Bientôt un test bon marché de dépistage du virus Zika

Des chercheurs de l’université de Harvard ont conçu un test pour dépister rapidement et de manière peu coûteuse le virus Zika dans le sang et la salive, qui pourrait être disponible dans les prochains mois, selon une étude publiée vendredi.

Un test de dépistage du virus Zika pourrait être disponible dans les prochains mois.

Vers un test simple et bon marchéL’absence d’un test standard de dépistage du virus, qui peut provoquer des malformations sur les foetus, empêchait jusqu’à présent de mieux comprendre et contrer l’épidémie de ce virus, selon les experts en santé publique.Ce nouveau test permet de détecter le virus “à des concentrations beaucoup plus faibles qu’auparavant“, fait valoir dans son étude le Wyss Institute for Biologically Inspired Engineering de Harvard.Il a fonctionné sur des singes et pourrait coûter seulement un dollar par patient, selon ces travaux publiés dans le journal

Cell.

Ce nouvel outil de diagnostic, qui peut être lyophilisé et stocké pendant un an, montre ses résultats “par un simple changement de couleur, si bien que même un oeil peu entraîné peut facilement savoir si le virus Zika est présent ou non dans l’échantillon“, selon les chercheurs.Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déjà approuvé deux tests, le Zika MAC-ELISA et le Trioplex Real-Time RT-PCR Assay. Mais ils sont plus compliqués à établir et confondent parfois le Zika avec des virus similaires comme le virus du Nil occidental ou la dengue.Ce nouveau test pourrait être disponible dans les prochains mois et améliorera les dépistages actuels qui nécessitent des équipements spécialisés disponibles seulement en zones urbaines.On sait désormais comment Zika attaque le cerveauUne autre étude a révélé comment le virus attaquait le cerveau, détruisant ses cellules et provoquant la naissance de bébés avec des petites têtes, une maladie connue sous le nom de microcéphalie.Publiée dans le journal Cell Stem Cell, ces travaux ont été effectués par des scientifiques de l’école de médecine de l’Université de San Diego.Ils ont trouvé que le Zika activait dans le cerveau un récepteur immunitaire nommé TLR3. “Nous avons tous un système immunitaire qui lutte spécifiquement contre le virus, mais là le virus retourne ce mécanisme de défense contre nous“, explique Tariq Rana, professeur de pédiatrie à cette école de médecine et principal auteur de l’étude.”En activant les récepteurs TLR3, le virus Zika bloque les gènes qui disent aux cellules souches de se développer dans les diverses parties du cerveau“, ajoute-t-il.”La bonne nouvelle c’est que nous avons des inhibiteurs TLR3 qui peuvent empêcher cela“, selon M. Rana. Davantage de recherches seront nécessaires cependant pour voir comment ce dernier mécanisme peut être utilisé pour empêcher les malformations du cerveau.

Les personnes transgenres : des réalités variables, en constante évolution

Il existe très peu de statistiques fiables sur les personnes transgenres, faute de collecte de données mais aussi à cause du secret pesant encore sur beaucoup et des situations très différentes rencontrées dans le monde. Une méconnaissance parfois accentuée par un vocabulaire complexe, en évolution constante.

Le terme transgenre désigne les personnes dont l'identité, exprimée et/ou ressentie, ne correspond pas à celle associée au sexe qu'elles avaient à la naissance.

Les personnes transgenresCe terme désigne les personnes dont l’identité, exprimée et/ou ressentie, ne correspond pas à celle associée au sexe qu’elles avaient à la naissance.Il englobe les personnes qui ont subi une opération mais aussi celles ayant seulement suivi un traitement hormonal, un suivi psychologique… ou rien de tout ça.Selon une étude faisant autorité aux Etats-Unis et datant de 2011, 0,3% de la population américaine se définit comme étant transgenre.

  • une personne née de sexe féminin et qui vit désormais comme un homme est un “homme transgenre“.
  • une personne née de sexe masculin et qui vit désormais comme une femme est “une femme transgenre“.

