Ethiopian Airlines Plane Crashes; 8 Americans Among Dead

ADDIS ABABA, ETHIOPIA — Eight Americans were among 150 people killed early Sunday when an Ethiopian Airlines plane crashed shortly after takeoff near Addis Ababa. The airline confirmed that Flight 302 departed from the Ethiopian capital around 8:40 a.m. local time, bound for Nairobi, Kenya. Just six minutes later, Bole International Airport lost contact with the plane.

The pilot had issued a distress call before losing contact and was cleared to return, airline CEO Tewolde Gebremariam told reporters. It crashed near Bishoftu.

“The group CEO who is at the accident scene right now regrets to confirm that there are no survivors,” the airline wrote in an accident bulletin around 7:15 a.m. Eastern Time. “He expresses his profound sympathy and condolences to the families and loved ones of passengers and crew who lost their lives in this tragic accident.”

See also: Ethiopian Airlines Plane Crash In Photos: Mangled Metal, Despair

The airline said it believes 157 people were on board, including 149 passengers.

The cause of the crash wasn’t immediately clear. The aircraft was a Boeing 737-8 MAX plane, The Associated Press reported, a new plane that was delivered just four months ago.

The plane showed unstable vertical speed after takeoff, according to air traffic monitor Flightradar 24. Visibility was clear.

Worried families gathered at the airport in Nairobi, the AP reported.

“I came to the airport to receive my brother but I have been told there is a problem,” Agnes Muilu said. “I just pray that he is safe or he was not on it.”

“Why are they taking us round and round, it is all over the news that the plane crashed,” said Edwin Ong’undi, who had been waiting for his sister. “All we are asking for is information to know about their fate.”

The aircraft last received maintenance Feb. 4 and had flown just 1,200 hours, AP reported. The pilot joined the airline in 2010.

L'affichage des allergènes alimentaires obligatoire à partir du 1er juillet

À compter du 1er juillet 2015, tous les contenants alimentaires emballés vendus en grande surface, mais aussi servis dans les cantines et restaurants devront mentionner la présence d’allergènes, selon un décret d’application européen qui vient d’être publié.

Une liste de 14 substances allergisantes parmi lesquelles gluten, lait, œufs, arachides, soja, fruits à coque devront obligatoirement être affichées sur les emballages des produits alimentaires à partir du 1er juillet 2015.

14 substances allergisantes sont concernées Une liste de 14 substances allergisantes parmi lesquelles

gluten, lait, oeufs, arachides, soja, crustacés, poissons (hormis les gélatines de poissons), fruits à coque, céleri, moutarde, graines de sésame, sulfite (à partir d’une certaine concentration), lupin et mollusques sont concernées par ce nouveau décret. Les produits bruts, transformés et leurs dérivés sont inclus.Le décret n°2015-447 rend obligatoire à partir du 1er juillet 2015 “l’information relative à la présence de substances ou produits provoquant des allergies ou intolérances“ sur les emballages des produits alimentaires, ainsi que dans les restaurants, cantines et commerces de vente à la découpe.Les professionnels concernés sont donc tous les commerçants de produits alimentaires, restaurateurs, traiteurs, ainsi que les cantines et le secteur de la restauration collective.Le consommateur ne doit pas avoir à demander s’il y a des allergènes– Les denrées préemballées devront faire l’objet d’un étiquetage, précise le décret.- Les denrées non préemballées ou aliments ne possédant pas d’étiquettes, servis dans les cantines, restaurants ou à la coupe dans les traiteurs rayons des supermarchés, devront “porter à la connaissance du consommateur, sous forme écrite, de façon lisible et visible des lieux où est admis le public“ soit sur leurs vitrines ou dans un document d’information écrit, la présence d’

