Ce que Brigitte Macron n’a pas dit à propos du talent d’écrivain érotique d’Emmanuel Macron

Pour Brigitte Macron, le président n’est pas qu’un simple politicien, mais est un vrai écrivain. Une fibre littéraire qui a su séduire la professeure de Français qui va jusqu’à comparer son ancien élève à Flaubert. Cependant, il y a un épisode sur la jeune carrière d’écrivain de son mari qu’elle a oublié de raconter dans son interview accordée à RTL… le roman érotique qu’il a écrit alors qu’il n’était qu’adolescent.

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« Je pense qu’il est fondamentalement un écrivain ». Face à Marc-Olivier Fogiel sur les ondes de RTL, Brigitte Macron ne tarit pas d’éloges sur les talents d’écriture de son mari. Selon elle, devenir écrivain pourrait être une option si Emmanuel Macron n’arrivait pas à être élu une seconde fois. Sa qualité première : son exigence avec lui-même lorsqu’il écrit ses discours. Pour la Première dame, cela relève d’un « rapport traumatique à l’écriture ». « Il n’est jamais satisfait de ce qu’il écrit, c’est-à-dire qu’il va passer sa vie à écrire, réécrire, déchirer, recommencer, etc. », explique-t-elle sur RTL au sujet de celui qui est tellement « à la recherche du mot juste » qu’il est capable de réécrire un discours entièrement dans la nuit, sur le trajet dans la voiture. Elle va jusqu’à le comparer à Flaubert, lui aussi éternel insatisfait.

« C’était un roman osé »

Ce que Brigitte Macron ne dit pas, c’est qu’Emmanuel Macron a commencé l’écriture très tôt, dans un registre plus doux, davantage érotique que politique. Celui qui a, selon son épouse, « une âme de poète et voit la vie par un prisme d’une extrême sensibilité », a dans sa jeunesse, à l’âge de 16 ans, alors qu’il connaissait déjà Brigitte, écrit un livre très chaud. L’existence de l’ouvrage a été confirmée pour la première fois en janvier dernier dans le livre Brigitte Macron l’affranchie de Maëlle Brun, publié aux éditions de l’Archipel.

« Je le connaissais du quartier et, un jour, il m’a demandé de taper les trois cents pages d’un livre qu’il venait d’écrire. C’était un roman osé, un petit peu cochon ! Les noms n’étaient bien sûr pas les mêmes mais je pense qu’il fallait qu’il exprime ce qu’il ressentait à l’époque », racontait dans l’ouvrage une voisine de Brigitte Macron, connue pour ses talents en dactylographie.

Adolescent, le président écrivait aussi des poèmes. Si jamais Emmanuel Macron devait quitter l’Elysée, il y a fort à parier que c’est en librairie que ses admirateurs pourraient bien le retrouver. Mais pour un livre politique, poétique ou un autre roman érotique ?

Crédits photos : Pierre Perusseau / Bestimage

Xavier Dolan recrute la révélation de Room pour son prochain film

Le jeune Jacob Tremblay, révélé dans “Room”, rejoint le casting du prochain film de Xavier Dolan : “The Death and Life of John F. Donovan”.

Xavier Dolan vient de recruter un -très- jeune acteur ! Selon THR, le réalisateur canadien a engagé Jacob Tremblay, 10 ans, pour jouer dans son prochain film : The Death and Life of John F. Donovan. Tremblay fut l’année dernière la révélation du drame intimiste Room, qui valut un Oscar à Brie Larson.

De quoi parle son film ? Xavier Dolan nous l’explique :

"Kit Harington est un être extrêmement chaleureux, intelligent et raffiné…"

 

Actuellement en tournage à Montréal, les rôles principaux de The Death and Life of John F. Donovan sont tenus par Kit Harrington et Jessica Chastain entre beaucoup d’autres. Le film n’a pour l’instant pas de date de sortie.

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Xavier Dolan est détenteur depuis l’année dernière du Grand prix du Festival de Cannes pour son film précédent : Juste la fin du monde.

Découvrez le casting 4 étoiles du prochain Xavier Dolan :

Alizée et Grégoire Lyonnet révèlent le sexe de leur bébé

Dans quelques mois, Alizée et Grégoire Lyonnet accueilleront leur premier enfant enfant, après 3 ans de mariage. Pour les caméras de TF1, le couple partage son bonheur et révèle le sexe de leur bébé.