A noter que certains trouvent péjoratif d’employer le mot en tant que nom (“les transgenres”), l’expression consacrée étant “les personnes transgenres”.Identité de genre ou identité sexuelle ?Venue de l’anglais, l’expression “identité de genre” est de plus en plus employée en français, au détriment de l'”identité sexuelle”, pour mieux distinguer la notion d’identité des organes biologiques.”Plusieurs associations, ainsi qu’un avis de la CNCDH (Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme), mettent en garde contre l’utilisation du terme ‘identité sexuelle’ qui entretient l’idée que se sentir homme ou femme est liée à une prédisposition biologique, imposée par les attributs sexuels de naissance“, explique ainsi l’association française des journalistes LGBT.‘Changer de sexe’ ou ‘réassignation’ ? Les associations de défense des droits des personnes transgenres mettent en garde contre l’emploi de l’expression “changement de sexe” pour évoquer la procédure chirurgicale, expliquant que ces individus mettent en fait “leur corps en adéquation avec ce qu’elles sont”, selon l’association des journalistes LGBT. S’inspirant de l’anglais, l’expression “réassignation sexuelle” lui est donc préférée.Pour justifier ce choix lexical, ses défenseurs s’appuient sur un nombre croissant d’études démontrant que l’anatomie et l’identité proviennent de processus biologiques distincts, influencés par les gènes et les hormones. Si anatomie et identité concordent le plus souvent, des facteurs biologiques peuvent donc mener à un déphasage, avancent-ils.Orientation sexuelleAttention, l’identité de genre, ou sexuelle, n’a rien à voir avec l’orientation sexuelle: un homme ou une femme transgenre peut être hétérosexuel, homosexuel ou bisexuel.TransitionMot désignant la période au cours de laquelle une personne transgenre passe vers sa “nouvelle” identité. Processus complexe, il peut inclure une intervention chirurgicale, des traitements hormonaux, un suivi psychologique mais ce ne sont pas des étapes “obligées”. Il passe aussi par une évolution dans le cercle intime, avec l’annonce à ses proches, l’emploi d’un nouveau nom…De la répression aux lois anti-discriminationLa situation varie grandement pour les personnes transgenres dans le monde. Aux Etats-Unis, où les lois anti-discrimination sont parmi les plus avancées, leur interprétation au niveau du système de santé change selon les Etats. Certains ont ces dernières années ordonné aux systèmes privés et publics d’assurance santé de ne plus exclure les soins des personnes transgenres de leur couverture. Il s’agit notamment de la capitale Washington, de New York, la Californie… En tout une dizaine d’Etats, selon le Centre américain pour l’égalité transgenre (NCTE).En Europe, le Parlement européen a adopté dès 1989 une résolution interdisant la discrimination à l’égard des personnes transsexuelles. Mais parmi les 28 Etats membres, les législations varient aussi grandement. Seuls 13 Etats interdisent explicitement la violence contre les personnes transgenres, selon “Transgender Europe”, une association européenne.Si Human Rights Watch souligne les grandes avancées accomplies ces dernières années pour les personnes LGBT dans le monde, l’ONG dénombre également 80 pays qui “punissent les relations homosexuelles consenties et ceux qui débattent des droits des personnes LGBT avec des peines de prison, des coups de fouet et même la peine de mort”.

Un nouvel appareil pour détecter les apnées du sommeil

Des chercheurs du CNRS ont développé un prototype innovant pour détecter les apnées du sommeil. Le nouvel appareil, plus petit que les dispositifs existants, présente l’avantage de libérer le patient de tout appareillage. La mesure du rythme respiratoire est réalisée par un système de doppler.

En France, 2 millions de personnes sont concernées par le syndrome d'apnées du sommeil.

Un émetteur à ultrasons installé au-dessus du litL’innovation brevetée par les chercheurs de l’Institut universitaire de technologie de Toulon repose sur le principe de

doppler pour diagnostiquer les apnées du sommeil, qui se manifestent par des arrêts involontaires de la respiration au cours de la nuit.Ce nouveau dispositif se compose d’un émetteur à ultrasons installé au-dessus du lit du patient et d’un arceau comprenant trois récepteurs répartis de telle sorte que la respiration soit détectée quelle que soit l’orientation de la tête. Le patient est ainsi totalement libéré du matériel. Sa seule contrainte est de dormir sous l’arceau.Analyser l’onde réfléchieLe principe consiste à “illuminer” la tête du patient avec une onde acoustique émise par l’émetteur, puis à analyser l’onde réfléchie et ainsi déceler d’éventuels dysfonctionnements du rythme respiratoire.Un second prototype miniature transportable, actuellement développé, sera prêt fin juin 2016 et va faire l’objet dès la rentrée prochaine de tests cliniques afin d’obtenir le marquage CE.Les premiers tests effectués ont montré une efficacité de dépistage des apnées équivalente à celle des dispositifs classiques.En France, 2 millions de personnes sont concernées par le syndrome d’apnées du sommeil.La pathologie peut occasionner des problèmes cardiaques,

d’hypertension artérielle, baisse des capacités cognitives, et difficultés à se concentrer. AFP/Relaxnews

Trouver un médecin de garde : un numéro unique d’ici 2017

Un décret publié le 24 juillet 2016 vient d’instaurer un numéro unique, le 116-117, pour l’accès à la permanence des soins les soirs et week-ends. Il sera disponible en janvier 2017, au plus tard.

