Aurélie Filippetti défend L’inconnu du lac et son affiche polémique

La polémique autour de l’affiche du film L’inconnu du lac prend une nouvelle dimension avec Aurélie Filippetti qui s’invite dans le débat. La ministre de la Culture qualifie d'”acte de censure” le retrait des affiches des villes de Versailles et Saint-Cloud et défend le principe de liberté artistique.

A ce rythme là, le film L’inconnu du lac risque de porter un titre qui ne lui convient pas. De confidentiel, il est en train de bénéficier d’un buzz incroyable à cause de deux municipalités qui voulaient que ses affiches ne soient pas trop visibles. Le visuel, qui montre en dessin un couple d’hommes en train de s’embrasser, a choqué quelques habitants des villes de Versailles et de Saint-Cloud qui n’ont pas pas hésité à s’en plaindre auprès de leurs mairies. Résultat: JC Decaux a dû retirer les affiches incriminées, à la demande des services municipaux.

Il n’en fallait pas plus pour démarrer une polémique, une de plus sur le thème de l’homosexualité après des semaines de violents débats autour du mariage pour tous. Et aujourd’hui, c’est Aurélie Filippetti qui entre dans le débat en publiant un communiqué dans lequel elle estime que ce retrait des affiches de L’inconnu du lac est « un acte de censure qui porte atteinte à la liberté de communication et d’expression ». Selon la ministre de la Culture, l’image de ces deux hommes s’embrassant “transpose, avec la liberté artistique qui doit être reconnue à tout créateur, le propos et l’ambiance du film« et surtout »ne présente pas les risques pour l’ordre public qui pourraient justifier des mesures de restrictions par les autorités compétentes ».

Une position partagée bien évidemment par Les films du Losange, producteur et distributeur de L’inconnu du lac, qui parle sut Twitter de « censure abusive ». Régine Vial, sa responsable, déclare: “Nous n’avons pas remis en question l’interdiction du film aux moins de 16 ans« mais affirme que »cette histoire qui ne concerne que cinq affiches, situées dans des villes où L’Inconnu du lac n’est même pas programmé, est quand même un acte extrêmement violent ». La mairie de Versailles a de son côté confié au site Rue 89 “comprendre que l’affiche puisse choquer un public qui se retrouve désarmé face à des affiches qui abordent la sexualité dans la rue“. On doit donc en déduire qu’on ne verra jamais fleurir sur les murs de ces villes la célèbre photo de Robert Doisneau Le baiser de l’Hôtel de ville.

Charles Aznavour a son étoile sur Everan boulevard

L’Arménie est si fière du succès mondial de Charles Aznavour, l’enfant du pays, que les autorités lui offrent régulièrement de nouveaux honneurs. Désormais le nom de l’artiste est gravé sur la terre arménienne.

Il se voyait en haut de l’affiche, adulé et riche. Charles Aznavour a plus qu’atteint ses rêves, il les a dépassé. Le chanteur de 89 ans fait vibrer son public depuis soixante ans et rend fier un pays entier. L’Arménie, pays de ses parents l’a hissé au rang de légende vivante et ne lasse pas de consacrer ce héros. Lui qui est pourtant née à Paris un 22 mai, a reçu ce week-end son étoile à Erevan.

Lors d’une cérémonie officielle, Edouard Nalbandian, le ministre des Affaires Étrangères locales a dévoilé à Charles Aznavour «cette étoile qui porte ton nom et symbolise un grand Arménien et un grand artiste», comme le rapporte l’AFP. On imagine toute l’émotion du chanteur qui a déjà reçu toutes les plus prestigieuses récompenses mais continue a éprouver pour le pays d’origine de ses parents, la plus grande des affection. Le nom d’Aznavourian est désormais indissociable d’Erevan.

En 2004 déjà, l’interprète d’Hier encore avait été fait par l’administration arménienne, héros national. Un titre honorifique mais peut-être le plus prestigieux du pays. Mais rien n’est trop beau pour Charles Aznavour, qui bénéficie déjà de la citoyenneté arménienne, d’une place à son nom avec statue à son effigie. Un jour peut-être, le pays s’appellera l’Aznavourie.

