Ingrid Chauvin veut « rétablir la réalité sur le projet d’adoption » de son 3e enfant

Un bébé qui arrive“. Ingrid Chauvin se réjouissait dans la presse de l’adoption de son 3e enfant, après un long et tortueux parcours. La comédienne de 44 ans a tenu à “rétablir la réalité” via son compte instagram ce mardi 20 mars.

La vie d’Ingrid Chauvin est comblée de bonheur depuis la naissance de son petit Tom, arrivé au monde il y a près de deux ans. Sur les réseaux sociaux, l’actrice de 44 ans partage son bonheur avec ses fans. “Le bonheur en partant m’a dit qu’il reviendrait” : le magnifique vers de Jacques Prévert illustre à merveille la tragédie puis la joie intense qu’a vécu la comédienne. Il y a quatre ans, Ingrid Chauvin perdait sa fille Jade, âgée de seulement 5 mois, décédée en pleine nuit à cause d’une malformation cardiaque.

A l’époque, la star du feuille­ton de TF1 Demain nous appar­tient et son mari Thierry Peythieu avaient entrepris des démarches pour adopter, et avaient alors obtenu l’agrément. Un véritable parcours du combattant… La presse a annoncé samedi 17 mars qu’Ingrid Chauvin s’approchait du dénouement, citant l’actrice qui se réjouissait d'”un bébé qui arrive”.

Ce mardi 20 mars, la comédienne a tenu à “rétablir la réalité” via un message posté sur instagram. “Nous avons l’espoir de pouvoir accueillir un petit frère ou une petite sœur dans l’année à venir, mais la garantie n’existe pas, a-t-elle tenu à préciser. Il ne s’agit pas là d’une commande internet expédiée en chronopost ! Le chemin de l’adoption reste un parcours long, parfois semé d’embûches.” Puis d’expliquer que l’agrément, préalable indispensable à l’adoption délivré il y a quatre ans, n’est valable que cinq ans. Cette année est donc cruciale pour les parents.

Le téléphone peut sonner du jour au lendemain mais il peut également rester silencieux jusqu’à la date limite de l’agrément… la vie comme toujours décidera si ce projet aboutira ou non“, témoigne Ingrid Chauvin, qui garde un profond espoir d’être maman pour la 3e fois : “notre désir est immense, notre cœur grand ouvert… À suivre…

J aimerais rétablir ici la réalité sur notre projet d adoption . Nous sommes avec mon mari comme beaucoup de couples en France à avoir obtenu l agrément pour devenir parents , ce qui représente une étape qui a son importance dans l avancement du parcours qui mène à l adoption . Cet agrément nous a été délivré il y a maintenant presque 4 ans et n est valable que 5 ans . Au delà de cette période l adoption n est plus possible !! Nous avons donc l espoir de pouvoir accueillir un petit frère ou une petite sœur dans l année à venir , mais la garantie n existe pas . Il ne s agit pas là d une commande internet expédiée en chronopost ! Le chemin de l adoption reste un parcours long , parfois semé d embûches . Chaque enfant a des besoins qui lui son propres et nous ne sommes pas les parents idéaux pour chaque enfant . Il appartient aux services sociaux d effectuer les meilleures combinaisons possibles afin d être assurés d offrir à l enfant la meilleure vie possible . Le téléphone peut sonner du jour au lendemain mais il peut également rester silencieux jusqu’à la date limite de l agrément … la vie comme toujours décidera si ce projet aboutira ou non … notre désir est immense , notre cœur grand ouvert … À suivre … je vous embrasse . Ingrid #adoption

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Laurence Boccolini, très malade, dit tout sur son état de santé

Laurence Boccolini dévoile et sur les réseaux sociaux la maladie auto-immune avec laquelle elle vit depuis des années. La présentatrice de 54 ans souffre de polyarthrite rhumatoïde.

