Senate Democrats are demanding the Trump administration withdraw a proposed rule that would expand religious exemptions for federally funded faith-based social service providers.

Led by Sens. Patty MurrayPatricia (Patty) Lynn MurrayDemocrats demand Trump administration withdraw religious provider rule How to downsize the federal education role — without attracting attention Senate Dems blast Barr for ‘clear violation’ of duty in Stone case, urge him to resign MORE (D-Wash.) and Ron WydenRonald (Ron) Lee WydenDemocrats demand Trump administration withdraw religious provider rule Ernst endorses bipartisan Grassley-Wyden bill to lower drug prices Senate Dems blast Barr for ‘clear violation’ of duty in Stone case, urge him to resign MORE (D-Ore.), the senators said the proposal is “both an attack on religious freedom and yet another step taken by President TrumpDonald John TrumpFed saw risks to US economy fading before coronavirus spread quickened Pro-Trump super PAC hits Biden with new Spanish-language ad in Nevada Britain announces immigration policy barring unskilled migrants MORE to greenlight federally-funded discrimination.”

The proposal seeks to remove a mandate that the faith-based health and social service providers tell patients about services they do not provide for religious reasons, referring those patients to other providers.

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It would also eliminate a provision requiring federally funded faith-based organizations to give written notice to beneficiaries to ensure they are aware of the religious nature of the organization.

The rule from the Department of Health and Human Services (HHS) was released in January as part of a coordinated series of actions across multiple federal agencies to remove what Trump administration officials said were “discriminatory regulatory burdens” that the Obama administration placed on religious organizations that receive federal funding.

HHS said it is discriminatory to require all faith-based groups, but not other providers of federally funded services, to refer beneficiaries to alternative providers.

The Democrats said the rule “greenlights employment discrimination” by allowing federally funded service providers to make employment decisions based on “acceptance of or adherence to the religious tenets of the organization.” 

This means an organization could use its self-defined religious tenets to fire an individual or deny them resources on the basis of sexual orientation, gender identity, pregnancy, childbirth or related medical conditions, the lawmakers said. 

“Protecting equal access for beneficiaries and potential employees, regardless of their religious beliefs and identities, is and should always remain the Department’s number one priority. We demand the Department put the American people first and withdraw the proposed rule,” the Democrats wrote. 

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A U.S. District Court judge on Tuesday struck down a lawsuit from Chinese tech giant Huawei, ruling that the company didn’t have any legal ground to sue the U.S. government.

The telecommunications company had filed the lawsuit last year after Congress passed the National Defense Authorization Act, which, among other things, prohibits federal agencies and contractors from purchasing certain products from Huawei and fellow Chinese tech giant ZTE.

In the complaint, Huawei claimed that the restrictions were overly punitive and singled out certain companies.

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The Trump administration and congressional lawmakers have long had concerns over whether the Chinese government could use Huawei and ZTE to spy on the U.S.

However, District Judge Amos Mazzant concluded on Tuesday that the government wasn’t prohibiting Huawei from doing business in America, but was rather exercising its legal ability to control how federal money is spent.

“Huawei is disappointed in today’s ruling and while we understand the paramount significance of national security, the approach taken by the U.S. Government in the 2019 NDAA provides a false sense of protection while undermining Huawei’s constitutional rights,” a Huawei offiial told Politico in a statement.

“We will continue to consider further legal options,” the person added.

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C’est une révélation amusante qu’a faite Mélanie Griffith alors qu’elle était interviewée par le site IndieWire. L’actrice a en effet raconté que sa fille Dakota Johnson lui avait demandé de ne pas regarder son prochain sulfureux film 50 Nuances de Grey.

“Vous ne pouvez pas venir. C’est hors de question!’’.

À en croire Mélanie Griffith, sa fille Dakota Johnson serait farouchement opposée à ce qu’elle et son ancien mari Don Johnson, voient son prochain film 50 Nuances de Grey. Il faut dire que ce dernier réalisé par Sam Taylor-Wood et adapté du best-seller érotique d’E.L James comporte quelques scènes assez hot. Dakota Johnson, qui tient le rôle d’Anastasia Steele en avait ailleurs raconté les coulisses lors de son passage au Today Show sur NBC. «Ce n’est pas une situation romantique. C’est bien plus technique, il est plus question de chorégraphie… C’est vraiment une tâche à accomplir!, avait-elle expliqué.

