The United States international playmaker is currently stuck on the sidelines through injury, but he is enjoying his time at Stamford Bridge

Christian Pulisic may be sidelined through injury, but the United States international is living the dream at Chelsea and relishing the opportunity to work with a modern day legend in Frank Lampard.

The 21-year-old playmaker forms part of an exciting young squad at Stamford Bridge.

He is more experienced than most, having burst onto domestic and international scenes at a young age with Borussia Dortmund and the USMNT.

There is, however, plenty for him to learn, especially after swapping the Bundesliga for the Premier League during the summer of 2019.

After a slow start to his spell in west London, Pulisic has burst into life and contributed six goals and as many assists to the Blues cause.

He is embracing the opportunity to work with Lampard, with ambitious targets being set by Chelsea as they look to build on a positive first half to their 2019-20 campaign.

Pulisic told Sky Sports: “It’s awesome, with me being a youngster as well.

“Being able to play with these guys and all learning together, and we have some more experienced players as well. It’s a really great mix and it helps us to learn a lot and we push the old guys too!

“Obviously Lampard was a big player at Chelsea. I watched him growing up so finding out he was going to be my coach is pretty cool. It’s been great. He’s very intense, the training sessions are very intense too and I think that shows in our style of play – high pressing, hard to play against and that’s what we want to be.

“We want to finish in a top-four spot. We want to fight for that, always be successful and finish as high as we can. That’s the goal, we want to win every game, take it match-by-match and try to get results.”

Pulisic, once fully fit again, will be hoping to play a leading role for Chelsea in 2020.

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He has come a long way in a short space of time, with the challenge being to conquer English football.

Pulisic added: “It was a big jump me going to Germany. It was my first time away from family, being in Europe and not speaking the language. All those experiences are what I believe helped me to get here so I’m really happy.

“London is an amazing city. Coming from a slightly smaller town like Dortmund to London has been big. Getting to see the culture, seeing how big football is – the Premier League is incredible and it’s huge here.

“It means everything to me. To be part of this club, this team to be in the Premier League where I always wanted to be – it’s a dream for me.”

Nous vous proposons les plus beaux looks royaux de cette semaine tenues chics et robes glamour, les reines et les princesses européennes ont du style et ne s’en cachent pas.

Ce n’est pas parce qu’on est reine ou princesse qu’il ne faut pas être à la pointe de la mode – au contraire ! En représentation permanente, elles prouvent, à chaque sortie qu’elles sont surtout des reines de la mode. Le gotha européen nous a encore prouvé que, cette semaine, l’élégance était de mise pour les têtes couronnées.

Carton plein pour Letizia d’Espagne avec un pantalon gris et un sublime manteau trapèze fushia. En visite dans la localité de Los Oscos, la reine espagnole ne compte plus ses admirateurs qui scrutent son style dans les moindres détails.

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Charlène de Monaco a fait sensation lors de la soirée Princess Grace Awards Gala 2016. Avec grâce, la maman de Jacques et Gabriella a pris la pose pour les photographes dans sa superbe robe blanche bordée de feuilles vertes, signée Dior, mettant en valeur ses formes athlétiques. Une tenue virginale, cassée par une coupe courte ébouriffée très rock, accessoirisée de sublimes pendants en diamants.

Mary de Danemark avait misé sur une tenue sobre pour l’inauguration du nouveau service d’urgences de l’hôpital de Randers, le 25 octobre 2016. Robe noire sous le genou et manteau gris over-size, elle était tout de même chicissime. Avec un bibi gris sur la tête, la princesse danoise avait choisi des accessoires bordeaux en cuir assortis : gants, chaussures et pochette. La classe.

La Reine Mathilde de Belgique a rendu visite à la reine Rania de Jordanie. Les deux reines ont déjà eu l’occasion d’échanger sur le sort des Syriens en exil. L’épouse du roi Philippe est allée prendre la mesure de la situation sur le terrain. Rania, reine incontestée du style, portait une tunique orangée, la reine des Belges a préféré dévoiler une jupe corolle à motifs floraux et un chemiser décolleté assorti.

