Isabelle Adjani: son grand retour au théâtre

Dans une interview accordée au Figaro vendredi, Isabelle Adjani a annoncé son grand retour sur les planches. A partir du mois d’octobre, l’actrice sera à l’affiche de Kinship au théâtre de Paris.

On l’avait quittée en 2006 sur les planches du théâtre Marigny à Paris. A l’époque, Isabelle Adjani se produisait dans la pièce de Wolfgang Hildesheimer, La Dernière nuit pour Marie Stuart. Huit ans après, la célèbre comédienne va finalement retrouver le chemin du théâtre pour le plus grand bonheur du public. Interviewée dans le Figaro, vendredi, l’actrice a annoncé son retour sur les planches à partir du mois d’octobre, dans la pièce contemporaine Kinship, de l’Américain Carey Perloff.

Une pièce construite autour d’un trio sans nom: Elle, L’Amie et Lui. «’Elle’ mène une vie sans accrocs jusqu’à ce que ‘Lui’ surgisse. Elle s’enflamme, elle s’éprend follement de lui. Il l’admire. Elle éveille en lui son amour-propre et son appétit de vivre» explique l’actrice. Une intrigue passionnante qui a su provoquer l’intérêt d’Isabelle Adjani. «Le plus important est d’incarner un personnage neuf, dont l’imaginaire est encore vierge. Je peux tout inventer, sans référence autre que ce texte et ce que nous allons en faire avec le metteur en scène et mes partenaires», analyse-t-elle. Pour l’accompagner dans cette aventure, la comédienne aux cinq César de Meilleure actrice pourra compter sur la présence de Carmen Maura et du talentueux Niels Schneider.

Mais ce retour sur scène, Isabelle Adjani le voit plutôt comme une continuité. «On me dit: ‘c’est bien, tu reviens sur le devant de la scène’. Mais moi, je pense que, comme le dit Anna Karina dans Pierrot le fou: Je ne recommence pas, je continue» explique la jolie brune. Au cours de l’entretien, Isabelle Adjani parle également non sans émotion de Patrice Chéreau. Le réalisateur, décédé en 2013, lui avait offert le rôle de sa vie dans le grandiose film La Reine Margot en 1994. «Je ne me consolerai jamais de ne pas avoir travaillé au théâtre avec Patrice Chéreau» avoue-t-elle. En attendant de la revoir sur les planches, le public pourra bientôt observer l’actrice dans le très attendu film d’Audrey Dana, Sous les jupes des filles. Une mise en bouche parfaite.

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Anastacia, la résurrection

Un album de reprises en 2012, mais aucune chanson originale depuis 2008 et Heavy Rotation: Anastacia est de retour aujourd’hui avec Resurrection, son sixième opus. Une renaissance.

Lifeline, Evolution, Broken Wingsles titres des chansons du nouvel album d’Anastacia laissent peu de place au doute: avec Resurrection, la chanteuse revient sur le devant de la scène, mais aussi et surtout reconquiert sa vie, après une aggravation de son cancer du sein l’année dernière, et une double mastectomie.

Guérie l’été dernier, Anastacia était retournée en studio dès juillet 2013, espérant peut-être trouver l’inspiration qui lui permettrait de tutoyer à nouveau les sommets des charts comme en 2000 avec I’m Outta Love. La chanteuse a d’ailleurs fait appel à la même équipe qu’il y a 14 ans, afin de mettre toutes les chances de son côté.

Résultat, c’est évidemment la voix forte et puissante d’Anastacia qui prend logiquement tout l’espace, des ballades piano-voix comme I Don’t Want to Be the One aux morceaux plus pop-rock comme Stupid Little Things. Des compositions qui expriment parfois violemment toutes les émotions traversées par la chanteuse lors de sa convalescence.

Interviewée par Gala début avril, Anastacia s’était montrée non seulement émouvante, mais aussi drôle et passionnée. Le cancer est loin – ne reste désormais plus qu’à renouer avec le succès.

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Vidéo – Bernard Tapie en colère sur Europe 1

Les invités difficiles s’enchaînent pour Thomas Sotto : après Gérard Depardieu lundi, c’est Bernard Tapie qui a fait des siennes sur Europe 1 ce matin. L’homme d’affaires, qui devait être interviewé à 7h45, ne s’est finalement présenté au micro que quelques minutes avant 9h, vexé par une phrase prononcée pour le présenter.

