Brooklyn Parents Taking Kids To 'Measles Parties,' Officials Say

BROOKLYN, NEW YORK — Brooklyn parents are taking their kids to potentially deadly measles parties rather than get them vaccinated, Health officials said Tuesday.

New York City lawmakers have declared a state of emergency in Brooklyn, where the contagious disease has infected nearly 300 people, and some parents have opted for remedies “from back in the day” that health officials warn could be fatal.

“We have also received reports that there are people attending so-called measles parties,” said Dr. Herminia Palacio, Deputy Mayor for Health and Human Services.

“I must warn you that exposing your unvaccinated child to measles is very dangerous and it could even be deadly.”

Measles parties have seen a resurgence across the nation in recent years among parents who question the vaccination’s efficacy and fear it might cause autism, despite the 2015 report that found no link between the MMR vaccine and the developmental disorder.

The tradition dates back the 19th Century, decades before the MMR vaccine was developed in 1971, when parents would expose their children to the disease in hopes of building a natural immunity against diseases such as measles and chicken pox.

In recent years, pox parties have popped up in San Francisco, Minnesota and even been recommended by Kentucky governor Matt Bevin.

And parents have been sharing instructions on how to apply for vaccine exemptions on websites, social media, and in online forums, said health officials, arguing such “anti-vaxxer propaganda” was preying on New York’s Orthodox Jewish community.

Haaretz journalist Debra Nussbaum Cohen noted in her coverage of the Brooklyn measles outbreak that Haredi, hit hard by the outbreak, has a culture that prefers to find answers to its problems within its community rather than trust outside authorities.

But New York City health commissioner Dr. Oxiris Barbot warned parents measles parties were more likely to endanger children, and the people nearby, than inoculate them against the infectious, airborne disease.

“Back in the day, people were having parties to expose their kids to chicken pox, to measles,” said Barbot. “We live in a different world now.”

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“Thank goodness we haven’t seen a death yet,” Pilasios added. “Please help us keep it that way.”

Malformations congénitales : la pilule contraceptive innocentée

Prendre une pilule contraceptive juste avant ou au début d’une grossesse n’augmente par le risque de malformations congénitales majeures chez le bébé, selon une étude publiée jeudi 6 janvier dans une revue médicale britannique.

Les chercheurs ont constaté que les enfants nés de femmes qui avaient continué à prendre la pilule après le début de leur grossesse n'avaient pas plus de risques de malformations congénitales

Près de 900 000 naissances étudiéesDes chercheurs américains et danois (de la Harvard T.H. Chan School of Public Health et du Statens Serum Institut) sont parvenus à cette conclusion – qui contredit les résultats de certaines études publiées dans le passé – après avoir étudié près de 900 000 naissances vivantes répertoriées au Danemark entre 1997 et 2011.Parmi les sujets de cette étude, environ 2,5 % des enfants souffraient de malformations congénitales telles que des malformations du système nerveux (

spina bifida), du cœur, de l’appareil respiratoire ou urinaire, de la tête ou des membres. Ces malformations liées à des causes connues, telles que l’exposition prénatale à l’alcool ou des aberrations chromosomiques (à l’origine notamment de la

trisomie 21) ont été exclues de l’étude.Le même taux de malformationsLa plupart des mères étudiées (68 %) avaient arrêté les contraceptifs oraux plus de trois mois avant la conception, tandis que 21 % n’avaient jamais pris la

pilule. Seulement 8 % avaient arrêté leur contraception orale moins de trois mois avant leur grossesse tandis qu’1 % avait continué à la prendre alors qu’elles étaient déjà enceintes. En effet, les pilules contraceptives ne sont efficaces que dans 99 % des cas, lorsqu’elles sont parfaitement prises, les cas de grossesses chez les femmes prenant la pilule ne sont donc pas rares.Au final, les chercheurs ont constaté que les enfants nés de femmes qui avaient continué à prendre la pilule après le début de leur grossesse n’avaient pas plus de risques de malformations congénitales que ceux nés de femmes qui n’avaient jamais pris la pilule ou qui l’avaient arrêtée avant d’être enceintes. Le taux de malformations était globalement le même pour toutes ces situations, de l’ordre de 2,5 %, après ajustement pour des facteurs de risque tels que l’âge de la mère, le niveau d’éducation ou de revenu, ou encore le

