Francis Cabrel sera de retour dans les bacs le 8 décembre avec une compilation réunissant ses titres les plus populaires. Zoom sur Mariette, la véritable Petite Marie de Francis Cabrel.

Son homme lui a écrit quelques-unes de ses plus belles chansons, à cette Petite Marie qui s’appelle dans la vraie vie Mariette. Elle est même celle dont il se clame « gardien du sommeil de ses nuits » au fil de Je l’aime à mourir. Et dans Comme une femme, son adaptation du Just Like A Woman récent du Nobel de littérature Bob Dylan, Francis Cabrel évoquait au détour d’un couplet une « Reine Marie » ne souffrant aucune équivoque. Bref, entre Francis et Mariette Cabrel, c’est du solide depuis plus de quarante ans. Dans cette relation, il puise à la fois sa force, son équilibre, son inspiration, sa tranquillité d’esprit comme le calme indispensable à ses activités de créateur.

A elle, les tracas du quotidien comme l’éducation des enfants. Femme de caractère, elle est beaucoup plus autoritaire que lui, très ancrée dans le concret. Avec leurs tempéraments très opposés, ils sont finalement complémentaires. Même leur rencontre ressemble à une chanson de Cabrel, tant elle transpire les mots doux, la tendresse et le charme provincial. La scène se déroule le 4 avril 1970, dans un petit village du Sud-Ouest de la France, Buzet-sur-Baïse. Francis, dix-sept ans, vient écouter dans une salle de bal un groupe de ses amis. Il aperçoit alors Mariette, lui adresse timidement la parole et lui signale, en passant, qu’il se produit avec son propre groupe à Agen. Elle ne promet rien, mais se rend au concert. Depuis, ils ne se sont plus quittés, se mariant le 1er juin 1974.

Il est comme ça, Francis Cabrel. Il fait partie de ceux qui croient aux promesses éternelles, qui ont besoin d’attaches, de repères, de remparts contre les agressions du monde extérieur. Anges protecteur, Mariette l’est. Tout comme leurs filles Aurélie, Manon et Thiu, la petite dernière adoptée en 2004.

Un dragon, Mariette ? Une femme forte, indépendante, plutôt, Pas le genre à attendre patiemment le retour d’un mari parti sur les routes. Discrète, à l’arrière-plan, jamais au premier rang. Mais attention : face à Mariette, Francis file doux. La preuve, comme il le déclarait au magazine Serge en février 2011 en évoquant sa passion pour le ballon ovale : « Je suis le rugby comme un dingo. Je suis parti en vacances et j’ai raté deux matchs, ça m’a rendu malade […] Si mon épouse était d’accord, je pourrais m’engager dans le rugby en tant que dirigeant, mais, malheureusement, ce n’est pas moi qui commande ! » Tout est dit : pour l’ex-moustachu Francis Cabrel, Mariette est définitivement plus qu’une muse.

Photos : Bestimage

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Cricket legend Sachin Tendulkar on Wednesday slammed former Pakistani cricketer Shahid Afridi for meddling in India’s internal matter.

When asked about Afridi’s comments about Kashmir, Tendulkar said, “We have got capable people to manage and run our country. No outsider needs to know or tell us what we need to do.”

BCCL/ File

After security forces in Kashmir killed 12 terrorists, Afridi took to Twitter and said “innocents” were being shot down in Kashmir.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? Les membres de notre rédaction vous indiquent les films à voir à la télévision. Au programme : Christophe Gans adapte un célèbre conte, un cochon qui parle et Sandrine Kiberlain en Simone de Beauvoir.

« Permis de mater »

Chaque soir, la rédaction d’Allociné vous indique les trois incontournables à ne pas rater.