Depuis une dizaine d’années, Laurence Boccolini a fait le choix de cacher à tout prix sa vie privée. Ce vendredi sur le réseau social Instagram, celle qui a mis un point d’honneur à préserver sa famille et ses proches, a partagé avec les internautes la maladie qui la fait souffrir depuis des années déjà : “Même avec le plus beau des mainecoon sous mes doigts, mes mains restent ce qu’elles sont depuis des années … (très déformées) et j’en suis désolée…mais je ne veux plus les cacher. Polyarthrite Rhumatoïde, mon amie, ma compagne douloureuse de tous les jours dans tout mon corps depuis tant d’années …Je te déteste. Mais je remercie chaque jour la force qui m’est donnée de pouvoir vivre avec cette saleté. Et elle fait partie de moi. Je fais de mon mieux.”

La présentatrice, maman d’une petite Willow, a choisi de publier un cliché d’une de ses mains déformée par cette maladie auto-immune qui déforme et détruit les articulations atteintes. En avril dernier, elle avait fait une grosse frayeur à ses proches et à ses fans en étant hospitalisée en urgence pour une embolie pulmonaire.

À la fin de sa publication, elle remercie la chanteuse Hélène Ségara qui, dit-elle, lui a assuré il y a deux ans “qu’il n’y avait aucune raison d’avoir honte de ma maladie” : “J’ai mis le temps mais je t’ai écouté, tu vois”.

même avec le plus beau des mainecoon sous mes doigts ( Emilio ze king ) mes mains restent ce qu'elles sont depuis des années … ( très déformées ) et j'en suis désolée…mais je ne veux plus les cacher . Polyarthrite Rhumatoïde mon amie ma compagne douloureuse de tous les jours dans tout mon corps depuis tant d'années …Je te déteste. ? Mais je remercie chaque jour la force qui m'est donnée de pouvoir vivre avec cette saleté. Et elle fait partie de moi. Je fais de mon mieux . life is good ! ? ( Et merci à @helenesegaraoff qui il y a deux ans dans les coulisses de moneydrop m'a dit qu'il n'y avait aucune raison d'avoir honte de ma maladie … J'ai mis le temps mais je t'ai écouté tu vois …LOVE) #honesty #polyarthritis #polyarthriterhumatoïde #douleur #pain #acceptance #living #vie #proudmum #continuer #bodypositive #lifeisbeautiful #heart #love

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Nagui ultra maniaque au boulot, ses manies font grincer des dents

Nagui serait un patron très exigeant. Le magazine Capital révèle les manies de l’animateur, qui sont parfois difficiles à gérer pour ses équipes. C’est bien simple : il contrôle tout !

Les émissions de Nagui sont l’un des grands succès d’audiences de France Télévisions depuis des années. N’oubliez pas les paroles vient par exemple de fêter ses dix ans d’antenne sur France 2. Mais l’animateur, qui a souvent dû batailler pour arriver à la place qu’il occupe aujourd’hui, ne prend jamais cette réussite pour acquise… Selon Capital, il serait un patron particulièrement exigeant avec ses équipes, qu’il mène à la baguette pour faire tourner ses programmes sans accroc.

Le manager leur laisse peu de liberté, peut-on lire sur le site du magazine. Des plateaux d’enregistrement aux couloirs de ses bureaux, il décide d’absolument tout. “Jusqu’à l’emplacement de la bonbonne d’eau !, raconte un témoin. Les équipes attendent en permanence ses réponses”.” L’animateur a parfois montré, pendant ses émissions, qu’il pouvait être cassant. Mais certaines personnes travaillant avec lui le défendent. Il est hyperprofessionnel” assure Marie Prycko, programmatrice sur Taratata depuis vingt-cinq ans. Selon Capital, les allures parfois dures de Nagui et son exigence cachent toutefois une grande “fidélité” envers ses équipes : “Il vire très rarement“, assure le magazine après avoir récolté plusieurs témoignages de collaborateurs.