tabagisme pendant la grossesse.Des résultats rassurants qui contredisent des études précédentesCes résultats devraient “rassurer les femmes qui se sont retrouvées enceintes alors qu’elle prenaient un contraceptif oral ou quelques mois seulement après l’avoir arrêté“ estime Brittany Charlton, principale auteure de cette étude. Selon elle, ils sont d’autant plus rassurants qu’ils sont fondés sur des prescriptions médicales et pas sur les déclarations des femmes, qui peuvent être moins fiables.Dans les années 70 et 80, plusieurs études menées sur des groupes de femmes moins importants, avaient trouvé une association entre la contraception orale (oestroprogestative ou progestative) et des malformations du cœur et des membres. Cette association n’avait toutefois pas été retrouvée dans des études plus récentes.L’hérédité, les

pesticides, le

tabac, l’

alcool, les radiations ionisantes, l’

obésité, les aberrations chromosomiques et les agents infectieux sont à l’heure actuelle considérés comme les principaux facteurs de risque des malformations congénitales. La prise de certains médicaments est également pointée du doigt, le plus tristement célèbre d’entre eux restant la

thalidomide. Prescrit aux femmes enceintes contre la

nausée dans les années 50 et au début des années 60, ce médicament a fait entre 10 000 et 20 000 victimes, nées pour la plupart avec des membres manquants.Avec AFP/RelaxnewsSource : Maternal use of oral contraceptives and risk of birth defects in Denmark: prospective, nationwide cohort study ; Brittany M Charlton, Ditte Mølgaard-Nielsen, Henrik Svanström, Jan Wohlfahrt, Björn Pasternak, Mads Melbye ; British Medical Journal 6/01/2016  (

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Loin des montagnes, le ski pour tous à l'année sur un terril sans neige

Faire du ski à 600 kilomètres des montagnes, c’est possible toute l’année sur la piste synthétique installée en plein air sur un terril de Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais), une station unique en Europe.

Un tapis synthétique constamment humidifié par des brumisateurs en lieu et place de la poudreuse: les sensations de glisse et de vitesse sont au rendez-vous, bien que le ressenti diffère légèrement.©AFP PHOTO/DENIS CHARLET

A 129 mètres d’altitude, la plus basse station de France qui fête son vingtième anniversaire, accueille le public sur trois pistes, hiver comme été, sans qu’aucun flocon ne soit nécessaire à son bon fonctionnement.“C’est comme à la montagne sauf que quand je tombe, j’ai pas froid!“, s’exclame Alexandre, 10 ans, qui, paré de sa combinaison rouge vif et d’un casque, vient de dévaler d’une traite la piste verte de 320 mètres de long.Un tapis synthétique constamment humidifié par des brumisateurs en lieu et place de la poudreuse: les sensations de glisse et de vitesse sont au rendez-vous, bien que le ressenti diffère légèrement.Fierté régionale “On a l’impression d’être sur de la neige fraîche car on descend un peu moins vite et on a besoin d’accentuer davantage ses mouvements. Après avoir appris à skier sur ce revêtement, vous êtes au top pour la

neige !“, explique ainsi Christophe Delos, directeur du site.“Le sol est un peu plus dur, il faut faire attention“, prévient néanmoins Virginie, après sa chute, surprise par une butte. C’est qu’à côté des pistes bleue et verte se dresse une rouge avec 21 bosses…S’y ajoutent trois tremplins, une corniche et même un half-pipe pour les plus téméraires et les snowboarders. “La fédération anglaise y a même organisé ses championnats nationaux de

ski freestyle deux années de suite“, se targue M. Delos.Ouvert en 1996, le lieu fait la fierté de toute la région et attire chaque année quelque 15.000 amateurs de glisse venus principalement des alentours, mais également de Belgique, des Pays-Bas, d’Angleterre ou encore de la région parisienne: deux heures de route seulement séparent la capitale de cette commune du bassin minier de 12.500 habitants.“Paradoxalement, alors que la station est ouverte toute l’année, la fréquentation est plus importante en hiver car on pense plus au ski“, sourit le responsable.Prix modiqueLe site de 10.000 m2, classé “

