Greece haggles over bail-out terms

Greece haggles over bail-out terms

Prime minister and finance minister of Greece tour Europe’s capitals to put their case for a relaxation of the terms of the eurozone loans.

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2/5/15, 12:05 AM CET

Greece’s new government has made significant concessions in its fight to get the terms of its bail-out relaxed but is still struggling to win wide support from its European partners.

Officials in Brussels are poised to call an emergency meeting of the eurozone’s finance ministers in the first half of next week to discuss Greece, partly so that the bail-out does not become a distraction from an EU summit on Thursday (12 February) that is supposed to discuss relations with Russia and the threat of radical Islamic terrorism.

Donald Tusk, the president of the European Council, issued a statement yesterday (4 February), following a meeting with Alexis Tsipras, Greece’s new prime minister, emphasising that discussions about Greece’s bailout “will take place in the Eurogroup”.

The Eurogroup Working Group, the officials who prepare meetings of the eurozone finance ministers, will meet this evening (5 February) to discuss their respective national views on Greece’s request.
After a meeting with Martin Schulz, the president of the European Parliament, Tsipras said he was “very optimistic” that together they would be able to find a “common, viable and acceptable solution”.

Tsipras’s round of meetings in Brussels yesterday also included discussions with Jean-Claude Juncker, the president of the European Commission, but the two men agreed not to make any public declaration while their negotiations continue.

Yanis Varoufakis, the Greek finance minister, met Mario Draghi, the president of the European Central Bank, in Frankfurt yesterday. Today he will be visiting Wolfgang Schäuble, Germany’s finance minister, whose government has repeatedly rejected Greece’s demands to revisit the terms of the bail-out.

Varoufakis is going outside the usual framework of bail-out negotiations to muster support for changes, which would require unanimous backing from eurozone members.

Tsipras and Varoufakis have already dropped what had been the headline demand of their far-left Syriza party, for an outright debt cut, which had been flatly rejected by several EU leaders.
Instead, Varoufakis has suggested that Greece could retain its overall debt burden, but that repayments should be indexed to Greek growth.

He is ruling out prolonging Greece’s bail-out, which is scheduled to expire at the end of this month, but is suggesting that the country could issue treasury bills to sustain its finances while negotiations with creditors continue, to reduce the risk of market panic that might follow if Greece exited its bail-out without any form of financial safety-line.

Tsipras’s government has had some support from left-leaning member states. Michel Sapin, France’s finance minister, said that Greece needed a “new contract” for its bail-out. Matteo Renzi, Italy’s prime minister, said that he believed that “the conditions exist to find an accord” and promised Greece “the greatest possible support”.

Lolita Cigane, a member of Latvia’s national parliament who is chairing its European affairs committee, told European Voice that she expected her colleagues to reject a relaxation of the conditions of Greece’s bail-out. “We believe in European solidarity […] but also in responsibilities. If you have committed to something, you must adhere.”

Leading politicians from Finland, Germany, the Netherlands, Portugal and Spain have taken a similar line.

A further difficulty for Tsipras is the stance of the European Central Bank. Greece’s banks are increasingly dependent on short-term loans from the ECB. Several of its officials have indicated that the bank will refuse to provide them with further loans unless the country is in a bail-out programme or a similar arrangement.

The newly-elected Greek parliament will convene for the first time today and a vote on the new government’s programme is scheduled for Monday (9 February).

Tsipras is scheduled to return to Brussels on Thursday for the informal meeting of the European Council.

Authors:
Nicholas Hirst 

Nicolas Sarkozy: quelle vie après la politique?

Sans présager de l’issue du scrutin présidentiel, le 22 avril et le 6 mai prochain, Nicolas Sarkozy a dit qu’il quitterait la politique s’il était battu. Gala.fr a décidé de l’aider avec quelques pistes pour une reconversion.