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Dans Vanity Fair, Dakota s’était déjà confiée sur ce rôle qui risque de la poursuivre très longtemps. «Ça a été une expérience très douce, amusante et créative, avait-elle expliqué. Je pense qu’il est normal d’avoir quelques appréhensions avant de se lancer dans quelque chose comme ça. On se demande ce qu’il pourrait arriver. On a un mélange de peur et d’excitation. Mais on s’est tous très bien entendus, l’équipe était géniale. Et on a essayé de faire le meilleur film possible. Mes parents m’ont beaucoup soutenue, mais maintenant c’est à moi de me lancer, je ne peux plus faire demi-tour. J’ai beaucoup de pression.” Pour supporter la pression, elle peut en tout cas compter sur le soutien de son célèbre père, l’acteur Don Johnson, qui ne tarit pas d’éloge sur elle. « Je suis extrêmement fier de ma fille, a-t-il confié au magazine Total Film. C’est une actrice talentueuse. Je ne parlerai pas de de ces absurdités salaces. Notre famille connait le business on n’a pas peur des challenges et je n’ai aucun doute sur le fait que Dakota va devenir une grande star. Ce n’est qu’une partie d’une grande carrière. Je n’ai pas lu le script, ce n’est pas approprié ». Voilà un film que les parents Dakota Johnson risquent d’éviter d’évoquer pendant les prochains repas de famille…

David Arquette est principalement connu pour sa carrière d’acteur, mais peu de gens savent qu’il est également très actif dans le monde de la nuit. Il possède déjà deux boîtes de nuit en vogue à Los Angeles et souhaite désormais devenir propriétaire d’un strip club.

Après son divorce avec la comédienne Courteney Cox, en juin 2013, David Arquette avait sombré dans l’alcool. Il a depuis trouvé le réconfort auprès de sa nouvelle compagne, Christina McLarty, et est devenu papa pour la deuxième fois. Il s’épanouit dans une carrière d’entrepreneur, tout en gardant un œil sur le cinéma. Son dernier projet en date? L’acquisition d’un club de striptease.

David Arquette est très sérieux. Le site TMZ révèle que le comédien et deux de ses associés ont d’ores et déjà rencontré les propriétaires du fameux strip club Crazy Girls, situé sur le très fréquenté Sunset Boulevard. Les trois amis sont prêts à débourser 1,6 million de dollars (environ 1,2 million d’euros) pour récupérer les clés du club. Selon le site américain, le comédien souhaite transformer le lieu en un établissement « à l’ancienne », réservé à une clientèle huppée, prête à dépenser sans compter.

David Arquette sait très bien où il met les pieds. A 42 ans, le frère de Rosanna et de Patricia est déjà propriétaire de deux boîtes de nuit dans la capitale du show-business. Le Hooray Henry et le Bootsy Bellows (en référence au nom de scène de sa mère, Brenda). Les négociations vont bon train entre les trois acheteurs potentiels et les gérants de l’établissement, mais l’accord ne devrait plus tarder. Malgré son implication dans le monde des affaires, David Arquette est parvenu à tourner dans six films au cours de l’année. De quoi lui assurer les fonds nécessaires pour un éventuel achat.

Crédits photos : Bravo

Discrète, Alizée l’a toujours été. Alors qu’elle vient de fêter ses 30 ans en compagnie de son petit-ami le danseur Grégoire Lyonnet, la brune corsée semble enfin prête à accueillir le bonheur. Un bonheur qui pourrait bien se conjuguer à plusieurs… Décryptage du succès de la petite chérie des français.

Elle est méconnaissable, transformée par le bonheur. Désormais blonde – clin d’œil au titre de son nouvel album -, Alizée envisage sa nouvelle vie avec une sérénité inattendue. Ces derniers mois ont été un enchantement perpétuel pour la jeune femme qui vient de célébrer ses 30 ans. Une nouvelle décennie pour une nouvelle vie? Il semblerait que oui pour l’ancienne baby star devenue femme épanouie. Cet été sur la plage, la jeune femme d’origine corse ne s’est pas lassée des pitreries de celui dont elle partage désormais la vie, son compagnon Grégoire Lyonnet. Rencontré sur le tournage de Danse avec les stars, ce danseur lui a définitivement fait tourner la page Jérémy Chatelain, qu’elle pleurait pourtant lors du premier prime.