station de montagne“ et qui propose également des cours collectifs encadrés par des moniteurs fédéraux, bénéficie du même type d’équipements qu’à la Clusaz ou l’Alpe d’Huez avec notamment deux tire-fesses, à prix modique: l’heure de ski, matériel de location compris, oscille entre cinq et huit euros.“Cette piste a un rôle social. Notre objectif n’est bien entendu pas de concurrencer Val-d’Isère mais de permettre à des jeunes ou à des populations parfois en difficulté, d’avoir accès à un loisir souvent inabordable“, explique Thierry Tassez, vice-président de la communauté d’agglomération de l’Artois et en charge de l’aménagement du territoire.Bien que sa gestion par la communauté d’agglomération ne constitue pas “un gouffre financier“, selon l’élu, le site “n’est pas rentable mais doit être considéré comme un véritable service rendu au public“ et vu comme un “atout touristique“.De quoi contribuer en partie à tourner la page d’un glorieux passé minier, après la fermeture du dernier puits de la commune, en 1968, pour se lancer dans le “défi de la reconversion“.“Dans le bassin minier, dévaler les pentes de schiste sur le couvercle d’une +bouilleuse+ (l’ancêtre de la machine à laver, ndlr) était une pratique très répandue. L’idée a germé jusqu’à ce que le maire d’alors propose un concept révolutionnaire pour l’époque: faire du ski, chez les Ch’tis, toute l’année“, s’enthousiasme M. Tassez, fin connaisseur de l’histoire locale.Se réjouissant que la météo ne soit pas un facteur défavorable “pour une fois dans le nord“, il ironise: “et s’il y a de la neige, on peut même faire du hors-piste!“ ailleurs sur le terril…AFP/RelaxnewsClick Here: los jaguares argentina

Greffe de rein : patients et professionnels réclament le remboursement d’un antirejet

Le belatacept, un médicament antirejet plus efficace et mieux toléré que les autres médicaments, n’est toujours pas remboursé malgré les demandes de l’association de patients Renaloo. Dans une lettre ouverte à Marisol Touraine, l’association réclame à nouveau le remboursement sans délai du belatacept, cette fois avec le soutien de la Société francophone de transplantation.

Le médicament antirejet belatacept, plus efficace et mieux toléré après greffe rénale, n'est toujours pas remboursé en France.

Une demande réitérée depuis 2013Dans un communiqué, l’association fait savoir que depuis plusieurs années,

Renaloo se bat pour obtenir le remboursement du

belatacept, un nouvel antirejet dont les résultats sont très supérieurs aux autres traitements chez les patients ayant bénéficié d’une

greffe rénale mais “dont l’accès reste pour le moment interdit aux patients en France“. En effet, en décembre 2013, Renaloo et la FNAIR (Fédération nationale d’aide aux insuffisants rénaux

) adressaient une lettre ouverte à la ministre de la Santé réclamant le remboursement du belatacept , demande qui est restée lettre morte jusqu’à aujourd’hui.Plus efficace et mieux toléréAvec un recul de 7 ans, des études sur les médicaments antirejet montrent que, comparativement à la

ciclosporine, le belatacept réduit, pour la première fois depuis 30 ans, la mortalité et la perte des reins transplantés. Le médicament est aussi associé à une diminution du risque de décès ou de perte du greffon rénal de 43 %. Par ailleurs, l’utilisation du belatacept améliore la fonction du greffon de 30 %, comparativement à la ciclosporine, avec un gain de survie du greffon de 2 ans. Enfin, il y a moins de complications cardiovasculaires et métaboliques et aucune toxicité pour le rein greffé.“Malgré tous ces éléments, les autorités de santé françaises considèrent depuis sa mise sur le marché que l’amélioration du service médical rendu (ASMR) du belatacept est mineure“, s’insurge Renaloo. D’où cette nouvelle lettre ouverte adressée à la ministre de la Santé pour obtenir sans délai l’accès des patients au belatacept car “le temps passe, l’intérêt du belatacept est maintenant avéré, mais il reste inaccessible pour les malades… et les pertes de chances s’accumulent“.Cette demande sera-t-elle entendue cette-fois ?Dr Jesus CardenasSource : Communiqué de l’association Renaloo du 4 février 2016 (

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Quelques minutes d'activité par jour en plus pour augmenter son espérance de vie

Une nouvelle étude américaine vient étayer bon nombre de recherches précédentes sur les effets délétères de la sédentarité sur la santé. Elle montre que les personnes qui bougent plus font reculer leur risque de mortalité.

