De retour en librairie aujourd’hui avec Mon dico passionné de foot*, l’ancien sélectionneur tricolore relate son parcours dans le milieu du football. Raymond Domenech y développe son abécédaire des évènements et des personnalités qui ont marqué sa vie, sans langue de bois.

Il se voit comme “un homme libre”. Ce sont en tout les cas les termes qu’il emploie dans son interview accordée à nos confrères du Figaro. Deux ans après son premier livre (Tout seul, Éd. Flammarion), où il évoquait ses années à la tête de l’équipe de France de foot (2004–2010), Raymond Domenech revient aujourd’hui avec son Dico passionné de foot.

Au fil de son interview, l’ancien sélectionneur semble avoir pris du recul sur la grève des joueurs lors de la Coupe du monde de 2010. Ainsi que sur l’affaire Anelka, expulsé de l’équipe de France pour ses insultes proférées à l’encontre de Raymond Domenech. Conscient qu’il est attendu sur ces dossiers, l’ex-entraîneur aspire en effet à ne pas “faire le procès de tel ou tel joueur en [se] torturant l’esprit” avec ce deuxième ouvrage.

Mais ce n’est pas là la trame centrale de sa publication, comme il tient à le rappeler. D’autant plus qu’il avoue n’avoir “pas revu un seul Bleu de la Coupe du monde de 2010” qui n’ont, de ce fait, jamais cherché à le contacter. Peu rancunier, Raymond Domenech espère d’ailleurs que son abécédaire sera perçu comme un appel du pied à ses anciens joueurs, dans l’optique de partager un café pour revenir sur leurs différends et, pourquoi pas, leur être utile à l’avenir .

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Mêlant nostalgie et tacles – Raymond Domenech ne manque pas d’être acerbe envers les consultants sportifs (dont Jean-Michel Larqué) – le compagnon d’Estelle Denis n’ambitionne pas de revêtir ses habits de coach. Même si “l’odeur de l’herbe [lui] manque” et que les propositions ne manquent pas. Car il y a trop d’inconvénients désormais associés au rôle d’entraîneur selon lui.

*Mon dico passionné de foot, de Raymond Domenech, aux Éditions Flammarion. En librairie le 29 octobre.

Crédits photos : BALTEL/SIPA

C’est confirmé: Audrey Pulvar arrêtera Le grand 8 à la fin de la saison. La journaliste l’a révélé elle-même en expliquant qu’elle n’arrivait plus à tout faire et qu’elle devait faire des choix si elle voulait tenir le coup physiquement.

Cette année, Audrey Pulvar participe au Grand 8 le midi sur D8, anime en semaine la tranche d’info du soir et le dimanche le débat politique de 18h sur iTélé. Un emploi du temps démentiel que la journaliste a décidé d’alléger. Ce qui passe par le sacrifice de l’émission de Laurence Ferrari.

Comme elle l’avait annoncé dans un entretien accordé au magasine Télé Star, Audrey Pulvar arrête Le grand 8 à la fin de la saison. Cette troisième année sera donc la dernière en tant que chroniqueuse auprès de ses copines Laurence Ferrari, Roselyne Bachelot, Elisabeth Bost et Hapsatou Sy. Elle l’a confirmé dans l’émission Un soir à la Tour Eiffel jeudi. «Je n’ai qu’une vie, a confié Audrey Pulvar. J’ai une quotidienne le matin, une quotidienne le soir du lundi au jeudi, une émission politique le dimanche qui me demande deux jours de préparation, deux jours entiers. Du coup, je bosse tout le temps, je bosse 80 heures par semaine et ça, je ne pourrai pas le faire tout le temps.»

Elle confesse également qu’il n’est pas évident de faire du divertissement le midi et de l’information plus traditionnelle, et donc plus sérieuse, le soir. «J’ai toujours dit que je suis avant tout et viscéralement une journaliste, explique-t-elle (…) C’est difficilement compatible d’être à la fois le matin dans une émission qui est essentiellement une émission de divertissement et le soir dans le rôle d’une interwieuse neutre.»

Audrey Pulvar avoue qu’elle arrive au bout de ses capacités. «Pour l’instant, ça se passe plutôt bien, mais ça s’ajoute à l’emploi du temps, à la contrainte horaire et même physique qui font qu’à un moment, on est obligé de faire des choix» déclare-t-elle. Et le choix, c’est de quitter Le grand 8.L’émission de D8 lui avait permis d’exister médiatiquement alors qu’elle avait dû quitter tous ses précédents emplois à cause de sa liaison avec Arnaud Montebourg. Aujourd’hui, de chroniques en participations, la journaliste s’est refait une santé professionnelle et déborde donc d’activités au point de devoir en abandonner.