À la soirée d’ouverture de la Conservation Couture à Londres, la princesse Eugénie d’York arborait une robe sans manches grise métallisée. La petite soeur de la princesse Béatrice est une princesse moderne : elle fait du sport, achète ses vêtements chez TopShop ou chez Zara. Et quand il lui reste du temps, elle s’occupe de son chéri !

La reine Maxima des Pays-Bas, toute souriante et élégante en visite à Almelo, portait une tenue pour le moins voyante et colorée. Elle avait associé un manteau turquoise à une robe bleue unie aux imposantes manches courtes de la marque belge Natan. Côté accessoires, elle avait misé sur du caramel. Ceinture, turban en velours, pochette, gants et escarpins habillaient sa tenue bleue. Côté bijoux, la maman des petites princesses Catharina-Amalia, Alexia et Ariane avait choisi des pendants d’oreilles de différents tons de bleus.

Chaque semaine, nous vous proposons le meilleur des looks Gotha. Un rendez-vous incontournable.

Ce mardi 8 novembre, Kensington Palace a officialisé la relation du prince Harry et de l’actrice Meghan Markle dans un communiqué. Soucieux du bien-être de sa petite-amie, ce dernier a appelé les médias et les internautes à cesser les attaques sexistes et racistes à l’égard de la jeune femme.

Depuis quelques jours, le prince Harry et sa nouvelle petite-amie, Meghan Markle, font la Une de l’actualité. Si le jeune homme de 32 ans a l’habitude d’être scruté à la loupe par la presse internationale, depuis sa plus tendre enfance, l’actrice de la série Suits l’est en revanche beaucoup moins. En officialisant leur idylle née l’été dernier, Harry a donc tenu à dénoncer le harcèlement, le sexisme et le racisme que sa bien-aimée, d’origine afro-américaine, subit de la part des « trolls sur les réseaux sociaux ». « Une ligne a été franchie la semaine dernière, peut-on lire. Sa petite amie, Meghan Markle, a fait l’objet d’une vague d’abus et de harcèlement. Dont certains très médiatisés, en une d’un journal national, avec des relents de racisme. Des attaques sexistes et racistes trouvées également sur les réseaux sociaux et dans les commentaires d’articles en ligne. »

Dans ce communiqué fracassant, Harry soulève également le fait que des paparazzi ont tenté de pénétrer par effraction dans la propriété de Meghan Markle et que de nombreux pots-de-vins ont été proposés à son ex-petit ami ainsi qu’à ses amis en échange de ragots. Impuissant face à un tel acharnement, le trentenaire est donc très inquiet pour la sécurité de sa compagne et espère voir les tensions s’apaiser rapidement : « Il sait que certains détracteurs diront que ‘c’est le prix à payer’ et que ‘cela fait partie du jeu’. Mais il n’est pas du tout d’accord. Ce n’est pas un jeu, mais bien sa vie à elle et à lui (…) Il sait combien il est inhabituel de publier un tel communiqué mais espère justement que cela permettra aux gens de comprendre à quel point il était nécessaire de s’exprimer publiquement à ce sujet ».

Crédits photo : FAMEFLYNET / BESTIMAGE

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L’amour se cache dans les détails. Sur Twitter, Cyril Lignac s’est laissé aller à une frénésie étonnante mais extrêmement mignonne pour célébrer l’anniversaire de sa compagne, Sophie Marceau, qui fête ses 50 ans.