Photos- Mick Jagger, 70 ans et sept rencontres

Ce 26 juillet, Mick Jagger fête ses soixante-dix ans. Une vie placée sous le signe de la musique, de la famille et des femmes. Durant ces sept décennies, le chanteur des Rolling Stones a fait d’innombrables rencontres mais certaines l’ont marqué plus que d’autres. Nous en avons sélectionné sept qui, pour des raisons bien différentes, ont fait du septuagénaire le plus célèbre au monde un homme comblé.

Mick Jagger est sans conteste l’icône du rock par excellence. Avec son groupe les Rolling Stones, il domine depuis plus de cinquante ans la scène musicale internationale à force d’albums puissants et de tournées démentielles. Sa vie autant professionnelle que personnelle a été d’une richesse incroyable faite de rencontres déterminantes. Des femmes pour la plupart pour ce prédateur sexuel connu pour ses 4000 conquêtes. Difficile de toutes les énumérer, de Carla Bruni à Uma Thurman en passant par Angelina Jolie, mais trois d’entre elles ont un peu plus marqué la vie de Mick Jagger, Marianne Faithfull, Bianca et Jerry Hall. Avec David Bowie, autre icône rock du Royaume-Uni, la légende lui prête des relations qui dépassèrent le simple cadre de la musique. Malgré ses frasques et un parcours jalonné par le sexe, l’alcool et la drogue, Mick Jagger a su fonder une famille. Il est le père de sept enfants mais c’est sans doute sa fille Jade, née de son union avec Bianca, qui symbolise le mieux sa fierté paternelle. Mais tout a commencé par sa rencontre avec Keith Richards, fondatrice, qui lui a ensuite permis de conquérir un public toujours plus nombreux aux quatre coins de la planète.

  • Keith Richards: avec Mick Jagger, ils ont fréquenté la même école primaire lorsqu’ils étaient enfants, à Dartford dans le Kent, mais c’est une rencontre des années plus tard, en 1961, alors qu’ils n’ont pas encore 20 ans qui va bouleverser leur existence. Les deux hommes se croisent par hasard sur le quai d’une gare, et Mick aborde Keith en découvrant les vinyles que le guitariste avait sous le bras. Ils se découvrent alors une passion commune pour la musique et uniront leurs destins pour les cinquante années à venir. Une relation amicale et professionnelle faite de hauts et de bas, de brouilles et de moments forts, mais qui marqué à jamais l’histoire du rock’n roll.
  • Marianne Faithfull: leur idylle dans les années 60 a été l’une des plus intenses pour Mick Jagger. Le leader des Rolling Stones commence à se faire un nom et une réputation lorsqu’il tombe fou amoureux de cette icône de la contre-culture. Elle quitte son mari pour vivre sa passion avec le rocker, tous les deux vivront plusieurs années faites de sexe, de débauche, de drogue et d’une véritable admiration mutuelle. Leur liaison auto-destructrice prend fin lorsque Marianne Faithfull, qui a plongé au plus profond de l’enfer, décide de mettre un terme à cette vie sans issue.
  • Bianca Jagger: elle est la première épouse de Mick Jagger. Tout est allé très vite entre eux. Ils se sont rencontrés en 1970 et se sont mariés moins d’un après, en 1971, à Saint-Tropez alors que Bianca était déjà enceinte de Jade. Avec le leader des Stones, ils écument les boites de nuit et deviennent les incontournables de la jet set mondiale. Bianca devient même l’égérie du fameux Studio 54 de New York. Mais elle ne supporte pas la liaison que son mari débute avec Jerry Hall. Trompée, elle demande le divorce qui sera prononcé en 1979. Mais Bianca conservera malgré tout le nom de Jagger, certainement plus porteur pour mener son combat pour la défense de l’environnement et des droits de l’homme.
  • Jerry Hall: de toutes les femmes de Mick Jagger, officielles ou non, ce sublime mannequin américain est sans doute celle qui aura été le plus associé au nom et à l’image de Mick Jagger. Leur relation débute en 1977 et durera jusqu’en 1999, une longévité record pour la star britannique. Ils se sont mariés en 1990 et ont eu quatre enfants ensemble. Noctambules confirmée elle aussi, Jerry Hall mène une belle carrière de top modèle et fait quelques essais du côté du cinéma, sans succès. Malgré ses nombreuses qualités, elle ne parvient pas à assagir son compagnon qui continue à multiplier les conquêtes (notamment Carla Bruni que Jerry Hall interpelle un jour dans un palace parisien en lui demandant de laisser son mari tranquille). Ces « adultères multiples» de Jagger conduise la belle Américaine à quitter le foyer familial et demander le divorce.
  • David Bowie: si Mick Jagger est connu comme un séducteur invétéré qui collectionne les conquêtes féminines, il semble qu’il ait aussi mis quelques hommes dans son lit. Notamment David Bowie, star de rock lui aussi dans les années 70. La rumeur a longtemps couru au sujet de leur relation mais c’est l’ancienne femme de Bowie, Angie, celle qui a inspiré la chanson du même nom aux Rolling Stones, qui l’a confirmée dans une interview au Sun. Elle raconte les avoir surpris dans sa chambre à coucher. «Ils n’étaient pas juste dans le lit. Ils étaient nus» racontait-elle. Une histoire de sexe plus que d’amour entre Bowie et Jagger qui ont gardé une certaine complicité tout au long de leur vie, partageant même un duo sur la reprise de Dancing in the street dans les années 80.
  • Jade Jagger: on ne peut pas parler véritablement de rencontres mais l’arrivée de la petite Jade, en 1971, dans la vie de Mick Jagger pose les véritables fondations de la famille que s’est construite le chanteur. Il a déjà une fille, née d’une liaison avec une de ses nombreuses conquêtes, mais Jade nait de son premier mariage, celui avec Bianca. Le couple n’aura pas d’autre enfant, mais Mick Jagger en fait quatre à Jerry Hall puis reconnaît un fils né d’une passade avec un mannequin brésilien. Il a aujourd’hui sept enfants, et Jade Jagger est sans doute celle qui perpétue le mieux le célèbre patronyme puisqu’elle a été mannequin et travaille dans le milieu de la mode et des cosmétiques.
  • Son public: le raccourci est peut-être facile, mais sans lui Mick Jagger ne serait pas ce qu’il est. En cinquante années de carrière avec les Rolling Stones, il a su fédérer un public de plus en plus large. La musique des Stones plait toujours à ceux qui les ont découvert dans les années 60 et conquiert, album après album, concert après concert, de nouvelles générations de fans qui remplissent les stades à chacune des tournées de ces papys du rock. Un amour avec le public dû au bon vieux rock que sait jouer le groupe mais aussi au jeu de scène de Mick Jagger, dont l’énergie, les mimiques et la voix laissent rarement insensibles.

