'Inconceivable that football will return in next three to four months' – Man Utd legend Neville predicts coronavirus crisis will drag on

An ex-Old Trafford favourite cannot see the 2019-20 campaign resuming anytime soon because there are not enough resources to go around

Manchester United legend Gary Neville has expressed his belief that it is “inconceivable” for the Premier League to return on April 30 amid the coronavirus outbreak which has forced millions of people to self-isolate around the world.

The Covid-19 crisis has seen all European football leagues shut up shop, in accordance with the measures which have been put in place by government officials to contain the spread of the illness.

People have been instructed to stay in their homes and practise social distancing as the number of deaths continues to rise, with Europe and the United States now reporting 85% of all new coronavirus cases.

More teams

In the United Kingdom, Prime Minister Boris Johnson has declared a state of emergency and given police the power to fine and imprison anyone failing to adhere to rules regarding public gatherings and shopping for non-essential goods.

English football is expected to be on hiatus for at least another month, but there has been some suggestion this season’s remaining fixtures could be played behind closed doors heading into the summer.

However, Neville doesn’t think that football will resume for at least another 12 weeks, given the fact resources are being stretched to the limit in order to provide care for those most affected by the coronavirus pandemic.

“I think at this moment in time it’s inconceivable that football will return for the next three to four months because of the fact that we’ve just been put essentially on a lockdown,” the former United defender told CNN.

“Football will not return because all the resources that are required to run a football stadium, which requires the police and the ambulance services, will not be available in the next few months.

“They’ll obviously be in hospitals and in the care homes looking after the sick and people who need it the most.”

Neville’s old club are currently among those vying for Champions League qualification, while Liverpool are on the verge of winning a first top-flight crown in 30 years.

The battle to avoid relegation is also very much up in the air, with clubs across the country facing an anxious wait for a final decision on whether or not the current campaign will be concluded.

“Health comes first — of the fans, the players, the staff, the people who enter the stadiums,” Neville added.

“The most important thing is that we are about to embark on a huge crisis for our country.”

The 45-year-old is doing his bit to contribute to an ongoing national effort to combat coronavirus, having freed up beds for health workers at two of the hotels he co-owns with former United team-mate Ryan Giggs.

A number of high profile footballers and coaches have also made sizeable donations to the cause, including Lionel Messi, Cristiano Ronaldo and Pep Guardiola.

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VIDEO. Génocide au Rwanda : “On peut faire tous les reproches qu’on veut à la France sauf celui de complicité”, défend Hubert Védrine