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Cannes 2015 : pour Jia Zhang-Ke, “on a besoin de temps pour exprimer la complexité de la vie”

Le cinéaste chinois Zhang-ke Jia présente en compétition officielle son nouveau long métrage, Mountains May Depart. A l’heure de la conférence de presse, le film se dessine comme un favori à la Palme d’or…

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Alors que son nouveau long métrage, Mountains May Depart, est officiellement entré en compétition ce mercredi 20 mai, le cinéaste chinois Zhang-ke Jia affronte une presse globalement séduite par ce mélo ambitieux…

Un film sur les sentiments
Depuis 3-4 ans j’avais cette volonté intense de faire un film sur les sentiments. J’ai accumulé beaucoup d’expérience dans ma vie et j’ai désormais une façon différente d’apprehender les choses . C’est sans doute dû à l’âge. Comme tout le monde, je suis comme un bon vin qui mûrit longuement…

De l’emploi de “Go West” des Pet Shop Boys…

La chanson Go West me replonge dans les années 90. A cette époque, j’étais le premier à attendre le week-end et c’était la chanson qui symbolisait le plus ce moment. Entre amis, à chaque fois qu’on l’entendait, on faisait une sorte de danse collective, C’était une sortie de rituel auquel je suis encore attaché. Cette chanson avait la puissance de nous envoyer partout dans le monde. Pour ce film, qui se déroule en partie à cette époque, j’ai tout de suite pensé à Go West.

Le temps au cinéma

On ne peut pas faire l’économie du temps. Pour Mountains May Depart, ça aurait même été impossible. On a besoin de temps pour exprimer la complexité de la vie. Quand j’ai écrit le scénario, je savais que chaque période devait être traitée différemment, je devais donc avoir une exigence particulière. 1999 devait refléter l’effervescence de la jeunesse, quelque chose de sucré d’une certaine façon. 2014 est une saveur teintée, plus âpre. Au fil des années, on sent poindre l’amertume. Je voulais utiliser la durée pour faire part de ces changements. Enfin, me projeter en 2025 était un moyen de changer de point de vue et de poser cette simple question “Qu’avons-nous fait de notre vie ?” Pour faire ce constat, il faut s’arrêter. Et pour pouvoir s’arrêter, il faut du temps.

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Les sentiments bouleversés

Ce film parle de l’influence du bouleversement de la société sur les sentiments, mais aussi de l’influence de l’économie. Dans le scénario, je n’explicite rien et ne travaille pas beaucoup les métaphores. J’avais décidé dès le départ que le film serait une histoire d’amour simple, où je pouvais relater les sentiments entre les personnages. Je n’ai pas pensé à d’autres interprétations. Un film doit faire travailler l’imaginaire des spectateurs.

Un extrait de “Mountains May Depart” :

Mountains may depart – EXTRAIT VOST "Tu aimes cette chanson ?"

 

Meghan Markle en larmes aux obsèques de Lady Di

Le prince Harry et Meghan Markle se marieront le 19 mai prochain. Lors de cette cérémonie, plusieurs hommages seront rendus à Lady Di. Un clin d’oeil qui tient à coeur aux futurs époux, autant au prince Harry qu’à Meghan Markle qui a été bouleversée par la mort tragique de la princesse des coeurs en 1997.

Le 19 mai prochain, Meghan Markle et le prince Harry se diront “oui” en la chapelle Saint-George du château de Windsor. Une prestigieuse cérémonie durant laquelle le futur époux souhaite rendre un hommage appuyé à sa maman, la princesse Lady Di, décédée dans un tragique accident de voiture en août 1997. Les futurs mariés ont décidé d’inviter des membres d’oeuvres de charité, dont ceux de l’orga­nisme “Diana Award“, selon une information révélée par le Daily Express. Lors de son mariage avec le prince Harry, en clin d’oeil à la princesse des cœurs, Meghan Markle pourrait porter sur sa jolie chevelure brune la tiare ayant appartenu à la princesse Diana, d’après nos confrères de Mirror.