Bérengère Krief : de “Bref” à “Joséphine” !

Zoom sur Bérengère Krief…. De “Bref”, où elle incarnait le plan cul régulier de Kyan Khojandi, à “Joséphine”, l’adaptation ciné de la BD de Pénélope Bagieu, en passant par son spectacle au Grand Point Virgule.



© Julian Torres

La jeune comédienne Bérengère Krief alias Marla, le plan cul régulier du personnage incarné par Kyan Khojandi dans la série de Canal + Bref, sera prochainement à l’affiche de Joséphine, l’adaptation ciné de la BD de Pénélope Bagieu. Mis en scène par Agnes Obadia (Romaine par moins 30), le long métrage sortira sur nos écrans le 12 juin prochain. Marilou Berry incarne l’héroïne, Joséphine, une jeune femme d’une trentaine d’années qui n’aime pas son boulot, enchaîne les histoires d’amour sans lendemain, et doit supporter la pression de sa famille qui lui reproche, de ne pas être mariée. Joséphine s’invente alors un beau brésilien millionnaire, mais ce petit mensonge ne va pas calmer les choses. Bérengère Krief tient le rôle de Chloé, une collègue et bonne copine de Joséphine.

 

En attendant la sortie du film le 12 juin, vous pouvez découvrir la comédienne sur la scène du Grand Point Virgule dans son one woman show. Après un an au Point Virgule, la pétillante Bérengère Krief poursuit donc sur sa lancée dans la nouvelle salle Le Grand Point Virgule depuis le 12 octobre. De l’amour est dans le pré, aux super-héros, en passant par les cours de répartie anti-relous et ses anecdotes sur l’après Bref, Bérengère Krief passe allégrement d’un sujet à l’autre. Le public, invité à participer au show, rit aux éclats du début à la fin. Scène, série, cinéma, plus rien n’arrête Bérengère Krief !

 

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Laëtitia Forhan

Exclu Gala- Tal nous présente Anthony

À 23 ans, la chanteuse a trouvé l’amour. et a choisi d’en faire le héros de son dernier clip, A l’international.

