La star de la cuisine anglaise est pointé du doigt par une étude scientifique qui vient de démontrer que ses plats étaient plus gras et plus sucrés que ceux que l’on trouve dans la grande distribution.

Le chantre de la bonne bouffe, le héraut de la lutte contre l’obésité se moque-t-il du monde? C’est ce que l’on pourrait penser au regard d’une étude publiée par le British Medical Journal qui démontre que les recettes de Jamie Oliver ne seraient pas aussi bonnes que cela pour la santé. Pire: les plats préparés de la grande distribution seraient meilleurs.

Une véritable gifle pour le très médiatisé chef anglais qui a fait de l’obésité sa cible privilégiée, la qualifiant de fléau du XXIe siècle. Ce sont des chercheurs de l’université de Newcastle qui sont à l’origine du camouflet infligé à Jamie Oliver. Les scientifiques ont en effet comparé la valeur nutritionnelle de 100 plats préparés dans des grandes surfaces comme Tesco, Sainsbury’s et Asda avec 100 recettes trouvées dans cinq livres de cuisine très répandus, dont deux écrits par Oliver. Résultat: les repas du cuistot sont 22% plus caloriques et plus sucrés, deux fois plus gras et 35% plus riches en graisses saturées que les plats préparés dans la grande distribution. Le coup de grâce porté aux recettes érigées en principes vient du fait qu’aucun des 200 plats testés n’est conforme aux recommandations.

Heureusement pour Jamie Oliver, et c’est peut-être ce qui pourrait sauver la valeur nutritive de ses plats, les analyses ne tiennent pas compte des micronutriments, ni de la présence de conservateurs artificiels, d’arômes, de colorants ou de stabilisants. La star des fourneaux a malgré tout l’intention de mettre à jour son site internet et les informations nutritionnelles qu’il contient. Hugh Fearnley-Whttingstall, l’un des autres chefs mis en cause, réplique quant à lui: « La valeur intrinsèque du travail de cuisinier écrivain et de chef télé c’est d’encourager les gens à cuisinier plus et à dépendre moins des plats préparés et des plats à emporter ». Et toque!

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Pourtant discrète sur sa vie de famille, Gwyneth Paltrow n’a pas résisté à nous montrer des clichés de ses vacances ensoleillées. En guest star, on retrouve ses deux enfants, Apple, 8 ans, et Moses 6 ans.

C’est le temps de l’insouciance, des éclats de rire et du bonheur à consommer sans modération. Gwyneth Paltrow en pleine césure hivernale s’est envolée pour le soleil de Sainte Lucie, aux Antilles. Accompagnée de sa petite tribu, l’actrice devenue blogueuse devenue chanteuse n’a pas résisté au plaisir de partager cette petite parenthèse. Et c’est via son site baptisé Goop que celle qui signe chacun de ses messages gp a dérogé à l’une de ses règles de conduite en postant des photos d’elle et de ses enfants. Tout sourire, Gwyneth et ses Wayfarer blanches vissées sur le nez pose entre sa fille – avec le modèle rouge -, et son fils – version noire. « Ceci n’est pas une pina colada », a précisé Gwyneth, au sujet de la noix de coco que sirote son fils Moses.

Véritable publicité intergénérationnelle pour les Ray Ban, ce cliché est accompagné d’autres instantanés pétris de douceur: pétales de fleurs à message, piscine privative dans une forêt luxuriante, château de sable XXL, paysage à couper le souffle ou baignade dans les eaux turquoise, les vacances de Gwyneth ont décidément un air de parenthèse féérique. Une information confirmée par la principale intéressée: «Nous venons juste de rentrer d’un fantastique (mais bien trop court) voyage à Sugar Beach à Sainte Lucie. C’était le paradis.» Seule ombre au tableau peut-être: l’absence de son mari, le chanteur Chris Martin, sur les clichés…

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Couple emblématique du showbiz français, Laurent Boyer et Alice Dona ne sont plus ensemble. La chanteuse explique qu’avec l’animateur, ils ont eu besoin de prendre leurs distances pour tenter de retrouver la flamme.

