Elle a bien réfléchi et finalement elle n’est pas convaincue que cela en vaille vraiment la peine. Alors que, pour la «bomba latina», l’année a été riche en rebondissements – divorce d’avec Marc Anthony, son mari pendant sept ans, enfin prononcé ; départ de l’émission American Idol, dont elle était membre du jury ; début de sa tournée mondiale, une première en treize ans de carrière… – celle-ci a entrepris une rétrospective de sa vie. Et elle en a tiré une conclusion : après avoir été mariée trois fois, l’idée de remettre ça avec son actuel compagnon, le danseur Casper Smart, ne semble pas l’emballer.

«Je ne sais pas, on verra». C’est par cette phrase pleine d’enthousiasme que J-Lo a répondu aux journalistes qui lui demandaient si elle comptait épouser Casper Smart. Il faut dire qu’après trois mariages qui se sont tous soldés par un divorce, il y a de quoi être refroidie à l’idée d’un quatrième. «Vous savez, j’ai toujours cru en cette institution. J’y crois mais c’est difficile […] Je pense que l’amour est une chose essentiel» concède cependant l’interprète de Dance Again, mère de deux enfants et néanmoins toujours ultrasexy même à 44 ans.

Car Jennifer Lopez est une amoureuse chronique qui a récemment fait du ménage dans sa tête : «2013 était, pour moi, une année synonyme de changements, et ce dans de nombreux domaines […] Tous mes repères ont été chamboulés et j’ai fait des choses que je n’avais jamais faites auparavant», explique-t-elle. Ce qui l’a amenée à se poser de nombreuses questions, notamment sur sa propre personnalité : «Je suis de ces personnes qui n’aiment pas être seules. Je n’ai aucune honte à le dire. Je pense que l’on doit vraiment se connaître soi-même.» Ses réflexions l’ont donc conduite à reconsidérer plusieurs concepts, dont celui du mariage comme un passage obligé dans une relation.

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Aujourd’hui, la chanteuse américaine se sent pleine de sagesse : «J’ai grandi. Mon but n’est plus de surmonter les épreuves mais d’évoluer en tant qu’être humain et artiste. Je pense que j’y suis parvenue. J’ai beaucoup appris». Et bien que se marier ne la tente pas trop, elle assure que tout va bien entre elle et Casper Smart, qualifiant ce dernier de «fantastique» avec ses jumeaux. Elle se définit même comme «entourée d’amour par sa famille». Ouf, nous voilà rassurés!

La société Motoblouz de Carvin, distributrice exclusive de la marque de casque porté par François Hollande en Une de Closer, le vendredi 10 janvier se frotte les mains. Le modèle porté par président de la République a boosté les ventes!

Grâce à l’hebdomadaire Closer, le casque Dexter démarre 2014 sur les chapeaux de roue.

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Les sept pages consacrés aux amours présidentielles avec un François Hollande en mode Daft Punk, vendredi 10 janvier, ont eu d’heureuses conséquences pour la société Motoblouz. «En 24 heures, un millier d’exemplaires a été vendus, explique Thomas Thumerelle, le PDG et co-fondateur de D3T, la société qui édite Motoblouz.com dans une interview à La Voix du Nord. Il était soldé à 199 € au lieu de 300 €. Un collaborateur nous a montré la photo. On est très fiers que le président porte l’un de nos modèles. On a décidé de le rebaptiser Dexter président.”

Fière de sa bonne fortune, Motoblouz a surfé sur cette publicité inespérée en publiant un encart publicitaire dans le quotidien Libération. « Nous saluons le choix d’une marque française pour vos déplacements en deux-roues, s’est amusé Thomas Thumerelle. D’autres modèles de notre nouvelle collection vous attendent sur notre site pour vos prochaines escapades sécurisées. Vous y trouverez également une collection de blousons pour femmes… le cadeau idéal pour une Saint-Valentin réussie. »

La Voix du Nord précise toutefois que la notoriété du casque (écoulé chaque année à 20 000 exemplaires) ne devrait toutefois pas bouleverser le quotidien de la prospère PME de 45 salariés qui fournit, selon son PDG, un quart des motards français. “On possède 500 000 clients, notre chiffre d’affaires, de 21 millions d’euros, a progressé de 35 % en 2013”, se félicite Thomas Thumerelle dans le quotidien local.