Depuis leur rencontre surDanse avec les stars, Alizée et Grégoire Lyonnet vivent une idylle sans nuage…. Après leur mariage il y a 3 ans, place au bébé ! C’est sur les réseaux sociaux que les futurs parents ont annoncé la bonne nouvelle, confirmant les indiscrétions de la presse people. Alizée est déjà la maman d’Annily, 14 ans, qu’elle a eu avec Jeremy Chatelain, révélé par la Star Academy.

Devant les caméras de 50′ Inside, en Corse où ils vivent, loin de Paris, les amoureux en ont profité pour dévoiler le sexe de leur enfant. Ça sera une petite fille. Une petite confidence que les tourtereaux ont faite en toute simplicité “Les filles, c’est vraiment bien. Le seul problème avec les filles, c’est qu’il n’aura aucune autorité sur elle. Tu vas être trop amoureux d’elle”, lance la jeune femme au futur papa. Grégoire est prévenu…

C’est aussi l’occasion pour Alizée de se replonger dans une époque professionnellement trépidante “Quand j’étais enceinte de ma fille, j’avais 20 ans et j’étais entre deux albums donc c’était super intense (…) Quand elle était tout bébé, entre les biberons je faisais les prises”, raconte Alizée qui vit beaucoup plus sereinement cette deuxième grossesse.

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Crédits photos : BEST IMAGE

Split : qui est Anya Taylor-Joy, l’héroïne séquestrée par James McAvoy ?

Son visage mutin a séduit le monde entier dans The Witch, elle s’apprête désormais à conquérir Hollywood sous la houlette de M. Night Shyamalan dans Split. Focus sur la jeune comédienne Anya Taylor-Joy.

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Anya Taylor-Joy au défilé Saint Laurent à Hollywood le 10 février 2016. 
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© Bestimage

Les origines

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Anya Taylor-Joy est née à Miami en 1996 d’une mère d’origine anglo-espagnole et d’un père d’origine argentino-écossaise. Elle vit ensuite entre l’Argentine et l’Angleterre avec ses parents et se passionne dans un premier temps pour le ballet.

Repérée dans la rue en promenant son chien

La jeune femme trouve sa voie dans la danse puis se rêve ensuite en tant qu’actrice. Elle débute une carrière de mannequin dans le but de se rapprocher de ses envies de cinéma. Anya a été repérée par un “talent scout” en pleine rue. D’abord paniquée à l’idée d’être suivie par une étrange personne, elle comprend vite qu’elle a affaire à Sarah Doukas, connue pour avoir découvert Cara Delevingne. Son abnégation va vite finir par payer. La comédienne fait ses premières armes à la télévision en 2014 dans Les enquêtes de Morse. L’année suivante, elle explore d’autres horizons avec la série d’aventures Atlantis en y incarnant le rôle de Cassandra.

La claque The Witch

Cette même année, la jeune Anya décroche son premier rôle principal sur grand écran dans le film d’épouvante The Witch. Situé en 1630 en Nouvelle-Angleterre. L’oeuvre raconte l’histoire de William et Katherine, un couple dévot qui s’établit à la limite de la civilisation, menant une vie pieuse avec leurs cinq enfants et cultivant leur lopin de terre au milieu d’une étendue encore sauvage. La mystérieuse disparition de leur nouveau-né et la perte soudaine de leurs récoltes vont rapidement les amener à se dresser les uns contre les autres.

The Witch Bande-annonce VO

 

Anya y prête ses traits au personnage de Thomasin, jeune fille se transformant en femme sous le regard inquiet de ses parents puritains. Sa prestation dans le film est unanimement saluée, notamment au Festival de Sundance 2015 et les propositions affluent pour la belle Anya. À noter qu’elle a dit non à une offre de Disney pour pouvoir tourner The Witch, ce qui démontre son caractère tenace.

The Witch – MAKING OF VOST "Une histoire horrifique moderne"

 

La consécration chez Shyamalan

En 2017, l’actrice se retrouve à nouveau en haut de l’affiche avec Split, le nouveau thriller psychologique de M. Night Shyamalan. Elle y donne la réplique à James McAvoy, incarnant pour sa part un psychopathe souffrant de trouble de la personnalité multiple. Ce dernier kidnappe le personnage campé par Anya et la séquestre avec deux de ses amies. Son visage angélique capable à la fois de susciter inquiétude, peur et douceur, a séduit le réalisateur culte de Sixième Sens. La jeune femme partage également l’affiche avec Kate Mara dans Morgane, un thriller de SF mis en scène par Luke Scott, fils de Ridley Scott. À tout juste 20 ans, la comédienne croule sous les projets et son joli minois risque de hanter les cinémas du monde encore un bon moment.

