You bat for Team Black Footwear if you prefer wearing black shoes above all other neutrals and non-neutrals. You bat for Team Non-Black footwear if you prefer wearing shoes that aren’t black. Any style of shoe counts.

All my clients wear black shoes, but some do more frequently than others. When clients have very dark hair and wear a lot of black, black footwear is often their go-to. Others prefer brown, grey, navy, burgundy, animal print, olive or metallic. A few prefer wearing light, blush, and bright footwear, and white sneakers are extremely popular. I am the only person I know who prefers to wear white footwear above all other colours.

I bat for Team Non-Black Footwear. I don’t have any black footwear after passing on my tall black riding boots last year. I don’t plan on purchasing black shoes. I wear black sparingly, and prefer to bookend my platinum blonde hair with light footwear. Black footwear tends to look off with the sour brights, clear mid-tones, pastels, white, dark blue, and earth tones that I like. I have three pairs of navy shoes and that’s it for dark shoes. I’m very into red, blush, watermelon and citron footwear. Occasionally I wear gold and cognac shoes. I want to add a few pairs of light blue shoes with white soles.

Over to you. Do you bat for Team Black or Team Non-Black Footwear? Tell us why, and no batting for both teams. But there are vegan Beyond Burgers with fresh fixings on the bench if you can’t pick a side. I’m willing to bet that Team Black Footwear will win this poll, but prove me wrong.

Meilleur joueur du championnat de France, phénomène sur les terrains, et en dehors, Zlatan Ibrahimovic mène une carrière prospère. Le footballeur de 33 ans a pourtant failli connaître une fin tragique dans son pays natal.

En France, Zlatan Ibrahimovic a dominé le classement des buteurs les deux saisons passées. En Suède, il a dominé celui des ventes de livres, en 2013, avec son ‘autobiographie’ Moi, Zlatan Ibrahimovic. Un succès qui semble avoir inspiré l’un de ses compatriotes, le tueur en série Peter Mangs. De sa cellule, le criminel de 43 ans vient de publier sa seconde autobiographie. Une œuvre dans laquelle le site suédois The Local a repéré une information édifiante. Peter Mangs y assure en effet avoir voulu assassiner Zlatan Ibrahimovic. Et à en croire l’auteur du récit, l’attaquant du PSG a échappé de peu à cette tentative.

Les faits remontent au mois de mars 2010. A l’époque, le footballeur joue encore pour le FC Barcelone. Il se rend quelques jours à Malmö, sa ville de naissance, pour rendre visite à ses proches. Au cours d’une sortie, le géant suédois gare sa Ferrari en centre ville et part se promener. Arrive alors Peter Mangs. Déjà auteur d’au moins un assassinat, le tueur xénophobe découvre le véhicule de la star, garé sur une zone de stationnement interdit. « Un comportement typique des gens des Balkans », commente-t-il dans son livre. Mis hors de lui par cette infraction anodine, le tueur se précipite alors chez lui pour récupérer son arme à feu. Dans sa tête les choses sont désormais claires: il va abattre Zlatan Ibrahimovic. « Ca aurait fait beaucoup de bruit dans les médias si je l’avais tué », assure-t-il.

Sans imaginer une seconde qu’un tueur en série est lancé à sa poursuite, Zlatan Ibrahimovic termine sa promenade dans le centre ville de Malmö et se dirige vers son véhicule. Heureusement pour lui, Peter Mangs n’est pas encore revenu. Le footballeur démarre donc sa voiture et quitte le quartier. Quelques instants plus tard, le tueur est de retour. « Je suis retourné sur place assez rapidement. Mais quand je suis revenu, la Ferrari n’était plus là », explique-t-il, déçu, dans son livre. Il faut encore trois années à la police locale pour interpeller Mangs. Jugé en 2013, l’homme est reconnu coupable de deux meurtres et de huit tentatives d’assassinats « majoritairement à caractère raciste » précise le Parisien. Il est finalement condamné à la prison à perpétuité. Zlatan peut désormais dormir sur ses deux oreilles, et garer sa voiture où bon lui semble.

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Redécouvrez Zlatan Ibrahimovic face à statue de cire du Musée Grévin:

Crédits photos : LANCELOT FREDERIC/SIPA

Jay Z et Beyoncé faisaient face à de nombreuses critiques à cause de leur silence concernant les émeutes de Baltimore et de Ferguson. Mais hier, l’activiste et écrivain Dream Hampton a révélé sur Twitter que le couple avait largement contribué à la libération de nombreux manifestants emprisonnés.