Inconnue en France il y a encore trois ans, Tal est devenue, le temps d’un premier album, Le droit de rêver (sorti en 2012 et vendu à 400 000 exemplaires), et d’une participation au disque Génération Goldman, la coqueluche de la jeune génération. Toujours en mouvement, elle défend à présent A l’infini, son deuxième disque fraîchement débarqué dans les bacs. L’occasion de nous parler du beau brin de mâle qu’elle étreint de son dernier clip, Anthony, son petit ami dans la vie…

Gala: Après l’immense succès de votre premier opus, avez-vous ressenti plus de pression pour la sortie de ce nouveau disque?

Tal: Oui. Beaucoup plus, parce qu’il est plus personnel. Là, j’ai écrit et composé, alors qu’avant je n’étais qu’interprète. Du coup, je suis beaucoup plus impatiente d’avoir les impressions des gens, parce qu’il y a beaucoup de moi dedans.

Gala: Vous êtes également devenue très célèbre en peu de temps. Qu’est-ce que ça a changé dans votre vie?

Tal: Moi, je n’ai pas changé, ce sont les gens, mis à part ma famille et mes amis proches, qui ont modifié leur comportement. J’ai reçu tout d’un coup beaucoup de messages de personnes que je ne voyait plus depuis longtemps et qui essaient de me recontacter…

Gala: Vous n’avez jamais eu l’impression de perdre pied?

Tal: C’est évidemment très étrange, cette sensation d’être adulée… Mais j’essaie de ne pas trop y penser pour ne pas que ça devienne stressant. J’ai été élevée dans une famille empreinte de spiritualité, ça m’a aidé à gérer ce qui m’arrivait avec sérénité. Je suis avant tout consciente que beaucoup d’artistes très talentueux n’ont pas la chance de vivre ce que je vis.

Gala: Vous avez aussi participé à l’album Génération Goldman 2 et on vous retrouvera dans la prochaine édition de Danse avec les stars, sur TF1… Vous ne vous arrêtez jamais?

Tal: J’ai toujours besoin de nouveaux défis. J’adore la danse. Mais je pratique que la danse urbaine, je n’ai jamais dansé à deux. Je n’ai jamais essayé la danse de salon. Ce sera tout nouveau pour moi, c’est très excitant.

Gala: Avez-vous parfois peur que tout s’arrête?

Tal: Non, pas du tout. Si un jour ça ne marche plus, je sais que je continuerais à chanter, même si c’est dans des salles plus petites. Ce qui me rend heureuse, c’est de chanter avec ma guitare, or ça, ça sera toujours possible.

Gala: Parlez-nous d’Anthony, votre petit ami qui joue dans votre clip…

Tal: On s’est rencontrés par le biais de ma meilleure amie, il y a deux ans. Mais je n’aime pas trop parler de ma vie privée…

Gala: Vous avez pourtant choisi de le mettre en scène …

Tal: Oui, parce que quand j’ai lu le synopsis du clip et que j’ai vu que je devais jouer un couple avec un comédien, je ne me voyais pas choisir quelqu’un d’autre que lui. Ce n’était pas pour officialiser notre relation, mais simplement parce que je voulais qu’il se passe vraiment quelque chose de fort à l’écran.

Gala: Anthony est acteur, c’était important qu’il exerce aussi un métier artistique?

Tal: On a forcément plus d’échanges sur nos expériences respectives, mais l’amour ne dépend pas du métier d’une personne. Il pourrait être comptable, je l’aimerais tout autant.

Gala: Avez-vous trouvé en lui votre alter ego masculin?

Tal: A la fois mon alter ego et moi âme sœur, même si on est assez différents sur pas mal de points. On est très complémentaires. Il est plutôt économe alors que je suis très dépensière, du coup ma mère est super contente!

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Jason Lamy-Chappuis, chef de bande à Sotchi

Plus que 115 jours avant le début des jeux Olympiques de Sotchi, en Russie, du 7 au 23 février, et déjà la France a choisi son porte-drapeau. Un honneur qui revient cette année à la référence mondiale du combiné nordique, le jeune Jason Lamy-Chappuis. À Sotchi, les Français espèrent rafler de nombreuses médailles.

