Danse avec les Stars: les enjeux

Ce soir est le grand soir pour les personnalités qui participent à la compétition: l’émission à succès reprend aujourd’hui en prime-time sur TF1. Comment ça marche, qui sont les candidats, quels sont les enjeux? Eléments de réponse avant la première de Danse avec les stars.

Danse avec les stars repose, comme son nom l’indique, sur un principe simple: des célébrités forment des duos homme-femme avec des danseurs professionnels et interprètent de semaine en semaine une chorégraphie répétée pendant plusieurs jours. Mambo, cha-cha-cha, tango, les couples doivent démontrer leur talent dans tous les domaines. Un jury mais aussi le public les évaluent, les notent et le couple le plus brillant remporte la victoire. Outre la prestation finale, en costume à paillettes, le téléspectateur assiste aussi aux répétitions et à la complicité qui se développe, ou pas, entre les partenaires.

Vaste programme pour un certain nombre de personnalités qui ont signé cette saison. Dernier en date, Keen’V remplace au pied levé le crooner Dany Brillant qui décline finalement pour planning surchargé. L’interprète de J’aimerais trop va devoir troquer son baggy contre des pantalons seyants afin de réussir ses pas de deux. Cette année, du côté des femmes, qui d’Alizée, Tal, Laëtitia Milot, Noémie Lenoir ou Laury Thilleman, remportera le plus de suffrages? Mystère. Côté homme, Brahim Zaibat, par avec un léger avantage puisqu’il n’est pas seulement petit ami de Madonna, mais aussi chorégraphe… L’humoriste Titoff, Damien Sargue et Laurent Ournac complètent le casting.

>Lire notre interview exclusive de Brahim Zaibat

L’enjeu dès ce soir sera de succéder aux danseurs remarqués des dernières saisons de l’émission tels Baptiste Giabiconi, Fauve, Shy’m, M Pokora et Emmanuel Moire. Pour cette quatrième édition, Danse avec les Stars sera présidée par un jury impitoyable et pointu, composé de Marie-Claude Pietragalla, Shy’m, Chris Marques et du Québécois Jean-Marc Généreux. La compétition ne fait que commencer!

Léa Seydoux assume ses propos sur Abdellatif Kechiche

Ses propos sur La vie d’Adèle et le tournage jugé «horrible» avec Abdellatif Kechiche ont lancé une polémique qui n’en finit plus. Le film sort cette semaine et Léa Seydoux a été invitée à réagir à ses propres déclarations. Elle assume mais de dit fière et contente d’avoir fait le film.

En tenant des propos extrêmement critiques sur La vie d’Adèle et les conditions de tournage avec Abdellatif Kechiche, Léa Seydoux n’imaginait sans doute pas créer une telle tempête médiatique autour du film. L’actrice parlait de manipulation et décrivait le réalisateur comme un tyran, colérique et brutal dans sa méthode de travail. Depuis, Kechiche s’est défendu avec des déclarations au vitriol à l’encontre de son actrice, la polémique faisant la une des journaux et prenant le pas sur la qualité de La vie d’Adèle, qui a quand même reçu la Palme d’or à Cannes et dont la plupart des critiques s’accordent à dire que c’est un chef-d’œuvre.

Aujourd’hui, Léa Seydoux s’exprime à nouveau, l’occasion pour elle de revenir sur son étincelle qui a mis le feu aux poudres. Au micro de RTL, la jeune femme de 28 ans assume ses critiques: «Ce que j’ai dit, je l’ai dit, et voilà» a-t-elle déclaré dans Laissez-vous tenter. «Bien sûr» répond-elle au journaliste qui lui demande si elle pensait vraiment ce qu’elle dit. «Il y a eu des choses en effet, c’était difficile, affirme Léa Seydoux. Le film aujourd’hui existe et je me suis battue pour le faire, je l’ai vraiment voulu. Je suis extrêmement fière de l’objet que c’est».