De beaux hommages voulus par le prince Harry mais également vivement désirés par Meghan Markle qui semblait très fortement apprécier la princesse des cœurs. Le jour de ses obsèques, comme des milliers de personnes, l’ancienne actrice de la série Suits a regardé avec ses proches l’enterrement de la mère de son futur mari, un moment particulièrement bouleversant à en croire nos confrères du Sun. “Meghan et ses amis ont regardé les funérailles de Diana, début septembre 1997, les larmes coulant sur leurs joues au moment émouvant où les caméras ont zoomé sur le cercueil royal” confie Andrew Morton dans son nouveau livre consacré à Meghan Markle “A Hollywood princess”.

Toujours selon l’auteur du livre, Meghan Markle et une amie auraient regardé après l’enterrement, les vidéos du mariage du prince Charles et de la princesse Diana en 1981. “Selon des amis de la famille, elle a été intriguée par Diana, non seulement pour son style, mais pour sa mission humanitaire indépendante, la considérant comme un modèle” confie Andrew Morton. Par la suite, les deux copines ont collecté des vêtements et des jouets pour les enfants pauvres.

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Hollywood Accounting : quand les Majors trafiquent (légalement) les comptes

Il arrive que les Majors rechignent à verser la part des bénéfices due aux acteurs ou aux réalisateurs dans leurs contrats, au motif que le film n’a fait aucun bénéfice. A peine croyable, et pourtant…Le nom de cette pratique ? Hollywood Accounting.

Dévoilée début avril dernier, l’information fut pour le moins discrète, coincée entre deux news sur Avengers 2. Plus de 20 ans après sa participation au film Quoi de neuf Bob ? en 1991, un film produit par Touchstone, filiale de Disney, le comédien Richard Dreyfuss attaquait en justice pour rupture de contrat la firme aux grandes oreilles. Motif ? La Major a empêché la société d’experts comptables mandatée par l’acteur, Robinson & Company, d’avoir accès aux livres de comptes de l’époque et faire ainsi un audit, qui permettrait à l’acteur de réclamer des royalties non versés par la Major. La veuve du producteur du film Turner & Hooch (1989), Raymond Wagner, s’est également jointe à l’action en justice.

Selon une source citée par le toujours bien informé site Deadline, le cabinet Robinson & Company a en effet “la réputation d’être très agressif et efficace, réputé pour récupérer au nom de ses clients d’importantes sommes d’argent”. Selon une source proche du dossier, citée également par le site Deadline, “c’est une affaire dans laquelle les comptes sont tellement compliqués qu’une action légale ordinaire demandant une sommes fixe pour les plaignants est tout bonnement impossible”.

Selon les plaignants, Disney préfèrerait passer par un des “Big 4”; soit un des quatres grands cabinets d’audits (Ernst & Young, KPMG, PricewaterhouseCoopers et Deloitte) tout simplement parce que ces cabinets ne comprennent rien au Hollywood Accounting. L’intégralité de la plainte est lisible ici.

Une vieille pratique Hollywoodienne

Richard Dreyfuss ajoute malheureusement son nom à la longue liste des victimes des pratiques comptables des Majors que l’on appelle le Hollywood Accounting. Une vieille pratique, moralement très douteuse, mais néanmoins…légale. De quoi s’agit-il ?

L’idée, c’est de gonfler le plus possible le montant des frais dits “généraux” d’un film, grâce à une société montée pour l’occasion, qui va absorber ces dépenses. Une somme qui est donc déduite des profits générés grâce aux recettes du film au Box Office. Cette méthode permet ainsi aux Majors de réduire notamment le montant des Royalties à verser (voire les éliminant). Ca vous semble obscure ? Les exemples pour illustrer ne manquent pas… Car à Hollywood, on ne compte plus les victimes de ces pratiques, des acteurs aux scénaristes notamment, mais pas seulement.