Invité de France Inter mercredi 10 avril, Hubert Védrine balaie “les accusations qui sont reprises en boucle depuis 2008” sur le rôle de la France dans le génocide au Rwanda en 1994. L’ancien ministre des Affaires étrangères (1997-2002), qui était secrétaire général de l’Elysée auprès de François Mitterrand au moment du génocide, salue la décision du président Macron de confier à une commission de chercheurs  l’examen des archives de la France entre 1990 et 1994. “Je n’ai aucun problème sur les archives, et les principaux chefs militaires de l’époque à qui on donne enfin la parole disent qu’il n’y a aucun problème pour eux par rapport aux archives. (…) Je pars de l’idée que cette commission fera de son mieux.” Les zones d’ombres sur le rôle de la France avant, pendant et après ce génocide – qui fit au moins 800 000 morts entre avril et juillet 1994 selon l’ONU, essentiellement au sein de la minorité tutsi mais aussi parmi les Hutus modérés – restent une source récurrente de polémique en France. Parmi les points les plus disputés: l’ampleur de l’assistance militaire apportée par la France au régime du président rwandais hutu Juvénal Habyarimana de 1990 à 1994 ou les circonstances de l’attentat qui coûta la vie à ce même président le 6 avril 1994 et déclencha le génocide.”La France est un pompier qui a échoué”Selon Hubert Védrine, “la France est le seul pays au monde qui a compris dès 1990 que les attaques du FPR [Front patriotique rwandais, à majorité tutsi] allaient déclencher une guerre civile. Mais personne n’imaginait que cela prendrait les proportions du génocide. (…) Ce qui s’est passé est atroce. La France est le seul pays qui a tenté. C’est un pompier qui a échoué. On peut faire tous les reproches qu’on veut sauf celui de complicité.”>> Rwanda : “Nous avons reçu l’ordre de livrer des armes aux génocidaires dans les camps de réfugiés”, affirme un ancien officier de l’armée française“Je vous conseille de faire parler les experts belges, canadiens, les gens de la BBC qui ont enquêté sur le sujet il y a trois ans, les juges espagnols (…) Tous ensemble, leur point commun, c’est qu’ils ne reprennent jamais les accusations qui sont maintenant dominantes dans les médias français”, a poursuivi l’ancien ministre socialiste.”Accusation monstrueuse”“Si la France avait été comme le disent certains complotistes l’ami d’un régime génocidaire, elle n’aurait pas attendu des semaines pour avoir l’accord des Nations unies pour y aller. Elle aurait envoyé une force tout de suite, dans la semaine.” Les massacres ont commencé dès le 6 avril 1994, et la France a obtenu le feu vert de l’ONU le 22 juin pour une opération militaire à but humanitaire baptisée Turquoise.Sur France Inter, lundi, Annie Faure, militante socialiste et membre de Médecins du monde au Rwanda durant le génocide, a affirmé qu’Hubert Védrine, en tant que secrétaire général de l’Elysée en 1994, avait “accepté ou fermé les yeux sur la livraison d’armes et la protection des génocidaires rwandais”. Hubert Védrine se dit “extrêmement choqué” par ce qu’il qualifie “d’assertions diffamatoires” et d’accusations “insensées” et “monstrueuses” “qui ne reposent sur rien”.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

VIDEO. A Lyon, les “cleanwalkers” nettoient les rues tout en se promenant entre amis

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !C’est une manière d’allier l’utile, le nettoyage de nos rues, à l’agréable, partager un moment entre amis. En France, l’idée est partie de Paris il y a six mois. Une cleanwalk vient d’être organisée le long du Rhône par un groupe d’une cinquantaine de participants, jeunes pour la plupart. Prévenus principalement par le biais des réseaux sociaux, ils sont tous préoccupés par les enjeux environnementaux. Qu’ils s’agissent des questions de climat, ils ont souvent manifesté contre le réchauffement, ou de la propreté du cadre de vie, seule change l’échelle. Au coeur de tout reste le respect de notre planète.

C’est intéressant de voir le regard des gens qui passent, qui courent, ou en vélo… Ils sont surpris de voir des gens ramasser. Si ça peut participer à la prise de conscience.Un cleanwalker lyonnais

Le mouvement est international et se décline en Afrique (Sénégal, Bénin, Algérie) en Asie (Birmanie)… En Belgique, en une seule sortie, des cleanwalkers bruxellois ont ramassé 550 kg de déchets ! En France, il a déjà touché plusieurs villes comme Grenoble où une première sortie de promeneurs écolos a permis de nettoyer quelques rues en janvier dernier. A Lyon un prochain rendez-vous est fixé au 4 mai. D’autres sont prévus à Lille, à Bordeaux et dans d’autres villes. Plusieurs pages lui sont consacrées sur les réseaux sociaux et notamment sur Facebook.La cleanwalk s’inscrit exactement dans l’air du temps : environnementaliste, collectif, affaire de réseau et ludique. Son slogan est “Clean the walks, Heal the world” ( Nettoyer les promenades, guérir le monde”).

Littoral : une préservation inégale en Europe

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Tous les pays européens protègent-ils leurs côtes ? Parmi les 27, 23 pays ont un littoral est la “bétonisation a déjà fait des ravages, notamment en Méditerranée”, détaille le journaliste Jean-Baptiste Marteau. Sur des photos présentées en plateau, la différence entre Alicante (Espagne) de 1964 et celle d’aujourd’hui est saisissante. La côte est désormais bordée d’immeubles qui défigurent le paysage. Malgré une interruption des constructions en 2008 avec la crise économique, les projets d’urbanisation ont repris de plus belle en Espagne.Les protecteurs du littoralL’île de Rab, en Croatie, affiche plus d’un quart de plages sauvages. La ville a voulu lancer un plan d’aménagement du bord de l’eau, mais les habitants ont réussi à enterrer le projet. En France, la loi littoral de 1986 interdit toute nouvelle construction à moins de 100 mètres du rivage, “mais l’année dernière, des députés ont voté un amendement qui permettrait de rendre constructibles certains sites du littoral. Immédiatement, levée de boucliers des ONG et de certains élus. La majorité a dû faire marche arrière”, conclut Jean-Baptiste Marteau.Le JT