allergènes. Le consommateur ne doit pas avoir à en faire la demande, précise la secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation, dans un communiqué en date du 21 avril.- Les produits en vue d’une “consommation immédiate“ (traiteurs des petits commerces, bouchers et charcutiers) devront signaler l’information à proximité immédiate de l’aliment de façon à ce que le consommateur n’ait aucun doute sur le produit concerné.Près de 8% des enfants souffrent d’allergies alimentairesLes professionnels des cantines ou établissements de restauration collective devront quant à eux tenir à jour un document d’information écrit mentionnant la présence d’allergènes dans les plats proposés. Ce document devra être facilement accessible par le consommateur.Cette information était prévue depuis décembre 2014. Elle “vise à permettre aux consommateurs allergiques d’être informés du risque qu’ils peuvent courir, de choisir en connaissance de cause, les aliments qui leur conviennent et, le cas échéant, d’écarter ceux qui ne correspondent pas à leur régime alimentaire“, précise le communiqué.Les allergies alimentaires connaissent une importante progression ces dernières années, particulièrement chez les enfants. Près de 8% d’entre eux seraient concernés selon l’Agence française de sécurité des aliments (Afssa).AFP/RelaxnewsSource : Décret n° 2015-447 du 17 avril 2015 relatif à l’information des consommateurs sur les allergènes et les denrées alimentaires non préemballées (

disponible en ligne).

Cigarette électronique: l'accident pose la question de l'application de normes spécifiques

L’explosion d’une cigarette électronique (E-cigarette) qui a blessé samedi un jeune homme près de Nantes rend plus que jamais indispensable l’application de normes dédiées, soulignent les acteurs de la vape, même si plusieurs soupçonnent dans ce cas l’utilisation d’une contrefaçon.

Plus de 12 millions de Français ont déjà essayé la cigarette électronique. Un quart d'entre eux vapotent quotidiennement.

Cigarettes électroniques : des batteries qui explosent L’homme de 21 ans, sérieusement brûlé à la main, est toujours hospitalisé et a eu deux tendons sectionnés, a indiqué mardi à l’AFP la gendarmerie. L’accident serait dû à une batterie défectueuse, selon la gendarmerie, qui a exclu un modèle contrefait de vapoteuse, le client l’ayant acheté dans une boutique ayant “pignon sur rue“.C’est la seconde fois qu’un accident de ce type survient en France, après l’explosion d’une batterie qui avait brûlé une sexagénaire l’an dernier à Limoges. Selon son avocat, Me Emmanuelle Pouyadoux, sa plainte a été classée sans suite mais sa cliente va “agir au civil en référé expertise pour savoir ce qui s’est passé“.Si les acteurs de la filière reconnaissent qu’il s’agit “d’accidents malheureux“, ils tiennent à rassurer en expliquant que les cas sont rarissimes.Un risque très faible“Comme dans tout processus industriel, le risque zéro n’existe pas, mais il est infinitésimal“, commente Rémi Parola, porte-parole de la Fédération des professionnels de la cigarette électronique (Fivape), pour qui ces accidents “relèvent de la vie des batteries lithium-ion que l’on retrouve dans les téléphones portables“.Certains craignent cependant que cette mauvaise publicité n’ait des répercussions négatives sur un marché, qui compte 1,5 million d’utilisateurs réguliers, 3 millions avec les vapoteurs occasionnels. “Avec un accident pour un million d’utilisateurs, les statistiques ne dépassent pas celles des autres produits fonctionnant avec des batteries lithium-ion“, note Brice Lepoutre, président de l’association de vapoteurs Aiduce. “Mais j’ai peur du retour au tabac de nombreuses personnes, alors qu’il faut garder à l’esprit que les probabilités de mourir à cause du tabac sont d’une sur deux“, rappelle-t-il. Gare aux contrefaçons !Après avoir observé les photos de l’appareil incriminé dans l’accident survenu ce week-end près de Nantes, plusieurs acteurs de la filière ont assuré à l’AFP qu’il s’agissait d’un “clone“, une contrefaçon dans le jargon des vapoteurs.Ce qui est certain à ce stade, c’est que l’accident a été causé par l’explosion d’un matériel commercialisé dans le réseau de boutiques Ci-Klop, comme le confirme le fondateur de l’enseigne, Fabrice Barrette. “Cela fait plus de trois ans que nous sommes sur le marché et nous n’avons jamais eu de souci avec notre matériel, on ne sait pas ce qui s’est passé“, assure le dirigeant à l’AFP, qui dit avoir rappelé les produits jugés risqués par mesure de sécurité.Mais pour Stéphane d’Elia, fabricant et distributeur, qui a fondé l’enseigne Cigaverte, la e-cigarette est clairement une copie chinoise qu’il appelle “decepticon“, du nom des personnages de Transformers. “On voit que l’appareil est monté avec un +clearomiseur+ (partie supérieure de la e-cigarette qui contient le e-liquide, NDLR) dont les originaux ne sont même plus en vente“, analyse-t-il. Une copie connue selon lui pour avoir un “gros défaut de fabrication“, à savoir l’absence de trous de sécurité pour permettre au gaz de s’échapper en cas de surchauffe. Un défaut que confirme un autre distributeur, qui souligne de surcroît que la batterie est un générique bas de gamme et que la copie se vend 30 euros quand l’original est à 200 euros. Jean-Philippe Planchon, fondateur de myVapors Europe, qui distribue les marques Joyetech et Eleaf, se dit lui “très étonné“ par le nombre de contrefaçons. “Au moins 10% des produits que nous retrouvons dans notre service après vente sont contrefaits“, constate-t-il. Ce qu’il explique par le fait que le marché n’est pas encore structuré. “C’est la ruée vers l’or et il y a beaucoup d’opportunisme“, lâche-t-il.Des normes mises en place récemmentDans ce contexte, la solution pourrait venir de la mise en place progressive de normes propres à la e-cigarette. L’Afnor a présenté en avril deux de ces nouvelles normes, pour l’instant non contraignantes mais qui le deviendront à terme. L’une prévoit notamment un système bloquant la vaporisation à 10 secondes pour éviter la surchauffe.“Nous avons repris les normes ISO existantes pour la fabrication des batteries“, explique Bertrand Dautzenberg, professeur en pneumologie et président de la commission de normalisation. Du côté des distributeurs, certains comme Franck Delille, de Cigusto, disent se battre pour qu’une norme encadre également les boutiques. Selon le baromètre santé 2014 de l’Inpes, 400.000 Français ont totalement cessé leur consommation de tabac grâce à la e-cigarette.AFP/RelaxnewsClick Here: Cardiff Blues Store