Le pouvoir du Hollywood Accounting, plus fort que Dark Vador

Le plus fameux exemple est celui de David Prowse, alias Dark Vador dans la première trilogie Star Wars. L’acteur s’est plaint en 2009 d’avoir été floué dans le contrat signé pour Le Retour du Jedi. Contrat qui prévoyait un pourcentage qu’il devait toucher sur les profits nets générés par le film, qui a engrangé pas moins de 475 millions de dollars à sa sortie. Hormis son cachet d’acteur bien entendu, Prowse n’a pas vu la couleur d’un Cents de ce fameux pourcentage… “Je reçois occasionnellement des lettres de Lucasfilm, me disant qu’ils ont le regret de m’informer que Le Retour du Jedi n’a jamais généré de profits, et qu’ils n’ont par conséquent rien à m’envoyer. On parle de l’une des plus grosses sorties de tous les temps ! “ déclarait David Prowse, légitimement amer; “je ne voudrais pas avoir l’air d’abuser, mais s’il y a un pot d’or quelque part et que j’ai droit à une part, j’aimerai bien le voir”. Devant ses demandes, le retour de manivelle ne s’est pas fait attendre. En 2010, il s’est fait interdire par LucasFilm (et par extension George Lucas) de toute Convention star Wars ou manifestation organisées autour de la saga…Ambiance.

Comment un film qui a récolté 475 millions de $ au BO (sur un budget de 32 millions) peut-il n’avoir très officiellement aucun profit à distribuer ? Le Hollywood Accounting est passé par là. En fait, les Majors mettent le plus souvent sur pied une société pour chaque film qu’elles produisent. Comme n’importe quelle société, elle calcule ses profits en soustrayant les dépenses des revenus. Le studio charge alors cette société / entité avec d’énormes frais, qui couvrent / camouflent ainsi les revenus des films. D’un point de vue comptable, le film devient un “Money Loser”, et n’a donc techniquement pas de profits à reverser…Tout est bon pour gonfler ces fameux frais généraux, que ce soit à la production, au marketing ou à la distribution.

Un coup de baguette magique

Un exemple plus récent concerne le film Harry Potter et l’Ordre du Phénix, sorti en 2007 et produit par Warner. On parle donc d’un film qui a engrangé au Box Office mondial près de 940 millions de $, pour un budget de 150 millions environ. Très officiellement, le film est en fait… Déficitaire; de 167 millions de $ très exactement. Oui oui, vous avez bien lu. Hallucinant. En 2010, le site Deadline avait pu mettre la main sur une facture de la Major. On peut y voir que le studio a chargé environ 350 millions de $ dans les frais de distribution, publicité et autres à cette société externe.

La facture, ci-dessous. Regardez à la ligne Defined Proceeds (Deficit), vers le bas : vous trouverez les 167 millions de $.

Comme le déclarait une source proche du dossier au journaliste du site Deadline, Mike Fleming Jr : “avec un tel système, aucun studio ne paiera jamais les participants du film sur la base des revenus nets. C’est une illusion qui a été inventée pour donner le sentiment aux scénaristes, aux acteurs et réalisateurs Low Level qu’ils ont un intérêt dans le jeu”.

Ces acrobaties comptables ne sont pas l’apanage de Disney ou Warner. Toutes les Majors sont concernées. Telle la Paramount, poursuivie en justice avec succès par Art Buchwald, qui accusa le studio de lui avoir volé le script ainsi que pour non versement de la participation sur les résultats nets du film Un Prince à New York. Paramount préféra lâcher finalement un chèque de 900.000 $ plutôt que de voir la partie adverse plonger son nez dans les livres de comptes… Reste que cet arrangement n’empêcha pas le juge de l’époque de trouver ces méthodes comptables “extravagantes et immorales”.

D’autres exemples pour la route ? Winston Groom. Auteur de la nouvelle qui donnera Forrest Gump, son contrat prévoyait 3% des bénéfices nets générés par le futur film. En raison du Hollywood Accounting, qui passa les recettes du films en pertes nettes, Groom ne reçu que 350.000 $ pour les droits, avec un rab de 250.000 $ un peu plus tard. On parle d’un film qui a ramassé plus de 677 millions au BO mondial.