  • JT de 13h du lundi 22 avril 2019 L’intégrale

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Hugh Jackman: reporter de charme

Hugh Jackman, le Rhett Butler supertestostéronné d’Australia, a laissé son Stetson au vestiaire pour revêtir la panoplie du parfait journaliste.

Ce n’est quand même pas donné à tout le monde de rencontrer «l’homme le plus sexy de la planète»… Et bien si, figurez-vous. Le n°1 des playboys selon le magazine People a joué les reporters de choc dans les différentes enseignes de New York. Un nouveau rôle pour ce mâle extraordinaire abonné aux personnages de superhéros tels Van Helsing ou Wolverine dans la saga X-Men, ou aux plus romantiques comédies musicales de Broadway? Plus que ça. Une mission d’intérêt public, plutôt. A le voir déployer son mètre quatre-vingt-neuf, tout en muscles, on n’en mène pas large. Mais Hugh Jackman, 41 ans, n’a rien d’un frimeur condescendant. C’est un comédien multi-casquettes aux prises avec la réalité économique et sociale. Et écolo, avec ça!

L’acteur au sourire ravageur a donc accepté d’endosser le costume de journaliste pour une bonne cause: le commerce équitable. Notre Crocodile dandy a étonné les passants en entrant, caméra au poing, dans les cafés et les restaurants de la Grosse Pomme afin d’interroger les propriétaires sur les produits en provenance des pays en voie de développement. Médusés, les clients ont écouté la star interviewer, avec brio, le personnel au sujet des pratiques d’échanges commerciaux internationaux.Concerné, engagé, éthique même, celui que le compare déjà artistiquement à Gable, Eastwood ou Redford a relevé le défi afin d’informer les entreprises sur les initiatives compassionnelles mises en œuvre et ainsi, permettre aux fermiers et travailleurs agricoles de subvenir à leurs besoins et de devenir auto-suffisants. D’après le site HelloMagazine, Hugh Jackman, espère trouver les réponses aux questions telles que «Comment est-ce que ça se fait qu’un enfant meurt de pauvreté toutes les trois secondes»? Papa attentif pour ses bambins adoptifs: Oscar, neuf ans, et Ava, quatre ans, mari aimant depuis treize ans de Deborra-Lee, son épouse de huit ans son aînée, Hugh, force de la nature, cache un cœur, tout aussi grand!

J.B

Jeudi 20 août 2009

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VIDEO. “On a laissé notre numéro et Macron nous a appelés” : comment deux humoristes russes assurent avoir piégé le président français