«Dans une carrière, c’est quelque chose de grand. C’est beaucoup d’émotion, une grande fierté et une grande responsabilité». À 27 ans, Lamy-Chappuis a déjà tout d’un grand, un titre olympique, quatre couronnes planétaires et trois globes de numéro 1 mondial, mais il a encore du mal à cacher ses émotions. Et tant mieux. Quel plaisir de voir un sportif fier de représenter la France!

Le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) vient de désigner ce Jurassien, né aux Etats-Unis de père français et de mère américaine, porte-drapeau de la France aux jeux Olympiques de Sotchi. Un grand honneur pour le sportif qui était en compétition avec Ophélie David (skicross) et Brian Joubert (patinage artistique).

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«Nous sommes une grande famille, nous allons tous dans le même sens», s’est exprimé Jason Lamy-Chappuis, fier de représenter l’équipe de France, soit entre 116 et 128 athlètes venus comme lui décrocher une médaille. «Nous visons 15 médailles dont cinq en or, c’est dans la suite logique de Vancouver (il y a quatre ans) et de la saison dernière où nous avons eu 19 médailles dans les différents championnats du monde de ski», explique Michel Vion, le président de la Fédération française de ski (FFS).

Côté patinage artistique, Didier Gailhaguet, son homologue de la Fédération française des sports de glace (FFSG) espère lui «retrouver le niveau de Salt Lake City», en 2002, où Marina Anissina et Gwendal Peizerat avaient décroché l’or en danse. En biathlon, même envie de gagner, le Catalan de 25 ans, Martin Fourcade répète qu’il va à Sotchi «pour aller chercher un titre olympique».

Comptez aussi sur Jason Lamy-Chappuis, dans son combiné nordique mélange de sauf à ski et de ski de fond, et sur Tessa Worley, en ski alpin, championne du monde 2013 de slalom géant pour faire le spectacle. En bref, l’équipe de France part ambitieuse. Alors notez bien le rendez-vous dans vos agendas, ça se passe au mois de février.

‘E.T.’ Star Henry Thomas Arrested for DUI in Oregon

TUALATIN, Ore. (AP) — Authorities say Henry Thomas, the actor who starred as a child in E.T. the Extra Terrestrial, has been arrested for driving under the influence in Oregon.

The 48-year-old Thomas was booked into the Washington County Jail and faces the misdemeanor charge after police said they found him Monday in a stationary car.

Thomas played Elliott, the young boy who befriends an alien in the classic 1982 movie. He has also appeared in Gangs of New York and Legends of the Fall.

An email to his representatives wasn’t immediately returned Tuesday.

KGW reports the Tualatin Police Department said they received a call about a car that was not moving.

Police say officers arrived, found Thomas and took him into custody after a field sobriety test.

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Schengen border controls to be extended (again)

Migrants stand at a fence on the Hungarian-Serbian border | Armend Nimani/AFP via Getty Images

Schengen border controls to be extended (again)

Commission says countries that took action during migration crisis can keep the measures in place.

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1/25/17, 6:22 PM CET

Updated 1/26/17, 9:55 AM CET

European countries that introduced temporary border controls during the migration crisis can keep them in place for another three months, the European Commission said Wednesday, well past a suggested end date for the measures.

In October the Commission granted another three-month extension to Austria, Germany, Denmark, Sweden and Norway, all members of the passport-free Schengen zone. But a document published in March 2016, called “Back to Schengen,” earmarked December 2016 as “the target date for bringing to an end the exceptional safeguard measures taken,” in some cases as far back as September 2015.

Dimitris Avramopoulos, the European commissioner for migration, rejected suggestions that the move was in part influenced by German elections to be held in September. “Our decision is based on facts,” he said.

The Commission said that despite the migration crisis calming down, and the implementation of a series of measures to better manage the EU’s external borders — such as the launch of the European Border and Coast Guard last fall — it “considers that the conditions of the ‘Back to Schengen’ roadmap … have not yet been entirely fulfilled.”

One of the reasons for that, it said, was the significant number of irregular migrants and asylum seekers still in Greece and that “the situation remains fragile on the Western Balkans route” that connects Turkey to Europe.

In December, the Commission said other EU countries should “gradually” resume the transfer of migrants back to Greece under the bloc’s Dublin rules — which state that asylum applications must be processed by the first EU country the migrant set foot in — by mid-March. Other countries have not been able to send migrants back to Greece since 2011 when the European Court of Human Rights and the European Court of Justice identified systemic problems in the Greek asylum system.