Et vous, vous faites-quoi pour fêter l’anniversaire de l’être aimé sur les réseaux sociaux ? Cyril Lignac, lui, a trouvé une technique toute personnelle. Plutôt que d’envoyer un bête « Joyeux anniversaire » à Sophie Marceau, le juré du Meilleur Pâtissier a choisi… d’appliquer une mention « J’aime » à tous les messages mentionnant les 50 ans de sa compagne. Plus précisément : sur Twitter, il a liké les tweets de médias revenant sur la carrière de l’actrice, ses réussites, son aura glamour et son statut de comédienne adorée des Français. Une attention adorable dont on rêverait toutes…

Nul doute que, très amoureux, Cyril Lignac aura aussi à cœur de cuisiner aujourd’hui pour sa chère et tendre, et de lui offrir bien plus que quelques likes sur Twitter pour ses 50 ans. Mais cette petite attention a de quoi ravir l’actrice : elle prouve que le chef fait attention à ce qui se dit sur sa compagne, et garde un œil sur ce que les médias écrivent à son propos. Avec ces mentions « J’aime », Cyril Lignac rompt par ailleurs un peu l’habitude de silence qu’il a prise avec Sophie Marceau concernant leur couple : les deux tourtereaux se montrent peu ensemble, préférant préserver leur idylle loin des caméras. Ça n’avait pas empêché l’actrice de confirmer leur histoire d’amour en juillet dernier, préférant ainsi couper court aux rumeurs en tout genre.

Crédits photos : BESTIMAGE

Au soir de la primaire de la droite, certains croyaient lire sur le visage impassible de Carla Bruni-Sarkozy la déception de ne plus pouvoir endosser de nouveau le rôle de first lady. Il n’en est rien. Déçue bien évidemment pour l’homme qu’elle aime et qu’elle a choisi d’épouser un certain hiver 2008, on la dit soulagée de pouvoir vivre, enfin, le quotidien d’un couple qui, au fil des épreuves, a gagné en profondeur, en douceur.

Bien sûr il y eut, de sa part à elle, une certaine discrétion dans les derniers jours précédant la primaire, sans jamais cependant lâcher la main de son « homme ». Bien sûr il y eut des interprétations plus ou moins farfelues qui tentaient de décrypter ce que son visage, au soir de la défaite, s’efforçait justement de taire. Bien sûr il y eut, juste après, ce message posté sur Instagram (« Quelquefois, les meilleurs perdent. Bravo mon amour, je suis fière de toi »)… Aujourd’hui, c’est son entourage très proche qui lâche, ça et là, une phrase ou deux.

« Carla est libérée et très fière du parcours de son homme, soyez certains de cela ». Ou encore “C’est un roc, vous savez, sa force nous impressionne !“. Le couple aussi semble, aux dire des amis, avoir gagné en solidité, en aplomb, comme si tous ces vents contraires et plus ou moins violents n’avaient fait que renforcer ses racines. Résister ensemble. C’est ce qu’ils n’ont jamais cessé de faire. C’est ce qu’ils ont appris à conjuguer. Pour le meilleur, pour le pire, pour l’avenir aussi.

« Le rêve est de vivre avec quelqu’un qui vous veut du bien », disait Françoise Sagan. Elle est là sans doute la véritable force de Carla. Dans cette bienveillance qu’il lui accorde, qu’ils s’accordent au quotidien. Si l’on se décale un peu de la politique, des affaires, pour ne porter notre attention que sur le couple que forment Carla Bruni et Nicolas Sarkozy, l’image qui se dessine est encrée. Et son ombre portée lumineuse.

Crédit photos : Abaca

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Pour Thanksgiving, les amoureux ont passé la soirée en famille. Et le ridicule ne tue pas puisqu’ils ont enfilé des sortes de babygros pour adulte le temps d’ une sorte de pyjama party régressive…

Katy Perry et Orlando Bloom s’aiment et ils ne se privent plus pour l’afficher. La chanteuse et l’acteur âgés respectivement de 31 et 39 ans souffrent même de gâtisme réciproque. Orlando dit en chaque occasion à ses proches qu’elle est la femme de sa vie tandis que la jeune femme, qui a du renoncer à son rêve de voir Hillary Clinton s’emparer de la présidence des Etats-unis, cultive le glamour pour lui plaire.

A certaines exceptions près quand même pour Katy puisque cette grande enfant a mis son beau gosse de mec en pyjama pour fêter Thanksgiving en famille, avec son papa en monsieur Loyal de la soirée. Mais si l’on osait, on leur dirait d’y aller mollo quand même sur le casual wear.