Une relation amoureuse de 32 ans, dans le petit monde des médias et de la chanson, c’était suffisamment rare pour être souligné. Alice Dona et Laurent Boyer vivaient une passion unique, une histoire dont elle disait encore dans France Soir en février 2011 qu’elle était «belle». Aujourd’hui, c’est fini, du moins, pour l’instant. Dans un long entretien accordé au journal Nous deux, la chanteuse et compositrice confie qu’ils se sont séparés en 2012.

«Laurent et moi avons dû prendre de la distance. Nous avons ressenti le besoin de nous manquer vraiment…» explique-t-elle, sans fard. Un vrai break destiné à, peut-être, leur permettre de mieux se retrouver. Alice Dona explique que «pour l’heure, nous vivons séparés. J’ignore où nous mènera cette période de réflexion». Si la période est au doute, celle qui est aussi la maman de Raphaëlle Ricci se console: «Une chose est sûre, nous resterons les meilleurs amis du monde». On n’efface pas comme ça plus de trente années de vie commune. «Chacun de nous garde une grande tendresse pour l’autre et une trace indélébile dans sa vie» affirme-t-elle.

Alice Dona, 66 ans, conserve donc le moral. Elle sort le 28 janvier un nouvel album, Mes petites madeleines, dans lequel elle chante entre autres en duo avec Benabar, Michel Delpelch, Serge Lama ou encore Mimie Mathy, participe à la tournée Age tendre et tête de bois et avoue tenir le choc malgré cette séparation. «Depuis, tout le monde me trouve en pleine forme et rajeunie» lance-t-elle. C’est Laurent Boyer qui va être content…

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Liberty Ross, l’ex-épouse de Rupert Sanders revient sur le devant de la scène. De joli mannequin à femme bafouée, l’Anglaise a réussi à transformer son image.

La revanche se mange… nue pour Liberty Ross. L’épouse bafouée de Rupert Sanders a choisi la plus belle et sensuelle façon de reprendre le dessus sur sa vie. Pour le magazine LOVE, le top de 34 ans pose entièrement nue, uniquement habillée d’un simple sautoir de pierres précieuses.

Kirsten Stewart, avec qui son infidèle d’époux l’a trompée et qui a donc causé leur divorce, a peut-être le charme fougueux de l’adolescence mais Liberty Ross est, elle-aussi dotée de beaux atours. Sous l’objectif du Danois Solve Sundsbo, la mère de famille a accepté de dévoiler totalement ses formes. Un physique à faire pâlir d’envie n’importe quel vampire en robe Balenciaga… Liberty Ross c’est un mystérieux bout de femme, musclé jusqu’aux orteils et qui vous fusille d’un regard, bleu acier.

Des photos mais aussi des mots qui frappent. Pour l’interview accordée à LOVE Magazine Liberty Ross a peut-être revêtu un peignoir mais n’a pas couvert ses sentiments. La brunette raconte comment elle s’est sacrifiée pour Rupert Sanders. Pour lui, pour sa carrière, elle a accepté de déménager à Los Angeles il y a quelques années. Mais plus forte que les ressentiments, l’Anglaise avoue pourtant «n’avoir aucuns regrets». Trompée, pointée du doigt, comparée à Kristen Stewart et finalement divorcée, Liberty Ross montre qu’on peut toujours s’en sortir en beauté…

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Michaël Youn et sa femme sont à l’affiche de Vive la France. Un duo à la ville qui ne se voit pas travailler l’un sans l’autre, et ça fait six ans que cela dure.

À les voir tant rire et sourire on se dit que Michaël Youn et Isabelle Funaro sont plus copains qu’amoureux. Et pourtant, c’est une histoire d’amour si complice, si belle qui les unit. Pour Gala, le couple donne sa recette magique pour former l’un des duos les plus charmants du cinéma français.

Michaël Youn, les yeux pleins de tendresse explique comment sa compagne lui a «inspiré le rôle de Marianne. Libre, autonome et en même temps très généreuse». Le comique ne semble pas avoir assez de mots pour dire à quel point il aime sa douce et combien elle est sa muse. Il faut dire qu’Isabelle Funaro le lui rend bien. À la découverte du scénario, la jeune maman d’une petite Seven de dix-sept mois, s’est émue de voir à quel point son homme posait sur elle «un très beau regard, vraiment».