En remplaçant quelques minutes par jour de sédentarité par de l'activité, même faible, aide à réduire le risque de mortalité.

Des chercheurs de plusieurs universités américaines ont suivi 3029 participants, âgés de 50 à 79 ans, dans le cadre du National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES). Cette enquête, chapeautée par l’agence nationale de santé américaine CDC, visait à évaluer la santé d’enfants et d’adultes à travers les États-Unis.Les participants à l’enquête devaient porter des accéléromètres très sensibles, plus performants que ceux utilisés dans les études précédentes, pour suivre leur activité sept jours d’affilée. Les données ont été recueillies par le CDC, qui a ensuite suivi les taux de mortalité des participants au cours des huit années suivantes.Après avoir analysé les données en prenant en compte d’autres facteurs de mortalité comme les maladies chroniques, le tabagisme, l’âge et le sexe, les résultats ont montré qu’en ne remplaçant que quelques minutes de

sédentarité par de l’activité aidait à réduire le risque de mortalité. Les mêmes résultats ont été enregistrés par les personnes déjà habituées à faire régulièrement de l’exercice.
Les scientifiques ont aussi trouvé que, pendant l’étude, les participants les moins actifs étaient cinq fois plus susceptibles de mourir que les plus actifs, et trois fois plus susceptibles de décéder que les personnes qui figuraient dans la catégorie des personnes plutôt actives.
Mais la bonne nouvelle est que l’activité n’a même pas besoin d’être soutenue pour produire des effets. “Les personnes qui marchaient dans leur maison, faisaient la vaisselle ou passaient le balai enregistraient une espérance de vie plus longue que celles qui restaient assises à leur bureau“, a commenté Ezra Fishman, en charge de cette étude. Et de préciser que “l’activité n’a pas besoin d’être particulièrement vigoureuse pour être bénéfique. C’est ça le message de santé publique“.Les chercheurs ont trouvé que le fait d’ajouter à peine 10 minutes par jour de faible activité pouvait suffire à faire la différence sur les taux de mortalité. En augmentant l’activité à 30 minutes par jour, les résultats étaient encore plus probants.Source :

Medicine & Science in Sports & Exercise.AFP/RelaxnewsClick Here: cheap nrl jerseys

Manque de sommeil : trop d’écrans dans le lit des Français !

Près de quatre Français sur dix utilisent leur ordinateur, tablette ou Smartphone le soir dans leur lit. C’est en effet le constat dressé par l’Institut national du sommeil et de la vigilance, qui met en garde contre ces excès d’usage, délétères pour le sommeil.

Plus de la moitié des “accros“ aux écrans le soir sous la couette ont entre 18 et 34 ans.