A partir du 24 janvier 2017, au plus tard, il faudra composer le 116-117 pour trouver un médecin de garde les soirs et week-ends.

Pour trouver un médecin de garde en dehors des horaires d’ouverture de son cabinet médical, le soir et le week-end, il faut aujourd’hui appeler le 15, un numéro normalement réservé aux urgences. Un décret publié dimanche, visant à homogénéiser les pratiques et à désengorger les appels vers le Samu, a instauré un numéro unique, le 116-117. Celui-ci entrera en vigueur dans un délai de six mois après publication du décret, soit le 24 janvier 2017 au plus tard. Comme tous les autres

numéros d’urgence, le 116-117 sera gratuit. Le numéro 15 sera réservé aux urgences.Click Here: cheap nrl jerseys

Record de mortalité en France en 2015

En 2015, 594000personnes sont décédées en France, soit 6,1% de plus qu’en 2014 selon des chiffres publiés le jeudi 13 octobre par l’Insee.

Hausse de la mortalité en France en 2015.

C’est un niveau record et le plus élevé depuis l’après-guerre. En 2015, 594 000 personnes sont décédées en France, soit 6,1 % de plus qu’en 2014 selon des chiffres publiés le jeudi 13 octobre par l’Insee. Cette hausse s’explique “par des raisons conjoncturelles : une épidémie de grippe importante est survenue entre mi-janvier et mi-mars, à laquelle se sont ajoutés plusieurs épisodes de canicule en juillet et août” comme le précise l’étude de l’Insee mais aussi par “l’arrivée des premières générations nombreuses de baby-boomers à des âges où le risque de décéder est plus élevé (en 2011, les personnes nées en 1946 ont 65 ans).”Plus de décès en hiverC’est les mois hivernaux qui sont les plus meurtriers avec un “pic de décès des mois de janvier à mars a été particulièrement important en 2015 par rapport à d’autres années récentes. En février 2015, en particulier, 380 personnes supplémentaires sont décédées quotidiennement par rapport à février 2014“. L’étude précise également que “sur les trois premiers mois de l’année, 24 000 personnes supplémentaires sont décédées par rapport aux mêmes mois de 2014. Cette année-là, en revanche, 15 000 personnes de moins étaient décédées par rapport à 2013 sur la même période.”Plus de décès chez les plus de 65 ans Ce sont les plus de 65 ans qui sont particulièrement touchés par cette hausse de la mortalité. “En 2015, 1 610 personnes âgées de 65 ans ou plus sont décédées chaque jour sur les trois premiers mois de l’année (1 755 pour le seul mois de février)“, souligne l’étude de l’Insee.Retrouvez

ici l’intégralité de l’étude.Click Here: cheap Cowboys jersey

Vaccins : lesquels sont obligatoires ou recommandés ? lesquels posent question ?

Quels sont les vaccins obligatoires ? Lesquels sont seulement recommandés ? Pourquoi certains produits font peur ? La vaccination suscite de nombreuses questions, sous la pression d’associations.

41% des Français émettent des craintes concernant la sécurité des vaccins.

Sommaire

  1. Quels sont les vaccins obligatoires ?
  2. Quels sont les vaccins recommandés ?
  3. Quelles sont les craintes liées aux vaccins ?
  4. Pourquoi ne trouve-t-on pas le DTP ?

Quels sont les vaccins obligatoires ?Pour l’ensemble de la population, il en existe trois : contre la

diphtérie (obligatoire depuis 1938), le

tétanos (depuis 1940) et la

poliomyélite (depuis 1964).Deux injections de DTP sont prévues chez les bébés, à 2 mois et à 4 mois ainsi qu’un rappel obligatoire à 11 mois. Pour la polio uniquement, deux autres rappels sont obligatoires, respectivement à 6 ans puis entre 11 et 13 ans.Les parents qui refusent de faire vacciner leur enfants peuvent être punis de six mois de prison et de 3.750 euros d’amende.D’autres obligations vaccinales existent (

hépatite B,

tuberculose), mais elles ne concernent que certaines catégories professionnelles exposées (personnel soignant, services de secours…). Celui contre la