Split Bande-annonce VO

 

 

 

Meghan Markle et Kate Middleton : ces retrouvailles qu’on n’attendait plus

Kate Middleton et Meghan Markle seront réunies le 13 juillet prochain pour la finale dames du tournoi de Wimbledon. Une sortie très attendue, qui devrait être scrutée par la presse anglaise, tant les rumeurs de brouille entre les deux belles-soeurs, attisent les médias.

Le 14 juillet 2018, il y a tout juste un an, Meghan Markle et Kate Middleton échangeaient des sourires complices dans les gradins du tournoi de Wimbledon. Une belle unité qui semble depuis avoir volé en éclats. Les rumeurs de brouille entre les deux duchesses n’en finissent plus d’alimenter les pages des magazines à scandales. Meghan Markle et Kate Middleton seraient trop différentes pour s’entendre…

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Dernière preuve que les deux duchesses ne sont plus vraiment les meilleures amies du monde : elles sont toutes les deux venues assister à un match à Wimbledon… mais séparément. Kate Middleton est apparue radieuse et tout sourire dans les gradins, mais sans Meghan Markle, qui elle, est venue soutenir son amie Serena Williams deux jours plus tard… Mauvais timing ou volonté délibérée de faire cavalier seul ?

L’annonce de leur apparition commune ce vendredi 12 juillet a donc de quoi étonner. Kensington Palace a révélé sur son compte Twitter que les épouses des princes William et Harry se rendraient ensemble à la finale dames de Wimbledon le 13 juillet prochain. Déjà réunies en famille le 10 juillet dernier lors d’un match de polo caritatif, les deux jeunes mères de famille étaient apparues distantes. Cette nouvelle occasion de se rapprocher mettra-t-elle définitivement fin aux rumeurs de brouille ? Une chose est sûre, tous leurs faits et gestes vont être scrutés.

Découvrez le nouvel épisode de notre podcast royal :

Crédits photos : Bestimage

Un remake de La Mouche en préparation

Le projet de remake de “La Mouche” semble se concrétiser puisque la Fox a trouvé son réalisateur.

Les remakes étant désormais monnaie courante à Hollywood, pas étonnant que La Mouche de David Cronenberg ait droit à son tour à une relecture. Ce projet, depuis longtemps déjà dans les tuyaux, semble désormais sur le point d’aboutir puisqu’un nom de réalisateur circule. 

La Fox aurait en effet porté son choix sur un nouveau venu, J.D. Dillard, dont le premier long-métrage, Sleight, a fait sensation à Sundance l’an dernier. Inédit en France, Sleight est à mi-chemin entre le drame social et le thriller et suit un magicien de rues contraint de dealer de la drogue pour sauver sa petite soeur. Dillard serait non seulement réalisateur mais aussi co-scénariste du remake aux côtés d’Alex Theurer, avec qui il avait déjà écrit son précédent film.

Les Essentiels de David Cronenberg

Si Sleight semble bien éloigné de l’univers de La Mouche, Dillard aura l’occasion de se faire la main avec son prochain film Sweetheart, actuellement en pré-production. Ce thriller horrifique est produit par Blumhouse, la société de Jason Blum à l’origine des succès de Insidious, American Nightmare et de The Visit et Split, les derniers M. Night Shyamalan.

Sorti il y a 30 ans, La Mouche de David Cronenberg racontait comment un scientifique fusionnait avec une mouche à la suite d’une téléportation. Devenu un classique du genre, le long-métrage qui mettait en scène Jeff Goldblum et Geena Davis était déjà un remake de La Mouche noire, réalisé en 1958 avec le légendaire Vincent Price dans le rôle-titre. 

La Mouche Bande-annonce VO

 

 

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PHOTO – Caroline Receveur envoûtante en maillot de bain une pièce et rouge à lèvres

Non contente de passer l’été sous le soleil des Baléares, Caroline Receveur en profite pour faire une démonstration d’élégance les pieds dans le sable. En maillot une pièce, elle frappe fort de nouveau.

S’il y en a une qui fait la pluie et le beau temps en matière de maillots de bain, c’est bien Caroline Receveur. Après s’être affichée en bikini fluo puis en pièces dépareillées, elle a choisi cette fois un maillot une pièce noir, avec une ceinture mettant en valeur sa taille de guêpe.