Toxoplasmose : de moins en moins de femmes enceintes immunisées

La séroprévalence (nombre de personnes atteintes) de la toxoplasmose chez les femmes enceintes est passée de 54,3 % en 1995 à 36,7 % en 2010, révèle une étude de l’Institut de veille sanitaire (Invs). Une baisse qui implique une surveillance mensuelle plus importante des futures mèrescar moins immunisées contre la maladie.

Généralement bénigne, la toxoplasmose peut être très grave si elle survient pendant la grossesse, entraînant un risque de lésions du système nerveux central du fœtus. 

Une maladie grave pendant la grossesse
La

toxoplasmose est une

zoonose (infection transmise par les animaux) due à un protozoaire, pouvant évoluer dans toutes les espèces animales sous forme latente (infection toxoplasmique) ou sous forme évolutive (maladie toxoplasmique). L’homme se contamine en consommant de l’eau ou des aliments contaminés. Généralement bénigne, elle peut être très grave si elle survient pendant la grossesse, entraînant un risque de lésions du système nerveux central du

fœtus.
Dans son Bulletin épidémiologique hebdomadaire, l’InVS rapporte une baisse du nombre de femmes enceintes porteuses de la toxoplasmose entre 1995 et 2010, passant de 54,3 % à 36,7 %. Pour parvenir à ce résultat, l’institut s’est appuyé sur les données des Enquêtes nationales périnatales (ENP) réalisées en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer, en 1995, 2003 et 2010, sur plus de 42 000 femmes enceintes.Une baisse liée à des changements dans les habitudes alimentaires
Cette baisse s’explique notamment par des changements dans les habitudes alimentaires et une amélioration des mesures d’hygiène alimentaire. “La séroprévalence est significativement associée à l’âge, à la région de résidence et à la nationalité, avec des séroprévalences élevées dans le Sud-Ouest, liées au climat tempéré et humide de cette région“, expliquent, par ailleurs, les auteurs de l’étude.
Problème, cette diminution de la séroprévalence entraîne une augmentation de la surveillance mensuelle des futures mères qui ne sont pas immunisées contre la toxoplasmose. Ces dernières doivent faire tous les mois une

prise de sang pour dépister une éventuelle nouvelle infection. Cette évolution à la baisse, qui devrait se poursuivre, rend moins efficace la stratégie actuelle de dépistage en France (estimée à 42 millions d’euros en 2009 par la Haute Autorité de Santé (HAS)).“Une réévaluation de la pertinence du programme de dépistage“Au vu des résultats qui montrent une augmentation de la population des