Chacun sait qu’à un moment le confort nuit à l’excitation des corps. Voir ces deux là ainsi habillés en gros bébé ne nous met pas en transe. Vivement un retour plus flamboyant sur le red carpet. En attendant, cette vidéo reste attendrissante. Oui, Katy et Orlando sont comme nous: ils ont des coups de mou vestimentaires!

Si le très attendu teaser de “Interstellar” dévoile finalement peu d’images du nouveau Christopher Nolan, on peut néanmoins y déceler un changement de style, voire faire des recoupements avec d’autres oeuvres.

Révélé ce week-end, le très attendu teaser d’Interstellar a confirmé le goût de Christopher Nolan pour le mystère, en ne dévoilant que très peu d’images de son film de science-fiction. Mais à y regarder de plus près, on constate un changement de style chez le réalisateur, qui délaisse les grandes villes américaines pour la campagne, et se renvoie moins à Stanley Kubrick, son idole, qu’à d’autres auteurs ou metteurs en scène. Ecrit par son frère Jonathan, Interstellar contiendra donc beaucoup de Nolan, mais aussi…

… un peu de Spielberg ?

Outre ce plan d’un étagère sur laquelle on aperçoit une navette spatiale en jouet, et qui renvoie donc à l’enfance et aux rêves, thèmes chers au coeur de Steven Spielberg, la bande-annonce d’Interstellar rappelle aussi le papa d’E.T. avec ce plan d’une voiture qui s’éloigne, la caméra fixée à la carrosserie. On pourrait même aller plus loin en faisant le lien avec l’image suivante, celle d’un Matthew McConaughey les larmes aux yeux, et en déduire que celui-ci quitte sa famille, ce qui expliquerait, entre autres, pourquoi Spielberg était intéressé par le projet pendant un temps, lui dont l’absence du père a marqué la filmographie.

… un peu de littérature ?

Revenons maintenant à ce plan de l’étagère, et aux quelques livres qui se tiennent derrière la navette. Parmi eux, le drame marital “Out of the Blue” d’Isabel Wolff, le “Winter’s Tale” de Mark Helprin (dont l’adaptation ciné sortira le 12 mars 2014, sous la bannière de… la Warner) ou “Cent ans de solitude” de Gabriel García Márquez. Un auteur dont Nolan avoue s’inspirer régulièrement (au même titre que le “Conte des deux villes” de Dickens a servi pour le dernier Dark Knight), et la présence de cette oeuvre à l’écran n’est peut-être pas aussi anodine qu’on pourrait le penser, dans la mesure où elle fait intervenir des éléments surnaturels dans un cadre historique avéré. Ce qui nous amène au point suivant.

… un peu d'”Etoffe des héros” ?

Selon le synopsis officiel, Interstellar se penchera sur un groupe d’astronautes qui voyage à travers des trous noirs pour repousser les limites de nos connaissances scientifiques actuelles. Du surnaturel au milieu du réaliste, ce dernier aspect étant souligné par l’une des phrases prononcées par Matthew McConaughey dans le teaser : “Peut-être avons nous oublié que nous sommes encore des pionniers” Soutenus par les différentes images d’archives qui apparraissent à l’écran, ces propos renvoient à L’Etoffe des héros de Philip Kaufman, centré sur les débuts de la conquête spatiale. A tel point que l’on peut se demander si Interstellar n’en sera pas une version SF.

… un peu de “Signes” ?

On imagine certes mal Christopher Nolan débarquer dans la cour de M. Night Shyamalan pour proposer sa vision d’une invasion extra-terrestre. Toujours est-il que ces quelques plans sur un champ de maïs, et notamment la destruction d’une partie de ce dernier, peuvent interpeller et, pourquoi pas, laisser entendre que de mystérieux signes sont à l’orgine du voyage entrepris par Matthew McConaughey aux confins de l’espace.

… un peu de Terrence Malick ?