Jeudi, Nicolas Sarkozy a exprimé sur BFM TV son souhait de se retirer de la vie politique s’il n’est pas reconduit à l’Elysée lors de l’élection présidentielle. «Si les Français devaient ne pas me faire confiance, est-ce que vous croyez vraiment que je devrais continuer dans la vie politique? La réponse est non. (…) Je m’inclinerai. C’est ainsi et j’aurai fait une très belle vie politique» avant de préciser qu’il ne se plaçait pas «dans cette perspective».

Carla Bruni a confirmé ce souhait, lors de l’émission C à vous sur France 5. «Qu’est-ce que vous voulez qu’il fasse après président de la République française? Qu’il redevienne ministre, maire? Il ne peut pas. Il sera obligé d’arrêter la politique» a-t-elle déclaré à Alessandra Sublet. Arrêter la politique? Pourquoi pas. Mais pour quoi faire? Si l’on exclut la possibilité pour lui de revenir à son premier métier d’avocat, nous avons tenté d’imaginer quelles activités ou quels métiers pourraient occuper l’hyperactif Nicolas Sarkozy s’il n’était pas réélu en mai.

  • Consultant sur le Tour de France: on sait Nicolas Sarkozy fan de Petite Reine en général et de la Grande Boucle en particulier. Bien avant d’être élu, il enchaînait déjà les kilomètres à vélo. Devenu président de la République, le temps lui manque mais il se rattrape sur ses lieux de vacances, notamment autour de la maison de famille de Carla Bruni au Cap Nègre. Il a assisté plusieurs fois à des étapes du Tour de France et possède une solide connaissance de l’histoire de ce sport qu’il pourrait mettre, pourquoi pas, au service d’une chaîne de télé qui suit la course. France Télévisions plutôt qu’Eurosport, continuité du service public oblige. Et s’il ne trouve pas sa place en cyclisme, ce joggeur assidu pourra commenter l’athlétisme lors des prochains Jeux Olympiques de Londres, ou les matchs du PSG dont il est un fervent supporter.
  • Ambassadeur pour des montres, stylos ou accessoires de luxe. Très vite après son élection, Nicolas Sarkozy s’est vu coller la fameuse étiquette bling bling. Outre les épisodes du Fouquet’s et du yacht de Bolloré, le chef de l’Etat s’est toujours fait remarquer pour son goût des belles choses. Possesseur de Breitling et de Rolex, Nicolas Sarkozy a reçu d’autres pièces en cadeau. Notamment une Girard-Perregaux et une Patek Philippe. Le président apprécie aussi les stylos de marque: on se souvient de ces images où il subtilisait habilement le Mont-Blanc de son homologue roumain Traian Basescu à l’issue de la signature d’un traité. Nicolas Sarkozy a l’œil du connaisseur et son réseau dans les ambassades et les palais du monde entier serait une véritable aubaine pour une grande marque visant à étendre un peu plus sa notoriété.
  • Parolier pour des artistes de variété. Le président de la République est amateur de chanson française depuis bien longtemps, un penchant qui lui a permis de nouer des amitiés avec des chanteurs aussi populaires que Michel Sardou, Didier Barbelivien, Johnny Hallyday qu’il a même marié avec Laeticia. Le soir de sa victoire, en 2007, il avait convié sur la place de la Concorde Enrico Macias, Mireille Mathieu et Faudel. Enfin, il a épousé Carla Bruni, qui a déjà trois albums personnels à son compte, mais qui a également écrit pour Julien Clerc et composé pour Charles Berling. Nourri par les nombreuses discussions qu’il ne doit pas manquer d’avoir avec son épouse et leurs amis artistes, Nicolas Sarkozy pourrait bien avoir envie de prendre lui-même la plume. Et de rompre vraiment avec les longues années où il a dû lire les discours écrits pour lui par un certain M. Guaino.
  • Propriétaire d’un cabinet des curiosités. Les deux prédécesseurs de Nicolas Sarkozy à l’Elysée ont leur musée, Jacques Chirac à Sarran en Corrèze, François Mitterrand à Château-Chinon, où sont regroupés tous les souvenirs de leurs mandats respectifs, photos, documents ou cadeaux reçus. L’actuel chef de l’Etat, adepte de la rupture, pourrait se plaire à regrouper dans un cabinet de curiosités les objets de ses cinq années passées à la tête de la France. Il pourrait également y exposer sa collection de timbres, dont on dit qu’il est un collectionneur acharné, ou ses livres de prédilection… pourquoi pas des éditions rares de La princesse de Clèves, le roman de Madame de La Fayette sur lequel il a avoué avoir « beaucoup souffert »?
  • Tout simplement… père au foyer. Après cinq années d’activité intense, sans compter les précédentes comme ministre, de crises, de polémiques, de coups reçus, Nicolas Sarkozy pourrait bien avoir envie de souffler un peu et de profiter de sa petite Giulia, un luxe dont il a peu bénéficié avec ses premiers enfants, puisqu’il était déjà engagé à 100% dans ses combats politiques. Comme le font parfois certains couples, il pourrait décider avec Carla Bruni que c’est au tour de son épouse de privilégier de sa carrière..