La Belle et la bête de Christophe Gans avec Vincent Cassel, Léa Seydoux (Canal +, 20h55) : “Christophe Gans revisite avec brio ce célèbre conte et exploite avec merveille les nouvelles technologies pour développer un univers visuel époustouflant.” Clément Cusseau

La Belle et La Bête Bande-annonce VF

Violette de Martin Provost avec Emmanuelle Devos, Sandrine Kiberlain (Canal + Cinéma, 20h45) : “Martin Provost revient aux sources du succès de Séraphine : la beauté des costumes, le portrait d’une femme hors norme et d’une artiste méconnue… La partie de ping-pong intellectuel entre Emmanuelle Devos et Sandrine Kiberlain fonctionne très bien.” Nicolas Journet

Violette Bande-annonce VF

Babe, le cochon devenu berger de Chris Noonan avec James Cromwell, Magda Szubanski (Ciné + Famiz, 20h45) : “Un conte très touchant qui nous fait adorer ce mignon petit cochon ! Les décors campagnards sont très bien faits et les acteurs excellents. Quant aux animaux… Disons que ça fait plaisir de les voir autrement qu’en images de synthèse !” Laurent Schenck

Babe, le cochon dans la ville Bande-annonce VO

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?
Qu’allez-vous regarder ce vendredi 2 janvier ?

Pour retrouver l’ensemble des programmes, accédez directement à la grille en cliquant ici.

Ultime hommage à Johnny Hallyday, Laeticia est arrivée devant la Madeleine avec ses filles Jade et Joy. Toute habillée de noir, elle porte la croix de Johnny, ce bijoux qu’il avait en permanence sur lui ces derniers temps.

Moment d’émotion ultime lors de l’arrivée du cortège funéraire à la Madeleine. Devant Laura et David, main dans la main, Laeticia sort de la voiture avec ses filles Jade et Joy. On les avait aperçues quelques minutes plus tôt, ouvrant une vitre pour écouter les fans entonnant Gabrielle.

Laeticia, ses cheveux blonds attachés en chignon, lunettes de soleil sur les yeux et de tout de noir vêtue. Sur son col roulé noir, Laeticia porte la croix de Johnny. Celle qu’il avait toujours autour du cou, même s’il n’était pas croyant. celle qu’il portait lors des obsèques de Mireille Darc.

Une croix, un bijou symbole que Laeticia porte en hommage à son homme, à celui sans qui elle n’imaginait pas vivre. Main dans la main avec ses filles Jade et Joy visiblement très émues, portant la croix de Johnny, Laeticia embrasse chaleureusement Laura Smet puis David Hallyday, les deux premiers enfants de Johnny. Puis elle embrasse aussi Emmanuel et Brigitte Macron dont elle était devenue très proche depuis quelques mois. Les premiers qu’elle a prévenus lorsque Johnny est mort.

Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? Les membres de notre rédaction vous indiquent les films à voir à la télévision. Au programme : Bruce Lee vs Chuck Norris, Tom Hanks en gardien de prison et Nicolas Cage victime d’un chantage.

« Permis de mater »

Chaque soir, la rédaction d’Allociné vous indique les programmes incontournables à ne pas rater.

La Ligne Verte de Frank Darabont avec Tom Hanks, Michael Clarke Duncan (HD1, 20h50) : “Un film fleuve, fidèlement adapté du roman éponyme de Stephen King. L’émotion y est intacte, et ce grâce à l’interprétation, remarquable, de Tom Hanks et du regretté Michael Clarke Duncan. Le sujet du film n’est pas la peine de mort mais cette belle histoire d’amitié, entre deux hommes, habités par la même humanité.” Mathilde Degorce

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La Fureur du Dragon de Bruce Lee avec Bruce Lee, Chuck Norris (D8, 20h50) : “Un film d’arts martiaux qui vaut surtout le coup d’œil pour la dose d’humour qui s’en dégage et pour le combat final entre Bruce Lee et Chuck Norris. Une confrontation au sommet aux allures de passation de relai.” Guillaume Martin

La Fureur du dragon Bande-annonce VF

« Permis de zapper »

Le Pacte de Roger Donaldson avec Nicolas Cage, Guy Pearce (W9, 20h50) : “Un thriller de piètre facture comme il en existe trop avec Nicolas Cage. C’est prévisible, pas du tout crédible et réalisé sans aucune once d’originalité par Roger Donaldson, qui a récemment fait mieux avec The November Man.” Laurent Schenck

Le Pacte Bande-annonce VO

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?
Qu’allez-vous regarder ce dimanche 12 janvier ?

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Alors que le film Selma est présenté aux Oscars (meilleur film et meilleure chanson originale), son équipe va se reformer prochainement pour tourner un film se déroulant pendant l’ouragan Katrina.