Stan Lee, co-créateur du personnage Spider-Man, avait un contrat lui garantissant 10% des profits nets sur tout ce qui utilisait ses créations; donc films compris. Le film de Sam Raimi a généré plus de 820 millions de $ de recettes au Box office mondial. Mais la production affirma que le film n’avait en réalité réalisé aucun profit tel que le prévoyait le contrat de Stan Lee, et par conséquent ne lui versa rien. En 2002, Stan Lee engagea des poursuites contre Marvel Comics.

En 2007, un article du journal USA Today faisait carrément état de 15 acteurs ayant joué dans Le Seigneur des Anneaux, poursuivant en justice New Line Cinema pour rupture de contrat, et réclamer la part des 5% sur les bénéfices nets générés par le Merchandising, qui a en effet rapporté plus de 100 millions de $. Deux ans auparavant, c’est même Peter Jackson via sa société Wingnut Films qui attaqua New Line Cinema, estimant avoir été lésé par des pratiques comptables le privant de bénéfices potentiels, incluant d’ailleurs les revenus générés par les ventes DVD du Seigneur des Anneaux – la Communauté de l’Anneau. Et quitte à charger la mule, autant le faire jusqu’au bout. La Fondation Tolkien intenta en 2008 un procès à New Line, au motif que son contrat prévoyait le versement de 7,5% des recettes brutes d’une saga qui a quand même rapporté 6 milliards de dollars. A Hollywood, on aime décidément pas trop partager les parts du gâteau. Surtout s’il est gros.

En temps normal, le but d’une société est de maximiser les profits en limitant les coûts. C’est dans sa nature. Avec le Hollywood Accounting, les Majors, elles, cherchent à gonfler les pertes en maximisant les coûts (des frais généraux). Une pratique qui a sans doute encore de beaux jours devant elle…

Eva Mendes, Kylie Jenner, Pénélope Cruz : discrétion ou plan com, comment gèrent-elles leur grossesse ?

Pour vivre heureux, vivons cachés ! C’est le mot d’ordre de ces stars prêtes à tout pour cacher l’arrivée de bébé. Pour Eva Mendes, Kylie Jenner ou Pénélope Cruz : protection de la vie privée ou stratégie de com ?

Pour une surprise, c’était une surprise. Quoique… Le 1er février, Kylie Jenner annonçait sur les réseaux sociaux avoir donné naissance à une petite fille, Stormi. On ne l’avait pas vu venir (voir encadré) : pendant neuf mois, la petite dernière du clan Kardashian-Jenner a en effet noyé le poisson, tout en continuant à communiquer quotidiennement avec ses followers. Comme le top star de téléréalité, nombreuses sont les personnalités qui choisissent de dissimuler, ou en tout cas de ne pas médiatiser, leur grossesse. Avant de finalement dévoiler la bonne nouvelle.

Etrange stratagème. « Au début du xxe siècle, seules les mamans clandestines se cachaient : célibataires ou filles mères, explique Monique Bydlowski*, psychiatre et psychanalyste, spécialiste des mécanismes psychiques à l’œuvre pendant la grossesse. Aujourd’hui, être enceinte est un événement globalement valorisé. Les femmes posent ventre en avant et multiplient les selfies… » A l’exception de certaines. Parlez-en à Leïla Bekhti. Jamais on ne l’a vue sur les tapis rouge pendant qu’elle se préparait à accueillir son fils Souleymane, né en juillet dernier : « Pour moi il était hors de question de poser officiellement enceinte. Je ne juge pas celles qui le font, mais ça ne me correspond pas », nous confiait-elle. Idem pour , disparue de la circulation depuis que ses agents ont confirmé en février qu’elle attendait un enfant de son compagnon, le scénariste Jamie Linden. Pour Monique Bydlowski, on est loin du phénomène de déni de grossesse : « Il y a déni quand les femmes n’ont pas conscience d’être enceinte, donc physiquement il ne se passe rien. Certaines continuent même à avoir leurs règles. Pour les femmes qui se cachent, c’est l’inverse, elles savent qu’elles attendent un bébé, mais préféreraient zapper l’étape grossesse. »