fièvre jaune est lui obligatoire en Guyane.Mais la situation pourrait évoluer si le gouvernement décide de suivre les recommandations d’un comité sur la vaccination qui a préconisé en décembre de rendre plus d’une dizaine de vaccins pour enfants gratuits et “obligatoires” de façon temporaire, avec l’objectif ensuite de supprimer à terme l’obligation vaccinale.Quels sont les vaccins recommandés ?A coté des vaccins obligatoires, il en existe plusieurs fortement recommandés par les autorités sanitaires, pour venir à bout de maladies graves comme la

rougeole, la

coqueluche ou certaines

méningites.La différence entre vaccins obligatoires et vaccins recommandés s’est estompée au fil des années, conduisant les laboratoires à développer des vaccins combinés, associant vaccins obligatoires et recommandés, au grand dam des associations anti-vaccins.Quelles sont les craintes liées aux vaccins ?Selon une enquête parue en septembre, la France est le pays européen qui a le plus de réticences face à la vaccination, avec 41% des Français qui émettent des craintes concernant la sécurité des vaccins et 17% qui doutent de leur efficacité.Les réticences se concentrent sur certains vaccins, comme celui contre l’hépatite B, soupçonné d’être à l’origine de plusieurs cas de sclérose en plaques, dont certains ont été indemnisés par les tribunaux alors même qu’aucun lien scientifique de causalité n’a jamais pu être établi.Un autre vaccin très contesté est celui contre les

infections à papillomavirus (HPV), à l’origine de la plupart des

cancers du col de l’utérus. Ses détracteurs l’accusent de favoriser diverses maladies neurologiques, également sans que cela ait été scientifiquement confirmé.Une association, E3M, milite contre l’utilisation d’adjuvants à l’aluminium pour amplifier la réponse immunitaire des vaccins, l’accusant de causer des douleurs musculaires et un

syndrome de fatigue chronique chez des sujets génétiquement prédisposés.L’Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN), une autre association, s’est mobilisée en lançant en 2015 une pétition dénonçant la pénurie du vaccin DTP qui contraint les parents à utiliser le vaccin hexavalent Infanrix Hexa (qui protège également contre l’hépatite B, la coqueluche et l’influenza). Ce vaccin multiple, plus cher, contiendrait des substances que l’IPSN juge “dangereuses”, comme l’aluminium.La pétition revendique à ce jour plus d’un million de signataires, dont celle très médiatisée du professeur Henri Joyeux, qui a depuis été radié de l’Ordre des médecins. Le

Conseil d’État a donné mercredi raison à l’IPSN sur le problème de la disponibilité du vaccin DTP, mais pas sur la dangerosité de l’aluminium dans les vaccins.Pourquoi ne trouve-t-on pas le DTP ?La commercialisation du DTP simple destiné aux nourrissons a été suspendue par Sanofi Pasteur en 2008, à la suite de manifestations allergiques. Les vaccins quadrivalents (4 vaccinations) et pentavalents (5 vaccinations) connaissent des tensions depuis plusieurs années, avec des ruptures d’approvisionnement depuis début 2015.Seuls les vaccins hexavalents (6 vaccinations) sont disponibles sans problème en pharmacie. Sanofi s’est engagé à fournir gracieusement un kit spécial DTP aux médecins qui en feraient la demande, kit toutefois réservé aux enfants présentant des contre-indications à la vaccination contre la coqueluche.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Puberté : des règles précoces augmentent le risque de dépression à l'âge adulte

Avoir ses premières règles avant 12 ans ou même plus jeune, dès sept ans, augmente le risque de dépression et de troubles du comportement avant 30 ans, indique une étude américaine publiée dans la revue "Pediatrics".

Les jeunes femmes qui ont eu leurs premières règles avant 12 ans, voire dès sept ans, ont plus de risques de connaître des symptômes dépressifs à l'âge adulte et des comportements "antisociaux" à l'adolescence.