Quelque peu boudée aux Oscars en ne récoltant que deux nominations (meilleure chanson originale et meilleur film), l’équipe de Selma annonce déjà travailler sur un nouveau projet. Il s’agira d’une histoire d’amour associée à un meurtre mystérieux située en 2005, au moment où l’ouragan Katrina ravage la Louisiane et La Nouvelle-Orléans.

Le communiqué de la production (Participant Media) indique : “L’ouragan Katrina est l’une des histoires sociales et environnementales les plus importantes de notre époque” et “Ava DuVernay [la réalisatrice] a montré qu’elle était hautement qualifiée pour amener à la fois une intimité et un sens d’urgence contemporaine aux événements épiques”.

Voilà l’ambition du projet. Quant à Selma, il raconte la vie de Martin Luther King au moment de sa lutte pour les droits civiques et l’égalité des droits politiques pour tout citoyen Américain. L’absence de représentation du film aux nominations des Oscars n’a pas fait que des ravis dans la communauté afro-américaine.

Les résultats de la 87ème cérémonie des Oscars seront révélés le 22 février prochain. Tiendront-ils compte de la gronde d’une partie du public ?

La bande annonce de Selma explique-t-elle sa quasi absence aux Oscars ?

Selma Bande-annonce VOST

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Le prince Harry et Meghan Markle ont passé un Nouvel An dans le sud de la France, à Nice. Le couple a voyagé en classe économique, tous deux installés près des toilettes de l’avion. Bien loin des trajets en jet privé du prince William et de Kate Middleton…

Pour leur dernier Nouvel An avant leur mariage, prévu pour mai prochain, le prince Harry et Meghan Markle n’ont pas oublié leurs amis. Le couple s’est envolé pour la France, sur la Côte d’Azur, à Nice, passer la soirée avec des proches – un petit break avant de s’atteler de plus belle à l’organisation de leurs noces. Un vol des plus banals puisqu’ils ont voyagé à bord d’un avion British Airways, en classe économique, installés sur les sièges près des toilettes. Selon le Daily Mail, l’avion a décollé de l’aéroport d’Heathrow à 9h55 le 31 décembre, les futurs mariés se sont assis avant tous les autres passagers afin de rester le plus discret possible malgré tout.

Le prince Harry, en jeans, veste et casquette de baseball, et Meghan Markle, en bonnet noir et très peu maquillée, ne pouvaient pas passer inaperçu accompagnés par leurs trois gardes du corps qui semblaient “énervés et tendus“, selon le média britannique. A l’arrivée en France, le service d’élite de la Protection a assuré la sécurité du couple, un service dont bénéficient les dignitaires étrangers.

Les amoureux sont semble-t-il plus économes que le prince William et Kate Middleton. A l’été 2016, les jeunes parents ont voyagé dans le sud de la France, du côté des Pyrénées, à bord d’un très luxueux jet privéprêté par Hugh Gros­ve­nor, le fils du duc de Westminster. A 26 ans, l’aristocrate le plus riche du Royaume-Uni est également le parrain du prince George.

Crédits photos : Agence / Bestimage

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Sacré meilleur acteur hier lors des Prix Lumières 2018, Nahuel Perez Biscayart, évoque pour Gala sa fierté mêlée d’angoisse à quelques semaines de la cérémonie des César. Confidences.

“Loin de moi l’idée de cracher dans la soupe, mais si vous voulez tout savoir, je préfèrerais être en train de tourner que d’être là” confie l’acteur argentin Nahuel Perez-Biscayart. Nous le rencontrons dans la dernière ligne droite avant les César, au lendemain de la cérémonie des Prix Lumières, où il a reçu le prix du meilleur acteur pour son rôle dans 120 battements par minute.“Je suis vraiment heureux parce que le film est génial, j’en suis fier, mais il y a tellement d’autres personnes que j’admire, de films supers. Tout ça est tellement subjectif.” Toute l’équipe de 120 battements par minute était à ses côtés, et pour cause, son partenaire Arnaud Valois a décroché le prix du meilleur espoir, son réalisateur, Robin Campillo, a reçu, après le Grand Prix à Cannes, les prix Lumières du meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario.