Crédits photos : Pascal POTIER / VISUAL Press Agency

Décidément, le destin de Valérie Trierweiler passionne les Anglais. Télévision, presse écrite… les médias ont accordé une place importante à la sortie de son livre Merci pour ce moment et à la promotion qu’elle en a faite. La BBC a même créé une vidéo résumant son histoire avec François Hollande. Kitsch à souhait.

Merci pour ce moment! Valérie Trierweiler pensait-elle en donnant ce titre à son livre qu’il serait autant adapté à ce qu’elle est en train de vivre, tout autant qu’a ce qu’elle a vécu et qui est couché dans l’ouvrage? Thank you for the moment disent ainsi les Anglais qui ont traduit le brûlot de l’ancienne première dame.

Les Britanniques sont en effet reconnaissant à Valérie Trierweiler d’avoir découvert les mœurs pratiquées en France et ce spectacle au plus haut sommet de l’Etat, avec un président de la République, sa compagne, sa maîtresse, les portes qui claquent, les disputes. L’épisode de Valérie Trierweiler droguée pour ne pas parler les a beaucoup choqués également. Du coup, la journaliste a fait le tour des plus grands médias, a accordé une interview exclusive à la BBC, fait la une du prestigieux The Times et ses propos ont été rapportés un peu partout. Seul The Guardian ne s’est pas privé de dire tout le mal qu’il pensait de la démarche de l’ancienne première dame.

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En revanche, la chaîne publique britannique, très inspirée, a même imaginé une vidéo de l’histoire d’amour entre François Hollande et Valérie Trierweiler. Une séquence baptisée «Le président et la journaliste politique» qui dure un peu plus d’une minute et dans laquelle on voit résumer, de manière très kitsch, les quelques années qu’a duré cette relation, depuis 2007 jusqu’à la révélation de la liaison de François Hollande avec Julie Gayet et la «revanche» de Valérie Trierweileravec la sortie de Merci pour ce moment. La vidéo a été postée sur la page Facebook de la BBC et depuis fait le buzz.

Remis à la veille des Oscars pour saluer les pires films de l’année, les Razzie ont couronné “Twilight – Chapitre 5”, qui décroche la majorité des prix, dont pire film, pire réalisateur et pire actrice pour Kristen Stewart.

Et c’est une razzia aux Razzie pour Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie, qui repart avec sept trophées ! Pire film, pire réalisateur, pire performance d’actrice pour Kristen Stewart, pire performance d’acteur dans un second rôle pour Taylor Lautner, pire coupe à l’écran, pire ensemble d’acteurs et pire suite… Le dernier volet de la saga vampirique est donc le plus gros navet hollywoodien de l’année. Avec 11 nominations (pour 10 catégories…) Twilight s’en sort mieux que Jack et Julie l’an passé : le film d’Adam Sandler était reparti avec l’ensemble des dix Razzie, un palmarès record ! Et tradition oblige, Adam SAndler, ne repart pas les mains vides puisqu’il décroche le Prix du pire acteur et celui du pire scénario pour Crazy Dad. Parmi les autres films “primés” de la soirée, Battleship, qui vaut à Rihanna le Razzie de la pire actrice dans un second rôle. Ce sera donc une entrée remarquée dans le monde du cinéma pour la chanteuse…

Notons qu’aucun des acteurs n’aura fait le déplacement pour venir chercher sa Framboise d’Or.

Le palmarès complet

Pire film

Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Pire réalisateur

Bill Condon pour Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Pire acteur

Adam Sandler dans Crazy Dad

Pire actrice

Kristen Stewart dans Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Pire acteur dans un second rôle

Taylor Lautner dans Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Pire actrice dans un second rôle

Rihanna dans Battleship

Pire couple à l’écran

Mackenzie Foy et Taylor Lautner dans Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Pire scénario

Adam Sandler pour Crazy Dad

Pire ensemble d’acteurs

Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Pire suite, prequel, remake ou dérivé

Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

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Miss France 2015, toute reine de beauté qu’elle est, avoue un complexe: son nez. Malgré tout, elle ne veut pas entendre parler de chirurgie esthétique et raconte qu’on le lui a pourtant demandé à l’époque où elle essayait de devenir mannequin.