« Julie [Leclerc] n’a rien dit de mal. Attitude incompréhensible de Bernard Tapie qui savait parfaitement qu’on allait parler de l’arbitrage. » Voilà ce qu’a tweeté Thomas Sotto ce matin vers 8h, après que Bernard Tapie a quitté le studio d’Europe 1, visiblement en colère. Un épisode qui rappelle celui qui a pris place lundi dernier, lorsque Gérard Depardieu a mis fin brutalement à une interview avec le même journaliste car le sujet abordé ne lui plaisait pas.

Habitué des esclandres sur Europe 1 (en septembre 2012, il avait lancé « Je vous emmerde » à Bruce Toussaint), Bernard Tapie est revenu vers Thomas Sotto un peu avant 9h, mais refusant toujours de répondre aux questions liées au litige qui l’oppose au Crédit lyonnais et qui concerne la revente d’Adidas : « Tout ce qui vous intéresse, c’est touiller la merde. Allez ça va, à très bientôt. Laissez la justice faire son boulot, ça va ! »

Lors de ses dix minutes de passage derrière le micro, Bernard Tapie a profité de cette tribune pour rappeler qu’il avait toujours combattu le FN, et que les électeurs « se trompaient » en votant pour le Front national. L’homme d’affaires précise même qu’il a son idée sur les raisons qui placent le parti de Marine Le Pen en tête des élections européennes dimanche : « Le père était outrancier. Elle, c’est plus cynique : elle raconte des balivernes aux gens. » Difficile fin de semaine pour la fille de Jean-Marie Le Pen donc, dont on a appris hier qu’étudiante, elle rendait ses copies « en phonétique ».

Stargate signe son grand retour

20 ans après l’original, les studios MGM ont annoncé le retour au cinéma de Stargate. Le réalisateur Roland Emmerich dirige à nouveau le projet.

Les remakes et les suites des grands classiques de science-fiction ont plus que jamais le vent en poupe à Hollywood. Après le retour au cinéma de Star Trek puis de Star Wars plus de 30 ans après leurs épisodes originaux, Metro-Goldwyn-Mayer Pictures (MGM) vient d’annoncer l’arrivée d’un autre grand nom du genre: Stargate. Le film de 1994 retrouvera pour l’occasion son réalisateur original, l’Allemand Roland Emmerich. Il sera accompagné de Dean Devlin, le producteur et scénariste de la version de départ.

Plus qu’un come-back, le projet prévoit de faire de Stargate une trilogie, un format très en vogue ces derniers temps. Lors de l’annonce de MGM, Emmerich et Devlin ont déclaré: « L’univers Stargate nous a terriblement manqué et nous avons très hâte d’imaginer les nouvelles aventures et les nouvelles situations pour la trilogie. » Ils ont même fait part d’une pointe de nostalgie et du bonheur de réitérer l’aventure: “Cette histoire est chère à nos cœurs, c’est un peu comme un enfant perdu depuis fort longtemps qui retrouve enfin le chemin de la maison.

Il y a 20 ans, le film avait été le premier succès planétaire du réalisateur originaire de Stuttgart. Il avait aussi été le premier projet produit par Dean Devlin. Autant dire qu’il revêt une importance particulière à leurs yeux. À l’époque, Kurt Russell (The Hateful Eight) et James Spader (Lincoln) avaient été choisis pour tenir le haut de l’affiche. La production n’a pour l’instant donné aucune indication sur le casting de ce nouvel épisode. Le tournage ne devrait d’ailleurs pas débuter de sitôt puisque Roland Emmerich doit d’abord s’atteler à la réalisation de Stonewall, et d’ID Forever I et II. Mais avec pareil projet, mieux vaut prendre son temps.

Guy Bedos veut mettre Nicolas Sarkozy en prison

Invité sur l’émission On ne parle que de ça du Figaro pour parler de la soirée que France 3 lui consacrera le 23 juin, Guy Bedos ne s’est pas gêné pour attaquer la caste politique. Pour le comédien, François Hollande n’est pas passionnant, Nicolas Sarkozy mérite la prison et Marine Le Pen parle comme Hitler : un sacré florilège.

Il a pris sa retraite il y a peu, mais se permet encore quelques sorties bien senties : Guy Bedos s’est illustré hier en taclant hommes et femmes politiques dans une émission diffusée sur le site du Figaro, sans langue de bois. « Les malheurs de l’UMP ça m’amuse, que Copé ait pu mentir à ce point et commence à payer l’addition, c’est pas mal ! J’attends Sarkozy. J’attends son départ pour la case prison, depuis le temps, avec toutes ses casseroles… » S’il dit ne « souhaiter la prison à personne » et précise trouver l’ancien président de la République « amusant en privé, vif », il n’hésite donc pas pour dénoncer les agissements douteux de celui qu’il n’a jamais porté dans son cœur.