Derrière Michaël l’amuseur se cache l’homme «pudique, extrêmement bien élevé» comme le confie sa compagne. Il rajoute lui-même être un «stressé» de nature et particulièrement au sujet de sa fille dont il se demande bien «ce qu’elle va faire dans la vie». Comédienne comme ses parents? Michaël n’est «pas sûr de lui recommander» cet itinéraire, tandis qu’Isabelle s’amuse à lui répondre: «Pas sûre qu’elle te demandera ton avis!».

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Lisez l’interview intégrale dans Gala, ce mercredi en kiosque.

Les Golden Raspberry Awards (surnommés Razzie) sont décernés aux pires films de l’année passée, et pour 2012, c’est Twilight qui a remporté le gros lot avec sept «récompenses». L’une d’elles, celle de la pire actrice, est revenue à Kristen Stewart. Ça fait mal.

Si les Razzies, créées en 1980, permettent de dédramatiser en période de cérémonies officielles, recevoir un Golden Raspberry Awards (eh oui, le trophée est une grosse framboise) ne fait jamais plaisir. C’est pourtant ce qui est arrivé à la star de Twilight, Kristen Stewart, et à toute l’équipe du film.

En effet, Twilight, chapitre 5 : Révélation 2ème partie a dominé les Razzies, et récolté sept victoires : pire film, pire acteur dans un second rôle pour Taylor Lautner, pire couple à l’écran pour Lautner encore et Mackenzie Foy (la fille de Bella et Edouard), pire casting, pire suite/remake et pire réalisateur. Sans oublier, le trophée de pire actrice pour l’interprète de Bella, qui a reçu, le même soir, une deuxième fois ce prix pour son rôle dans Blanche-Neige et le chasseur.

Visiblement les votants (les 657 membres de la Golden Raspberry Award Fondation) avaient une dent contre la trilogie Twilight et son héroïne. Le public aussi, puisque c’est lui qui a voté pour la catégorie pire suite. Plus de 70 000 personnes auraient participé. Mais si les vampires de Twilight semblent être ce qui se fait de pire dans le 7e art, au moins, ils rapportent. Près de 830 millions de dollars à travers le monde rien que pour le dernier épisode.

Le palmarès était bien sûr prévisible car le film, inspiré des romans de Stéphanie Meyer, avait été nommé onze fois, alors qu’il n’y a que dix catégories. Mais rassurez-vous, Kristen Stewart n’est pas la seule à recevoir une framboise (par la Poste, et non pas en mains propres car la plupart des stars ne viennent pas à la cérémonie). Rihanna, pourtant au top musicalement, est repartie avec le prix de la pire actrice dans un second rôle pour le naufrage Battleship. Côtés acteurs, c’est encore une fois Adam Sandler (le pauvre) qui remporte la première place pour son jeu dans Crazy Dad.

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La reine du talon haut Sarah Jessica Parker serait-elle en passe d’abdiquer? L’actrice vient de révéler dans une interview que dix années intenses de port de chaussures vertigineuses lui ont abîmé les pieds… la privant de ses joujous stylés.

Sarah Jessica Parker, un nom pour toujours associé à son avatar télévisuel, une certaine Carrie Bradshaw. Et par la force des choses, l’actrice et son personnage au fait des tendances mode ont fini par intimement se ressembler. A l’image de Carrie, Sarah Jessica a passé cette décennie haut perchée sur ses talons de créateurs, avec une prédilection pour le chausseur Manolo Blahnik créant ainsi de véritables fringales de chaussures chez les modeuses, toutes fans de son modèle phare: les sandales Sedaraby d’Orsay argentées. Mais cette période est aujourd’hui derrière elle, comme le confie l’actrice au site Net-a-porter.