Dans une interview à The Hollywood Reporter datant de 2012, l’artiste américain Harry Belafonte, qui a financièrement aidé la famille de Martin Luther King lors du Mouvement pour les droits civiques, avait déclaré que les stars d’aujourd’hui, à l’image de Jay Z et Beyoncé, n’avait que faire de leur « responsabilité sociale ». Le couple le plus riche de la planète fait d’ailleurs, depuis quelques temps, l’objet de nombreuses critiques pour avoir seulement apporté un « soutien de façade » aux problèmes raciaux qui règnent aux États-Unis. Jusqu’à hier.

Des dizaines de milliers de dollars en quelques minutes

L’activiste Dream Hampton, qui a travaillé avec Jay-Z sur sa biographieDecoded 2010, a en effet défendu les interprètes de Drunk in love. Elle a révélé sur Twitter leur implication discrète dans les récents événements. “Lorsque nous avions besoin d’argent pour régler les cautions des manifestants de Baltimore, j’ai demandé de l’aide à Jay, comme je l’avais fait pour Ferguson. Il a alors viré des dizaines de milliers de dollars en quelques minutes”, a-t-elle d’abord écrit. Elle a expliqué au Daily Mail que le couple désirait que ses dons restent discrets : “Je peux dire que j’ai personnellement aidé à faciliter les dons qu’ils ont directement fait aux manifestants et qu’ils n’ont jamais rien demandé en échange, et surtout pas de la publicité”. La biographe a conclu sa série de tweets, supprimés depuis, en dévoilant que Jay Z et sa femme ont fait un « un énorme chèque » pour soutenir le mouvement Black Lives Matter, qui se bat contre les discriminations raciales et pour un meilleur traitement des personnes afro-américaines par la police.

Manifestations américaines

À l’origine de ce mouvement : la mort d’un adolescent afro-américain non armé, Trayvon Martin, tué par un policier blanc à Sanford en Floride en 2012. La non-inculpation initiale du policier qui invoqua la légitime défense, puis le verdict du procès le jugeant non coupable créèrent une vague d’indignation aux États-Unis. L’année dernière, un autre adolescent afro-américain non armé, Michael Brown, fut tué par un policier blanc dans la banlieue de Saint Louis à Ferguson. Cette fois aussi, le policier déclare avoir agi en légitime défense et est acquitté. Cette affaire, qui fait écho à la précédente, a conduit à de violentes émeutes.

Plus récemment, le 12 avril 2015, un afro-américain de 25 ans est arrêté à Baltimore. Freddie Gray est blessé à la colonne vertébrale au cours de l’arrestation. Une semaine plus tard, il décède suite à ses blessures, ce qui ravive les tensions entre les forces de l’ordre et les citoyens. Près de 234 personnes sont arrêtées. Le 1er mai dernier, le procureur qualifie l’affaire d’homicide. De nombreuses stars réagissent publiquement pour soutenir la famille de la victime – mais Jay Z et Beyoncé restent silencieux. Grâce à Dream Hampton, on sait désormais qu’ils ne sont pas restés inactifs pour autant.

Crédits photos : INF/Starface

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Passées de l’ombre à la lumière, le Festival leur a déroulé le tapis rouge. À jamais.

Cheveux bruns courts, paupières maquillées de bleu, en 1999, Elodie Bouchez déborde de candeur et d’imprudence. Celles des jeunes actrices qui foulent le tapis rouge cannois pour la première fois. Révélée dix ans plus tôt par Serge Gainsbourg, dans Stan The Flasher, elle jouit déjà d’une certaine notoriété grâce à son rôle dans Les Roseaux sauvages d’André Téchiné qui lui valut un César de meilleur espoir en 1995. Abonnée aux rôles d’adolescentes dures à cuire, elle verra la donne changer après La Vie rêvée des anges d’Erick Zonka. Son interprétation saisissante d’Isa, une paumée en quête de bonheur, la mène au prix d’interprétation, partagé avec sa partenaire à l’écran Natacha Régnier. Reconnue depuis, la compagne de Thomas Bangalter (l’un des Daft Punk) reste l’une de ces comédiennes discrètes qui choisissent leurs films avec exigence. Sa stratégie a payé.

LA PETITE HISTOIRE

Dès 2005, Elodie Bouchez s’envole à la conquête d’Hollywood. La production de la série à succès Alias avec Jennifer Garner et Michael Vartan la recrute pour la cinquième saison. Adepte des rôles sombres, elle y campe une criminelle impitoyable. Une beauté toxique.

Nabilla a franchi hier le cap symbolique du million d’abonnés sur Instagram. La jeune femme révélée par les Anges de la téléréalité en 2013 sur NRJ 12 continue d’étendre son influence sur les réseaux sociaux où elle se montre très présente.