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Sans citer son nom, Léa Seydoux parle également d’Abdellatif Kechiche, son réalisateur. «Je pense que je ne retournerai pas avec lui, explique-t-elle. Mais en tout cas je suis très, très contente d’avoir tourné avec lui». Pas sûr que le compliment suffise à apaiser la colère de Kechiche.

Le conflit entre John Galliano et Dior devant la cour d’appel

La cour d’appel de Paris examine depuis hier, jeudi 24 octobre, le litige entre la maison de couture et son ancien directeur artistique. La juridiction doit déterminer si le licenciement de John Galliano de chez Dior relève des prud’hommes ou du tribunal de commerce. Rendu le 28 novembre prochain.

L’imbroglio continue entre la maison de luxe et son ancienne tête créative. Après avoir passé quinze ans chez Christian Dior, John Galliano dérape gravement dans un café parisien où ivre, il débite des propos racistes et antisémites, le tout appuyé par une vidéo. Nous sommes en 2011, le Britannique est d’abord suspendu avant d’être licencié. Mais aujourd’hui, l’épisode de son renvoi n’est toujours pas terminé puisque les deux parties se retrouvent aujourd’hui devant la justice. Il s’agit de savoir à présent quel est le tribunal compétent pour appliquer cette décision contestée par John Galliano.

En février dernier, le conseil des prud’hommes s’était déclaré en mesure d’examiner l’affaire. Du côté de Dior, pas question, car le couturier excentrique n’était pas salarié de l’entreprise. D’après l’avocat de celle-ci, plusieurs contrats liaient les deux parties, qualifiant le travail de John Galliano de « prestation de service ». Pour la défense du créateur, son client était un salarié à part entière, au vu d’un contrat à durée indéterminée signé en 2008. « Monsieur Galliano était addict. Tout le monde le savait, personne n’a rien fait. Il n’y a pas eu de visites médicale » avance t-elle. Selon elle, de nombreuses obligations du droit du travail n’ont « pas été respectées ».

Quant au salaire perçu par le génie créatif, là non plus les avocats ne sont pas d’accord. 3,7 millions selon l’avocate de Galliano, 5 millions selon la défense de Dior sans compter « le chauffeur, le coiffeur, les frais de salle de sport ». Pour ce dernier, « John Galliano se décrit comme un malheureux esclave. Il avait un rôle essentiel en tant que directeur artistique, mais l’intensité du travail n’est pas celle qu’il décrit ». Quoi qu’il en soit une autre procédure est en cours devant le tribunal de commerce, après la demande de dommages et intérêts de John Galliano.

Paul Walker n’est pas mort sur le coup

La vague d’émotion suscitée par la mort de Paul Walker n’est pas encore retombée que déjà les résultats de l’autopsie ont été révélés. L’acteur de Fast and Furious n’est pas mort sur le coup et aurait succombé dans les flammes de sa voiture.

Samedi, la Porsche qu’occupaient Paul Walker et son ami Roger Rodas a percuté un arbre situé sur le bord d’une route de Santa Clarica, au nord-ouest de Los Angeles. La voiture a pris feu ne laissant aucune chance aux deux malheureux. Une autopsie a été demandée pour faire toute la lumière sur les circonstances exactes de leur mort et les premiers éléments du rapport ont été dévoilés.

Les résultats indiquent que Paul Walker est mort «des suites de blessures à la fois traumatiques et thermiques». En d’autres termes, le choc ne l’a pas tué, mais c’est l’incendie qui s’est déclenché qui a eu raison de l’acteur de 40 ans. En revanche, Roger Rodas, qui conduisait la Porsche Carrera GT, est mort sur le coup, «de blessures traumatiques multiples». Des analyses toxicologiques ont été réalisées sur les deux corps, mais le bureau du médecin légiste du comté de Los Angeles a précisé qu’il faudrait attendre six à huit semaines avant d’en connaître les résultats.