A l’instar des Golden Globes pour les Oscars, les prix Lumières donnent de sérieux indices de qui seront les lauréats des César, le 2 mars prochain. Ultra-favori dans la catégorie meilleur espoir, présent dans les deux films les plus nommés, 120 battements par minute et Au revoir là-haut, Nahuel Perez Biscayart a beaucoup de mal à envisager les choses sereinement: “on ne fait pas les films pour les prix. On pense d’abord à toucher les gens. Après, quand ça dépasse ce cadre là: ça peut devenir une réalité qui écrase et dont on ne parvient pas à profiter.”

Lorsqu’il est monté sur scène pour recevoir son prix Lumière, il a d’ailleurs oublié de remercier Benoît Jacquot et il s’en mord les doigts: “J’avais tout écrit, pour ne pas oublier mais j’ai senti le poids du regard des autres, du coup j’ai voulu faire vite et courir.” Le réalisateur des Adieux à la reine l’avait repéré alors qu’il ne parlait pas un mot de français et lui a proposé de jouer dans Au fond des bois. Sans lui, il n’aurait pas connu ce destin en France. Nahuel Perez Biscayart, 31 ans, a néanmoins déjà une belle carrière derrière lui. En Argentine, il a déjà reçu le prix du meilleur espoir que l’on appelle “Promesa”, la promesse. Il attend désormais le 2 mars pour savoir s’il est pleinement reconnu par le cinéma français: “on verra bien, je suis dans la survie.”

Le palmarès complet des Prix Lumières 2018

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Film
120 battements par minute – Robin Campillo
Réalisateur
Robin Campillo – 120 battements par minute
Actrice
Jeanne Balibar – Barbara
Acteur
Nahuel Pérez Biscayart – 120 battements par minuteScénario
Robin Campillo, Philippe Mangeot – 120 battements par minute
Image
Christophe Beaucarne – Barbara
Révélation masculine
Arnaud Valois – 120 battements par minute
Révélation féminine
Laetitia Dosch – Jeune femme
Premier film
En attendant les hirondelles – Karim Moussaoui
Film francophone
Une famille syrienne – Philippe Van Leeuw
Film d’animation
Le Grand Méchant Renard et autres contes – Benjamin Renner, Patrick Imbert
Documentaire
Visages Villages – Agnès Varda, JR
Musique
Arnaud Rebotini – 120 battements par minute

Crédits photos : memento films

President Trump prepares to sign the tax legislation in the Oval Office on Dec. 22, 2017. The GOP tax cut did not pay for itself, as promised, nor did it deliver a sustained boost to economic growth.

Two years ago Friday, Republicans in Congress passed a sweeping tax cut. It was supposed to be a gift-wrapped present to taxpayers and the economy. But in hindsight, it looks more like a costly lump of coal.

Passed on a party-line vote, the tax cut is the signature legislative accomplishment of President Trump’s first term. He had campaigned hard for the measure, promising it would boost paychecks for working people.

“Our focus is on helping the folks who work in the mailrooms and the machine shops of America,” he told supporters in the fall of 2017. “The plumbers, the carpenters, the cops, the teachers, the truck drivers, the pipe-fitters, the people that like me best.”

In fact, more than 60% of the tax savings went to people in the top 20% of the income ladder, according to the nonpartisan Tax Policy Center. The measure also slashed the corporate tax rate by 40%.

“It will be rocket fuel for our economy,” Trump promised.

Boosters of the tax cut insisted the economy would grow so fast, it would more than make up for the revenue lost to lower rates.

“The tax plan will pay for itself with economic growth,” Treasury Secretary Steven Mnuchin said.

It hasn’t worked out that way.

“It was unbelievable at the time, and it’s proven to be absolutely untrue,” said Maya MacGuineas, president of the Committee for a Responsible Federal Budget. “The tax cuts were never going to — and have not — come anywhere close to paying for themselves.”

Corporate tax revenues fell 31% in the first year after the cut was passed. Overall tax revenues have declined as a share of the economy in each of the two years since the tax cut took effect.

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“Not surprising, if you cut taxes, you get less in revenues,” MacGuineas said. “And what we’ve been doing at the same time is we’ve been increasing spending. And no surprise, our deficit has exploded.”

The federal deficit this year was $984 billion — an extraordinary figure at a time when the country is not mired in recession or widespread war.