Authors:
Jacopo Barigazzi 

Martel: A Warm Goodbye to Astrologer Walter Mercado

To understand Hispanic culture, you must understand Walter Mercado.

Mercado, a Puerto Rican astrologer millennials will most fondly remember for his daily segments on the Univisión sensationalist news program Primer Impacto in the 1990s, died on Saturday as arguably the most respected person in Latin America.

His final gift to his people was to precipitate the resignation of former Puerto Rican Governor Roberto Rosselló – hundreds of thousands took the streets demanding he step down, but he only listened after Walter told him to.

He was 87 years old and reportedly died of renal failure in San Juan, surrounded by his family. He leaves us during the Scorpio sun season when the barrier between the living and the dead is reportedly at its thinnest.

For anyone not familiar with Hispanic culture, getting to know Walter Mercado is diving in on the deep end. Mercado spent the better part of five decades wearing a plump bleach-blonde coif, his every finger joint bejeweled with ostentatious rings, his back covered in glittery velvet capes that your grandma always told you were worth at least $3000 (in 1993). His job was to deliver the horoscope on a news broadcast, providing the only information on the show that viewers would actually apply to their daily lives.
There is simply no analogy in Anglophone American culture.

A love of theatrics got him there. Mercado began his career as an actor and dancer – despite having a college degree in psychology and pharmaceutical science – seeking a singular place for his personality in the world of entertainment. He appeared in over ten Puerto Rican soap operas (telenovelas) before finding his calling in 1969 by happy accident. Mercado delivered his first televised horoscope that year as a substitute performance on a local Puerto Rican television broadcast after the original performer – the also recently departed Spanish pop superstar Camilo Sesto – backed out.

The rest is, as they say, is history.

Mercado approached horoscopes more as emotional counseling than telling the future. He would always urge Tauruses to listen to the other side of arguments, gently nudge the Capricorns to take a vacation, warn his fellow Pisceans to beware of those seeking to manipulate their desire to take care of everyone around them. Nobody ever won the lottery thanks to Mercado’s talents, but they learned a lot about themselves in a world where therapy was non-existent and the priest could only punish you with Hail Marys, not help you avoid any new sins.

This service proved highly valuable to his audience of refugees and immigrants in the United States forced to resort to Univisión’s otherwise insufferable soap opera programming (please do not ask us about Marimar, we are still scarred) or take a chance on watching something in English they didn’t understand. The result: ask any Hispanic person you know what would happen to them if, as a child, they tried to speak during Mercado’s segment. A cacophony of threats to shush or face the chancleta (house sandal) erupted from your mother, grandmother, aunt, and basically anyone over 40 in the room.

There is no real record of Mercado’s sexual identity. His extraterrestrial wardrobe and long-established single lifestyle placed him for years in a category of public figure Mexico’s most famous “confirmed bachelor” Juan Gabriel once described as “lo que se ve no se pregunta” – roughly, “if it’s obvious, don’t ask.” But unlike Juan Gabriel, who never affirmed his sexuality either way, Walter Mercado baffled the world in 2003 by announcing that he had once taken a vow of celibacy and that he would be breaking it by marrying Brazilian model Mariette Detotto. Detotto began to appear with him on his daily horoscope segments and faded away with the bizarre intellectual property feud that saw Mercado leave Univisión and rechristen himself “Shanti Ananda,” his “authentic name in the mystical.”

In one of his final interviews, Mercado tread not into his sexuality, but his gender identity, insisting, “Everyone knows we have two energies – yin and yang – and I know how to balance them. If I have to be a warrior, then I’ll be that. If I have to be soft and subtle, I can be that, too. I broke the barriers.”

This refusal to conform made him the butt of many jokes over the years in a culture not yet entirely comfortable outside of its rigid definition of traditional masculinity, but none of those jokes ever made anyone doubt the validity of his horoscopes.

It must be said that Mercado took notable advantage of this respect. He fronted a variety of scams that likely stripped wayward Latinos of millions of dollars in the decades he was active, selling “spiritual soaps,” candles, massage oils, CDs, and all manner of useless junk. Prior to his residency on Primer Impacto, Mercado was a staple in Spanish-language infomercials for his psychic hotline and spiritual services. His empire allegedly boasted “experts” that could teach you how to prepare a spiritually cleansing herbal bath or cast spells to snag that special someone. Much of what he sold formed part of the spiritual practices known commonly in the Caribbean as santería, which derive from primarily Yoruba African traditions. Nowaways, anyone can use Google to figure out which herbs to buy at their local botánica (witchcraft store), but in Mercado’s heyday, he leveraged his “knowledge” for cash.