femmes enceintes séronégatives amenées à être suivies mensuellement, “une réévaluation de la pertinence du programme de dépistage actuellement recommandé en France doit être discutée“, estiment les chercheurs. Et d’ajouter que “ce changement de stratégie devra notamment prendre en compte le rapport coût/efficacité de la poursuite de la stratégie actuelle ainsi que l’évolution de l’incidence des toxoplasmoses congénitales“.Des mesures préventives pour diminuer les risques de toxoplasmoseLes mesures hygiéno­diététiques ne paraissent pas encore suffisamment prescrites par les médecins ou les sages-femmes puisque 29 % de femmes séronégatives questionnées à l’accouchement dans plusieurs maternités parisiennes déclaraient n’en avoir pas eu connaissance. Les femmes enceintes séronégatives doivent éviter tout contact avec les chats et se laver les mains après avoir manipulé de la viande crue, des crudités ou fait du jardinage. Il est également recommandé aux

futures mamans de ne pas manger de charcuterie, de consommer la viande bien cuite pour détruire le parasite éventuellement présent chez l’animal et de bien laver les fruits et les légumes avant de les manger.Annabelle IglesiasSource : “Evolution de la séroprévalence et des facteurs associés entre 1995 et 2010, à partir des Enquêtes nationales périnatales“,

Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, mai 2015.Click Here: NRL Telstra Premiership

Allergies respiratoires : 88% des enfants touchés font du sport

L’enquête “Les allergies et le sport“ réalisée par l’Ifop pour la fondation Stallergenes met en évidence que la grande majorité des enfants souffrant d’allergies respiratoires pratique une activité sportive. En revanche, ils sont nombreux à ressentir des gênes principalement en milieu urbain.

La pollution a un impact sur les performances sportives des enfants ayant une allergie respiratoire.

Les

allergies respiratoires  n’éloignent pas les enfants des terrains de sport. C’est ce que révèle une étude menée par l’Ifop pour la fondation Stallergenes, partenaire de l’EFA (European Federation of Allergy and Airways Diseases Patients Associations), qui regroupe 35 associations de patients en Europe.Allergies : zoom sur les gênes ressentiesMalgré des contraintes inhérentes à la pratique du sport, 88 % des enfants souffrant d’allergies respiratoires pratiquent une activité sportive, dont 44 % régulièrement et cela quel que soit le milieu social dans lequel ils évoluent.Mais cela ne se fait pas sans souci car 67 % des parents déclarent que leurs enfants ressentent régulièrement des gênes surtout s’ils habitent dans une zone urbanisée (74 % en agglomération parisienne, 69 % dans les communes urbaines de province, contre 57 % dans les communes rurales).Une réelle baisse des performances sportivesLe principal impact de ces gênes se traduit, pour 69 % des parents, par la baisse des performances sportives. Parmi les répondants, 46 % pensent même que cette conséquence négative favorise une perte de confiance et d’estime d’eux-mêmes et de leurs enfants.Compte tenu de ces observations, les parents n’oublient pas de prendre les devants. Ainsi, 84 % prennent garde à ce que leurs enfants s’hydratent bien avant, pendant et après l’effort. Ils sont également particulièrement attentifs aux conditions dans lesquelles s’exerce l’activité sportive. Par ailleurs, 74 % tiennent compte des changements brusques de température, 68 % de la

pollution et 59 % se réfèrent au calendrier pollinique

calendrier pollinique.Enfin, l’établissement d’un

Projet d’Accueil Individualisé  (PAI) pour les activités sportives de son enfant à l’école est qualitativement moins répandu, mais concerne néanmoins plus d’un parent sur trois (36 %).

AFP/RelaxnewsMéthodologie : enquête conduite auprès d’un échantillon de 310 parents d’enfants souffrant d’allergies respiratoires, extrait d’un échantillon de 2002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 à 60 ans. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 13 au 19 mai 2015.Click Here: camisetas de futbol baratas

Le corps idéal de la femme selon les pays

La question de la morphologie idéale d’une femme donne lieu à un débat au long cours. “Perceptions of Perfection“, une récente expérience menée par Fractyl pour

onlinedoctor.com confirme que la réponse diffère selon les pays et que comme son nom l’indique, tout est question de perception.