The tax cut also failed to produce a permanent boost in economic growth, despite promises from Republican supporters.

“After eight straight years of slow growth and underperformance, America is ready to take off,” Senate Majority Leader Mitch McConnell said when the tax cut passed two years ago.

In fact, the economy grew 2.9% last year — exactly the same as in 2015.

The tax cut, along with increased government spending, did give a short-term lift to the economy and businesses temporarily boosted investment. But the rocket fuel burned off quickly. Business investment declined in the last two quarters.

“There was an acceleration in terms of momentum for business investment, but it was rather short-lived,” said Gregory Daco of Oxford Economics. “A year further down the road, we’re really not seeing much of any leftover of this fiscal stimulus package.”

Hampered in part by the president’s trade war, the economy is projected to grow only about 2% this coming year. That’s below the administration’s target of 3% and slightly below the average growth rate since 2010.

To be sure, the stock market is booming, and unemployment is near record lows. But while most Americans give the economy high marks, that doesn’t extend to the tax cut. A Gallup Poll last tax season found only about 40% of Americans approved of the cut while 49% disapproved.

Even though experts say most workers did get a bump in their take-home pay, it was largely invisible to many taxpayers. Only about 14% of those surveyed by Gallup believe their taxes went down. (That figure includes 22% of Republicans, 12% of Democrats and 10% of independents.)

“For millions of middle-class Americans, it is not a very happy anniversary,” said Sen. Ron Wyden, D-Ore.

Wyden, the top Democrat on the Senate Finance Committee, said while wealthy Americans are celebrating their tax savings from the past two years, working people feel like an afterthought.

Perhaps it’s an acknowledgement of that sentiment that the president is now talking about another round of tax cuts, after the 2020 election. “We’re going to be doing a major middle-income tax cut, if we take back the House,” Trump promised in November.

The president made similar promises before last year’s midterm election. But the follow-up to his 2017 tax cut never materialized.

An Iraqi militia leader reportedly warned of a strong response to the U.S. after five airstrikes targeting Iranian-backed militias hit Iraq and Syria. 

“The blood of the martyrs will not be in vain and our response will be very tough on the American forces in Iraq,” senior commander Jamal Jaafar Ibrahimi, also known by Abu Mahdi al-Mohandes, said late on Sunday, according to Reuters. 

Iran said it strongly condemned the raids as “terrorism,” according to Reuters. 

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Reuters reports that Iraqi security and militia said at least 25 militia fighters were killed and at least 55 were wounded after the three airstrikes in Iraq. 

Al-Mohandes is a senior commander of Iraq’s Popular Mobilisation Forces (PMF), and formerly headed the Kata’ib Hezbollah group, according to Reuters. He is also one of Iran’s most powerful allies in Iraq, the newswire notes. 

The U.S. launched F-15 Strike Eagles at the five targets, including two in Eastern Syria, that U.S. officials said were associated with Kata’ib Hezbollah. 

Secretary of Defense Mark EsperMark EsperUS launches airstrikes targeting Iran-backed militia in Iraq, Syria Trump escalates pressure campaign on Tehran with appeal to Iranians Russia commissions intercontinental hypersonic weapon MORE told reporters Sunday the strikes “were successful” and he was discussing available options for the U.S. to take “additional actions as necessary” with President TrumpDonald John TrumpUS launches airstrikes targeting Iran-backed militia in Iraq, Syria Trade, interest rates top finance fights for 2020 Five health care fights to watch in 2020 MORE. 

Secretary of State Mike PompeoMichael (Mike) Richard PompeoUS launches airstrikes targeting Iran-backed militia in Iraq, Syria Trump escalates pressure campaign on Tehran with appeal to Iranians Putin’s next aggression MORE, speaking alongside Esper on Sunday, said the airstrikes were a “decisive response” to what he said were threats against American forces that “has been going on now for weeks and weeks and weeks.” 

Earlier this month Pompeo blamed Iranian-backed forces for a series of attacks on bases in Iraq and said any attacks would be “answered with a decisive U.S. response.”

Iranian government spokesman Ali Rabiei denied Iran had “any role in the attack on American forces,” Reuters reports, citing the semi-official news agency Fars. 

“This claim without any evidence cannot justify bombing and killing people in violation of international law,” he said.

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