La nuit, la moitié des Français n’éteignent pas leur Smartphone ou portable et le gardent soit en fonctionnement (un sur cinq), soit en veille dans leur chambre pendant qu’ils dorment, selon une enquête réalisée par l’Institut national du sommeil et de la vigilance.La moitié des usagers reconnaissent qu’ils sont réveillés “chaque nuit, souvent ou parfois“ par des messages. Parmi eux, 92 % assurent consulter “toujours (ou presque), souvent ou parfois“ leurs SMS nocturnes et 79 % déclarent “répondre aux messages dès réception“.Les jeunes, les plus accros aux écrans sous la couette Plus de la moitié des “accros“ aux écrans le soir sous la couette ont entre 18 et 34 ans. Parmi ces utilisateurs, les 18-24 ans ont plus de trouble du sommeil que ceux du même âge qui n’utilisent pas leurs écrans la nuit, les jours de travail (31 % contre 18 %).La lumière des écrans affecte l’horloge biologiqueLa lumière des écrans délivre un signal d’éveil à contretemps et perturbe l’horloge biologique qui n’assure plus un endormissement rapide, ni un sommeil récupérateur, relèvent les spécialistes. L’enquête montre une méconnaissance de ces signaux lumineux qui nuisent à un sommeil de qualité, puisque environ un Français sur dix pense que les outils électroniques sont à utiliser “plutôt le soir“ pour préserver le sommeil.Ainsi, ils tardent à éteindre (jusqu’à 40 minutes en moyenne contre 27 pour les autres) et mettent aussi plus de temps à s’endormir. Ils se plaignent plus souvent de mal dormir, et récupèrent en dormant plus le week-end que la moyenne.Les Français se déconnectent davantage en vacancesPoint encourageant tout de même, pendant les vacances et jours de repos, les Français laissent de côté les écrans. L’usage des nouvelles technologies le soir, au lit, touche 36 % des personnes interrogées les jours de repos ou de vacances.Si plus de 80 % des personnes interrogées disent qu’il leur arrive de penser à se déconnecter (mails, réseaux sociaux, sms, Tweeter…), 18 % ne se déconnectent jamais. Les 18-24 ans sont, eux, un sur quatre à ne jamais déconnecter pendant les vacances.Enquête Santé Opinion Way réalisée auprès d’un échantillon national représentatif de 1.013 personnes âgées de 18 à 65 ans entre le 3 et le 13 décembre 2015 à l’occasion de la 16e journée du sommeil, qui aura lieu le 18 mars prochain.AFP/RelaxnewsSource : Institut national du sommeil et de la vigilanceClick Here: cheap Cowboys jersey

Marionnaud collecte et recycle vos produits de beauté

Marionnaud s’engage pour l’environnement et une consommation responsable en proposant à sa clientèle de collecter et de recycler les produits de beauté vides.

84% des Français considèrent qu'il est important qu'une enseigne de distribution facilite les gestes éco-responsables des citoyens².

Marionnaud se mobilise pour sensibiliser les consommateurs au tri sélectif en jouant un rôle d’acteur environnemental en partenariat avec Veolia.L’enseigne invite ses clients à rapporter leurs flacons de

parfum, vernis à ongles, pots et tubes de crème, rouge à lèvres, eyeliners, palettes de maquillage et mascaras dans les 515 magasins installés en France. La collecte inclus tous les produits de beauté ou non chez Marionnaud. Ce geste éco-citoyen est récompensé puisque les clients disposant d’une carte de fidélité peuvent profiter d’une remise immédiate de 20% sur leur produit de beauté préféré (incluant les soins en institut) et leur carte est créditée d’un bonus de 25 points à partir de 10 euros d’achat. Comment Marionnaud recycle les produits de beauté ? 

Le recyclage des produits de beauté en chiffresChaque année, 47,6 millions de flacons de parfum et 440 millions de produits de soin et de maquillage sont vendus en France1.  Selon une enquête menée par l’IFOP pour Marionnaud², 1 Français sur 2 déclare trier de manière régulière les tubes ou pots en plastiques des produits de beauté et de toilette, tandis que 21% des femmes affirment trier régulièrement les vernis à ongles et les produits de maquillage vides, 41 % les flacons de parfum en verre et 44% les pots de crème en verre.66% expriment leur intérêt pour une enseigne de beauté qui proposerait de recycler l’ensemble de leurs produits de beauté, qu’ils soient en verre ou en plastique. Enfin, près de 8 Français sur 10 déclarent vouloir se rendre dans une enseigne de beauté qui proposerait ce type de service pour y ramener leurs produits vides, un choix partagé par près de 9 femmes sur 10.Aurélie SognySources : 
1 – Kantar Worldpanel – Panel Beauty – 35 000 individus – 2015.
2 – Enquête IFOP pour Marionnaud – Les Français, le tri sélectif et le recyclage des produits de beauté – 1002 individus – Février 2016. Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Faire du sport permet de mieux réussir à l'école

Une déclaration commune parue cette semaine dans le British Journal of Sports Medicine par une équipe internationale de chercheurs souligne qu’en plus des bienfaits sur la santé, l’exercice physique augmente les capacités cognitives et les performances académiques des enfants et des jeunes adultes.

Prendre du temps pour le sport sur les heures dédiées à l'école est un bon investissement pour l'avenir des enfants, selon une déclaration conjointe de chercheurs internationaux reprise par le British Journal of Sports Medicine.