Invité à réagir sur le « GayetGate », Guy Bedos s’est montré peu intéressé par les tribulations amoureuses de François Hollande : « La rupture entre François Hollande et Valérie Trierweiler, ça ne me passionne pas. Voilà des choses comme ça qui ont été des évènements politiques et qui me paraissent totalement dérisoires. »

Enfin, c’est Marine Le Pen qui est passée sous la loupe de l’humoriste. La réussite du Front national aux élections européennes a occupé de nombreux artistes ces derniers jours, et Guy Bedos n’est pas en reste : « Marine Le Pen a du talent, je suis obligé de l’admettre, elle vend bien sa salade. Pour avoir joué Hitler à Chaillot, elle a exactement le même discours que lui. Hitler avait les mêmes cibles : il s’adressait aux précaires, aux chômeurs et il leur vendait son histoire. Lui c’était ‘S’il n’y avait pas les juifs, vous auriez du travail’. Et elle, c’est ‘S’il n’y avait pas les arabes et les nègres, vous auriez du boulot’. » Une déclaration sans concession.

Nicolas Winding Refn lâche Denzel Washington

Le cinéaste danois abandonne le projet d’adaptation de “The Equalizer”, dont Denzel Washington doit être la tête d’affiche.

Les majors rêvent de se le payer, mais il faudra encore attendre un peu : Nicolas Winding Refn vient de quitter The Equalizer, projet d’adaptation pour le grand écran de la série du même nom, mûri par Sony Pictures (qui ne jette pas l’éponge) depuis quelques années, et dont Denzel Washington doit interpréter le rôle principal (voir la news). Le tournage devait débuter au mois de mai, mais pour des raisons qui ne sont pas spécifiées, le deal n’aurait pu être conclu avec Sony, selon ce qu’en rapporte Collider. Au mois de mai, NWR risque de toute façon d’avoir quelques obligations dans le sud de la France…

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Les premières images d’Only God Forgives dans le courrier de la Minute du jour :

La Minute

AG

Ryan Gosling, détective alcoolique pour Shane Black

Ryan Gosling vient de présenter son premier long à Cannes- en tant que réalisateur-, il est donc un acteur libre. Libre de participer au tournage du prochain Shane Black (Iron Man 3), The Nice Guys, un film noir dans le LA des années 70. C’est ce que croit savoir le site The Wrap.

Shane Black, après Iron Man 3, change de direction avec The Nice Guys, un buddy movie (film de potes littéralement), un genre qu’il connait bien pour avoir été le scénariste entre autres de L’arme fatale 1 et 2. Dans le LA des années 70, un ancien alcoolique, gros bras, Jackson Healy, et un alcoolique, détective privé, Holland March, sont engagés pour élucider le meurtre d’une star du porno, déguisé en suicide. Les deux hommes vont -évidemment!- se retrouver plongés dans une affaire qui les dépasse. Un scénario bien ficelé, écrit par Shane Black et son ami Anthony Bagarozzi, que pourraient porter deux stars du cinéma.

D’après le site The Wrap, Ryan Gosling et Russell Crowe seraient envisagés pour incarner ces rôles d’enquêteurs aux liens très alcoolisés. Ça tombe bien, les deux acteurs sont libres. Ryan Gosling, récemment passé derrière la caméra, vient de présenter son premier long métrage en tant que réalisateur à Cannes, où il a reçu un accueil plutôt mitigé. Même situation pour Russell Crowe qui après avoir donné la réplique à Emma Watson dans Noé, vient de terminer son premier film au poste de réalisateur, The Water Diviner, un drame historique. Reste à savoir qui jouera qui, et quand. Pour l’instant, aucune date de tournage n’a été officiellement dévoilée.

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Exposition “Le Rire, l’horreur et la mort – Affiches peintes des vidéoclubs au Ghana”

Envie de se faire une exposition qui change de l’ordinaire ? Du 26 février au 19 mai se tiendra, au Musée du Quai Branly, l’exposition “Le Rire, l’Horreur et la Mort – Affiches peintes des vidéoclubs et images des morts au Ghana”.

