que l’enfant ne reste pas en position assise sur des mobiliers inadaptés pendant de longues heures ;
– Dépister les troubles psychologiques et comportementaux et si nécessaire, proposer une prise en charge adaptée.
En conclusion, le cartable n’est pas le seul coupable. A la maison comme à l’école, pensez à protéger la colonne vertébrale de votre enfant. Les jeunes qui souffrent de lombalgies ont plus de risque de souffrir des mêmes symptômes à l’âge adulte.
David Bême
1 – Spine 2003;28(9):922-9302 – Clinical Orthopaedics and Related Research 2003 ;409 :78-843 – Am J Phys Med Rehabil.2003 Apr;82(4):261-64 – Communications lors du second congrès de l’AFLAR – Paris 19975 – Spine 2003 ;28(9) :916-9216 – World Congress of the International Society for Physical and Rehabilitation Medicine – May 2003Click Here: geelong cats guernsey 2019

Le sport oui ! L'incontinence non !

Faire du sport pour se sentir en forme, pour « garder laligne », pour se muscler, pour se dépasser, pour mieuxrespirer… et pour se défouler ! Lesbénéfices du sport sur la santé ne sont plusà démontrer et le plaisir reste le maître motde toutes celles qui s’adonnent à leur activitéfavorite !
71 % des femmes françaises aiment bouger et sedépenser, mais savent-elles que lorsque le sport se conjugueau féminin, il peut aussi parfois causer des petits soucisinsoupçonnés. La pratique d’un sport, qu’elle soitoccasionnelle ou assidue, peut se révéler êtreun facteur de risque d’incontinence urinaire. En cause, lepérinée, cet ensemble de muscles sollicitéssous la pression des abdominaux et qui a parfois tendance àse relâcher !Sans tabou, 600 femmes ont répondu à toutes cesquestions dans le cadre de l’enquête TENA/Ifop « Lesfemmes, le sport et l’incontinence » réaliséeen mai 2007.
– 49 % des femmes déclarent connaître le lien entresport et incontinence urinaire, 51% l’ignorent ;
– Parmi les femmes faisant du sport, 39 % affirment avoirvécu au moins une expérience de fuite urinaire enlien avec une activité sportive. L’avancée enâge semble déterminante : 21 % pour les 18-24 ans, 50% pour les 65 ans et plus ;
– Près de la moitié des femmes pratiquant un sport demanière intensive affirme avoir connu ce typed’expérience (49 %). Le nombre d’enfants sembleégalement jouer un rôle majeur : les femmes ayant plusde trois enfants sont plus sujettes aux fuites urinaires (60 %) queles femmes n’ayant qu’un ou pas d’enfant du tout (35 %)lorsqu’elles pratiquent une activité physique ;
– Pour 80 % des femmes, c’est un sujet dont il est difficile deparler à son entourage et pour une femme sur trois il s’agitd’un sujet dont il est difficile de parler à sonmédecin.Pour faire du sport en toute liberté, il est aussi importantde penser à son périnée. Des exercices simplesde contraction/décontraction pratiquésrégulièrement dans la journée permettent derenforcer ce muscle souvent négligé au profit desabdominaux.Source : Communiqué Tena du 7 juin 2007Des contacts pour en savoir plus
TENA est partenaire de La Parisienne la
course à pied féminine au coeur de
la capitale ! Du 14 au 16 septembre prochains, cette coursesera l’opportunité de
sensibiliser les femmes de tous âges au problèmed’incontinence.

Americans report more happiness as states start to reopen: Gallup

Americans are reporting more happiness as states begin to reopen amid the coronavirus pandemic, according to a Gallup poll released Monday. 

Seventy-two percent of surveyed Americans reported feeling happiness “during a lot of the day yesterday” based on the poll conducted from late April to early May — a 5 point increase from the 67 percent who said the same in a poll conducted one month prior.

The Gallup poll also found that fewer Americans report they are feeling worried. Forty-seven percent of surveyed Americans said they experienced “worry” in the recent poll — a 12-point decrease from the 59 percent who said the same in a similar Gallup poll a month before.

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Reports of boredom also slightly decreased — from 41 percent from 46 percent — from the month before, based on the poll.

Reports of experiencing “loneliness” held steady at 24 percent, according to the poll. 

Americans in households with less than $36,000 annual income are more likely to report feeling worry, boredom and loneliness and less likely to report happiness than compared with Americans in households with more income, according to the recent Gallup survey. 

Just 56 percent of Americans in households with less than $36,000 annual income reported feeling happiness. However, 74 percent and 75 percent of Americans in households making $36,000 to $90,000 and more than $90,0000, reported the same, respectively, based on the poll.

Fifty-eight percent of Americans in households in the lower-income bracket said they experienced “worry,” while just 44 and 48 percent of Americans in middle and higher-income households reported the same, respectively, based on the poll. 

The poll also found a partisan divide, with Republicans more likely to report happiness than compared with Democrats, and less likely than Democrats to report worry and loneliness. 

The shifts in attitudes come as states start have begun to lift coronavirus restrictions to various degrees, with some reopening nonessential businesses including restaurants and bars for dine-in services with limited capacity.

Results for the Gallup poll are based on self-administered web surveys conducted April 27-May 10 with a  random sample of 8,712 adults who are members of the Gallup Panel. There is a margin of error of plus or minus 2 percentage points.