Près de 1,6 millions de followers sur Twitter, plus de 700 000 fans sur Facebook et maintenant un million d’abonnés sur Instagram, pas de doute le business Nabilla se porte bien.

À l’heure où l’influence digitale se monétise très cher, la starlette peut s’enorgueillir d’avoir une communauté très puissante sur les réseaux sociaux. Elle a d’ailleurs fête ça comme il se doit si l’on s’en réfère à la photo qu’elle a posté sur Instagram pour l’occasion. Un cliché que l’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste a légendé comme tel : “A Million Here … A Million There … A Milli Celebration@vergarathomas @samsamstyled #Onemillion #OneLove #Amilli #Loveyouguys#Inlove #BecuzImhappy #Thanks #Myfollowers #Inlove#Instamoment #Instagram #Instalife #Celebration#RedCups #Lipstick #Fun #Friends #Itgirl #Nabilla”.

Les plus attentifs auront une nouvelle fois remarqué le message subliminal destiné à son compagnon Thomas Vergara. On rappelle que celle qui aime se définir comme une it-girl est toujours dans l’attente de son procès concernant l’affaire du coup de couteau dans la nuit du 6 au 7 novembre 2014. En attendant d’être fixée sur son sort, Nabilal regorge de projets comme elle le confiait dernièrement dans les colonnes du magazine Lui.Créatrice d’une marque de vêtements, la jeune femme de 23 ans a des envies de cinéma. «Je veux être comédienne, expliquait-elle il y a un mois à Frédéric Beigbeder. J’ai déjà quelques propositions. Ça prendra le temps que ça prendra. Je n’ai pas besoin de faire autre chose, pour l’instant, j’ai de quoi vivre. Et je veux faire du cinéma, c’est la seule chose qui me tient à coeur. Je peux commencer des rôles où je balaie le sol, il n’y a pas de souci, mais je veux faire de la comédie».

Pour ses futurs premiers pas au box-office, Nbilla pourra compter sur sa forte communauté sur les réseaux sociaux qui devrait rapporter de précieuses entrées aux producteurs qui miseront sur elle.

L’espace de quelques jours, Mariah Carey a décidé de s’offrir un break loin du rythme infernal de Las Vegas, où elle se produit actuellement. Samedi, la chanteuse a ravi ses fans lors de son passage à l’hôtel Peninsula dans la capitale.

Mariah Carey fait rarement les choses dans la discrétion. Après avoir assuré le show lors de la promotion de sa série de concerts au Caesar Palace de Las Vegas – où elle se produit jusqu’au mois de juillet -, la diva a signé une arrivée remarquée à Paris, samedi. De passage pour quelques jours dans la capitale, la chanteuse a posé ses valises dans le sublime hôtel Peninsula, dans le très chic XVIe arrondissement parisien. La chanteuse de 45 ans est arrivée dans une magnifique robe noire, lunettes de soleil et chapeau sur la tête. L’interprète de We Belong Together a été accueillie en grande pompe par le prestigieux établissement mais également par de nombreux fans présents pour l’occasion. La jolie maman de Monroe et Moroccan, ses jumeaux qui font aussi parti du voyage, a ainsi pris le temps de partager quelques moments de complicité avec le public.

Le comportement de Mariah Carey tranche véritablement avec les récents propos de son frère Morgan Carey. Dans une interview accordée à The National Enquirer il y a quelques jours, l’ainé de la famille a dressé un portrait peu élogieux de l’artiste. «Je ne peux pas vous dire l’avoir déjà vue sobre et c’est vraiment effrayant» explique-t-il, fustigeant au passage l’entourage de sa sœur. «Elle a continué à boire pendant sa grossesse. Elle n’est pas capable mentalement de s’occuper de ses jumeaux. J’ai peur qu’elle ne meure comme Whitney Houston». Des propos virulents, qui n’ont pas empêché la belle Mariah de garder son sourire.

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Il lutte depuis 2013 contre un cancer de la gorge et pourrait ne plus vivre très longtemps. Le chanteur du Loir-et-Cher, Michel Delpech, âgé de 69 ans « s’éteint doucement ». C’est ce qu’a annoncé samedi son ami Michel Drucker, en marge de la première édition de Plumes de Stars à Aix-en-Provence où il était venu parler de son dernier ouvrage et de son one-man-show à venir.

« Si je vous en parle c’est qu’il m’a demandé de le faire » a justifié le présentateur vedette de Vivement Dimanche, devant le public des Plumes de Stars. Dans une vidéo publiée par le site du Parisien, Michel Drucker a annoncé que son ami le chanteur Michel Delpech était aujourd’hui gravement malade. « Il a une chose effrayante Michel Delpech, il a un cancer à la base de la langue. Vous imaginez ce que c’est pour un chanteur de ne plus pouvoir parler ».