En parallèle, Universal a décidé de suspendre le tournage de Fast and Furious 7 auquel participait Paul Walker. «Pour le moment, tout le monde chez Universal s’attache à apporter le soutien nécessaire à la famille proche de Paul et à notre famille étendue de Fast and Furious, déclare le studio dans un communiqué cité dans Variety. Nous estimons qu’il est de notre responsabilité de cesser la production de Fast and Furious 7 pour un certain temps, afin de pouvoir réfléchir à toutes les options possibles pour aller de l’avant». La sortie de ce nouvel opus de la franchise à succès était prévue pour juillet 2014. Gros dilemme pour les producteurs qui doivent décider s’ils reprennent le film depuis le début, sans le personnage de Brian O’Connor interprété par Paul Walker, ou s’ils intègrent sa disparition à l’histoire. On espère que le mauvais goût et la cynisme ne l’emporteront pas.

Shopping Ciné : le livre-coffret DVD “Al Pacino le vénéneux”

A l’approche de Noël, la Fnac lance une série de quatre superbes ouvrages consacrés à des monstres sacrés d’Hollywood. L’un d’entre eux porte sur Al Pacino et est accompagné de quatre DVD sur lesquels figurent certains de ses films cultes : “Serpico”, “Scarface”, “L’Impasse” et “Heat”.

Franck Serpico, Tony Montana, Carlito Brigante, Vincent Hanna… Derrière tous ces personnages mythiques de flics ou de gangsters se cache un même acteur, immense par le talent et animal par le jeu : Al Pacino. La Fnac a décidé de lui rendre hommage ce mois-ci en lui consacrant un très bel ouvrage en édition limitée à l’intérieur duquel se trouvent 4 dvd de ses plus célèbres polars : Serpico (1973), Scarface (1983), L’Impasse (1993) et Heat (1996). Superbement illustré de photos rares ou inédites, ce livre aborde également, à travers 10 dates-clés, les moments forts de sa vie d’artiste : son accession au rang de star avec la saga du Parrain, ses collaborations répétées avec les grands du Nouvel Hollywood (Coppola, Friedkin, De Palma…), sa composition légendaire du fameux caïd cubain balafré, sa traversée du désert après l’échec de Revolution, son Oscar pour Le Temps d’un week-end, sa confrontation à Robert De Niro chez Michael Mann… Autant d’expériences qui, à elles seules, justifient son entrée dans la légende du Septième Art.

“Al Pacino le vénéneux” – édité par la Fnac, 80 pages, 40 €.

G.M.


La bande-annonce de “Serpico”

La bande-annonce de “Scarface”

La bande-annonce de “L’Impasse”

La bande-annonce de “Heat”

Décès de Michael Winner, le réalisateur du “Justicier dans la ville”

Le réalisateur Michael Winner, réalisateur de nombreux films d’actions et surtout de “Vigilante Movies” comme la série des “Justiciers” avec Charles Bronson, vient de s’éteindre à l’âge de 77 ans.

Michael Winner et Charles Bronson sur le tournage du “Justicier dans la ville”.

Le monde des Vigilant Movies perd son artisan fétiche. Peu connu du grand public, sauf bien entendu chez les aficionados biberonnés au cinéma de Charles Bronson, Michael Winner vient de s’éteindre à l’âge de 77 ans.

 

Né le 30 octobre 1935 à Hampstead, dans la banlieue de Londres, Michael Winner a été scolarisé à la St Christopher’s School à Letchworth, avant d’entreprendre des études de droit et d’économie à l’université de Cambridge. Entré à 17 ans à l’Université et sorti à 20, il fut le plus jeune étudiant à faire son entrée dans ce prestigieux établissement. Passionné de cinéma, il devient journaliste critique de films, avant de faire ses débuts en 1956 comme monteur et scénariste, puis passe à la réalisation avec son premier long en 1962, Play It Cool, une comédie musicale.