Après avoir suivi 8.000 femmes de la puberté jusqu’à l’aube de leur 30 ans, trois chercheuses américaines ont constaté que celles qui avaient eu leurs premières règles à l’âge de 12 ans ou plus jeunes avaient plus de risques de connaître des symptômes dépressifs et des comportements “antisociaux” et ce, plus de dix ans après l’adolescence.Les participantes suivies dans le cadre de l’étude ont eu leurs premières règles en moyenne à l’âge de 12 ans, tandis que 19% ont passé ce cap à l’âge de 11 ans, 7% à dix ans et 1% à sept ans.Sans établir un lien direct entre

puberté précoce et apparition d’une dépression ou de comportements transgressifs chez les adolescentes, les chercheuses avancent que la puberté précoce constitue cependant un facteur de risque parmi d’autres et devant être pris en considération. L’étude évoque des pubertés précoces pouvant apparaître dès huit ou neuf ans.”Si votre enfant se développe plus tôt que les autres, il est important de porter plus d’attention à son ressenti et à son comportement afin d’envisager d’éventuels traitements (psychothérapie ou médicaments) et de prévenir des problèmes pouvant se manifester plus tard“, conseille aux parents Ellen Selkie, psychologue pour adolescents ayant écrit un texte accompagnant l’étude.Le bouleversement hormonal lié à une exposition aux oestrogènes de façon précoce pourrait expliquer un risque plus élevé de dépression chez les jeunes femmes, suggèrent les chercheuses, qui font également le lien entre le sentiment de se sentir différente qu’éprouvent certaines filles et les changements physiques et la fragilité psychologique accompagnant la puberté.Plus globalement, la puberté précoce, multifactorielle, qui touche de plus en plus de petites filles, serait liée au développement de maladies à l’âge adulte, parmi lesquelles le diabète gestationnel.À noter que les

perturbateurs endocriniens (pesticides, phtalates, bisphénol A…) sont soupçonnés d’être impliqués dans certains troubles comme l’

obésité, le

diabète et la puberté précoce.En France, 1.173 nouveaux cas de puberté précoce par an ont été dénombrés entre 2011 et 2013 chez les filles, d’après les premières données nationales présentées dans le cadre des Rencontres Santé publique France à Paris en mai dernier.Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

4 suspected ISIS members arrested in Germany allegedly planned US basses attacks

Four suspects from ISIS were arrested in Germany for allegedly planning to attack U.S. Air Force bases, German federal prosecutors announced Wednesday.

The federal prosecutors said the suspects were arrested by tactical police early Wednesday in several locations in the state of North Rhine-Westphalia, The Associated Press reported.

The suspects, all citizens from Tajikistan, were named as Azizjon B., Muhammadali G., Farhodshoh K. and Sunatullokh K., without their surnames for privacy reasons. They will all be charged with allegedly belonging to a terrorist organization since January 2019.

Their leader was identified as a 30-year-old Tajik man named Ravsan B., who has been in prison since March 2019 for unspecified reasons, the AP reported. 

The original attack was reportedly supposed to occur in Tajikistan but changed to Germany including the air force bases and a person they said was critical of Islam.

Ravsan B. reportedly accepted a $40,000 contract to assassinate someone in Albania to pay for the attacks, but the assassination failed. Prosecutors said the group had gotten ahold of firearms and ammunition while the leader allegedly ordered materials to construct an explosive device, according to the AP.

Hillicon Valley: Pentagon IG could not determine if White House interfered in cloud contract | Amazon firings fuel controversy over virus response | States begin shifting to mail-in voting | Agencies warn of North Korean cyber threats

Welcome to Hillicon Valley, The Hill’s newsletter detailing all you need to know about the tech and cyber news from Capitol Hill to Silicon Valley. If you don’t already, be sure to sign up for our newsletter with this LINK.

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JEDI? ¯\_(ツ)_/¯ : The Pentagon’s watchdog in a report released on Wednesday said it was not able to “definitively determine” whether the White House influenced the Department of Defense’s (DOD) decision to award a $10 billion cloud-computing contract to Microsoft over Amazon.

The department’s inspector general office said it was unable to rule on the issue because the DOD’s general counsel instructed witnesses not to answer questions about conversations between the White House and Pentagon because of “the assertion of a ‘presidential communications privilege.'”

The report did find, however, that department personnel who evaluated proposals and awarded the Joint Enterprise Defense Infrastructure (JEDI) contract were not pressured by any senior Pentagon leaders.

The 317-page document also determined that giving the JEDI contract to a single company — Microsoft — rather than dividing it among competitors was “consistent with applicable acquisition standards.”

The Pentagon awarded the lucrative military contract to Microsoft in October of last year.

Amazon quickly filed a lawsuit seeking to halt or overhaul the contract, claiming the process was improperly influenced by President TrumpDonald John TrumpRepublicans go on attack as loans for small businesses start to run out Warren: If Biden asked me to be VP, I would say yes NFL considers playing in empty stadiums with 2020 season set to start in September: report MORE, who publicly and privately indicated that he did not want the contract to go to Amazon, which is owned by a frequent target of the president’s criticism, Jeff BezosJeffrey (Jeff) Preston BezosHillicon Valley: Pentagon IG could not determine if White House interfered in cloud contract | Amazon firings fuel controversy over virus response | States begin shifting to mail-in voting | Agencies warn of North Korean cyber threats Pentagon watchdog unable to ‘definitively’ determine if White House influenced JEDI contract Amazon firings fuel controversy over its virus response MORE.  