Lors de ses vacances à Ibiza, l’influenceuse révélée par la télé-réalité ne s’est pas ratée, entre des balades dans la vieille ville d’Ibiza Town, des promenades en bateau et la contemplation de couchers de soleil sur les rives de la Méditerranée. Précision : pour ne rien gâcher, elle est accompagnée du mannequin Hugo Philip et de leur fils Marlon, qui a fêté ses un an le 7 juillet dernier.

La rentrée promet d’être agitée pour le couple. Dans la saison 10 deDanse avec les stars qui sera diffusée cet l’automne 2019 sur TF1, l’acteur Aziz Diabaté, la chanteuse Liane Foly et la Miss France 1992 Linda Hardy font d’ores et déjà partie du casting. Depuis peu, on sait que le nom d’Hugo Philip s’est ajouté à la liste. Dans Télé Loisirs, il expliquait : “Je fais Danse avec les stars pour m’amuser mais aussi pour gagner“.

Heureuse coïncidence, Caroline Receveur a participé au concours de danse de la Une lors de sa septième édition, ce qui n’a pas échappé à Hugo : “C’est une émission que j’aime regarder et quema compagnea déjà faite par le passé. Je trouve que c’est un vrai challenge sportif. Un challenge de vie aussi.Caroline m’a dit que c’était une aventure inoubliable“. Il a ajouté : “J’ai toujours aimé la danse mais je ne suis pas un grand danseur. Quand j’ai passé les essais, j’ai pris énormément de plaisir,cela m’a conforté dans l’idée que l’aventure pourrait être amusante.Carolinene m’a jamais vu danser, ce serait une première sur TF1.” Mais, avant, l’effort, place au réconfort…

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Monday ?

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Qui pour jouer Shazam ? Dwayne Johnson a une idée

Attendu sous les traits du méchant Black Adam dans “Shazam”, Dwayne Johnson a dévoilé qu’il aimerait affronter Armie Hammer, son candidat idéal pour incarner le super-héros de DC Comics.

En règle générale, le visage du héros nous est connu avant celui de son ennemi. Sauf du côté de Shazam, dont l’interprète est toujours inconnu alors que nous savons depuis septembre 2014 que Dwayne Johnson jouera son adversaire Black Adam, qui aura aussi droit à son film solo. Attendu en maillot de bain dans Baywatch – Alerte à Malibu, l’acteur a d’ailleurs une idée précise de celui avec qui il veut en venir aux mains, sans pour autant le nommer explicitement : “Je ne vais pas dire son nom, juste Lone Ranger”, a-t-il déclaré à We Got This Covered.

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Et par “Lone Ranger”, comprenez non pas Johnny Depp mais bien Armie Hammer, le héros du film de Gore Verbinski. Un comédien qui, même si aucune discussion concrète n’a eu lieu avec Dwayne Johnson à ce sujet, ferait un bon choix pour incarner ce personnage disposant des pouvoirs issus de la Bible et de la mythologie grecque, de la force d’Hercule à la sagesse de Salomon, en passant par l’endurance d’Atlas et le courage d’Achille. Surtout que ce n’est pas la première fois qu’il flirte avec l’univers de DC Comics sur grand écran.

Engagé par George Miller pour être son Batman, il avait dû abandonner la cape de l’Homme Chauve-Souris lorsque son projet de Justice League est tombé à l’eau. Une seconde chance a ensuite semblé s’offrir à lui, en janvier dernier, quand une rumeur le plaçait sur la shortlist des acteurs pressentis pour être le nouveau Green Lantern, aux côtés de Tom Cruise et Ryan Reynolds. Alors que le bruit de couloir s’est aussi vite tu qu’il est apparu, c’est donc Dwayne Johnson qui lui offre une autre opportunité d’intégrer le DC Extended Universe, si les producteurs sont sensibles à son appel de phares.

Armie Hammer sera à l’affiche de “Free Fire” (et barbu) le 14 juin :

Free Fire Bande-annonce VO

Why European Countries Are Reluctant to Repatriate Citizens Who Are ISIS Fighters

Suspected Islamic State militants languish in a prison cell in northeastern Syria in October. The Pentagon has reported about 10,000 ISIS fighters are being held in prison facilities in northeastern Syria. Some 2,000 are said to be foreign fighters, with the rest identified as Iraqi and Syrian nationals. Of the 2,000 foreign fighters, an estimated 800 are from European nations.

President Trump is continuing to put pressure on European governments to repatriate their ISIS fighters, who the Pentagon says are being held in “pop-up prisons” in northeastern Syria.