“Bonjour Volodymyr, bonjour monsieur le président, félicitations !”, s’exclame une voix ressemblant à celle d’Emmanuel Macron. Le président français présumé pense s’adresser à Volodymyr Zelensky. Sauf qu’au bout du fil, il ne s’agit pas de son homologue ukrainien, nouvellement élu, mais de deux “humoristes” russes : Vovan et Lexus. Bien connus dans leur pays, ces comiques ont publié sur YouTube, mercredi 24 avril, quinze minutes d’un échange téléphonique présenté comme un canular visant Emmanuel Macron.On y entend celui qu’ils présentent comme le chef de l’Etat féliciter le nouveau président ukrainien après sa victoire écrasante contre le président sortant, Petro Porochenko. “73% (des votes) des Ukrainiens, c’est juste incroyable (…) Je me sens comme Poutine qui a le même score”, plaisante le faux Volodymyr Zelensky dans cette conversation, qui se déroule en russe et en français, les deux humoristes étant aidés par une traductrice. “J’ai le sentiment qu’en tout cas à ce stade, le système chez toi est un peu moins bien organisé, donc ça doit être un peu plus naturel. Tu n’avais pas encore mis tous tes opposants en prison”, répond sur le ton de l’humour celui qui présenté comme Emmanuel Macron.”Il n’y avait pas encore de ligne diplomatique”Contacté par franceinfo, Alexey Stolyarov (dit “Lexus”) explique avoir réfléchi à piéger le président français “depuis longtemps”. Les élections ukrainiennes semblaient être le meilleur moment pour le duo, qui n’en est pas à son coup d’essai : ils avaient déjà réussi à piéger Jean-Claude Juncker, Elton John ou encore Boris Johnson.“Quand on a vu qu’Emmanuel Macron avait rencontré Volodymyr Zelensky avant les élections, mais qu’ils n’étaient restés que vingt minutes ensemble, on a réalisé qu’ils n’avaient pas encore de vrais liens, il n’y avait pas de ligne diplomatique encore installée, explique-t-il. Donc on a appelé l’administration d’Emmanuel Macron. On a été les premières personnes à le faire.”On a laissé notre numéro de téléphone à l’administration et, après que Zelensky a gagné, Macron nous a appelés de lui-même.Alexey Stolyarov, dit “Lexus”à franceinfo

Une démarche avant tout politiqueLes deux hommes ne le cachent pas : au-delà de l’humour, l’objectif de leur canular est surtout politique. Dans une interview accordée en 2016 à l’AFP, Lexus expliquait réaliser des canulars “uniquement dans l’intérêt de notre pays”. Leurs cibles privilégiées sont globalement des adversaires du Kremlin, étrangers ou russes. “On veut faire tomber les masques des politiques, confie-t-il à franceinfo. On imite de vrais appels pour voir comment les politiques réagissent dans la vraie vie.” Ainsi, la conversation avec l’homme présenté comme étant Emmanuel Macron s’est vite axée autour des tensions entre la Russie et l’Ukraine. Au cours de la discussion, le faux président Zelensky demande ainsi au présumé chef de l’Etat français s’il serait prêt à accorder un mandat d’extradition dans le cas où le président sortant Porochenko serait jugé et venait à fuir vers la France. “Je ne pense pas que ce soit en France qu’il vienne en première intention”, esquive ce dernier. Contacté par franceinfo, l’Elysée n’a pas souhaité commenter cet appel, mais a fait savoir qu’Emmanuel Macron s’était bel et bien entretenu avec le vrai président Zelensky.Click Here: collingwood magpies 2019 training guernsey

Monsanto : des individus fichés portent plainte

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Dans les fichiers, plus de 200 noms : des scientifiques, des responsables politiques, des journalistes, dont certains ont déjà annoncé qu’ils allaient porter plainte. Dans la base de données secrète à destination de Monsanto, Karine Jacquemart, responsable associative, est référencée comme forte opposante au glyphosate, l’herbicide phare du géant américain. “Même quand on est Monsanto, ou un lobby de Monsanto, on n’est pas au-dessus des lois”, explique-t-elle.Bayer assure ne pas avoir eu connaissance de ces fichiersLa Ligue contre le cancer, le journal Le Parisien, Radio France, dont plusieurs salariés figurent dans ce fichier, ont annoncé vouloir ouvrir une procédure pour fichage illégal. Des responsables politiques envisagent aussi une plainte collective. Le parquet de Paris vient d’annoncer l’ouverture d’une enquête judiciaire. De son côté, Bayer, nouveau propriétaire de Monsanto, a déclaré ne pas avoir eu connaissance des fichiers jusqu’à leur révélation, jeudi 9 mai.Le JT

  • JT de 20h du vendredi 10 mai 2019 L’intégrale

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Cerises, clémentines, endives… Quels sont les fruits et légumes qui contiennent le plus de résidus de pesticides ?