La perception de la morphologie féminine parfaite diffère selon les pays. 

Il a été demandé à 18 graphistes féminins de retoucher la même photo afin de rendre son sujet attirant aux yeux de leurs concitoyens. Les résultats témoignent des contrastes entre la vision du “corps parfait“ dans chaque région du monde.Tandis que les versions espagnoles et les colombiennes se rapprochent de la forme naturelle du mannequin, au Venezuela et au Pérou, les graphistes on préféré une silhouette plantureuse en “bustier“. En Argentine, on opte en revanche pour un mannequin plus mince.Les graphistes américains ont privilégié une morphologie fine en conservant cependant des courbes bien féminines, tandis qu’au Royaume-Uni, la silhouette devient plus élancée.En Italie, aux oubliettes les formes : le résultat est ultra mince et tout en jambes. Tout comme en Chine, où les graphistes ont soumis l’image d’une femme incroyablement fine. Une fois les dimensions traduites en mensurations réelles, il a été estimé par les auteurs de l’étude que cette femme ne pèserait que 46 kilos et afficherait un indice de masse corporelle (IMC) malsain de 17.Aux Philippines, la taille a été réduite pour mettre l’accent sur les hanches et la poitrine. Les hanches sont aussi très appréciées en Égypte, tandis qu’en Afrique du Sud, la représentation apparait plus longiligne.L’expérience est destinée à mieux comprendre que les standards de la beauté sont irréalistes et comment la pression s’exerce à divers degrés dans les régions du monde. Les organisateurs expliquent avoir souhaité s’adresser à des graphistes féminins pour connaitre leur point de vue sur ce qui est considéré comme attirant dans leur pays et sur les pressions auxquelles elles se sentent soumises en matière de beauté.Galerie complète :

onlinedoctor.superdrug.com/perceptions-of-perfection/?utm_source=affiliatewindowSource : Relaxnews 

Save the Date : Yoga Festival Paris du 23 au 26 octobre

Le Yoga Festival Paris revient pour sa 3ème édition, au Paris Event Center (Porte de la Villette), du 23 au 26 octobre prochains. L’occasion de participer à de nombreux ateliers et de rencontrer les grands acteurs du yoga, de l’ayurvéda et des disciplines associées.

Le Yoga Festival Paris se déroulera au Paris Event Center, du 23 au 26 octobre 2015.

Le Yoga Festival Paris se tiendra au Paris Event Center (Paris – Porte de la Villette) du 23 au 26 octobre.Au programme, des cours en libre accès, des ateliers d’approfondissement, des conférences, des concerts et pleins d’autres animations autour du

yoga et de d’autres disciplines zen.70 cours en libre accèsToutes les 50 minutes, des cours gratuits seront organisés en libre accès sur un espace ouvert de 150m2 installé au milieu du festival (yoga et

méditation du rire,

acroyoga pour tous,

pilates, chakra vinyasa…). Au total une soixantaine de cours seront proposés.Les ateliers d’approfondissement et ateliers pour enfants
Au programme également, 48 ateliers payants pour adultes et jeunes yogis (débutants ou confirmés) se dérouleront au cours des 4 journées du festival : yoga du visage, approche vers la méditation, yoga enfant selon la méthode du Récré’yoga par la Federation Française Yoga enfant…
 
Programme et tarifs sur

www.yogafestival.frLe Yoga VillageLe Yoga Village accueillera pas moins de 120 exposants dans un espace de 2000m2 consacré à l’art de vivre des yogis (centres, associations, accessoires, vêtements, livres…). Les conférences et concerts25 conférences seront animées par

Le Journal du Yoga : l’Ayurveda au féminin, dépasser le stress et le trac, yoga thérapie, aromathérapie et santé, les bienfaits des huiles essentielles…Des concerts seront également programmés (Chant d’ouverture par Gayatri, Michel Guay et ses élèves…).
Yoga Festival Paris
Paris Event Center
20 Avenue de la Porte de la Villette 75019 ParisEntrée gratuite (

télécharger l’invitation)Horaires :Du vendredi 23 au dimanche 25 octobre : 10h30 – 19h30Lundi 26 octobre : 10h30 – 18h00Plus d’informations sur

www.yogafestival.frAurélie Sogny

Avoir un chien à la maison réduit l'anxiété des enfants

Selon une nouvelle étude américaine, les enfants qui grandissent avec un chien sont moins stressés et moins anxieux. Ces résultats apportent un nouvel éclairage sur les bienfaits qu’apportent les chiens aux plus jeunes.