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Exclu- Pour le meilleur et pour le pire: Carla Bruni-Sarkozy se raconte

Dans Pour le meilleur et pour le pire (Flammarion), à paraître mardi, Nicole Leibowitz et Elisabeth Schemla dressent le portrait de cinq femmes dont la vie a été bouleversée par l’entrée de la politique dans leur vie privée. Elles ont accepté de parler aux auteures du livre, à l’exception de Valérie Trierweiler et d’Anne Sinclair, qui a fait savoir qu’elle ne répondrait pas à leurs questions. Carla Bruni-Sarkozy, Marie-Laure de Villepin et Hélène de Yougoslavie témoignent et racontent leur expérience du pouvoir et de «femme de» dans ce monde particulier. En exclusivité, ces cinq prochains jours, Gala.fr vous propose de découvrir chacune de ces femmes.

Mannequin puis chanteuse, rien ne prédestinait Carla Bruni à « embrasser » la politique. Jusqu’à ce fameux dîner chez Jacques Séguéla et sa rencontre avec Nicolas Sarkozy en novembre 2007. Un coup de foudre longuement commenté qui a plongé Carla dans le monde politique de manière accélérée puisqu’elle s’éprend de celui qui a été élu Président de la République quelques mois plus tôt.

La première dame a accepté de recevoir l’une des auteures de Pour le meilleur et pour le pire dans son hôtel particulier du XVIe arrondissement et de se confier longuement sur cette rencontre, et la violence politique et médiatique qui a changé sa vie. Des conséquences qu’elle n’avait pas identifiées, mais qu’elle est la seule, à la différence des autres femmes du livre, à vivre avec une certaine fatalité, une philosophie même. A propos de Nicolas Sarkozy, elle explique juste qu’elle trouvait «cela plutôt fascinant qu’il soit président de la République».

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Au fil du récit, Carla Bruni raconte ce qu’ils s’apportent mutuellement: «on se fait du bien, on s’apaise l’un l’autre», et qu’ils ne pouvaient faire autrement que de se marier étant donné leurs situations. Elle nie avoir une quelconque influence politique sur Nicolas Sarkozy, ne s’intéressant que de très loin à la politique. Son rôle consiste à le soutenir, à la calmer, le rassurer, lorsque les attaques sont les plus violentes. Sinon, le soir à la maison, c’est « pasta, films et bébé ». Voilà pour la partie privée. Être devenue l’épouse de Nicolas Sarkozy a surtout fait de Carla Bruni une première dame et l’a obligée à mettre entre parenthèses sa carrière de chanteuse. Pourtant un quatrième album est prêt et reste au secret pour l’instant. Les auteurs de Pour le meilleur et pour le pire révèlent qu’une des chansons est consacrée à Nicolas Sarkozy. Carla Bruni la leur a même chantée en décembre dernier contre la promesse d’en taire les paroles.