 

Au milieu des années 1960, il fonde sa propre société de production, Scimitar, et réalise des films satiriques comme Dans les mailles du filet, avec Oliver Reed. Mais Winner est surtout connu pour sa contribution aux films d’actions, comme Scorpio, et surtout aux Vigilant Movies, qu’il contribua largement à initier en tournant avec son acteur fétiche Charles Bronson. On lui doit ainsi Un justicier dans la ville (1,5 millions d’entrées) et sa suite, Le Flingueur, Le Justicier de New York, et même un western, Les Collines de la terreur. Des films qui firent beaucoup pour la carrière de Charles Bronson. Dans la filmographie du réalisateur, on peut également relever Le Grand sommeil avec Robert Mitchum, Remake de la version de 1946 signée Howard Hawks.

 

Plus étonnante est sa reconversion comme critique gastronomique, très populaire en Grande-Bretagne, auteur d’une chronique dans le journal Sunday Times, Winner’s Dinners. Son décès est d’ailleurs une cruelle ironie. En 2007, il est contaminé par la bacterie E-Coli en mangeant à la Barbade un tartare d’huîtres…qui le fera hospitaliser huit fois dans les derniers mois de sa vie, et dont il ne se remettra jamais. Il y a quelques mois, les spécialistes du foie lui donnaient encore 18 mois à vivre.

 

Jamais avare de provocation, il déclarait alors : “Je suis très content de crever. J’ai passé assez de temps sur terre. Je serais content si quelqu’un me donnait la prise à débrancher”. Un Death Wish exhaucé : Michael Winner s’est finalement éteint ce 21 janvier, à l’âge de 77 ans.

 

La bande-annonce d’un justicier dans la ville :

 

OP avec BBC et AFP

Jenifer, Tal, Michèle Laroque… ensemble pour le Samu Social

La solidarité a de nouvelles ambassadrices qui se nomment Tal, Jenifer, Chimène Badi ou encore Michèle Laroque, toutes réunies sur un album de reprises intitulé Chanter pour celles et dont les fonds iront au Samu Social.

C’est un projet lancé à l’initiative de l’animatrice Daniela Lumbroso, dans le but de venir en aide aux femmes les plus démunies. Reprenant les plus belles chansons du répertoire français, composées en hommage aux femmes et à leur courage, Chanter pour celles – clin d’œil au regretté Michel Berger – sortira dans les bacs le 3 mars prochain, quelques jours avant la Journée Internationale… de la Femme. Un album, vendu 15 euros, au profit du Samu Social. Et qui surfe sur l’actuel engouement pour les disques de reprises type We Love Disney, Génération Goldman et celui que Renaud prévoit de sortir bientôt.

Pour porter cet opus, les artistes féminines ont été nombreuses à répondre présent, bien qu’elles ne soient pas toutes musiciennes à la base. Parmi les participantes, on peut citer la jeune et jolie chanteuse Tal – qu’on ne verra malheureusement pas aux Victoires de la musique ce soir – ou encore Jenifer, la coach du télécrochet The Voice, toutes deux connues pour leur grande générosité puisqu’elles participent au spectacle des Enfoirés, en faveur des Restos du Cœur. Une tournée dans laquelle la jolie Corse – qui a aussi entrepris un album de reprises, revisitant les titres de France Gall – a mis tellement d’énergie qu’elle a fini à l’hôpital pour surmenage.

Sur Chanter pour celleson retrouvera également la comédienne Michèle Laroque, la vaillante Chimène Badi (qui vient de traverser une période difficile), la délicieuse Joyce Jonathan et la fantasque Arielle Dombasle… entre autres. Rassemblées autour du réalisateur de cet album, Stanislas, l’unique homme du groupe, elles interpréteront, en duo ou en solo mais chacune avec leur propre sensibilité, des morceaux cultes comme Si j’étais un homme de Diane Tell, Femme Libérée de Cookie Dingler, Résiste de France Gall, L’Aziza de Daniel Balavoine… En tout seize titres dont le premier single, La femme est l’avenir de l’homme (initialement chanté par Jean Ferrat), sera disponible à partir du lundi 24 février sur les plateformes de téléchargement.