Des experts médicaux émanant du Royaume-Uni, de Scandinavie et d’Amérique du Nord sont tombés d’accord.Ensemble, ils ont rédigé 21 déclarations sur quatre thématiques en lien avec la forme et la santé, la performance intellectuelle, l’investissement, la motivation et le bien-être, ainsi que l’inclusion sociale en regardant l’activité physique structurée et libre chez les 6-18 ans, à la fois à l’école et pendant leur temps libre.Leur déclaration commune suggère que le fait de prendre du temps pour le sport sur les heures dédiées à l’école est un bon investissement pour les enfants. Parce qu’au lieu de réduire leurs chances d’obtenir de bons résultats scolaires, l’exercice dope leurs performances académiques.Les scientifiques avancent aussi que l’activité physique et la forme cardiorespiratoire sont bénéfiques au développement cérébral des enfants et des jeunes adultes, et que le fait de maîtriser des mouvements sportifs mêmes basiques peut aider à doper les fonctions cérébrales et la performance académique.Leur déclaration précise aussi qu’une simple séance d’exercice avant, pendant et après l’école, dope les résultats scolaires, une simple séance d’activité d’intensité modérée montrant des effets positifs sur les fonctions cérébrales, l’intellect et les résultats scolaires.Leur déclaration revient aussi sur les bienfaits physiques de l’exercice, qui aide notamment à réduire le risque de contracter des

maladies cardiaques et le

diabète de type 2 sur le long terme. Ils tiennent par ailleurs à souligner qu’elle contribue à développer d’importantes capacités, de doper l’

estime de soi, la

motivation, la

confiance, le bien-être, de renforcer les relations avec leurs pairs, leurs parents et leurs entraîneurs sportifs.Avec leur déclaration ils ont conclu que le fait d’incorporer l’activité physique à chaque aspect de la vie scolaire et offrir des espaces sécurisés dans l’espace public pour le sport (comme des pistes cyclables, des parcs et des ères de jeu) sont “à la fois des stratégies efficaces pour offrir un accès équitable à tous et augmenter l’activité physique pour les enfants et les jeunes”.

Recrudescence des témoignages d'actes homophobes

Le 21erapport de l’association SOS Homophobie témoigne d’une recrudescence des signalements d’actes homophobes de 20% par rapport à l’année précédente. Après deux années consécutives de baisse, cette tendance confirme également qu’Internet est le plus propice au développement de la parole homophobe et transphobe.

La journée internationale contre l’homophobie et la transphobie du 17 mai prochain, s’articule sous le thème "Peu importe le genre".

Sommaire

  1. Recrudescence des témoignages d’actes transphobes
  2. Des paroles et des agressions révoltantes
  3. Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, le 17 mai prochain

Recrudescence des témoignages d’actes transphobesAprès deux années consécutives de baisse des témoignages, le rapport de SOS homophobie dresse le constat d’une progression de 19,5 % des témoignages reçus par l’association en 2016 (l’association a recensé pour l’an dernier 1515 actes homophobes, contre 1318 l’année dernière). Les principales conclusions du rapport témoignent de ces violences :

  • Les personnes trans sont parmi les premières victimes de cette hausse (+ 76 % de témoignages).
  • La haine envers les personnes lesbiennes, gays, bies et trans (LGBT) persiste toujours aussi profondément dans notre société.
  • Internet reste le lieu le plus propice au développement de la parole homophobe et transphobe (22,5 % des témoignages).
  • L’homophobie quotidienne, subie dans le contexte familial et dans l’entourage proche, dans les lieux publics, à l’école ou au travail, demeure très importante (42 % des témoignages).

Certes, ce rapport n’a pas une valeur scientifique mais faute de statistiques officielles, ce sont les seules données disponibles.Des paroles et des agressions révoltantesParallèlement aux avancés accomplis en faveur des droits et libertés des personnes lesbiennes, gays, bies et trans, le rapport témoigne d’une banalisation des discours de rejet et de haine les remettant en cause. Si Internet, par l’anonymat qu’il permet, peut libérer la parole homophobe, ces violences ne sont pas que virtuelles comme en témoignent les nombreux témoignages de harcèlement et d’agressions physiques.”Chaque mot, chaque acte qui tolère, légitime ou encourage l’homophobie et la transphobie rend celle ou celui qui les prononce, celle ou celui qui les commet, complice et coupable des violences que subissent les personnes lesbiennes, gays, bies et trans” déclare l’association dans son communiqué.

Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, le 17 mai prochainAu lendemain des élections, SOS homophobie déclare qu’elle “sera particulièrement attentive à la mise en œuvre par celles et ceux qui nous gouvernent de mesures concrètes pour lutter contre les LGBTphobies, notamment celles contenues dans le cadre du récent plan de mobilisation contre la haine et les discriminations anti-LGBT de la DILCRAH”.Cette année, la journée internationale contre l’homophobie et la transphobie du 17 mai prochain, s’articule sous le thème “Peu importe le genre” et met en lumière certains enjeux humains que vivent les personnes trans afin d’y sensibiliser le grand public.

Overnight Defense: Pentagon chief open to reinstating fired captain | First service member with virus cleared | Republican proposes $6B fund to counter China

Happy Thursday and welcome to Overnight Defense. 

I’m Ellen Mitchell, and here’s your nightly guide to the latest developments at the Pentagon, on Capitol Hill and beyond. If you haven’t already, CLICK HERE to subscribe to the newsletter.

 

THE TOPLINE: An email containing a now-famous memo from the captain of the USS Theodore Roosevelt aircraft carrier reportedly was sent to fewer people than the Navy said it was when officials justified firing him.

The email from Capt. Brett Crozier was sent to three admirals and copied to seven other captains, according to a copy obtained by The Washington Post. The revelation contradicts former acting Navy Secretary Thomas Modly’s assertion it was sent to “20 or 30” people. 

Attached to the email was the letter Crozier wrote pleading for help because of a coronavirus outbreak aboard the Roosevelt. The letter has now been widely reported, but the email it was attached to had not been released before the Post’s report.

The unseen email: In the email Crozier called the recipients “incredible leaders” who he would “gladly … follow into battle whenever need.”

“I fully realize that I bear responsibility for not demanding more decisive action the moment we pulled in, but at this point my only priority is the continued well-being of the crew and embarked staff,” Crozier wrote. “As you know, the accountability of a commanding officer is absolute, and I believe if there is ever a time to ask for help it is now regardless of the impact on my career.”

The email was addressed to Rear Adm. Stuart Baker, commander of the Roosevelt’s carrier strike group; Adm. John Aquilino, commander of U.S. Pacific Fleet; and Vice Adm. DeWolfe Miller, commander of Naval Air Forces along with seven other captains. 

The fallout: Crozier was fired after the attached memo — which warned that “sailors do not have to die” — leaked to the press.

At a news conference announcing Crozier’s firing, Modly cited the number of people the email was sent to as one of the reasons he lost confidence in Crozier’s ability to command the ship.

“It was copied to 20 or 30 other people,” Modly said then. “That’s just not acceptable. He did not take care and what that did is it created a little bit of a panic on the ship.”

Modly later resigned after traveling to Guam to give a speech aboard the Roosevelt where he called Crozier “stupid” or “naive.”

A possible reinstatement?: Vice Chief of Naval Operations Adm. Robert Burke conducted an investigation into the situation on the Roosevelt. The results are being reviewed by Chief of Naval Operations Adm. Michael Gilday and are expected to be released as soon as this week.

Secretary of Defense Mark Esper on Thursday said that he has “an open mind” to the possibility of reinstating Crozier after the investigation makes the rounds.

“I directed that investigation a couple weeks ago; it concluded late last week. It is now with the Navy; it will come to me at some point in time. As I am in the chain of command I can’t comment on it further, but I’ve got to keep an open mind with regard to everything,” Esper said on NBC’s “Today.” 

Growing cases: As of Thursday, 655 sailors from the Roosevelt have tested positive for the virus. One sailor has died, and six are in the hospital, with one of them in intensive care.

 

In other coronavirus news …

 

First service member with coronavirus cleared: The first U.S. service member to test positive for the coronavirus has been declared virus-free after seven weeks of isolation, U.S. Forces Korea (USFK) said Thursday.