Là encore, il y a fort à parier que Christopher Nolan ne se laissera pas aller à la contemplation de couchers de soleil et de brins d’herbe, mais il faut quand même noter l’importance que revêt la nature dans les quelques images de son Interstellar qui ont été dévoilées. Un constat renforcé par ce dernier plan qui mêle nature et relation parent-enfant alors qu’une navette décolle au loin. Une façon de sous-entendre que le film penchera plus vers une SF métaphysique interrogeant notre place dans l’univers, que dans le space opera ? Réponse(s) “d’ici un an”.

Maximilien Pierrette

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Après trois ans de relation, la star du Loup de Wall Street et son compagnon le réalisateur Tom Ackerley viennent tout juste de convoler, en toute intimité. L’actrice australienne a néanmoins officialisé la nouvelle sur son compte instagram avec un cliché…surprenant !

Margot Robbie et Tom Ackerley ont choisi la saison de Noël pour célébrer leur mariage. Ce n’est pourtant pas près d’un feu de cheminée qu’a eu lieu la cérémonie mais sous le soleil de l’Australie, pays dont est originaire la sublime héroïne de Suicide Squad. Les deux amoureux s’étaient rencontrés en 2013 sur le tournage de Suite Française et ne se sont plus quittés depuis. Très discrets quant à leur relation, ils n’avaient pas annoncé leurs fiançailles et ont joué au chat et à la souris avec la presse pendant une bonne partie de l’année. La nouvelle de leur mariage est donc une belle surprise. Et il semble bien que la surprise ait également été totale pour leurs invités qui ont ignoré jusqu’au dernier moment le lieu exact de la cérémonie.

C’est donc au bras de sa mère que la future mariée s’est avancée jusqu’à l’autel, entourée de ses deux frères et de sa sœur dans le rôle de demoiselle d’honneur. La concrétisation d’une belle histoire d’amour et une évidence pour la jeune actrice de 26 ans qui confiait au magazine Vogue il y a quelques mois : « Je l’ai toujours aimé, mais je pensais: ‘Oh, il ne m’aimera jamais (…)Et puis, c’est arrivé et je me suis dit : ‘Bien sûr que nous sommes ensemble’. C’est tellement logique, comme si rien ne l’avait jamais été avant. »

Si le mariage s’est tenu le week-end dernier, Margot Robbie a officiellement confirmé les rumeurs il y a quelques heures sur son compte Instagram. Un baiser, une (très) belle bague et un annulaire levé…comme un pied de nez à la presse.

Crédit photo : Fameflynet/Bestimage

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“Le Hobbit : la désolation de Smaug”, “La Reine des neiges” et “Le Loup de Wall Street” forment l’impressionnant podium du box-office hexagonal, réunissant à eux trois plus de 3 millions de spectateurs.

Avec les vacances de Noël, les films à grand spectacle et productions familiales font le plein. Et c’est un cas d’école qui se présente pour la dernière semaine du box-office hexagonal 2013 avec un podium énorme réunissant à lui seul plus de 3 millions d’entrées. Le Hobbit : la Désolation de Smaug, avec plus d’un million de spectateurs supplémentaires et seulement 2% de chute de fréquentation, occupe la tête du classement pour la troisième semaine consécutive et totalise désormais près de 3,8 millions d’entrées. Quant au film d’animation La Reine des neiges, il gagne 13% de fréquentation, réunit encore un million de spectateurs et cumule plus de 3,7 millions de billets vendus en quatre semaines d’exploitation.

© Metropolitan FilmExport

Le Loup de Wall Street de Martin Scorsese, principale nouveauté de la semaine, boucle de manière impressionnante le podium avec plus d’un million d’entrées au compteur. Un démarrage d’excellente facture, sensiblement inférieur à celui de Shutter Island, record du cinéaste dans l’hexagone. A noter également, outre ce tiercé de haute tenue, l’excellente continuation de Belle et Sébastien, quatrième, qui voit sa fréquentation augmenter de 25% (!) avec près de 855 000 nouveaux spectateurs et un cumul de 1,6 millions d’entrées après 2 semaines à l’affiche.

Box-office France de la semaine du 25 décembre : voir le tableau

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Clément Cuyer avec CBO Box-Office

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