Les enfants qui vivent avec un animal domestique et plus particulièrement un chien sont moins susceptibles d'être anxieux souligne cette étude.

Les chiens semblent une nouvelle fois se révéler d’excellents thérapeutes pour les enfants si l’on en croit les résultats de cette étude publiée dans la revue Preventive Chronic Disease du 25 novembre.Moins d’anxiété chez les enfants avec un chien à la maisonLe Dr Anne Gadomski, de l’Institut de recherche du Bassett Medical Center de New York (États-Unis) et son équipe ont découvert que la présence d’un chien à la maison réduisait l’anxiété des enfants.Leur étude a été menée durant 18 mois sur un échantillon représentatif de 643 enfants âgés en moyenne de 7 ans et venus pour une consultation annuelle dans un établissement de soins pédiatriques de New York. Parmi ces enfants, 73% possédaient un animal dont 58% un chien. 21% des enfants n’avaient pas de compagnon domestique chez eux.Les chercheurs ont utilisé le DartScreen, un test sur internet utilisé dans la mesure du risque en santé de l’enfant. Grâce à différentes questions posées aux parents sur l’activité physique, l’alimentation, les difficultés émotionnelles, la dépression parentale, l’anxiété, le comportement ou la concentration de leur enfant, ils ont cherché à mesurer la santé mentale de l’enfant. Un module incluait également la question “Avez-vous un chien à la maison ?“.Leurs résultats indiquent que les enfants ayant chez eux un chien obtenaient des scores d’anxiété moins élevés que ceux n’en possédant pas. Ainsi, les chercheurs ont constaté que 21% des enfants obtenant un score élevé au DartScreen ne vivaient pas avec un chien chez eux, alors que 12% de ceux pouvant être diagnostiqués comme atteints d’anxiété en possédaient un.L’effet antistress des toutousLe score d’anxiété était également plus important chez les filles, souligne l’équipe qui n’a par contre décelé aucune différence dans l’indice de masse corporelle (IMC), le niveau d’activité physique ou le temps passé devant les écrans entre les catégories d’enfants possédant un chien de celles n’en ayant pas.En renforçant l’attachement, stimulant la conversation et favorisant les interactions sociales, le compagnon canin contribue à augmenter le niveau d’ocytocine (l’hormone de l’attachement amoureux ou du lien mère enfant) et à réduire les niveaux de cortisol, une hormone qui régule le métabolisme. Ce processus a pour effet d’atténuer la réponse au

stress, indiquent les chercheurs qui ont tenté de comprendre quels mécanismes expliquaient ce lien.Les multiples bénéfices des animaux domestiquesLa

maladie mentale, les troubles du comportement et

l’obésité des enfants sont deux problèmes de santé publique majeurs aux États-Unis. Un jeune sur 8 est serait aujourd’hui diagnostiqué comme anxieux.De nombreux travaux scientifiques ont par le passé déjà montré les bénéfices apportés par un chien. L’animal de compagnie le plus populaire est en effet associé à une diminution du

surpoids, de

l’asthme, des

allergies, inciterait les

fumeurs à arrêter (du fait des conséquences du

tabagisme passif sur leur compagnon) et jouerait un rôle apaisant chez les

enfants atteints de cancers en stabilisant le rythme cardiaque.AFP/RelaxnewsSource : Gadomski AM, Scribani MB, Krupa N, Jenkins P, Nagykaldi Z, Olson AL. Pet Dogs and Children’s Health: Opportunities for Chronic Disease Prevention? Prev Chronic Dis 2015;12:150204. (

étude accessible en ligne)Click Here: cheap all stars rugby jersey

Faire du sport permet de mieux réussir à l'école

Une déclaration commune parue cette semaine dans le British Journal of Sports Medicine par une équipe internationale de chercheurs souligne qu’en plus des bienfaits sur la santé, l’exercice physique augmente les capacités cognitives et les performances académiques des enfants et des jeunes adultes.