Triste mais déterminé à lui rendre hommage, l’animateur, qui fête ses 50 ans de carrière, a expliqué : « Je le vois tous les 3 jours, tous les 4 jours (…) j’essaye de le faire rire (…) et il me dit parle de moi, parle de mon cancer, dis que j’ai été courageux ». Parce que la condition physique de Michel Delpech s’est beaucoup détériorée depuis 2013 et la date de son premier diagnostic. D’ailleurs, Michel Drucker a commenté, ce samedi : « dans sa chambre chez lui il y a 2 jours, il savait tout ce qu’il avait ».

En effet, conscient de l’avancée de sa maladie, l’interprète de Wight is Wight aurait demandé à son médecin « de lui dire la vérité en face ». « Il voulait savoir ‘j’en ai pour combien de temps ?’ » rapporte son ami de 72 ans. Et d’ajouter : « les médecins lui ont dit ‘vous ne serez plus là en septembre’ ».

Une heure plus tard, quand le journaliste passe le pas de sa porte, le papa de Pauline Delpech se confie et, « chose extraordinaire », dit Michel Drucker, il lui demande : « je ne serai plus là quand tu monteras sur scène en septembre, fais-moi ton one-man-show ». Là, dans la chambre de son copain souffrant, tenant la perfusion, le présentateur devenu homme de théâtre s’exécute : « Il aura été mon premier spectateur » clame-t-il avec émotion.

Crédits photos : FRANCIS DEMANGE

Il est de ces hommes dont on connaît tous la voix mais peu le visage. C’était le cas de Guy Piérauld qui s’est éteint à l’âge de 90 ans et laisse le personnage Bugs Bunny sans voix.

“Quoi de neuf, docteur?”. La réplique culte de Bugs Bunny est également associée à Guy Piérauld. Le doubleur d’origine italienne, élevé à Lyon, fut la voix du célèbre lapin pendant près de 40 ans. La Gazette du doublage vient d’annoncer la disparition du comédien âgé de 90 ans. Le journal précise sur sa page Facebook: “C’est avec tristesse que vous venons d’apprendre le décès, la nuit dernière, du sympathique comédien Guy Piérauld, la célèbre voix française de Kiri le Clown, de Bugs Bunny et de l’acteur Red Buttons. Nous l’avions reçu lors d’un Salon des séries et du doublage. Nous présentons nos sincères condoléances à sa famille et à ses proches”.

Issu d’un milieu modeste, dans sa jeunesse, Guy Piérauld se passionne très vite pour la comédie. Au théâtre, il connaît ses premiers bonheurs, mais également une grande douleur, quand, à l’occasion de répétitions pour une pièce, il se casse une corde vocale. Un accident qui lui donnera cette voix si singulière. À partir de 1965, il intègre le casting de Sérieux s’abstenir, une émission de télévision dominicale. Il y croise la route de Roger Carel qui l’incite à se tourner lui aussi vers le doublage.

La rencontre avec le personnage de Bugs Bunny est un coup de foudre vocal. Guy Piérauld offrira au lapin de la Warner Bros sa célébrité en France. Le doubleur a fait quelques infidélités au séducteur aux grandes oreilles pour prêter sa voix à Woody Woodpecker, Kiri le clown et l’un des frères Dupont de Tintin.

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Les téléspectateurs connaissent cependant son visage grâce À son rôle de Monsieur Albert dans la série Le miel et les abeilles diffusée sur TF1 jusqu’en 1994.

Crédits photos : RONALDGRANT/MARY EVANS/SIPA

Dans une interview accordée au magazine politique Charles, Marion Maréchal Le Pen a révélé être fan de rap, et plus précisément de Maître Gims et de Youssoupha. Ce dernier n’a pas tardé à réagir avec humour, en invitant la jeune femme au Zénith.

Marion Maréchal Le Pen n’a pas hésité à dévoiler ses goûts musicaux dans le trimestriel Charles, qui sort aujourd’hui.

Des goûts surprenants

La députée du Vaucluse a d’abord taclé le rock identitaire, musique historiquement associée à l’extrême-droite. « Je déteste le rock identitaire, je trouve ça nul! Vraiment. Musicalement, c’est un gag. Je n’ai jamais écouté ça, je suis hyper ringarde musicalement : j’écoute Michel Sardou, des chanteurs comme ça » a t-elle confessé.