Tout est toujours allé très vite pour la lolita de la chanson française. Une participation à Graines de star en 2000 fait décoller sa carrière. Derrière leur écran de télévision, Mylène Farmer et son complice Laurent Boutonnat craquent pour le timbre de voix de cette mistinguette pourtant introvertie. «Je suis très timide, je n’ai pas du tout confiance en moi, c’est pour cela que je prends des cours de chant et de théâtre», explique-t-elle alors. Un tube pondu trois mois plus tard, voici la jeune fille transformée en véritable phénomène, un fantasme nabokovien qui s’empare aussitôt des charts et du cœur des garçons. Alizée fait souffler un vent de fraîcheur sur la chanson française avec ses croped top, ses jupes mini et son petit carré noir jais. Moue boudeuse, regard rieur, la créature est signée Mylène Farmer. Une maternité dont elle aura bien du mal à se défaire au fil de sa carrière.

Après son premier album Gourmandises (2000), son deuxième opus Mes courants électriques (2003) signe sa dernière collaboration avec ses mentors Farmer et Boutonnat. Car, comme elle le dit dans son titre Alizé, «ce qu’elle veut Alizée l’a toujours». Et ce qu’elle veut par dessus tout l’année de ses vingt ans, c’est avoir un enfant avec Jérémy Châtelain. En novembre 2005, elle donne naissance à sa fille Annily. Dans la foulée, la brune pétillante quitte Universal pour Sony BMG. En 2007, elle sort son premier album autoproduit, Psychédélices. Si ses fans ne sont pas au rendez-vous en France, elle devient une superstar au Mexique où elle reçoit un disque d’or. Alizée s’épanouit en dehors de nos frontières, loin de son pygmalion à la crinière incendiaire, se cherche une identité musicale, tatonne au risque de se tromper, comme avec Un enfant du siècle en 2010. Un échec commercial.

Depuis… Depuis un divorce d’avec Jérémy Chatelain, une love-affair expresse avec M. Pokora rencontré lors de la tournée des Enfoirés en 2012, une traversée du désert, jusqu’à Danse avec les stars. En septembre 2013, la brune annonce sa participation à l’émission de divertissement. Elle est alors fragile, renouant presque avec la jeune fille timide époque Graines de star. Face caméra, elle pleure l’échec de sa vie de famille, sans savoir que quelques semaines plus tard elle se consolera dans les bras de Grégoire. Aujourd’hui, à tout juste trente ans, Alizée a chassé les nuages de sa vie pour mieux se laisser caresser par les rayons du soleil. Des rayons comme Annily sa fille, l’amour de sa vie, et Grégoire, dont elle ne tarit pas d’éloges. «Il me temporise et m’apaise. Me fait positiver et calme mes angoisses. Je le respecte autant que je l’admire.» Une jolie déclaration.

Désormais le corps bardé de tatouages – principalement des références à l’enfance, des personnages issus de dessins animés comme la Fée Clochette -, la nymphette a bien grandi. Dans les bras de Grégoire, elle est prête à donner une deuxième chance à l’amour, et pourquoi pas, agrandir sa petite famille. «J’espère avoir d’autres enfants», confiait-elle en juin dernier. Un heureux événement imminent pour Alizée? C’est tout le bien qu’on lui souhaite…

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Crédits photos : VISUAL Press Agency

Le phénomène du Ice Bucket Challenge est désormais passé du côté de la fiction. Homer Simpson n’y a pas échappé, puisqu’il a dû se mouiller pour l’association ALS. Mais il ne s’attendait pas à ce que le défi prenne une autre tournure.

Depuis plus de deux décennies, le anti-héros amateur de donuts et autres bières sévit sur nos écrans. Les travers d’Homer Simpson n’ont jamais lassé les spectateurs, au pont de l’élever au rang de “meilleur personnage de fiction” dans le magazine Entertainment Weekly en 2010. Pour prouver qu’il est toujours dans le vent avec ses 26 saisons au compteur, le personnage créé par Matt Groening revisite à sa façon, après le selfie de la cérémonie des Oscars, le Ice Bucket Challenge au profit d’ALS.

Mais le père de la famille Simpson n’est pas connu pour être téméraire. Homer, en véritable fainéant et doté d’un physique ventripotent, s’est arrosé la tête avec un simple verre d’eau glacée. Pas de quoi ravir l’organisme caritatif qui a déjà récolté plus de 70 millions de dollars (53 millions d’euros) de dons selon nos confrères du Figaro.

Ni une, ni deux, l’éternel Homer a pu compter sur son fils pour faire le buzz. En effet, depuis son hélicoptère, Bart a surpris son père avec une cargaison quelque peu spéciale. Blocs de glace, pingouins, hockeyeurs et même un camion de glace ont submergé Homer Simpson. Histoire de ne pas rompre la chaîne, il a nommé à son tour trois personnes, à savoir: Ned Flanders, Lenny et Donald Trump.