Une formation musicale qu’on pourra retrouver sur le plateau de France 2 le 8 mars 2014, à l’occasion d’une émission spéciale en prime time célébrant la Journée de la Femme. Un moyen de revenir sur la parité entre les sexes et d’évoquer des problèmes de société liés au respect des droits des femmes, tels que les violences conjugales ou le drame de l’excision. Parce que «rien n’est plus beau qu’une femme», comme le dit Oldelaf et que ce sont de même elles qui portent la vie.

Toutefois, il est dommage que cet album ne soit pas sorti plus tôt, à quinze jours près, cela aurait fait un beau cadeau, messieurs à offrir à votre dulcinée pour la Saint-Valentin. Il sera toujours temps de vous rattraper.

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Isabelle Adjani, une diva à la française

Figure emblématique du cinéma français, Isabelle Adjani est de retour sur grand écran dans un registre où on l’avait peu vue jusqu’ici : la comédie. Elle partage l’affiche de Sous les jupes des filles (d’Audrey Dana) avec Vanessa Paradis, Géraldine Nakache et Sylvie Testud, entre autres. Retour en images sur l’univers d’une icône.

En 1975, elle crevait l’écran dans la peau d’Adèle Hugo dans L’Histoire d’Adèle H. Un rôle pour lequel elle obtenait une nomination à la fois aux César et aux Oscars. Depuis, la carrière d’Isabelle Adjani a été un parcours stellaire, l’érigeant ainsi en incontournable du cinéma hexagonal, jonchée de nombreuses récompenses parmi lesquelles cinq César de la meilleure actrice, un Globe de Cristal et un double prix d’interprétation féminine à Cannes pour Possession et Quartet en 1981. Touchante à pleurer dans L’Été meurtrier de Jean Becker, impériale dans La Reine Margot de Patrice Chéreau et effrayante dans Le Locataire de Roman Polanski, elle a su séduire et convaincre les instances du septième art malgré une série de scandales et de longues absences des plateaux de tournage. Aujourd’hui, la grande dame donne la réplique à Géraldine Nakache, Sylvie Testud, Laëtitia Casta et Marc Lavoine dans la comédie féminine – mais pas féministe – d’Audrey Dana, Sous les jupes des filles.

Isabelle Adjani, c’est aussi un visage et un style particulier. De petite ingénue aux airs fragiles à beauté fatale des tapis rouges, elle a toujours retenu l’attention à chacune de ses apparitions devant la caméra et à la ville. Star internationale, le New York magazine la désignait même parmi les 40 Françaises les plus chics. L’actrice de 58 ans est connue pour ses goûts extravagants et ses robes à l’esthétique baroque, très dramatique. Les années qui courent ? Elle ne s’en soucie guère. Son style est éclectique, parfois même régressif et Isabelle Adjani l’assume et sait le porter fièrement. Quitte à se prendre quelques railleries de temps à autres…

Originale, mystérieuse et irrévérencieuse, Isabelle Adjani reste une étoile au sein du panthéon du cinéma français en dépit des années qui filent. Une diva bien de chez nous.

> Découvrez plus de clichés d’Isabelle Adjani de ses débuts à aujourd’hui dans le diaporama ci-dessus.

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Iggy Azalea Seeks Sympathy After Fans Slam Her for Performing During Backup Dancer’s Seizure

Pop star Iggy Azalea begged her fans to have sympathy on her after she received criticism this week for continuing to perform after one of her backup dancers collapsed and seized during a performance.

In the middle of a concert in Rio de Janeiro, a backup dancer began to have a seizure on stage. The “Fancy” rapper did call for a medic, but other than that, she didn’t stop singing, even while the other dancers were clearly distressed.

Several social media users were stunned by her apparent lack of care for the collapsed dancer’s health.

The 28-year-old pop star defended herself in a series of social media posts, saying, “I thought she had just fallen/twister her ankle.”

“And it may sound harsh but; you keep singing until the music stops & ask for a medic which is what I did,” the Australia-born singer said.
She also added that the dancer was okay and told her followers not to make memes of the incident.