Those robes don’t pay for themselves!

But unlike, say, John Edward or Miss Cleo in Anglophone America, who ultimately met a fate of infamy, Mercado kept the trust of the people in a way that no politician, journalist, doctor, or lawyer ever could.

He leaves the world one in which Latin Americans are significantly more integrated into the cultural fabric of the United States than ever before. Affluent white Americans, mostly of the coastal leftist variety, are experiencing an often annoying astrology renaissance, pretending they are the first people to use star charts to learn more about themselves. The fact that these people are gentrifying communities where Walter Mercado was the only part of the news that mattered cannot be discounted as a factor.

Their analogs in the Hispanic community, threatened into silence during his Primero Impacto segments, are flooding the Anglophone internet with all-purpose Walter memes, for when you must know all the gossip or you need a night out on the town.

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This interconnectedness is, of course, the natural process of cultural integration that makes America the greatest nation on earth.

With his death, Walter Mercado has now turned the growing pain dividing Americans into those who know him and those who don’t into a thing of the past, leaving us free to all be just American.

Frances Martel is a Cuban-American writer from New Jersey. She is a Scorpio sun, a Libra moon, and a Sagittarius rising.  Follow her on Facebook and Twitter.

Senators urge USDA to open up rural broadband funding

A group of bipartisan senators is urging the Department of Agriculture (USDA) to open up its rural broadband funding program to more states suffering from a lack of Internet connectivity. 

In a Wednesday letter to USDA Secretary Sonny Perdue, the senators, led by Sen. Ron WydenRonald (Ron) Lee WydenHillicon Valley: Dems cancel surveillance vote after pushback to amendments | Facebook to ban certain coronavirus ads | Lawmakers grill online ticketing execs | Hacker accessed facial recognition company’s database On The Money: Coronavirus complicates Fed decision on rates | Schumer wants .5B in emergency virus funding | Dems offer bill to reverse Trump on military money for wall Hillicon Valley: Democrats cancel surveillance vote over pushback to amendments | Lawmakers grill Ticketmaster, StubHub execs over online ticketing | MORE (D-Ore.), accused the agriculture agency of placing arbitrary limitations around which rural areas are eligible to receive some of the USDA’s $500 million rural broadband fund, called ReConnect. 

As it stands, the USDA program says certain rural areas cannot qualify for the fund if they previously received money from the Federal Communications Commission (FCC) for satellite service. But the senators say satellite service is not enough to fix the issue of the “digital divide,” and the USDA’s funds could have life-saving impacts for areas that do not have good Internet access. 

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“USDA can, and should, fix this,” the senators, including Sens. John Barasso (R-Wyo.) and Tammy BaldwinTammy Suzanne BaldwinHillicon Valley: Dems cancel surveillance vote after pushback to amendments | Facebook to ban certain coronavirus ads | Lawmakers grill online ticketing execs | Hacker accessed facial recognition company’s database Hillicon Valley: Democrats cancel surveillance vote over pushback to amendments | Lawmakers grill Ticketmaster, StubHub execs over online ticketing | Senators urge USDA to open up rural broadband funding MORE (D-Wisc.), wrote. “USDA is [not] statutorily required to eliminate FCC grant recipients from ReConnect eligibility.” 

There are multiple federal government programs aimed at improving Internet access in rural areas, which often struggle from a lack of connectivity. Republican lawmakers and regulators have occasionally raised concerns about overlapping funding for the same issue. 

But the senators wrote that the FCC satellite coverage funding is “insufficient for the needs of rural communities” because satellite service is often less reliable than fiber and fixed wireless services. 

Congress established the USDA’s ReConnect Program, which furnishes loans and grants to improve broadband services in rural areas, in 2018. The senators pointed out that the USDA’s restrictions are “not required by law.”

They added that the funds could be “vital to reducing the digital divide” between rural and urban areas and “harnessing important opportunities in telemedicine and online education, and the high-paying jobs that come with them.” 

USDA did not respond to The Hill’s request for comment.