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Crédits photos : FOX

Joan Rivers, de son vrai nom Joan Alexandra Molinsky, est décédée à l’âge de 81 ans, comme l’a confirmé sa fille Melissa. Elle avait été hospitalisée d’urgence pour un arrêt respiratoire et cardiaque, avant d’être plongée dans un coma artificiel.

Humoriste, animatrice, auteure, ou encore comédienne… Joan Rivers était tout cela. Admise en soins intensifs la semaine dernière, elle s’est éteinte ce jeudi 4 septembre à l’âge de 81 ans. C’est sa famille qui a annoncé la triste nouvelle via un communiqué: «C’est avec une grande tristesse que je vous annonce la mort de ma mère, Joan Rivers. Elle s’est éteinte dans la paix à 13h17 (19h17 en France) entourée de sa famille et de ses proches».

Native de Brooklyn, la Blonde avait commencé sa carrière en montant sur les planches de Broadway, pour rapidement se convertir au stand-up. C’est en 1965 que les spectateurs l’ont aperçue pour la première fois à l’émission The Tonight Show, menée par Johnny Carson. Elle a continué à faire ses preuves l’année suivante dans The Edd Sullivan Show. Un sérieux coup de projecteurs qui l’a amenée à diriger sa propre émission, en 1968, That Show with Joan Rivers. À chacun des 214 épisodes que compte le programme, Joan Rivers abordait une thématique différente.

En parallèle, Joan Rivers entretenait une carrière d’actrice de cinéma. Elle a été vue dans Once Upon a Coffee House (1965), Les Muppets à Manhattan (1984), ou plus récemment dans Iron Man 3 (2013). Autre corde à son arc, l’écriture: la vedette américaine est l’auteure d’une bonne dizaine de références, dont le dernier en date (Diary of a Mad Diva) est sortie outre-Atlantique pendant l’été.

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Son premier amour, la télévision, n’était jamais loin, puisque elle était à nouveau à la tête de son talk-show depuis septembre 2010. Fashion Police était l’occasion pour Joan Rivers de discuter et critiquer les tenues des célébrités. Appréciée pour son humour acerbe, elle était néanmoins critiquée pour ses diverses opérations de chirurgie esthétique, dont elle plaisantait volontiers. Elle avait d’ailleurs révélé en 2012 à la presse américaine le nombre d’actes chirurgicaux: elle avait alors dénombré 739 procédures.

Joan Rivers a été admise d’urgence à l’hôpital new-yorkais Mount Sinaï le 28 août. La raison? Elle avait cessé de respirer pendant une simple opération de la gorge au centre médical d’Upper East Side. Peu de temps après, elle avait quitté les soins intensifs mais l’équipe médicale en charge de son dossier l’avait placée dans un coma artificiel, avec assistance respiratoire, suite à des complications de son opération des cordes vocales.

Crédits photos : NBC/gettyimages

Le successeur de Muriel Mayette, Eric Ruf, a fait sa rentrée le 10 septembre. Le nouvel administrateur général y présentait ses ambitions pour, au moins, les cinq années à venir. Un mandat qui sera placé sous le signe de l’ouverture.

Il a été nommé le 16 juillet au titre d’administrateur général de la prestigieuse scène hexagonale, la Comédie-Française. À quarante-cinq ans, Éric Ruf était le favori de François Hollande pour remplacer la compagne de Gérard Holtz, Muriel Mayette. Comédien de profession, il a pris ses fonctions lors de la traditionnelle fermeture du centre dramatique, le 4 août.

L’atout d’Eric Ruf, sa connaissance de la Comédie-Française dans les moindres détails, puisqu’il y est entré en 1993. Outre sa casquette d’acteur, il s’est depuis illustré en tant que scénographe et metteur en scène. L’homme se donne trois priorités pour son mandat d’administrateur. Des chantiers qu’il n’entamera réellement que pour la saison de 2015–2016, puisque la programmation de 2014–2015 a déjà été concoctée par Muriel Mayette.

Ainsi, Éric Ruf n’entend pas se cantonner aux habituelles tournées françaises et internationales. Il projette en effet de multiplier les partenariats artistiques, notamment avec le festival d’Avignon, où l’institution ne s’est pas produite depuis plus de vingt ans. Autre dossier qu’il souhaiterait mettre en oeuvre, celui de la confrontation de l’univers de la Comédie-Française avec celui de metteurs en scène étrangers. Une ouverture qui serait, dans l’idéal, achevée par la réalisation d’une nouvelle salle modulable conçue pour tous les types de répertoires. En somme, l’arrivée d’Éric Ruf est une ode à la création contemporaine.