Les raisons sont diverses : d’abord, une volonté de vivre cette expérience dans l’intimité. « Se faire photographier le ventre nu, c’est quand même assez violent », expliquait Marion Cotillard, maman d’un petit Marcel de six ans et demi et d’une petite Louise d’un an. On observe aussi parfois une peur panique – parfois irrationnelle – que le désir qu’elles inspirent aux réalisateurs et directeurs de castings en soit modifié. La période de gestation étant une mue, au cours de laquelle la femme traverse des conflits non résolus, il n’est pas illogique qu’elle ait du mal avec l’image qu’elle renvoie pendant ces neuf mois : « Il y a là un comportement proche de celui des victimes de troubles alimentaires, pour Monique Bydlowski. La grossesse porte atteinte à leur image spéculaire, c’est-à-dire l’image que leur renvoie le miroir et donc celle que leur renvoie la société. » Pas de peur pathologique de prendre des kilos, mais une difficulté à vivre le gros ventre, la poitrine souvent plus généreuse, et la silhouette globalement alourdie.

Evidemment, les actrices n’expérimentent pas toutes ces dilemmes psychologiques et s’accommodent parfois au mieux de ce petit être qui grandit en elle à l’heure de tourner comme Carey Mulligan, enceinte dans la série Collateral, Mélanie Thierry, qui attendait son fils Roman au moment de Largo Winch, et même Lisa Kudrow, personnage incontournable de la série Friends, dont l’intrigue avait été modifiée à la faveur de sa grossesse. Après tout, à chacune sa méthode. Avec l’idée de la vivre le plus sereinement possible.

A chacune sa grossesse

Eva Mendes La star de 44 ans, maman de deux filles Esmeralda (3 ans) et Amada (1 an), était prête à tout pour qu’on ne découvre rien de sa maternité à venir. Se sachant scrutée par les paparazzis, elle allait jusqu’à dissimuler son bidon sous des couches de vêtements et des maxisacs pour aller de son domicile à sa voiture. En février 2016, c’est même son obsession à cacher son ventre lors d’un shooting photo qui avait mis la puce à l’oreille des médias quant à sa deuxième grossesse. Il ne fallait surtout pas égratigner son image de bombe latine.

Pénélope Cruz « Le fait que mon mari et moi ayons choisi ce métier ne donne à personne le droit d’envahir notre vie privée. » Penélope est formelle. Déjà pour son mariage, la cérémonie avait eu lieu dans la plus grande discrétion dans la maison d’un vieil ami aux Bahamas. Quand l’actrice est « tombée » enceinte, la rumeur a enflé, mais nul ne l’a confirmée. Il a fallu attendre cinq mois et plusieurs photos de ses rondeurs pour que son agent confirme. Rebelote quand Leo a accueilli sa petite sœur Luna. Penélope aime décidément jouer au chat et à la souris.

Kylie Jenner Pendant neuf mois, pas un indice. Aucun commentaire sur son état. Aucune photo de sa silhouette, ou alors dans des vêtements oversize… « Vous aviez l’habitude de me suivre dans toutes mes aventures, mais je devais me préparer à ce rôle d’une manière positive, saine, sans stress », explique-t-elle à ses millions de followers. Pour les calmer, elle publie une vidéo de onze minutes retraçant cette période mystère, qu’elle avait pris soin de filmer, évidemment. Une stratégie de communication, tout sauf bidon.

* Les enfants du désir,
Monique Bydlowski (Odile Jacob).