Des bons résultats qui devraient s’accélérer grâce à ce qui restera un buzz historique pour la marque française.

Le vice-champion olympique de natation (4X100 m nage libre de Pékin en 2008), ex-compagnon de Laure Manaudou, a annoncé hier qu’il figurera en position éligible sur les listes du maire UMP sortant de Marseille, Jean-Claude Gaudin, aux prochaines élections municipales.

Frédérick Bousquet aura bien besoin de ses qualités de compétiteur pour le nouveau défi qu’il s’est lancé: entrer en politique. À trente-deux ans, et sans avoir mis fin à sa carrière de sportif de haut niveau, le champion a décidé se «mettre à la disposition du maire pour aider au maximum» a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à la permanence du maire actuel de Marseille, Jean-Claude Gaudin, le 29 janvier. Un sacré challenge tant la cité phocéenne suscite des passions.

Mais le nageur n’a pas peur de se prendre des vagues. Ni de se faire manger tout cru par les requins de la politique. Il a bien réfléchi. Avec un grand sourire, il a déclaré que cette décision «s’inscrit dans la continuité de mes relations avec la mairie». Le bel athlète, tout heureux, «ravi, excité et impatient de découvrir un nouveau monde et une nouvelle aventure» sera donc sur la liste du 1er secteur conduite par Dominique Tian.

Frédérick, originaire de Perpignan, est Marseillais depuis son retour des Etats-Unis et membre du Cercle des Nageurs de Marseille, club où sont actuellement licenciés Maxime Bussière, Fabien Gilot, Camille Lacourt et Florent Manaudou.

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Maman de jumeaux pour la deuxième fois, l’ex-Miss France, nous présente ses derniers-nés, Joséphine et Léonard, 4 mois.

Gala: Comment s’est déroulée cette grossesse?

Elodie Gossuin: L’été s’est merveilleusement bien passé, j’ai pu profiter de Jules et Rose, mes aînés (six ans, ndlr) pendant les vacances et être à leurs côtés pour leur rentrée au CP, participer à leurs premiers devoirs. C’était important pour moi d’être présente pour ce cap aussi crucial avant le grand chamboulement qui nous attendait. Mais très peu de temps après, alors que j’étais à sept mois de grossesse, on a perdu un de nos chiens et le choc émotionnel a déclenché des contractions. J’ai alors dû être hospitalisée pour tenter de retarder au maximum la naissance…

Gala: Vous avez dû avoir très peur pour vos bébés…

E.G.: Oui, ce n’aurait pas été anodin d’accoucher à sept mois. J’ai eu peur de les voir réanimés, placés en couveuse, de ne pouvoir les serrer contre moi. Mais heureusement, j’ai réussi à tenir jusqu’à huit mois. Chaque journée gagnée était miraculeuse et me permettait d’éliminer certains risques. C’était une victoire quotidienne.

Gala: Comment vos enfants ont vécu cette hospitalisation?

E.G.: Avec Bertrand (l’ex-mannequin Bertrand Lacherie, son époux ndlr) On a su trouver les mots, dédramatiser. Du coup pour eux ce n’était pas synonyme de stress et d’inquiétude. Ils venaient tous les soirs après l’école et nous faisions les devoirs en famille, à l’hôpital.

Gala: Finalement, tout s’est bien passé…

E.G.: Oui, j’ai accouché naturellement et j’ai pu avoir Joséphine et Léonard sur mon ventre, pendant des heures, comme je le souhaitais. Le moment que j’attendais le plus était celui où Jules et Rose poseraient leur regard sur leur petit frère et leur petite soeur pour la première fois. Il y a tout de suite eu cette connexion indescriptible entre eux, une tendresse unique, sans jalousie. Le matin, les grands ne partent pas à l’école sans avoir fait un câlin à leurs frère et soeur et rien ne les rend plus heureux que lorsque je vais les chercher avec les petits.

(…)

Gala: Bertrand avait promis dans une précédente interview, qu’il se chargerait des nuits. A-t-il tenu parole?