La date de sortie de ce disque dépendra du résultat de l’élection présidentielle, le 22 avril et le 6 mai prochain. Même si elle n’envisage pas l’hypothèse d’une défaite de Nicolas Sarkozy, elle explique tranquillement que si c’est le cas, elle le soutiendra encore un peu plus que d’habitude. Comme elle l’a déjà dit, elle ne le voit pas retourner en politique. Une chose est sûre pour Carla Bruni: «Nous subirions moins de pressions et nous pourrions vivre avec plus de légèreté (…) Il y a beaucoup de voyages que l’on n’a pas pu faire, des envies que l’on a dû taire». Sortie du contexte passionné de la politique, Carla Bruni se retrouverait peut-être davantage à travers l’image que les médias lui renvoie. «Je ris parfois en lisant le récit de la vie de cette drôle de personne qu’est la Carla Bruni-Sarkozy des médias. Elle est une sorte d’avatar de moi-même qui a une vie parallèle» s’amuse-t-elle.

Pour le meilleur et pour le pire – Nicole Leibowitz et Elisabeth Schemla, éditions Flammarion (mercredi 28 mars en librairie)

David Pujadas et Laurence Ferrari pour le débat entre deux tours

Les deux candidats retenus au second tour de la Présidentielle ne seront connus que demain soir, mais les noms des animateurs qui arbitreront leur débat le 2 mai prochain viennent d’être annoncés: David Pujadas et Laurence Ferrari.

Il n’y avait pas de mystère sur le fait que le débat entre les deux tours de la Présidentielle serait animé conjointement par un journaliste de TF1 et un autre de France 2. Mais lesquels?

Selon L’Express, David Pujadas a toujours été le seul et unique choix de France 2. Il est vrai qu’en plus de présenter le journal télévisé de 20 heures, l’animateur est le visage des émissions politiques de la chaîne, dont Des paroles et des actes qui a rythmé la campagne.

Le site de Jean-Marc Morandini annonce par ailleurs Laurence Ferrari, aux manettes du JT de 20 heures et de l’émission politique Parole de candidat, comme représentante de la première chaîne. «Un choix naturel», selon la direction qui précise avant même que la question ne soit posée, comme pour répondre aux récentes rumeurs, «qu’il n’y a jamais eu de conflit ou de tension entre Laurence Ferrari et Claire Chazal pour animer ce grand rendez-vous, ni même d’hésitation ou de débat à TF1».

Le vrai débat aura lieu le mercredi 2 mai 2012 en prime et en direct.

James Cameron en immersion dans l’univers Avatar

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James Cameron avait déjà annoncé qu’il allait réaliser deux suites à son film de tous les records, Avatar. Le réalisateur vient de préciser que pendant cette période, il n’allait se consacrer qu’à ces projets, en exclusivité, et ne s’attaquerait à aucun autre film. Il en a profité pour faire une petite révélation…

De retour de ses aventures dans les profondeurs des océans, James Cameron est bien décidé à se remettre au travail et développer les suites qu’il souhaite donner au film Avatar, et qui ont déjà pris du retard. Normal lorsqu’on sait que le long-métrage a rapporté la coquette somme de 2,8 milliards de dollars à travers le monde. Mais au-delà des chiffres records, auxquels est habitué le réalisateur de Titanic et Terminator 2, James Cameron veut se plonger intégralement dans l’univers de Pandora et en explorer tous les recoins.

C’est en tout cas ce qu’il a affirmé dans un entretien au New York Times. «Je ne suis plus intéressé pour développer quoi que ce soit. Je suis dans le business d’Avatar. Point. C’est comme ça» a-t-il déclaré. Son objectif est simple: «Je vais réaliser Avatar 2, Avatar 3, peut-être Avatar 4 et je ne vais pas produire les films d’autres personnes. Cela ne m’intéresse pas de prendre des scripts». Cameron lâche au passage pour la première fois l’éventualité d’un quatrième opus à son film de science-fiction, les épisode 2 et 3 étant pour l’instant les seuls annoncés. Cet aspect exclusif peut paraître étonnant mais James Cameron s’en explique très simplement: «Tout ça sonne un peu restrictif mais je pense qu’avec l’univers d’Avatar, je peux dire tout ce que j’ai à dire et qui a besoin d’être dit, à propos de l’état du monde et de ce qui peut, selon moi, être fait. Et le faire tout en divertissant. Quant à tout ce que je ne pourrais pas y dire, je veux le dire à travers des documentaires».