Crédits photos : FAYOLLE PASCAL/SIPA

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Interdit de blackjack au Hard Rock casino à Las Vegas, Ben Affleck revient sur l’incident dans les pages du magazine Details. Pour lui, les pratiques des dirigeants ne sont pas tout à fait corrects.

En mai dernier, le Hard Rock casino à Las Vegas interdisait définitivement à Ben Affleck de jouer au blackjack. Le casino lui reprochait en effet de compter les cartes pendant la partie. “C’est une histoire vraie, répond l’acteur quand le magazine Details lui en demande plus. J’ai mis du temps à apprendre à jouer et à devenir un bon joueur de blackjack. Et une fois que c’était fait, le casino m’a demandé de ne plus jouer au blackjack. Si être bon dans un jeu est contre les règles, ça veut dire beaucoup sur les casinos.”

Une expérience qui a ouvert les yeux au mari de Jennifer Garner, prochainement à l’affiche de Gone Girl de David Fincher. “Ils ne souhaitent même pas qu’on ait des chances correctes, confie t-il. Ils font preuve de beaucoup d’hospitalité quand ils pensent que tu viendras juste dépenser bêtement ton argent en perdant mais une fois qu’ils pensent que tu pourras plutôt leur prendre de l’argent, ils viennent te voir et demandent si tu ne veux pas essayer d’autres ‘conneries comme la roulette’.”

Pour Ben Affleck, également metteur en scène oscarisé (pour Argo en 2013), son seul “crime” à Las Vegas ce soir-là était d’avoir excellé au blackjack. “J’ai été bon !”, se targue-t-il. Mais contrairement à ce qui a été dit, Ben Affleck n’a pas été banni complètement du célèbre casino. “Ils m’ont juste dit ‘pas de blackjack’. La terreur des casinos n’a pas dit son dernier mot…

Crédits photos : Steve Granitz

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Matt Damon a rencontré Robin Williams sur le plateau de Will Hunting. Un film qui a changé leur vie à tous les deux, notamment celle du jeune acteur qu’était Matt Damon. Aujourd’hui, il rend hommage à celui qui a mis fin à ses jours en août dernier.

Il est sans doute l’une des dernières personnalités à s’exprimer sur la mort tragique de Robin Williams et pourtant il n’est pas des moindres. Matt Damon tient une place particulière dans la filmographie de l’acteur décédé et réciproquement. Leurs chemins se sont croisés en 1997, sur le plateau du tournage de Will Hunting, un film co-écrit par Matt damon et Ben Affleck, alors inconnus à Hollywood. Les deux jeunes acteurs partagent l’affiche avec celui qui est déjà une star grâce à ses rôles dans Le cercle des poètes disparus, Hook ou encore Madame Doubtfire. Will Hunting leur portera bonheur à tous puisque Robin Williams décrochera ainsi le seul Oscar de sa carrière, dans la catégorie meilleur second rôle, et Matt Damon et Ben Affleck remporteront celui du meilleur scénario et lanceront ainsi leurs carrières.

Interviewé par Yahoo Movie, Matt Damon a expliqué: «Je ne lui avais pas parlé depuis un moment mais je savais qu’il luttait contre une sévère dépression. Je pense que tout le monde a été choqué. A ce moment-là, nous avons tous eu l’impression de le connaître intimement et qu’il faisait partie de nos vie». Lucide, la tête sur les épaules, l’acteur sait ce qu’il doit à Robin Williams. «Ben Affleck et moi lui devons absolument tout, affirme-t-il. Il a accepté de faire notre film et porté le projet à bout. Je ne pourrais jamais le remercier assez. Quand je regarde la vie que j’ai aujourd’hui, à quel point je suis béni, je sais que rien de tout ça n’aurait pu arriver sans l’aide de Robin».

Matt Damon ajoute que Robin Williams était «la personne la plus drôle qu’il ait jamais rencontré et quelqu’un d’extrêmement généreux» avant de conclure: «Les gens étaient heureux quand il était là et c’est ce dont je veux me rappeler de lui: la joie qu’il m’a apportée». Un sentiment partagé par son ami Ben Affleck qui avait dit sur son compte Twitter: «Robin avait une tonne d’amour en lui. Il a fait tellement pour tellement de gens. Il a transformé mes rêves et ceux de Matt en réalité. Qu’est-ce que vous devez à un homme qui fait cela? Tout».

Crédits photos : Hermann Bredehorst / Polaris / Starface

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