E.G.: Il le pensait sincèrement mais finalement, ça ne s’est pas passé ainsi! D’ailleurs, on s’était aussi promis que, comme pour Rose et Jules, je n’allaiterais pas la nuit, qu’on ne les garderait pas avec nous dans le lit, qu’on les laisserait pleurer un peu. Or, je fais tout le contraire. Avant, Bertrand ne l’aurait pas supporté, là il est le premier à céder. Ce sont des moments de grâce, de plénitude absolue dont on a envie de profiter. J’ai construit ma tribu, j’ai atteint mon but ultime. Je sais que pour continuer à avancer il faut avoir des rêves, mais moi, j’ai tout ce que je souhaitais. Je voudrais juste arrêter le temps.

Gala: Arrivez-vous à vous sentir toujours femme?

E.G.: Oui, grâce à Bertrand. Il me fait tout le temps des compliments, je me sens follement aimée, plus encore que le jour de notre mariage. Même désirée! Comme beaucoup d’hommes, il aime bien les formes et il ne me regarde pas uniquement comme la mère de ses enfants.

Dès mercredi, en kiosque, retrouvez les confidences de l’ex-Miss France sur sa nouvelle vie de famille.

Alors que Michael Schumacher est encore dans le coma, sa famille et son attachée de presse gardent espoir.

«Nous sommes et restons confiants. Michael va s’en sortir et se réveiller. Il y a quelques fois des petits signes encourageants.». Voilà la dernière déclaration en date de Sabine Kehm, l’attachée de presse de Michael Schumacher. Mesurée dans ses propos – «quelques fois» et «petits signes» – elle semble vouloir rester optimiste. En comparaison avec ses communiqués précédents, celui-ci donne en effet beaucoup d’espoir aux fans. Ces nouvelles informations sont les plus positives depuis l’annonce de la tentative de réveil progressif du champion par ses médecins.

Le plus important dans ce message ce sont «les signes d’encouragement». Jusqu’à cette annonce, personne ne savait réellement si Michael Schumacher était resté dans le même état, si son état s’était empiré ou s’il s’était amélioré durant cette phase de réveil. Il semble donc, qu’à défaut de s’améliorer clairement, l’état de santé de l’Allemand ne s’est pas détérioré. Sabine Kehm prévient cependant que le septuple champion du monde est encore loin d’être sorti d’affaires. «Nous devons être patients, rappelle-t-elle, il a été clair depuis le début que ce combat serait long et difficile. La durée n’a pas d’importance pour nous.»

Depuis le terrible accident du 29 décembre dernier et l’hospitalisation de Michael Schumacher, Sabine Kehm a été le rempart de la famille du pilote. L’attachée de presse du Baron Rouge a passé ces dernières semaines à répéter le même message aux journalistes qui voulaient bien l’écouter: «les annonces sur l’état de santé de Michael Schumacher, qui ne sont pas faites par ses médecins ou par sa manager, doivent être traitées comme des spéculations». Cette fois-ci, il ne s’agit donc clairement pas d’une spéculation. Notons tout de même que le communiqué arrive au moment ou plusieurs journaux rapportent une perte de poids importante du pilote. La Gazzetta dello Sport affirme par exemple que Michael Schumacher a perdu 20 kilos depuis son hospitalisation, passant ainsi de 75 à 55 kilos. Une information à classer sous la rubrique des rumeurs, si l’on suit la ligne de conduite de Sabine Kehm.

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L’héroïne de Sous le soleil de Saint-Tropez nous reçoit chez elle en mère célibataire. Conversation sans tabou, ou presque.

Avec Aïtor, quatorze ans, et Wilona, deux ans, Adeline aime jouer les mères poules. Dans sa maison de Colombes, en banlieue parisienne, elle vit au plus près de la nature avec deux perroquets, un chien et… un triton. A quarante-trois ans, elle reste plus populaire que jamais. Mais sans homme et en pleine confusion des sentiments.