“Would you like some nice ISIS fighters?” Trump asked French President Emmanuel Macron on the sidelines of last week’s NATO leaders meeting in London. “I can give them to you.” To which Macron replied, “Let’s be serious.”

The awkward exchange between the two world leaders was emblematic of the wider issue at hand. The Trump administration wants Europe to take back its terrorist fighters, but European leaders have brushed away the idea.

Trump previously threatened to drop “thousands” of ISIS fighters into Europe should the various countries continue to shy away from taking them back.

“We’re holding thousands of ISIS fighters right now, and Europe has to take them,” he told reporters in August. “If Europe doesn’t take them, I’ll have no choice but to release them into the countries from which they came, which is Germany and France and other places.”

The Pentagon earlier this year reported that an estimated 10,000 ISIS fighters are being held in prison facilities scattered across northeastern Syria. About 2,000 of the detainees are said to be foreign fighters, with the rest identified as Iraqi and Syrian nationals. Of the 2,000 foreign fighters held in Syria, an estimated 800 are from European nations.

U.S. military officials have warned that Kurdish-led Syrian Democratic Forces do not have the capacity to detain thousands of ISIS fighters. Washington has repeatedly called on European countries to repatriate their citizens and try them in their home countries.

“We need countries to repatriate their citizens now more than ever because of the possibly grave consequences of foreign terrorist fighters returning to their home countries on their own and unchecked,” a State Department official told NPR.

The prospect of repatriating ISIS fighters is deeply unpopular in most European countries. A recent poll in France found 89% of respondents opposed the return of adult fighters.

In Britain, where voters will elect a new parliament on Thursday, politicians are treading especially carefully.

“We certainly want to see those responsible for atrocities and crimes given justice in the region, so far as that is practical,” Britain’s Foreign Secretary Dominic Raab said in October. “In relation to the question of returns, we do not want to see foreign fighters returning to this country.”

A deadly attack on London Bridge by an extremist who’d previously been jailed on terrorism charges caused more jitters last month.

Public opinion and memories of recent terrorist attacks in Belgium, France, Germany and the U.K. have put politicians in a bind. Even though most politicians and experts agree that repatriating ISIS fighters would be far safer than leaving them in badly protected prisons, advocating for such an approach is tantamount to political suicide, said Thomas Renard, a senior research fellow at the Egmont Institute in Brussels.

“If European countries do set in place repatriation campaigns, it possibly is going to cost them in terms of votes, and it’s going to make these governments a relatively easy target for far-right political parties and populist parties,” he said.

The U.K. and Denmark have taken some of the most drastic measures thus far by stripping alleged ISIS fighters and their family members of their citizenship in certain instances. Other countries, such as Germany and Sweden, have considered similar plans of their own.

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Many European countries have argued it will be difficult to prosecute or convict alleged ISIS fighters for their crimes due to a lack of evidence. Countries might have to settle for minimal sentences, meaning convicted terrorists could be back on Europe’s streets in a few short years.

So far, critics say, efforts to rehabilitate former and would-be extremists across Europe have not produced encouraging results. Usman Khan, the London Bridge attacker, served only half of his 16-year sentence and was considered a success story for his rehabilitation program. British Prime Minister Boris Johnson was quick to blame his country’s previous administration for the system of early release for convicted terrorists.

“If you are convicted of a serious terrorist offense, there should be a mandatory minimum sentence of 14 years — and some should never be released,” Johnson said last week.

In France, an attempt to establish deradicalization centers ended after only five months in 2017. French politician Philippe Bas, a senator from the center-right Republicans party, called the government’s plan a “total fiasco.”

But Renard argues that doing nothing is far riskier.

“If you leave these foreign fighters in the [Middle East] region, there’s a risk that they will further continue radicalizing,” he said. “There is also the risk that they may be released by the Kurds, the Turks or the Iraqis at some point and make their way back to Europe in an uncontrolled manner. That’s kind of the worst-case scenario.”

If fighters stay in the Middle East, they might rejoin ISIS or other terrorist groups, Renard added.

Several nations, including Germany and France, have transferred some of their nationals to Iraq for prosecution. Between May 26 and June 3, 11 French defendants were sentenced to death by hanging in an Iraqi court.

Repatriating adult male fighters is not the only question vexing Europe — there is also the question of what to do with their family members. The U.N. Office of the High Commissioner for Human Rights estimates that 11,000 of the roughly 70,000 residents of Syria’s al-Hol camp are relatives of foreign ISIS fighters. Most are women and children. U.S. Central Command described the residents of al Hol and other, smaller refugee camps as potentially susceptible to ISIS messaging, coercion and enticement.