The Grammy-nominated pop star also bemoaned criticism she’s received, saying, “sometimes I really feel exhausted by the world, it feels like ANY thing I do becomes an opportunity for people to tell me why I’m shitt, why my music sucks, my clothes are ugly, why I don’t matter or Why I’m a horrible person.”

“Im worn down,” she continued. “The last 4 years are just me existing in a world where I can do nothing right & it’s hard not to feel like ‘whats the point’ & keep motivated.”

Iggy Azalea, real name Amethyst Amelia Kelly, is a frequent target of derision among many hip-hop fans due to her contrived accent and perceived lack of talent. She had a breakout hit in 2014 with “Fancy” but has struggled to maintain relevancy since.

Many target her because she is a white woman, and she has responded by taking offense to her critics’ use of the word “Becky” to make fun of her.

Azalea has also accused her critics of sexism, saying in 2015, saying, “I think it has 100,000 percent to do with the fact that I have a vagina.”

Commissioners, in ‘seminar format,’ grade themselves A+

The women and men who run the European Commission held a brainstorming gab session on the EU’s future Tuesday, but the College of Commissioners has a way of making even routine conversations sound smart. So officially, it was a meeting in “seminar format,” meaning no lectures by President Jean-Claude Juncker, or lab experiments by his chief of staff, Martin Selmayr. Just learned friends exchanging views.

The goal was to discuss two of five reflection papers planned in response to Juncker’s broader White Paper from February, laying out potential scenarios for the EU’s future. Sort of like a book club, where the members sit around discussing their own writing, pondering what more they want to write about it all.

“We basically spent the time today discussing two reflection papers on which we are currently working,” said Commissioner Valdis Dombrovskis, whose title is nearly as long as the White Paper: vice president in charge of the Euro, social dialogue, financial stability, financial services and capital markets union. Say that five times.

When the College meets in “seminar format,” there are special rules: Absent commissioners cannot be replaced by their cabinet chiefs; and there are no formal minutes or formal decisions taken, essentially encouraging frankness.

Of course, this being the EU, there has to be some accounting, and therefore Dombrovskis was tasked to provide a read-out of the meeting to journalists. Story-time, it was not.

“The monitoring of social trends and coordination of national economic and social policies had been greatly reinforced over the last years, notably through European Semester,” Dombrovskis said. “But the world is changing fast and we need to adapt and develop the EU’s role in this changing context.”

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Glad they cleared that up. (Note the enduring allegiance to academic references: European Semester is basically just a monitoring process of economic policies, more status report with recommendations than report card requiring a parent’s signature, but we digress.)

Dombrovskis noted that he and Commissioner Marianne Thyssen, who is responsible for employment, social affairs, skills and labor mobility, would be presenting the final reflection paper on the social dimension of Europe.

And he offered an important caveat, that the social dimension would push into new dimensions: “In the reflection paper, social will be seen in a broader sense as ‘societal,’” he said, adding, “So we want to look beyond traditional economic, social and employment areas to include education and skills, health and consumer affairs, digital and research agendas.”

He said it would also take into account the new demands of “the world of work,” especially “digitization and robotization.”

This much of what Dombrovskis said was understandable: “It’s notably one of the areas where the EU cannot take the risk of over-promising and then under-delivering.”

Gotcha.

The topic of the second reflection paper was the economic and monetary union, a subject that Dombrovskis said was previously addressed in a “Five Presidents’ report” published in 2015.

Noting that much work has been done, he said: “Now, we should clarify how we bring this work forward in a context of Phase 2 of the Five Presidents’ report. And first of all, we were framing today as a debate with a set of guiding principles: there is a clear need to keep the balance between solidarity and responsibility, or between risk reduction and risk sharing.”

Like, totally, dude. No argument here. Balance is key.

Another highlight, he said was a discussion about “what are the right convergence benchmarks we set, how we operationalize them and enforce them.”

And just in case you were wondering, the seminar was a success. “We attach a great deal of importance to this debate, and today’s exchange of views was an important contribution,” Dombrovskis said.