Gala: C’est ici, à Colombes, que vous avez failli vous lancer en politique…

Adeline Blondieau: Oui, parce que j’y habite depuis quinze ans, or c’est la candidate UMP-UDI aux prochaines municipales, Nicole Goueta, qui s’est aperçue la première que j’existais. Elle m’a proposé de m’occuper de la culture. C’est une femme intègre, qui s’est occupée du projet de tramway reliant la ville à Paris, et elle projetait d’organiser un festival culturel. Au-delà même des opinions politiques, c’était intéressant. Mais il y a eu une sorte de tempête médiatique autour de mon engagement. Je me suis sentie un peu dépassée par les événements.

Gala: Et alors vous avez reculé.

A.B.: Oui, parce que je n’avais plus la sérénité appropriée pour mener à bien cet engagement, d’autant que l’écriture de la troisième saison de Sous le soleil de Saint-Tropez venait de tomber avec un peu d’avance. Ça fait deux saisons que je suis à la fois actrice et scénariste sur la série. Tout en m’occupant de mes enfants, en lançant mon livre illustré pour enfants, Les Pochitos, avec Fabien Rypert, et en écrivant des billets humoristiques pour la radio belge RTBF. Bref, je ne peux pas tout faire.

Gala: D’autant que vous êtes séparée du père de Wilona.

A.B.: C’est un chapitre que je préfère ne pas aborder, tout ce que je peux dire c’est que je ne comprends rien aux hommes. Plus ça va, moins j’en sais. A l’heure actuelle, je n’ai plus aucune certitude sur les rapports homme-femme.

Gala: Ce qui est certain, c’est que vous ne minaudez pas. On vous a rarement vu jouer sur un registre sexy…

A.B.: Cette saison, figurez-vous que mon personnage renoue avec le charnel, il va enfin rencontrer un homme. A titre personnel, je n’ai aucun problème avec mon corps. Je fais du yoga, de la course à pieds, du vélo, donc la nudité ne me fait pas peur. Mais je ne cherche pas spécialement à être sexy. J’ai souvent été témoin de copines actrices qui avaient des problèmes avec leur image.

Gala: C’est-à-dire?

A.B.: Quand vous êtes une femme avec un physique sympa, sur le moment, se montrer n’est pas le souci. Le problème c’est ce qu’on pourrait appeler «le service après-vente»: comme la réaction des gens dans la rue. Certaines amies se sont fait traiter de « p*** » ou insulter sous mes yeux quand elles se baladaient. Je préfère la tranquillité.

Gala: Vous donnez l’impression d’être une jolie femme qui se soucie peu de son apparence…

A.B.: Je ne bois pas et ne fume pas, je fais attention à ce que je mange et mets des crèmes achetées en parapharmacie, mais c’est vrai que je ne suis pas très coquette au sens « pomponnée ». Pour moi, le shopping est un cauchemar, je préfère faire du jardinage, je ne me maquille pas et ne me teins pas les cheveux. Par exemple, ça ne me gêne pas de laisser ma mèche de cheveux blancs sur le devant. La production m’oblige à la teindre pour la série. Sinon, vous me croiseriez avec.

Gala: Votre hygiène de vie, vous l’enseignez à vos enfants?

A.B.: Oui, Wilona est encore petite, mais Aïtor est très cool, très joyeux, il est en garde alternée chez son père (le mannequin argentin, Sergio Temporelli, ndlr) depuis ses onze ans et on s’entend super bien. J’essaye de lui enseigner la conscience du moment présent. Et il s’implique beaucoup dans ma vie.

Gala: Que lui diriez-vous s’il voulait devenir acteur?

A.B.: Je ne l’encouragerais pas. Etre acteur c’est dépendre du désir des autres, se fragiliser. L’expérience peut s’avérer humiliante. D’ailleurs, on lui a déjà proposé d’être mannequin et cela ne l’intéresse pas. Il est grand, il fait déjà 1, 87 mètre.

Gala: Vous avez épousé Johnny Hallyday, le père de votre fils était mannequin et celui de votre fille plasticien. Quel est votre type d’homme?