Most European governments have said they would consider repatriating children, at least up to a certain age. “However, in reality, it has not resulted in a proactive repatriation campaign for children in the region,” Renard said.

An official from the German Federal Foreign Office with knowledge of the situation told NPR the country has been working for several months to facilitate the transfer of German children from northern Syria. Four children arrived in Germany in August, the spokesperson said. The U.K. has repatriated a small number of orphaned children of British ISIS fighters. France has also repatriated several children this year. But a poll in France found two-thirds of people favored leaving the children of jihadists in Iraq and Syria.

Gilles de Kerchove, the European Union’s counterterrorism coordinator, warned in May that some of the children of ISIS fighters are at risk of becoming “the next generation of suicide bombers.” He described the situation as a “ticking time bomb.”

Finding a common European approach to repatriating militants is complicated by the fact that not all nations on the continent share the same concerns. The European Parliament has not adopted an official position on the repatriation of ISIS fighters, as it falls under the jurisdiction of individual EU member states.

“Some countries are not even concerned at all because they have no citizen in Syria and Iraq, so it only concerns only a minority of the member states,” Renard said.

However, he proposes that countries facing the same issues develop a shared strategy to ease logistical and legal burdens of repatriation.

In addition, a number of European nations currently don’t have consular services in Damascus, Syria’s capital, and rely on the help and support of humanitarian organizations and Syrian Kurds.

Turkey’s recent incursion into parts of northern Syria, anti-government protests in Iraq and the ongoing civil war in Syria all make an already-complicated situation more so. Turkey recently deported captured fighters hailing from the United States, Denmark and Germany back to their native countries, and threatened to send more in the future.

“These gates will open and these IS members who have started to be sent to you will continue to be sent. Then you can take care of your own problem,” Turkish President Recep Tayyip Erdogan warned last month.

Stavros Lambrinidis, the European Union ambassador to the United States, told NPR that Turkey’s invasion of northern Syria resulted in the escape of many foreign fighters.

“That is the real danger. If we’re going to be serious about the business of ensuring that ISIS does not find a way to rear its ugly head again and to be a real threat, we must be able to address this issue looking at the totality of the risks of people escaping and destabilizing Syria again in a way that creates new radicalization,” he said. “This is a classic example of a case that we ought to be much better coordinated together, Americans and Europeans.”

Despite the risks of leaving Western-born fighters in Syria and Iraq, Renard believes European countries’ reluctance to repatriate their citizens will continue.

“Two months ago, if you would have told [me] about the situation that we have seen unfolding in northern Syria, I would have said that in those circumstances European governments would change their position, but that didn’t happen,” he said. “I thought it would take a lot for European governments to change their response, but apparently it takes more than a lot. It takes everything, and I do fear that European governments are stuck in their political reason, and that they will not change their mind.”

Government watchdog to probe movement of land management bureau out of DC

The Government Accountability Office (GAO), will probe the Trump administration’s decision to relocate Bureau of Land Management (BLM) staff from Washington, D.C., to Colorado, House Natural Resources Committee Chairman Raúl Grijalva (D-Ariz.) announced Wednesday.

Grijalva described the plan to relocate the BLM’s headquarters as an attempt to “undermine” the agency’s mission and said it is “not being made in good faith” during a Wednesday press conference. 

“The Government Accountability Office has agreed to review this move and determine if it was properly planned, analyzed, and whether it will deliver the benefits that the administration has been claiming,” Grijalva said. 

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He added that he has spoken with congressional appropriators regarding the move and possible money allocated for it and suggested that his committee could also use subpoena power to get documents regarding the move. 

Opponents have criticized the change as an attack on career officials, while proponents have said that it will move employees closer to the lands that they manage.

During the press conference, which took place one day before employees must notify the bureau whether they will will move to Grand Junction, Colo., former BLM employees slammed the move as “disastrous” and “radical.”

“This reorganization, if implemented, will prove to be disastrous for the health of our nation’s public lands, for public land stakeholders in rural communities and for the bureau of land management,” said former BLM director Bob Abbey, who led the agency from 2009 to 2012. 

“The current plan by the department is radical, it’s unnecessary, it’s not well thought out,” said former BLM Deputy Director Henri Bisson.  “It’s being dictated by political officials without regard for the long-term consequences and will harm public land management for many years.”

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