Prendre du temps pour le sport sur les heures dédiées à l'école est un bon investissement pour l'avenir des enfants, selon une déclaration conjointe de chercheurs internationaux reprise par le British Journal of Sports Medicine.

Des experts médicaux émanant du Royaume-Uni, de Scandinavie et d’Amérique du Nord sont tombés d’accord.Ensemble, ils ont rédigé 21 déclarations sur quatre thématiques en lien avec la forme et la santé, la performance intellectuelle, l’investissement, la motivation et le bien-être, ainsi que l’inclusion sociale en regardant l’activité physique structurée et libre chez les 6-18 ans, à la fois à l’école et pendant leur temps libre.Leur déclaration commune suggère que le fait de prendre du temps pour le sport sur les heures dédiées à l’école est un bon investissement pour les enfants. Parce qu’au lieu de réduire leurs chances d’obtenir de bons résultats scolaires, l’exercice dope leurs performances académiques.Les scientifiques avancent aussi que l’activité physique et la forme cardiorespiratoire sont bénéfiques au développement cérébral des enfants et des jeunes adultes, et que le fait de maîtriser des mouvements sportifs mêmes basiques peut aider à doper les fonctions cérébrales et la performance académique.Leur déclaration précise aussi qu’une simple séance d’exercice avant, pendant et après l’école, dope les résultats scolaires, une simple séance d’activité d’intensité modérée montrant des effets positifs sur les fonctions cérébrales, l’intellect et les résultats scolaires.Leur déclaration revient aussi sur les bienfaits physiques de l’exercice, qui aide notamment à réduire le risque de contracter des

maladies cardiaques et le

diabète de type 2 sur le long terme. Ils tiennent par ailleurs à souligner qu’elle contribue à développer d’importantes capacités, de doper l’

estime de soi, la

motivation, la

confiance, le bien-être, de renforcer les relations avec leurs pairs, leurs parents et leurs entraîneurs sportifs.Avec leur déclaration ils ont conclu que le fait d’incorporer l’activité physique à chaque aspect de la vie scolaire et offrir des espaces sécurisés dans l’espace public pour le sport (comme des pistes cyclables, des parcs et des ères de jeu) sont “à la fois des stratégies efficaces pour offrir un accès équitable à tous et augmenter l’activité physique pour les enfants et les jeunes”.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Coronavirus-related cyberattacks spike in first half of April

Cyberattacks targeting COVID-19 relief checks shot up in recent weeks, while hackers in general continued using the ongoing pandemic to prey on individuals, research released Monday by software group Check Point found. 

Check Point reported seeing an average of 14,000 coronavirus-related cyberattacks per day over the past week, six times the average daily attacks seen in the second half of March. This number jumped further to 20,000 attacks per day since April 7. 

The vast majority of these attacks were through phishing emails, in which a hacker tries to tempt the individual targeted to click on a link or download an attachment in order to access their network. Around 3 percent of the attacks were through mobile devices. 

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One key aspect of these attacks has involved targeting COVID-19 relief checks currently being sent out to the public by the Treasury Department as part of the $2 trillion stimulus package signed into law by President TrumpDonald John TrumpBiden says he raised M in March Rosie O’Donnell predicts Trump will ‘lose by a landslide’ in November Treasury Department releases .9 billion in payroll support for airlines MORE last month. 

Over 4,000 new domains related to the stimulus checks have been created since January, many of which Check Point classified as “malicious.” The company warned that users who visit these websites risk having personal information stolen or being exposed to payment theft and fraud. 

“Where there’s money, there will also be criminal activity,” Check Point noted in its report. “Hackers and threat actors want to cash in on the rush to get these vital payments and fill their own pockets at the expense of others.”

Hackers have increasingly taken advantage of individuals worldwide moving to online modes of doing business due to the ongoing COVID-19 pandemic, and have used the virus to lure individuals into clicking on malicious links or emails. 

A top FBI official said last week that the agency had seen a spike in cyber crime reports, receiving between 3,000 and 4,000 daily, up from a usual average of 1,000 per day.  

Google reported that it had seen 18 million malware and phishing attacks related to the COVID-19 pandemic per day last week, in addition to the 240 million daily spam emails the company regularly sees. 

Major health agencies have also been targeted by hackers, with the World Health Organization and the Department of Health and Human Services reporting attempted cyberattacks.