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AMAZON UNDER SCRUTINY OVER VIRUS RESPONSE AT HOME: Amazon’s move to fire three employees is stoking the controversy over its worker policies during the coronavirus outbreak and bringing new criticism from Washington.

The online retail giant confirmed to The Hill on Tuesday that it had fired three employees who publicly criticized warehouse conditions and safety measures for workers amid the outbreak, adding fuel to the simmering debate.

Those firings followed the dismissal of another worker, Chris Smalls, and the leaking of memos that critics said detailed plans to smear the former Long Island warehouse employee. Lawmakers and regulators slammed Amazon for its treatment of Smalls, and John Oliver brought even more attention to the issue on his HBO show this weekend.

At the center of the controversy is criticism that Amazon has been slow to ease its rules on paid leave for sick employees, provide personal protective equipment and put in place policies to maximize social distancing at facilities.

On Tuesday, the company confirmed that an Amazon warehouse worker died on March 31 after contracting the virus. It is unknown if the worker was exposed at work and Amazon said he did not show any symptoms on his last day on the job.

The company has taken steps to try to reassure employees that it is committed to protecting them. Amazon CEO Jeff Bezos last week visited Amazon warehouses and a Whole Foods store, and the retailer has announced several new safety measures.

At the same time, the company is seeing business boom and has hired 100,000 new workers since the coronavirus crisis began and announced plans to bring on 75,000 more. Amazon stock hit an all-time high on Tuesday, giving the company a market value of more than $1.1 trillion. But the firings are bringing fresh scrutiny on the company’s workplace practices and energizing its toughest critics.

Lawmakers react: “Instead of firing employees who want justice, maybe Jeff Bezos–the richest man in the world–can focus on providing his workers with paid sick leave, a safe workplace, and a livable planet,” Sen. Bernie SandersBernie SandersWarren: If Biden asked me to be VP, I would say yes Hillicon Valley: Pentagon IG could not determine if White House interfered in cloud contract | Amazon firings fuel controversy over virus response | States begin shifting to mail-in voting | Agencies warn of North Korean cyber threats The Hill’s Campaign Report: Warren throws her support behind Biden MORE (I-Vt.) tweeted Tuesday.

Sen. Sherrod BrownSherrod Campbell BrownHillicon Valley: Pentagon IG could not determine if White House interfered in cloud contract | Amazon firings fuel controversy over virus response | States begin shifting to mail-in voting | Agencies warn of North Korean cyber threats Amazon firings fuel controversy over its virus response On The Money: Trump calls decision on reopening economy biggest of his life | IG finds Treasury handled House request for Trump tax returns properly | Federal deficit jumps to 3B in March MORE (D-Ohio) said the company “should be ashamed.”

“Its efforts to vilify, demean, and even fire its own workers who are fighting for their right to better wages, working conditions and benefits are an affront to the people who make this country work – particularly at a time when Amazon warehouse, grocery and delivery workers are on the frontlines of a pandemic and forced to put themselves in harm’s way,” he said in a statement to The Hill.

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… AND UNDER SCRUTINY ABROAD: Amazon said Wednesday that it would temporarily shut down its distribution centers in France after a court ruled that the company could only deliver food, hygiene and medical products until it addressed workplace safety at its warehouses amid the coronavirus pandemic.

The move comes as the online retail giant faces intensifying scrutiny both domestically and abroad over what it’s doing to keep workers safe.

A French union has reportedly accused Amazon of endangering lives, and a court on Tuesday ruled that the company failed to sufficiently protect its warehouse employees, according to reports. The court reportedly gave the company a Wednesday deadline to comply with its order regarding shipments or face a fine of about $1 million per day. 

Amazon, which has vowed to appeal the ruling, said in a statement that it would suspend activities in its French distribution centers. The company pushed back on the ruling, saying that it’s made a “huge investment… to ensure and strengthen safety measures for our employees who remained mobilized during this crisis.”

It also argued that the labor union brought its case despite “concrete evidence” that Amazon had bolstered employee safety at the six distribution centers in France, The New York Times reported. Amazon said that the court ruling would have “consequences” for many French citizens, including thousands of the retail giant’s employees. 