La jeune femme de 25 ans a ensuite révélé être fan de rap, musique originellement opposée au Front National. « Je vais vous surprendre, mais j’écoute du rap aussi », a-t-elle déclaré avant d’ajouter « Il y a un rappeur que j’aime bien, même si je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’il dit sur le fond, mais je trouve qu’il a un talent d’écriture, c’est Youssoupha. J’aime beaucoup Sexion d’Assaut et Maître Gims aussi. » Marion Maréchal Le Pen a également affirmé écouter Skyrock, radio spécialisée dans le hip-hop, de temps en temps.

Une déclaration qui n’est pas passée inaperçue. Le rappeur Youssoupha n’a pas tardé à réagir aux propos de la nièce de Marine Le Pen avec humour. « Eh @Marion_M_Le_Pen, merci pour la dédicace. Mon nouvel album s’appelle #Négritude. Forcément tu vas aimer. On se voit au Zénith. Bisous. », a-t-il posté sur Twitter.

Les aveux de la candidate aux élections régionales en région PACA contre Christian Estrosi ont déclenché une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux. Certains se sont moqués de ses goûts musicaux quand d’autres se sont étonnés de la situation ou l’ont trouvé drôle.

Crédits photos : CHAMUSSY/SIPA

Baz Luhrmann et son adaptation du roman culte de Francis Scott Fitzgerald ont ouvert les festivités du 66ème Festival de Cannes. La presse en a-t-elle pris plein les yeux?

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Gatsby le Magnifique de Baz Luhrmann

avec Leonardo DiCaprio, Tobey Maguire, Carey Mulligan

Film d’ouverture – Hors-compétition

De quoi ça parle ?

Lorsque Nick Carraway débarque à New York en 1922, il découvre un univers de fêtes grandioses et de possibilités infinies. Il y retrouve sa cousine Daisy et son mari volage. Surtout, il fait la connaissance du mystérieux millionnaire Jay Gatsby, au contact duquel il va comprendre que sous les paillettes, la mélancolie gronde…

Ce qu’il faut savoir

En 2001, Baz Luhrmann faisait l’ouverture du Festival de Cannes avec Moulin Rouge ! (et offrait au sélectionneur Thierry Frémaux son meilleur souvenir de montée des marches). Cette année, le réalisateur australien lance à nouveau les festivités avec cette adaptation grandiose du roman de Francis Scott Fitzgerald. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas lésiné sur le glamour. Décors éblouissants, bande originale portée par Jay-Z, Beyoncé ou Lana Del Rey et surtout casting quatre étoiles : Tobey Maguire, Carey Mulligan et surtout Leonardo DiCaprio, très attendu sur la Croisette.

Ce qu’en pense la presse

The Hollywood Reporter :

“Certes, les effets de Luhrmann peuvent parfois détourner l’attention et sembler frénétiques, mais son respect de l’œuvre originale est indéniable. Le film est vibrant, vivant, tout en respectant l’esprit, si ce n’est même la lettre, du roman. […] DiCaprio, qui semblait parfois tourner en rond dans ses rôles précédents, est parfait en Gatsby.”

Variety :

“Accuser Luhrmann d’en faire trop est comme en vouloir à un léopard pour ses taches. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, on ne peut nier que ce Gatsby est bel et bien le sien, de bout en bout et que l’extravagance des moyens déployés provoque une certaine fascination, du moins pour un temps. […] Mais ce n’est qu’à de très rares occasions que son style colle vraiment à l’œuvre. La plupart du temps, on a l’impression d’un cirque visuel qui se déroule indépendamment de tout.”

Les Inrocks :

“La première partie de Gatsby le Magnifique s’avère une ébauche d’effets visuels et sonores. […] Passé au crible de la 3D, Gatsby le Magnifique reste solidement ammarré aux rives de l’imaginaire.”

Le Monde :

“Il en va de ce Gatsby le Magnifique numérique et en relief comme de ces vieillards obèses dans lesquels on peine à discerner la beauté et la grâce qui furent les leurs. On peine et on y parvient pourtant. Voilà pourquoi la vision de Gatsby suscite une émotion inattendue, faite d’admiration pour une entreprise démesurée […] et d’un attachement pour l’incarnation dense et délicate de Jay Gatsby par Leonardo DiCaprio.”

Le Figaro :

“Avec ce nouveau Gatsby le Magnifique, l’Australien Baz Luhrmann relève le défi non sans panache et ce goût prononcé pour la démesure, la frime, le spectaculaire. Et s’il trahit Fitzgerald, c’est pour mieux imposer sa propre vision baroque et en 3D d’un personnage bigger than life, romantique et glamour.”

Toute les news de Cannes 2013

Maud Lorgeray