Envie de se faire une exposition qui change de l’ordinaire ? Du 26 février au 19 mai se tiendra, au Musée du Quai Branly, l’exposition “Le Rire, l’Horreur et la Mort – Affiches peintes des vidéoclubs et images des morts au Ghana”. Présentant des affiches de films d’horreur africains peintes pour les vidéoclubs qui proliférèrent au Ghana à partir des années 1980, l’installation associe ces images avec les représentations traditionnelles des morts au Ghana. Ces affiches, pour le moins originales, ont été réalisées par des artistes ou des ateliers collectifs sur des toiles de sac de farine.

Germain Viatte, commissaire de l’exposition et conservateur général du patrimoine précise “Ces images de fantasmes, de terreur et de mort, produites au Ghana et au Nigeria, d’abord inspirées par les films d’horreur américains et mexicains mais constituant vite un genre autonome, étaient destinées aux adolescents des rues et aux adultes bientôt reclus le soir dans leur maisons. Ces fables semblent conjurer par des récits visuels extravagants les peurs dues aux tensions sociales et à l’insécurité latente de ces pays. Elles reflètent les mutations d’une société, ses conflits de pouvoirs, de sexes et la fascination de l’argent. La religion y apparaît très présente.”

 

Exposition “Le Rire, l’Horreur et la Mort – Affiches peintes des vidéoclubs et images des morts au Ghana” du 26 février 2013 au 19 mai 2013. Mezzanine centrale – Atelier Martine Aublet – Musée du Quai Branly

Découvrez quelques affiches

“Demonic Cat Deliverance” – © JK

“Vuga” – © Rahman


“Species” – © Stoger Ash

“Project shadowchaser, beyond the Edge of Darkness” – © ZAAGP

 

 

Laëtitia Forhan

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Angelina Jolie, Invincible et déjà en course pour les Oscars

Avec son prochain film Invincible, Angelina Jolie pourrait bien confirmer son statut de réalisatrice chevronnée. Le drame de guerre sur la vie de Louis Zamperini, dont elle dévoile le trailer, est d’ores et déjà annoncé comme un candidat sérieux aux Oscars.

Toujours auréolée du succès de Maléfique – le plus gros de sa carrière –, Angelina Jolie dévoile fièrement la bande-annonce d’Invincible, son deuxième film en tant que réalisatrice. Attendu pour le 21 janvier 2016 en France, le long-métrage revient sur l’incroyable vie de Louis Zamperini, incarné par le jeune Jack O’Connel (Eden Lake, 300 : La Naissance d’un Empire). En plein Seconde Guerre Mondiale, l’athlète olympique Louis Zamperini est enrôlé dans l’armée de l’air en 1941. Il survit, ainsi que deux autres pilotes, à un crash d’avion au-dessus du Pacifique, avant d’être repêché par les forces japonaises, capturé dans un centre pour prisonniers de guerre et torturé pendant deux ans et demi.

Ces premières images, aux faux airs d’une réalisation de Clint Eastwood, lèvent le voile sur un film à l’esthétique léchée et superbement rétro. Les scènes de guerre semblent convaincantes et le scénario abouti.Présentée par la compagne de Brad Pitt à la convention CinemaCon à Las Vegas plus tôt dans l’année, Invincible avait été largement applaudi par les professionnels. Certains estiment même que le film a des chances de rafler un bon nombre de statuettes aux Oscars 2015. Il faut dire qu’Angelina Jolie a su s’entourer de la crème de la crème pour ce second essai. À la photographie, on retrouve Roger Deakings, qui a multiplié les récompenses pour son travail dans Skyfall. Les frères Joel et Ethan Coen ont contribué au scénario. Rien que ça !

Bien avant de plancher sur ce film, qui se base sur le livre de Lauren Hillenbrand, Unbroken: A World War II Story of Survival, Resilience, and Redemption, Angelina Jolie avait fait la connaissance de Louis Zamperini, alors son voisin à Los Angeles et lui témoignait une grande amitié et admiration. L’homme s’est éteint la semaine dernière à l’âge de 97 ans. “C’est une perte qu’il m’ait impossible de décrire”, avait-elle déclaré. C’est un héros. C’est mon héros”. De quoi provoquer encore plus d’intérêt autour d’Invincible.

Avec ce film, récit sur la résilience et leçon de courage, Angelina Jolie, dont le passé sulfureux a récemment refait surface, signera t-elle son entrée dans la cour des grands cinéastes ? Rendez-vous l’année prochaine.

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