The 23-year-old male soldier was cleared to leave isolation after being asymptomatic for more than a week, being fever-free without using medicine, testing negative for the virus on two tests taken 24 hours apart and being cleared by military medical providers, U.S. Forces Korea said in a news release.

The soldier is now at his off-base home near Camp Carroll in South Korea and is waiting for a decision on when he will return to duty, the release added.

The soldier was first diagnosed with COVID-19 on Feb. 26 and his wife tested positive for the virus two days later.

Low numbers: USFK has had only two active-duty service members test positive for the virus out of the 28,000 U.S. troops stationed in South Korea, while 22 other cases have been reported among dependents, contractors and civilians.

“USFK remains at a high level of readiness with only two active duty service members who’ve tested positive for COVID-19, and continues to maintain a robust combined defense posture to protect the Republic of Korea against any threat or adversary while maintaining prudent preventive measures to protect the force,” the news release said.

In addition to the soldier cleared Thursday, 10 U.S. and Korean dependents and civilians connected to USFK have been declared virus-free since March 15, the release added.

 

IN OTHER NEWS … TOP REPUBLICAN PROPOSES $6B TO COUNTER CHINA: The top Republican on the House Armed Services Committee proposed a new fund focused on countering China in the Indo-Pacific region, starting with $6 billion next year.

Dubbed the Indo-Pacific Deterrence Initiative, the draft legislation unveiled Thursday by Rep. Mac ThornberryWilliam (Mac) McClellan ThornberryOvernight Defense: Pentagon chief open to reinstating fired captain | First service member with virus cleared | Republican proposes B fund to counter China Key Republican proposes B to counter China in Indo-Pacific Pentagon gets heat over protecting service members from coronavirus MORE (R-Texas) is modeled off the European Deterrence Initiative created in 2014 to counter Russia.

“Senior officials from both parties, military commanders, and international security experts have told us for years that the Indo-Pacific must be this country’s priority theater,” Thornberry said in a statement. “They are absolutely correct, and it is time to put our money where our mouth is.”

A likely add: A counter-China fund appears likely to make it into the annual defense policy bill in some form. A spokeswoman for House Armed Services Committee Chairman Adam SmithDavid (Adam) Adam SmithOvernight Defense: Pentagon chief open to reinstating fired captain | First service member with virus cleared | Republican proposes B fund to counter China Key Republican proposes B to counter China in Indo-Pacific Top Democrats push Trump administration on lapsed cost-sharing deal with South Korea MORE (D-Wash.) said Thursday he has already been looking at including such a program in the next National Defense Authorization Act (NDAA).

“Mr. Smith is glad that Mr. Thornberry supports the creation of an Indo-Pacific Reassurance Initiative,” committee Democratic spokeswoman Monica Matoush said in statement. “It is a policy priority that the chairman has been working on since last fall with the intention of including a related provision in the FY21 NDAA.”

 

What the $6B would cover: The $6 billion in Thornberry’s legislation would cover missile defense, intelligence activities, the prepositioning of equipment, troop rotations, military construction, work with allies and partners, and training exercises.

“These are not all new programs, but by pulling them together under one policy we will be better able to judge our own commitment here at home, demonstrate our resolve to our allies and partners, and deter China,” Thornberry said in his statement.

He acknowledged all $6 billion he is proposing may not be approved this year but said “it is important that we make a start, and then use this legislation to measure our progress going forward.”

 

ON TAP FOR TOMORROW

The Navy League’s “Sea-Air-Space 2020: Virtual Edition” continues with a panel on space and artificial intelligence with several defense officials at 1 p.m. 

 

ICYMI

— The Hill: FBI sees spike in cyber crime reports during coronavirus pandemic
 
— The Hill: 11 Iranian ships come close to U.S. military vessels in ‘dangerous and provocative’ move
 
— The Hill: US officials investigating whether coronavirus originated in Chinese laboratory: report
 
— The Hill: Opinion: Excessive nuclear force modernization should be the next COVID-19 victim
 
— CNBC: Army launches ‘Shark Tank’-style competition for ventilator designs, successful ideas get $100,000

— Army Times: One training battalion at Fort Jackson had 50 coronavirus cases; basic combat training to continue
 
— Military.com: Navy Believes Delivery Flights, Not Vietnam Port Stop, Brought Virus to Carrier

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