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STATES BEGIN SHIFTING TO MAIL-IN VOTING: The coronavirus pandemic is leading to major shifts in how Americans vote across the country and is forcing some of the most restrictive voting states to embrace change in their election procedures.

The change is most apparent on the East Coast, where governors from New England to the South are signaling a new willingness to expand voting measures such as early voting and mail-in ballots, and on Capitol Hill, where leaders including Speaker Nancy PelosiNancy PelosiRepublicans go on attack as loans for small businesses start to run out Democratic rep pushes for eligibility for coronavirus lending programs to be extended to chambers of commerce Business loan funds almost exhausted as Schumer, Mnuchin wrestle over deal MORE (D-Calif.) are strongly in support.

Support for these efforts is being spurred on by the public, with Democracy Corps finding in a poll conducted over the past month that more than 70 percent of Americans living in key battleground states are in favor of no-excuse absentee voting, which allows for voters to request an absentee ballot without having to state a reason.

Some Republicans, including President Trump, are still staunchly against voting by mail, arguing it could lead to voter fraud and lessen election chances for their party. 

But not all are opposed: A number of Republican governors from states slow to embrace vote-by-mail measures have signaled a newfound openness to it amid the pandemic.

New Hampshire Gov. Chris Sununu (R) announced earlier this month he will allow absentee voting in the Granite State’s September primary, notably adding that he would be open to expanding the practice for the general election if the coronavirus still poses a health threat.

In Massachusetts, Gov. Charlie Baker (R) approved legislation last month that would permit communities in the state to implement mail-only or expanded absentee voting for state and local elections through June. The approval did not extend to the state’s September primary.

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Meanwhile, Maryland Gov. Larry Hogan (R) ordered the state’s June 2 primary to be vote-by-mail and allowed a limited number of polling locations to remain open for those who cannot vote by mail.

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STACEY ABRAMS WEIGHS IN: Former Georgia gubernatorial candidate Stacey Abrams on Wednesday threw her support behind efforts to move towards mail-in voting due to the coronavirus pandemic, calling on Congress to pass legislation giving states $4 billion for these efforts.

“There are deep challenges to the execution of our election if we fail to act,” Abrams told reporters during a press call. “We need Congress to act decisively so that voters across the country do not have to choose between their health and participation in our democracy.”

The coronavirus stimulus package signed into law by President Trump last month included $400 million to help states move forward with elections despite the disruption caused by COVID-19 outbreak. These funds did not come with any requirements for how to use them, and according to Abrams and other mail-in voting advocates was an inadequate amount.

“The price tag for our democracy in 2020 is $4 billion,” Abrams said. “Congress must immediately pass legislation to provide states and territories with the $4 billion necessary to expand vote-by-mail options, including no-excuse absentee voting.”

Abrams has frequently implied that voter suppression efforts by her 2018 opponent for governor in Georgia, then-Secretary of State Brian Kemp, contributed to her narrow loss in the contest.

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LAWSUIT OVER NORTH CAROLINA MACHINES: A group of voting rights advocates filed a lawsuit Wednesday alleging that voting machines used in almost two dozen North Carolina counties are not secure and could lead to voter disenfranchisement in the midst of the COVID-19 pandemic. 

The lawsuit, filed by the North Carolina State Conference of the NAACP and multiple North Carolina voters, alleges that the use of the ExpressVote XL voting machine violates the constitutional right of individuals in the state to free and fair elections, and has cyber vulnerabilities that could lead to election interference. 

The ExpressVote machines involve the voter inputting their choices digitally, with the machine then printing out a paper sheet with a barcode embedded with the voter’s choices. The voting rights advocates point to this system as making it impossible for the average voter to ensure their vote wasn’t changed and was accurate. 

“The ExpressVote is an insecure, unreliable, unverifiable, and unsafe machine that threatens the integrity of North Carolina’s elections,” Rev. Dr. T. Anthony Spearman, president of the North Carolina NAACP, told reporters on Wednesday. “The new electronic system converts voters’ votes and ballots into undecipherable barcodes, forcing voters to cast a vote they cannot read.” 

Spearman urged the North Carolina counties using the machines to immediately “move to hand-marked paper ballots to restore voters’ trust in the integrity of our elections.”

The voting rights advocates also pointed to concerns with using the ExpressVote machines and not paper ballots in the midst of the COVID-19 pandemic. They argued that the need for poll workers to clean and help work the machines would expose them to the virus and potentially lead to long lines that could further endanger the health of voters. 