Elue reine de beauté le week-end dernier, Camille Cerf est une splendide jeune femme. Silhouette élancée, visage parfait… du moins pour les observateurs. Car la principale intéressée n’aime pas tout chez elle. Miss France 2015 nourrit par exemple un gros complexe vis-à-vis de son nez. Pourtant pas question d’y toucher.

Camille Cerf révèle ainsi cette semaine dans Paris Match qu’elle refuse de recourir à la chirurgie esthétique pour corrige ce défaut. La jeune femme a même dû refuser de le faire, montrant au passage qu’elle avait du caractère en ne cédant pas aux pressions. En 2010, alors qu’elle tentait une percée dans le monde du mannequinat, on lui a signifié qu’il serait bien qu’elle se fasse opérer du nez. Elle n’avait alors que 16 ans. Camille Cerf raconte: «Je devais partir en Australie pour un contrat mais mon nez ne leur plaisait pas : ils voulaient que je le refasse». Réponse catégorique de la future Miss: «J’ai refusé». Un exemple à méditer pour toutes celles qui ambitionnent une carrière dans le milieu de la mode ou du spectacle.

L’originaire du Pas-de-Calais a bien fait puisque quatre ans, elle vient d’être élue plus belle femme de France. Le jury présidé par Patrick Bruel n’a pas jugé que l’appendice nasal de la belle Camille était un obstacle pour devenir Miss France. La preuve encore sur le magnifique shooting photo que la lauréate a réalisé ce week-end à Disneyland Paris et qui est à découvrir dans les pages de l’édition de Gala, en kiosque cette semaine.

Crédits photos : Non renseigné

Dans le nouveau film de Guillaume Nicloux, elle incarne avec force l’héroïne de Diderot, face à Isabelle Huppert, Louise Bourgoin ou Françoise Lebrun : Pauline Etienne, c’est la jeune actrice belge qui monte. Rencontre…

Déjà remarquée dans Elève libre, Le Bel âge et Qu’un seul tienne et les autres suivront, Pauline Etienne tournera bientôt dans Eden, sous la direction de Mia Hansen-Løve. En attendant, nous l’avons rencontrée pour évoquer son interprétation de Suzanne Simonin dans La Religieuse, qui était présenté le mois dernier en compétition à la Berlinale…

Propos recueillis en février 2013 par Alexis Geng / Cadre : Laura Pothier / Montage : Benjamin Aubray

Souvenir souvenir… Une vidéo de Nicki Minaj datant de ses années lycée émerge sur la Toile. Loin des strass et des paillettes de sa notoriété, la rappeuse ne manquait déjà pas d’énergie et de poigne.

Déjà sur les bancs du lycée, elle rêve d’une grande carrière sous les feux des projecteurs. Elle nourrit même des ambitions d’actrice au départ. Comme le prouve une vidéo dévoilée par The Huffington Post qui la montre pendant son adolescence. La rappeuse est alors lycéenne à la fameuse école LaGuardia, un établissement de New York dédié aux arts du spectacle. Complètement au naturel, des grandes tresses nattées sur le haut de la tête, la jeune femme fait face à une de ses camarades et ensemble, elles commencent à jouer ce qui semble être une scène de dispute violente. Impliquée et énergétique, Nicki Minaj finit par lancer un téléphone fixe en direction de sa comparse avant d’être interrompue par son professeur. “Il faut être prudent”, lance t-il, l’air amusé. L’interprète d’Anaconda s’empresse alors de s’assurer qu’elle n’a pas causé de tort à l’autre fille : “Est-ce que je t’ai touchée avec le téléphone ?” D’autres images la montrent sur les planches, en pleine répétition. La comédie, c’est la voie qu’Onika Maraj, de son vrai nom, souhaite explorer avant la musique. Son envie sera cependant rapidement frustrée par manque de propositions et pour cause de castings infructueux.