«Durant plus ou moins dix ans, j’ai littéralement couru en talons. Je travaillais dix-huit heures par jour et je ne les quittais jamais. Je portais des chaussures sublimes, de qualité inégale , et je ne me plaignais jamais», analyse l’icône de mode des années 2000. Alors qu’elle joue dans le film Mais comment font les femmes? en 2011, SJP troque ses souliers de créateurs pour des modèles lambdas, au risque de mettre ses pieds en péril. «J’ai acheté des chaussures dans les boutiques grand public, et le problème c’est qu’elles sont réalisées non en cuir mais en plastique. Donc j’ai glissé à plusieurs reprises, me tordant la cheville…»

Obligée de consulter un médecin, ce-dernier la met en garde: «Vos pieds font des choses qu’ils ne sont pas supposés faire. Vous avez un os là… qui n’a aucune raison d’être ici. C’est vous qui l’avez créé.» Un coup dur pour celle qui avait fait du talon de 12 sa signature. «C’est triste parce que mes pieds m’ont emmenée à travers le monde, mais à la fin ils m’ont fait comprendre ‘Tu sais quoi, nous sommes vraiment fatigués. Peux-tu juste t’arrêter, et ne pas nous mettre des chaussures de mauvaise qualité?’», conclue Sarah Jessica.

L’actrice qui se concentre désormais sur son rôle d’ambassadrice de l’UNICEF à défaut de parcourir à nouveau les avant-première en talons hauts, peut se réconforter avec sa garde-robe. Une source intarissable de plaisir pour celle qui avoue n’en utiliser… que 7%.

Alors que la deuxième saison de l’émission phare de TF1, The Voice, est en cours de diffusion, une troisième saison est déjà en préparation. Le succès du télé-crochet est incontestable. Hier soir, pour le premier direct, 7,3 millions de téléspectateurs étaient devant leurs écrans. C’est le jackpot pour TF1 qui, selon L’Express, profiterait d’un bénéfice d’un million d’euros lié aux recettes publicitaires. Et côté candidats? Combien sont-ils payés? Autant que les coachs? Réponse.

Les quatre coachs de The Voice percevraient un cachet (en tant qu’artistes) de 400 000 euros pour toute la saison. Selon Télé Star, cette somme atteindrait en fait pour certains les 500 000 euros. Depuis la première édition, les jurés ont d’ailleurs grimpé un échelon. Florent Pagny aurait été augmenté de 100 000 euros. Une somme rondelette pour la grande majorité des Français, mais justifiée selon l’artiste qui s’exprimait dans Le Parisien: «C’est obligé pour bloquer aussi longtemps des gens comme nous, alors que l’on pourrait faire autre chose pendant ce temps-là et gagner autant».

Il faut savoir qu’outre-Atlantique, les coachs de l’émission gagnent beaucoup plus. Tenez-vous bien, entre 75 000 et 225 000 dollars, par émission, en fonction de leur notoriété. Oui, oui, par émission, et non pas pour la saison seulement. En participant à The Voice US, Shakira va certainement empocher un beau cachet. De quoi assurer l’avenir de son fils pour de longues années.

Du côté des candidats, si on est loin des sommes réservées aux coachs, selon Benjamin Bocconi, éliminé hier soir lors du premier direct, dans une interview à Télé Star, la production s’occupe au moins de l’hébergement des candidats: «Oui on est payés. On a des cachets d’artistes. On est normalement payés… Pour les candidats qui habitent en dehors de Paris la production prend en charge les billets d’avion et / ou train ainsi que l’hôtel… Moi non, car j’habite sur Paris».

Toujours selon Télé Star, les candidats peuvent toucher «un cachet compris en 600 et 750 euros pour chacun des primes». Et s’ils participent à la totalité des émissions, soit 17 soirées, un candidat peut gagner jusqu’à 12 500 euros. Sans compter les bénéfices des ventes des téléchargements légaux de leur prestation. Sophie Tapie, éliminée hier soir, ne touchera pas une telle somme, mais nul doute qu’elle surfera sur le succès de l’émission pour revenir très vite sur le devant de la scène.

En l’espace d’une quinzaine de jours, Cannes est le centre du monde. Qui remportera la palme du glamour? Revue des troupes ici.