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REMEMBER NORTH KOREA?: The departments of Homeland Security, State and Treasury along with the FBI on Wednesday issued a joint alert warning of an increase in cyber threats from North Korea.

The agencies warned that North Korea poses a “significant threat” to the global financial system, with hackers targeting these institutions to fund Pyongyang’s weapons of mass destruction and ballistic missile programs to get around sanctions from the United Nations and the United States. 

The agencies wrote in the alert that North Korea “uses cyber capabilities to steal from financial institutions, and has demonstrated a pattern of disruptive and harmful cyber activity that is wholly inconsistent with the growing international consensus on what constitutes responsible State behavior in cyberspace.”

North Korea has repeatedly engaged in cyber-enabled theft and money laundering, and as of late 2019 had attempted to steal around $2 billion through these activities, according to the agencies. Hackers are also alleged to have engaged in extortion campaigns through accessing networks and threatening to shut them down if they are not paid a ransom. 

In order to counter North Korean cybersecurity threats, the U.S. agencies recommended that countries raise awareness of the threat with the public, enhance the cybersecurity of critical infrastructure such as financial institutions, notify law enforcement of any attacks and promote international cooperation on this issue.

“It is vital for the international community, network defenders, and the public to stay vigilant and to work together to mitigate the cyber threat posed by North Korea,” the agencies wrote.  

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FACEBOOK IN HOT WATER: Washington Attorney General Bob Ferguson (D) on Tuesday sued Facebook, alleging the social media giant did not properly disclose details of its political ad sales.

The lawsuit marks the second time Ferguson has sued the company, with Facebook paying $238,000 in penalties and legal costs following a 2018 lawsuit. The state Public Disclosure Commission (PDC) rejected a proposed $75,000 over continuing violations in February, instead referring a complaint to Ferguson’s office, the Seattle Times reported.

Although Facebook said it would stop selling political ads in Washington after the 2018 lawsuit, Ferguson’s office said the company has sold at least 171 ads to political committees in the state for at least $525,000 since November 2018. While selling such ads is legal, the company is required to publicly disclose details about the candidates or measures involved, the cost of the ads and who paid for them.

“Due to Facebook’s widespread failure to comply with the law, it is currently unknown how many total political advertisements or electioneering communications these 159 campaigns or committees sponsored on Facebook with their collective ad buy of more than half a million dollars,” Ferguson’s office said.

“Whether you’re a tech giant or a small newspaper, those who sell political ads must follow our campaign finance law,” Ferguson said in a statement. “Washingtonians have a right to know who’s behind the ads seeking to influence their vote.”

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A LIGHTER CLICK: Picking up new hobbies

 

AN OP-ED TO CHEW ON: Misinformation about coronavirus is more troubling than you think

 

NOTABLE LINKS FROM AROUND THE WEB: 

The virus revealed our essential tech (and weeded out the excess) (The New York Times / Brian Chen) 

With schools closed, teachers are turning to video games to help instruct (The Washington Post / Elise Favis) 

Some tech leaders are blasting the idea of coronavirus bailouts for large corporations (Protocol / Charles Levinson) 

Hackers are selling a critical Zoom vulnerability exploit for $700,000 (Motherboard / Lorenzo Franceschi-Bicchierai)

JPMorgan Chase to raise borrowing standards for home loans

JPMorgan Chase will raise its borrowing standards for the majority of new home loans amid economic fallout from the coronavirus pandemic.

The bank, the nation’s largest lender by assets and fourth-largest mortgage lender in 2019, will require any new mortgage applicants to make a down payment of 20 percent and have a credit score of at least 700 beginning Tuesday, Reuters reported. The bank would not disclose its current minimum requirements but current average down payments are approximately 10 percent.

“Due to the economic uncertainty, we are making temporary changes that will allow us to more closely focus on serving our existing customers,” Amy Bonitatibus, chief marketing officer for JPMorgan Chase’s home lending business, told Reuters.

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With the change, the bank will reduce its exposure to customers who suddenly lose a job or experience a pay cut, as well as those who see their homes lose value, and the bank added that it will give staff more freedom to address an increase in borrowers seeking to refinance their mortgages while staff are working from home.

Refinancing requests reached a more than 10-year high over the past month. Average rates on the most commonly-purchased mortgage, the 30-year fixed-rate mortgage, hit record lows during the same period.

The bank’s existing customers will not be affected by the new rules, nor will customers who qualify for its low-income services that require an at least 3 percent down payment and a 620 credit score, according to Reuters.

 

 

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