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Crédits photos : INF/Starface

Green Inferno : le film de cannibales d’Eli Roth sortira finalement en salles aux Etats-Unis

Deux ans après sa présentation au Festival de Toronto, et plusieurs rebondissements, Green Inferno d’Eli Roth sort enfin en salles aux Etats-Unis.

Sortira ? Sortira pas ? Attendu sur les écrans depuis deux ans, Green Inferno d’Eli Roth dispose enfin d’une date de sortie aux Etats-Unis !

La nouvelle date fixée est le 25 septembre 2015. Selon Variety, le film devrait sortir sur 1 000 écrans, appuyé par une campagne digitale.

==> Voir ou revoir la bande-annonce de Green Inferno, ainsi que notre sélection “épouvante” 2015

Après rebondissements, et notamment une première date de sortie annulée, le film de cannibales présenté au Festival de Toronto 2013 a été pris en main par un nouveau distributeur, en la personne de Jason Blum, le célèbre producteur et distributeur de franchises à succès comme Paranormal Activity. Plus précisément, comme le détaille Variety, la société Blumhouse Production s’associe avec Universal et Focus Features pour sortir le film outre-Atlantique. 

Quid de la France ? Précisons que ce film hommage d’Eli Roth à Cannibal Holocauste ne dispose à ce jour pas de date de sortie chez nous. 

Top 5 – Les genres douteux 

Top 5 Emissions Bonus

 

Batman v Superman : dans les rouages de la Batmobile

Et voici le nouveau look de la Batmobile ! Un nouveau cliché a été dévoilé montrant d’un peu plus près les entrailles du bolide !

On l’a d’abord vue sous sa bâche…

Puis, avec beaucoup plus de détails et de face…

Et voici une nouvelle photo de la mythique Batmobile, au plus près des rouages, vue de son autre profil, laissant entrevoir un peu mieux sa mitraillette, son capot et ses énormes pneus aux faux airs de Monstertruck…

Cette nouvelle photo au plus près des rouages fait la couverture du magazine License Mag.

Et la bonne nouvelle, selon le site Batman-news.com, qui relaie cette couverture, c’est que de nouvelles images devraient rapidement être révélées !

Batman v Superman : l’aube de la justice de Zack Snyder sortira sur les écrans français le 23 mars 2016.

Encore plus d’images de Batman V Superman…

Meghan Markle : son séjour mystère à Chicago avant le grand jour

La future mariée a été aperçue à l’aéroport international O’Hare à Chicago ce jeudi. L’Américaine Meghan Markle y aurait finalisé sa demande d’un visa britannique. Son mariage avec le prince Harry est prévu au Château de Windsor le 19 mai prochain.

Meghan Markleaurait payé environ 1 500 dollars. Grâce à cette somme rondelette, elle aura son visa dans quelques jours. Elle s’est rendue à l’aéroport coiffée d’une casquette, de vêtements noirs et de lunettes de soleil sombres. Elle serait accompagnée aux Etats-Unis de quatre gardes du corps et devrait rester à Chicago jusqu’à dimanche. Elle a effectué une partie de ses études de théâtre dans cette ville.

Meghan Markle et le Prince Harry ont annoncé leurs fiançailles en novembre dernier. L’Américaine a récemment eu des soucis avec sa demoiselle d’honneur. Après leur mariage (qui lui offrira la nationalité britannique), ils ont déjà prévu un voyage international à Sydney, en octobre, pour les Invictus Games 2018.

Les futurs époux ont déjà invité 600 personnes à la cérémonie et au déjeuner qui suivra. Environ 200 invités sont conviés à la réception privée prévue le soir à la Frogmore House, un manoir du Berkshire. Sarah Ferguson, tante de Harry, ne fait partie de la liste des happy few. L’ensemble des frais qui incom­be­ront à la famille royale est aujourd’hui estimé par les wedding plan­ners aux alen­tours de 2 millions d’euros. Le plus gros budget, soit 28 millions d’euros, sera évidem­ment consa­cré à la sécu­rité de ce mariage placé sous très haute surveillance.

Crédits photos : Bestimage

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