J-3 avant le lancement du Festival de Cannes, le rendez-vous glamour de l’industrie du cinéma présidé par Gilles Jacob. Si Gatsby le magnifique de Baz Luhrmann adapté du roman de F. Scott Fitzgerald a été choisi pour la cérémonie d’ouverture, c’est François Ozon (Huit femmes, Potiche, Dans la maison…) et son Jeune et Jolie qui lanceront la compétiton.

Suivront une ribambelle de films dont le très attendu Inside Llewyn Davis, des Frères Coen, projeté au Grand Théâtre Lumière le 19 mai. Mais aussi La vénus à la fourrure, de Roman Polanski, La vie d’Adèle, d’Abdellatif Kechiche, ou encore Only lovers left alive, et bien sûr, The Immigrant de James Gray. Le réalisateur Steven Soderbergh, palme d’or en 1989 pour Sexe, mensonges et vidéos, présentera cette année Ma vie avec Liberace qui retrace la vie du pianiste Liberace joué par Michael Douglas.

A noter également, un hommage spécial sera rendu à l’acteur Jerry Lewis avec la projection du long métrage Max Rose de Daniel Noah.

Côté stars, sont attendues sur le tapis rouge Marion Cotillard, Leonardo DiCaprio, Carey Mulligan, Matt Damon, Joaquin Phoenix, Bérénice Bejo ou encore Nicole Kidman. Le plus attendu: Ryan Gosling. L’acteur de Drive rempile avec le réalisateur qui l’a révélé il y a deux ans, Nicolas Winding Refn… L’année de la consécration?

Un invité d’honneur est également très attendu… Alain Delon à qui le Festival rendra hommage en projetant une version restaurée de Plein Soleil, le film qui a marqué un tournant dans sa carrière. L’acteur aura peut-être l’occasion de croiser son plus jeune fils Alain-Fabien, avec qui il est brouillé. Retrouvailles en perspective?

Sévèrement critiquée lors de la saison de The Voice qui vient de s’achever, Jenifer porte aujourd’hui un regard lucide sur l’émission et ce qui s’est passé avec Anthony et Olympe. Et reconnaît que les critiques ne la touchent plus autant qu’autrefois.

Lors de la demi-finale de The Voice, lorsqu’elle a dû distribuer ses points entre Anthony et Olympe, Jenifer a avantagé ce dernier et précipité l’élimination du premier. Une décision qui lui a valu de violentes critiques de la part des internautes, l’accusant de favoritisme. La chanteuse aurait dû, comme cela se fait en cas d’hésitation, distribuer ses points à parts égales. Elle n’aurait alors pas fait pencher la balance, laissant le verdict final dans les mains du public.

Un épisode que Jenifer a très mal vécu mais qu’aujourd’hui elle analyse avec franchise. «Je me suis justifiée par la suite et je n’aurais pas dû. Et ce qu’il s’est passé après, c’était pas très chouette. Pas vis-à-vis de moi, parce que moi, peu importe. Mais vis-à-vis d’Anthony et d’Olympe…» explique l’ancienne gagnante de la Star Academy. Que de chemin parcouru en un peu plus de dix ans. La jolie Corse a muri: «Aujourd’hui, j’assume mes doutes. Je garde ma pudeur mais j’ai moins de mal à en parler».

En dix ans de carrière, Jenifer a eu le temps de s’habituer aux critiques tant elle en a subies depuis qu’elle est sur le devant de la scène. Elle s’étonne d’ailleurs d’avoir été sur The Voice plus ciblée que ses petits camarades coachs: «Peut-être parce que c’est plus facile de taper sur la jeune, la fille… En même temps, je m’en fous. Non, je ne m’en fous pas, mais ça finit par glisser». Une manière de relativiser acquise grâce à une certaine forme de maturité. «Dans ma vie personnelle, j’ai eu des bas, j’ai vécu des choses pas drôles, même plus jeune… Ça forme énormément le caractère. On relativise beaucoup plus» confie Jenifer.

La chanteuse sort le 3 juin prochain un album de reprises de France Gall. Intitulé Ma déclaration, le disque contiendra entre autres de titres comme Résiste, Si maman si et Poupée de cire, poupée de son.