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Les pesticides sont (presque) partout. En France, 71,9% des fruits et 43,3% des légumes contiennent des résidus de pesticides, selon un nouveau rapport de l’ONG Générations Futures, publié mercredi 5 juin et que franceinfo a pu consulter. Pour autant, seuls 3% environ de ces échantillons contiennent un taux de pesticides supérieur à la limite maximale en résidus (LMR) autorisée légalement dans les denrées alimentaires. Comment ont été réalisées ces analyses ?Le rapport de l’ONG Générations futures a été réalisé en intégrant les données des plans de surveillance de 2012 à 2017 de la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes). “De plus, pour pouvoir fournir des résultats réellement significatifs nous n’avons retenu que les végétaux analysés au moins 5 années sur 6 et dans un nombre significatif d’échantillons”, précise l’ONG.Au total, le rapport est ainsi bâti sur les résultats de plus de 13 000 analyses. En tout, ce sont 18 fruits et 32 légumes non biologiques qui ont pu être étudiés sur la base des données fournies par la DGCCRF.Quels sont les fruits et légumes les plus contaminés ?Parmi les fruits, la cerise (pour 89% des échantillons), la clémentine (88,1%), le raisin (87,3%), le pamplemousse (86,3%), les nectarines (83%), les fraises (82,9%), et les oranges (81,2%) se placent tout en haut du classement pour la présence de résidus de pesticides quantifiés dans les échantillons analysés par les fraudes entre 2012 et 2017. Pour les légumes, ce sont les céleris-branches (84,9%), le céleri-rave (82,5%), les herbes fraîches (69,3%), les endives (67,2%), ou encore les laitues (66,5%) qui se retrouvent dans le haut du classement pour la présence de résidus de pesticides quantifiés sur la période 2012-2017.  A l’inverse, les fruits et légumes les moins concernés par cette présence de résidus de pesticides sont les prunes (50,8%) suivis des avocats (27,8%) des kiwis (25,8%), des betteraves (6,9%), des asperges (2,1%) et enfin du maïs doux (0,8%).Faut-il s’inquiéter des résultats ?Si une majorité de fruits et légumes contiennent des résidus de pesticides, l’ONG Générations futures précise toutefois dans son rapport que seuls 2,9% des échantillons de fruits et 3,4% des échantillons de légumes analysés dépassent les limites maximales en résidus (LMR). Ces seuils légaux sont fixés par l’Union européenne en prenant en compte, notamment, la dangerosité pour la santé.Ainsi, parmi les denrées pour lesquelles ces LMR sont le plus souvent dépassées, on retrouve en tête les herbes fraîches (dans 21,5% des cas), le céleri-branche (15,7%) et le céleri-rave (10,8%) chez les légumes ; l’ananas (dans 9,6% des cas), les cerises (5,2%), les kiwis (4,2%) et le pamplemousse (4,2%) du côté les fruits. Seule une poignée d’aliments ne présente aucun dépassement de seuil réglementaire à l’issue des analyses : il s’agit de l’ail, du maïs, de la pastèque et du potiron. Malgré cette nuance, François Veillerette, directeur de Générations Futures, reste en alerte. “Bien sûr il faut encourager la consommation de fruits et de légumes. Mais aujourd’hui les consommateurs veulent bénéficier de leurs bienfaits sans avoir à ingérer en même temps des résidus de pesticides aux propriétés inquiétantes”, analyse-t-il. Et de conclure : “Nous souhaitons que ce rapport permette à tou.te.s de prendre conscience de la nécessité de changer les pratiques agricoles en sortant de notre dépendance à ces polluants dont certains présentent un danger pour notre santé et notre environnement”.Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Increasing carbon-market security

Increasing carbon-market security

The cyber-attacks on the emissions-trading system highlight the need for a rapid strengthening of the security of national registries.

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1/26/11, 10:14 PM CET

Updated 4/12/14, 8:41 PM CET

The European Commission’s decision last week to suspend transactions in the EU carbon market registries system following a series of cyber-attacks has understandably received a great deal of news attention.

These unauthorised transfers of allowances caused substantial economic losses to some companies: our best estimate today is that roughly two million allowances – worth, at current prices, a total of around €30 million – were illegally transferred out of certain accounts.