Une sérénité et une sagesse que James Cameron a certainement muries, tout seul dans son petit sous-marin, en devenant le premier homme à descendre au plus profond de la fosse des Mariannes. Heureusement qu’il n’a pas songé à faire des suites à Titanic…

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Le comics out des super héros

Dans leur volonté de refléter au plus juste notre société, les éditeurs de BD consacrées aux super héros, un univers réputé peu gay friendly, virent leur cuti. DC Comics s’apprête à faire le coming out de l’un de ses héros, tandis que Marvel est sur le point de célébrer le mariage homo de deux de ses X-Men.

Les super héros ont plus que jamais le vent en poupe. Le succès commercial de The Avengers en témoigne. Pourtant, qu’elles soient racontées par Marvel ou par DC Comics, les deux principaux éditeurs, leurs aventures sont souvent critiquées parce qu’elles ne reflètent pas parfaitement notre société et sa population. Si on trouve un monstre vert, Hulk, et un homme à deux visages, Double-Face, on compte il est vrai peu de super héros de couleur ou homosexuels.

Mais le monde de la BD américaine s’apprête à faire son comics out. Un juste retour des choses vis-à-vis d’un lectorat comptant de nombreux gays. Selon le New York Times en effet, les adolescents homosexuels et les super héros ont en commun «une recherche de l’acceptation, de la part d’un monde qui les hait et les craint simplement pour ce qu’ils sont». Au moment où Barack Obama a officiellement pris position en faveur du mariage gay, Marvel vient de publier un numéro des X-Men dans lequel Northstar vient de faire sa demande officielle à son ami noir KyleJinadu.

Mais cette union de personnages moins connus risque d’être un épiphénomène en comparaison de ce que réserve DC Comics à ses lecteurs. L’éditeur vient en effet d’annoncer que l’un de ses super héros allait bientôt faire son coming out. DC Comics compte parmi ses stars Superman, Batwoman, Green Lantern et Wonder Woman, mais tous les regards se tournent vers Batman et Robin, dont le rapport particulier ne cesse de faire fantasmer depuis des décennies. Batman homosexuel? Il sera intéressant de voir si Christopher Nolan parvient à intégrer ce nouvel aspect du personnage dans son prochain Dark knight rises. Mais c’est sûr, les temps changent.

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Elisabeth II, plus populaire que son petit-fils… sur Twitter

Une semaine de célébrations hors normes ont permis à Elisabeth II de devenir une véritable star sur Twitter. Sa popularité n’a définitivement aucune limite.

A 86 ans Elisabeth II est une reine à la pointe de la modernité. Elle qui est née à l’époque où les ordinateurs n’existaient pas, est aujourd’hui une star de la Toile. A l’occasion des célébrations de ses soixante années de règne, la mère du prince Charles a fait exploser les compteurs de Twitter.

Selon une étude menée par Ipsos, la reine Elisabeth II et son « Diamond Jubilee » -jubilé de diamant, en français- auraient été le sujet d’1,19 millions de tweets durant les quatre jours qu’a duré l’évènement, le week-end dernier. Soit environ 140 millions de signes dédiés à cet anniversaire royal.Un record détenu jusqu’ici par une autre fiesta britannique, le mariage du prince William et de la duchesse de Cambridge, Kate Middleton, désormais connue sous le nom de Princesse Catherine. Entre 28 et le 29 avril 2011, 89 000 tweets furent envoyés au sujet du royal wedding. Dont la moitié envoyés simultanément au moment où les deux jeunes mariés ont échangé le baiser tant attendu au balcon de Buckingham Palace.Le défilé maritime de la Queen sur la Tamise et le concert historique de Sir Paul McCartney, sir Elton John et Kylie Minogue, entre autres stars, ont déchainé les internautes. Pour exemple, ce sont 71 000 tweets qui ont été recensés à l’instant où Buckingham Palace s’est habillé de lumière aux couleurs de l’union jack, dimanche soir. God save the tweet!