Actuellement, Nicki Minaj truste la deuxième place des ventes d’albums aux États-Unis, juste derrière Taylor Swift, avec la sortie de son troisième opus The Pinkprint. En tout, elle a réalisé 240 000 ventes en première semaine d’exploitation. Un joli succès pour la rappeuse originaire du Queens à New York, qui souhaite faire de ce disque un classique du rap, dans la lignée de The Blueprint de Jay Z, un incontournable du genre. Si musicalement on peut lui reprocher un certain manque d’évolution entre Pink Friday son premier album et le dernier, il faut reconnaître que l’interprète d’Anaconda vient de loin. Sa carrière explose sur le tard après la signature de son contrat avec Young Money, le label du rappeur Lil Wayne, son mentor. Nicki Minaj aujourd’hui est la “Reine du Hip Hop”, selon le magazine Rolling Stone, une artiste de premier plan de la culture pop et qui compte pour les marques. Roberto Cavalli en a fait son égérie pour le printemps-été 2015. En quelques années, elle a su conquérir la planète rap, au détriment de figures telles que Lil Kim, sa grande rivale, ou encore Missy Elliot.

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Une belle notoriété qui pourrait lui permettre désormais de reconsidérer ses premières amours. “Un jour, quand mes cheveux vont commencer à virer au gris, peut-être que je vais me consacrer à la comédie. Je ne sais pas”, confie t-elle à l’édition américaine de Marie Claire. Cette année déjà, on a pu l’apercevoir dans Triple Alliance, film girly signé Nick Cassavetes avec Cameron Diaz et Kate Upton. Une performance moyenne, presque caricaturale, au final pas très loin de ses premiers essais sur les bancs de l’école. Et pourquoi pas s’en tenir au rap ?

Former Disney Channel teen star-turned pop powerhouse Selena Gomez will produce a docuseries for Netflix that follows the lives of illegal aliens who are living in the U.S. The series is meant to “humanize” the plight of illegals trying to “attain the American dream.”

The series, titled Living Undocumented, follows the lives of eight families of illegals as they circumvent U.S. immigration laws living in this country while attempting to avoid deportation. The series is executive produced by the actress and singer and will debut on Netflix on October 2, according to Variety.

According to a description of the series: “Living Undocumented is designed to illuminate one of the most important issues of our time. But rather than discussing this issue with only statistics and policy debates, we wanted viewers to hear directly from the immigrants themselves, in their own words, with all the power and emotion that these stories reflect.”

“I chose to produce this series because over the past few years, the word immigrant has seemingly become a negative word,” Gomez told the Hollywood Reporter. “My hope is that the series can shed light on what it’s like to live in this country as an undocumented immigrant firsthand, from the courageous people who have chosen to share their stories.”

The series is intended to showcase illegals as useful members of American society and that U.S. immigration policies are unfair. However, a recent study found that many illegals end up on welfare and government assistance programs and are far from useful members of our society.

According to Fox News, illegals use up billions annually in welfare money.

“A FAIR study in 2017 found illegal immigrants are a net consumer of taxpayer benefits worth more than $100 billion a year, not including the cost of enforcing the border,” Fox reported in April.

Follow Warner Todd Huston on Twitter @warnerthuston.

Une enfance compliquée. Dans son livre À Cœur Ouvert, publié aujourd’hui, Ingrid Chauvin revient sur sa jeunesse – et révèle notamment l’alcoolisme de son père.

« Personne n’avait pu abolir la profonde angoisse qui le jetait dans l’alcool. Il buvait. Beaucoup. » Dans À Cœur Ouvert, son livre disponible dès aujourd’hui, Ingrid Chauvin raconte l’alcoolisme de son père. Un mal qui a marqué son enfance au fer rouge, d’après les extraits relevés par TéléStar.

« Souvent, lorsque je revenais de l’école, il me donnait quelques pièces pour aller lui acheter des bouteilles de vin. Je ne voulais pas accepter l’idée qu’il était alcoolique, raconte l’actrice lancée en pleine procédure d’adoption. J’ai vraiment compris lorsqu’à la fin de sa vie, il a été rattrapé par la cirrhose. »

« Personne ne savait, confie-t-elle en interview au magazine TéléStar. Le fait d’en parler me permet d’être dans une meilleure compréhension de choses mal vécues enfant. Petite, je m’enfermais dans ma bulle en m’imaginant un père qui n’était pas celui de la réalité. Peu importe, ça me faisait du bien. »

Dans son livre, Ingrid Chauvin revient avant tout sur la mort de sa fille Jade, à l’âge de cinq mois. Une tragédie survenue il y a maintenant un an, qui a rapproché le couple qu’elle forme avec son époux Thierry Peythieu. Celui-ci a agi comme un psychiatre pour l’actrice, l’aidant à surmonter le drame et surtout à lutter contre ses envies suicidaires.

Crédits photos : zz.Archive.Sam/Starface

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