The attacks also highlight real security issues that the EU needs to deal with by adjusting the structure of the system.

First, though, these problems need to be set in perspective. The allowances that were transferred amounted to fewer than 0.02% of those in circulation. The losses compare with an average asset value of around €30 billion in the system. And the suspension only affects the spot market, which accounts for less than one-fifth of carbon-market trades; the futures market – the biggest segment of the market – remains unaffected.

Nor does the suspension undermine the rationale of the system as a whole. The EU set up the emissions-trading system (ETS) for a good reason – to cut greenhouse-gas emissions at the lowest cost possible. The power stations and industrial plants covered by the system must surrender one emission allowance, from a fixed and declining pool, for each tonne of carbon dioxide they emit.

That these allowances can be traded gives companies flexibility, helping ensure that emissions are cut where it costs least. And over the past few years, emissions have dropped significantly (though the economic crisis has also played a role since 2008).

The system is therefore fulfilling its allotted strategic role. What these attacks show are two things: firstly, that the success of the ETS in putting a price on carbon and developing a liquid market makes it an attractive target for crime; and, secondly, that some criminals have identified the weakest link in the system that records transfers of ownership.

Trades in allowances are tracked and authorised by the ETS registries system, a decentralised system composed of national electronic registries that is co-ordinated through a centralised log.

These attacks affected the national electronic registries. This is where the system is weakest.

This had been known to be the case for some time. As EU legislation requires member states to take all necessary steps to ensure the security of their registry, the Commission had therefore been working closely with member states to strengthen the security of all national registries. These efforts were then stepped up in early 2010, after the first, isolated ‘phishing’ attacks – online attempts to steal confidential data such as passwords.

Fortunately, the issue of national registries’ security is now only a temporary one: from next year there will be a single, centralised registry operated by the Commission. Recent events show that the move to a single registry is timely.

With three attacks on national registries this year, and other registries known to be vulnerable, the Commission had to take action to secure the registry system.

That is why, on 19 January, we temporarily suspended all spot transactions in the system for at least seven days. The suspension means that physical delivery of allowances cannot be executed.

Member states’ governments have now agreed with the Commission on a set of minimum security requirements that will need to be met by each registry before it can become fully operational again.

Some member states already have a high level of security in place and should be able to resume operations quickly. Others may need longer.

These steps should be seen as part of a broader pattern. As the carbon market matures and expands, its infrastructure is being simplified and strengthened. Business has been benefiting from the efficiency of the EU cap-and-trade system; what the EU’s member states and the Commission are currently doing is working to ensure that the market environment is as secure as possible.

Jos Delbeke is director-general for climate action in the European Commission.

Authors:
Jos Delbeke 

Unemployment claims could spike to 3.4 million: study

Weekly initial unemployment claims are on track to spike to a historic 3.4 million for the third week of March, according to an analysis by the left-leaning Economic Policy Institute (EPI).

If the number jumps to that level when the weekly report comes out Thursday, it will far surpass the highest level of weekly initial claims on record.

“This will dwarf every other week in history, as can be seen by comparing the projection against the trend in initial claims back to 1967,” the study’s authors wrote.

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The last unemployment claims report already saw claims increase by about a third to 281,000, but steps to combat the coronavirus epidemic have ratcheted up dramatically since the period covered by that report.

Late last week, Goldman Sachs predicted that the new claims would spike to 2.25 million, but the EPI count of state-level claims from 35 states and Washington, D.C., already surpassed that figure. 

The analysis gives a glimpse of the severe economic downturn the nation faces as a result of the coronavirus and the measures to contain it, which have shuttered businesses and prevented people from gathering in large crowds. 

Federal Reserve Bank of St. Louis President James Bullard told Bloomberg News this week he expects unemployment to hit 30 percent in the second quarter, while Morgan Stanley estimated that unemployment would average 12.8 percent over that time period. 

Congress is furiously negotiating a package to help businesses keep people on their payrolls and expand unemployment benefits, a key point, according to the EPI study’s authors.

“The true impacts are undoubtedly of larger scale than described here. Further, unemployment insurance benefits replace less than half of families’ usual income,” they noted.