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Charlie Sheen abandonne Twitter

Le réseau social était devenu sa tribune, mais aussi sa thérapie. Alors que la rumeur courrait depuis quelques jours, Charlie Sheen a mis sa menace à exécution jeudi dernier à minuit: il a fermé son compte Twitter, laissant ainsi près de 8 millions de fans orphelins!

Inscrit en mars 2011, l’ancien acteur de Mon oncle Charlie s’est très vite imposé comme une valeur sûre du réseau social nouvelle génération. 157 000 followers après son premier tweet, puis 800 000 en quelques heures. Et un jour plus tard, il franchissait la barre symbolique du million.En pleine polémique médiatique, Twitter était devenu sa tribune libre où il postait des photos de lui et de «ses femmes», multipliait les attaques personnelles et faisait tout simplement son one-man-show.

C’est le site américain TMZ qui en premier relaie l’info selon laquelle, à 46 ans et maintenant star de la série Anger Management, Charlie en a marre de Twitter, qui ne lui apporte plus rien. Ainsi, jeudi à minuit, il postait à ses 7,7 millions de followers l’image d’une bouteille de Tabasco posé sur le tableau de bord d’un avion en vol, avec le message suivant : «Direction les étoiles les amis!». Il rejoint ainsi Alec Baldwin qui vient aussi de fermer son compte.

Twitter n’était-il donc qu’un outil promotionnel pour Charlie? En effet, l’acteur n’a utilisé le réseau social que lorsque sa carrière était au point mort et qu’il faisait de sa vie privée un véritable show médiatique. Maintenant qu’il a fait son retour sur le petit et même le grand écran, il a dû se dire qu’il avait mieux à faire. Les 8 millions de fans qui le suivaient seront ravis de l’apprendre.

Les hommages à Tony Scott se multiplient

Depuis l’annonce du décès du cinéaste et producteur britannique Tony Scott, les témoignages se multiplient sur les réseaux sociaux.

Au vu des nombreux messages postés sur Twitter, Tony Scott était très apprécié dans le milieu du cinéma.

Depuis le décès tragique du réalisateur de Top Gun (décédé dimanche après avoir sauté d’un pont près de Los Angeles), les témoignages sont légion. “Tony était un ami très cher et il va beaucoup me manquer”, a déclaré Tom Cruise dans un message électronique envoyé à l’AFP par sa porte-parole. C’était un visionnaire dont l’empreinte sur le cinéma est énorme. Mes pensées vont à sa famille”.Quelques heures après son probable mariage avec Jessica Biel, Justin Timberlake, a pris le le temps de poster un message sur son compte Twitter. « Tellement triste d’apprendre la mort de Tony Scott. Ses films m’ont aidé à grandir. Mes prières et condoléances vont à sa famille », a posté l’acteur. Samuel L. Jackson y est aussi allé de son hommage sur le réseau social « Je prends un moment pour réfléchir au travail et à la vie de Tony Scott! Mes condoléances vont à sa famille. J’ai de la peine. » « Il n’y aura plus de films de Tony Scott. Journée tragique » a écrit Ron Howard sur le site de micro-blogging. Le président du Festival de Cannes, Gilles Jacob, s’est dit : « stupéfait d’apprendre la disparition brutale de Tony Scott, réalisateur talentueux et sophistiqué, dont j’avais aimé (et montré) The Hunger. C’est dur de percer, quand on a un frère réalisateur célébrissime et qu’on exerce le même métier sans travailler avec lui : Tony Scott l’a fait ». Son acolyte Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, a lui aussi salué la mémoire du réalisateur. « Scott est mort. Il aura fait son métier avec conviction et brio. Dans une certaine solitude aussi, et sans reconnaissance officielle. » Pour les proches du réalisateur de « Jours de tonnerre », l’annonce soudaine de sa mort a décidément été un vrai coup… de tonnerre.