A.B.: Je ne sais plus. (Elle rit.) Objectivement, j’ai fait des enfants avec deux hommes très beaux que j’ai aimés passionnément. Et je suis attiré par les hommes sportifs qui ont de l’humour. Mais quand on a une image de femme forte, le problème c’est que l’autre finit par penser que l’on n’a pas besoin d’être protégée. Alors on verra…

A 69 ans, il n’a pas tout à fait dit « Goodbye » à ses fans. Michel Polnareff sera de retour cette année au cinéma et dans les bacs. Dans les salles obscures, le 5 juin prochain, il sera le héros d’un documentaire autobiographique tourné à Los Angeles. A l’automne est prévue la sortie de son nouvel album attendu depuis plus de vingt ans.

Quand l’écran s’allume il tape sur son clavier.Michel Polnareff fête en 2014 ce qu’on peut enfin qualifier de grand retour. Au programme un long métrage entièrement consacré à sa personne, ainsi que de nouveaux enregistrements pour ravir les fans. Quand l’écran s’allume – le titre du film – est « un documentaire qui s’articule sur de nombreuses archives musicales et de nombreux documents musicaux inédits » explique Pathé Live.

L’œuvre autobiographique tournée à Los Angeles sera projetée en France dans 80 salles le 5 juin prochain et pour cette seule date. Et parce qu’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, l’interprète de Love me please love me devrait également redonner de la voix avant la fin de l’année 2014. En effet, les rumeurs annonçaient dés 2013 que l’artiste avait retrouvé le chemin des studios. Et, sa maison de disque Polydor avait même vendu la mèche peu de temps après. Ce nouveau bébé doit être l’occasion de montrer une facette encore inédite du talent de l’homme à lunettes, et de séduire toutes les générations.

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En France, Michel Polnareff avait donné rendez-vous à son public au printemps 2007 à Paris Bercy pour une série de concerts. L’évènement avait ravivé la flamme pour plusieurs dizaines de milliers de fans nostalgiques. Ils étaient venus écouter ses standards : Qui a tué Grand maman, la Poupée qui fait non ou encore On ira tous au paradis. Mais depuis 1990 et l’album Kama Sutra, les groupies attendent toujours de nouvelles compositions.

Découvrez les nouvelles affiches dévoilées cette semaine ! “Iron Man 3”, “The Place Beyond the Pines”, “Jappeloup”, “Lone Ranger”, “20 ans d’écart”,….

Jappeloup

Trance

Le monde fantastique d’Oz

The Place Beyond the Pines

La Cité Rose

The Lone Ranger

20 ans d’écart

La Chute de la Maison Blanche

Effets secondaires

Drift

G.I. Joe : Conspiration

Au bout du conte

Iron Man 3

The Incredible Burt Wonderstone

Johnny Depp est actuellement sur le tournage de l’un de ses sept films à venir. Dans Black Mass, il joue le rôle de Whitey Bulger, un criminel chevronné qui opérait à Boston.

Cheveux blonds mi-longs plaqués, crâne dégarni, lunettes de soleil et blouson de cuir: Johnny Depp est méconnaissable. Non, l’acteur n’a pas à ce point mal vécu sa séparation avec Vanessa Paradis, il est simplement maquillé et déguisé par les équipes techniques de son prochain long-métrage.

Dans Black Mass de Scott Cooper (Les Brasiers de la colère, 2013), Johnny Depp est associé à Benedict Cumberbatch, découvert par le grand public grâce à son rôle de Sherlock Holmes (Sherlock, BBC). Les deux comédiens interprètent respectivement les rôles de deux frères, Whitey et Billy Bulger, le premier était durant plusieurs années à la tête de l’une des organisations mafieuses les plus violentes aux États-Unis, alors que le second présidait le sénat du Massachusetts. Les photos du tournage ont d’ailleurs été prises lors d’une scène où le personnage de Johnny Depp fait abattre un homme avant que son corps ne soit jeté à l’eau. Le film abordera la relation entre le tueur de sang-froid, son frère politicien et l’agent du FBI qui a protégé le fugitif au fil des années.

Johnny Depp prend son rôle très au sérieux et son physique a été radicalement modifié. Reste à savoir si sa voix, son accent et son débit permettront au spectateur de s’immerger complètement dans le film et d’oublier quelques instants Jack Sparrow. Avant la sortie du film prévue pour le mois d’octobre 2015, Johnny Depp sera apparu dans au moins quatre nouveaux longs-métrages, parmi lesquels London Fields, tourné avec sa fiancée, Amber Heard.